Discussion:Catherine Fauln

Dernier commentaire : il y a 5 ans par Ada5516 dans le sujet Tetxte inédit transféré de l'article
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Tetxte inédit transféré de l'article

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Son père, Théodore Christian Magnus Robert Jensen, était photographe. De nationalité danoise, il naquit, le 11 juillet 1874, à Flensburg, alors territoire danois (aujourd’hui, dans la région de Schleswig-Holstein, au Nord de l’Allemagne). Il épousa, le 18 janvier 1989, à Anvers, Pauline Paillé, née à Marcinelle, en Belgique, le 1er novembre 1866, qui décéda alors que Raymonde était encore petite. Ils eurent trois enfants, Yvonne, née à Tournai, le 31 décembre 1898, Jürgen, né à Renaix, le 9 août 1901, et Raymonde[1].

Elle habita longtemps une fermette à Saint-Idesbald, petit village à côté de Coxyde, station balnéaire de Flandre Occidentale et lieu de villégiature privilégié de nombreux artistes belges, parmi lesquels Paul Delvaux et Taf Wallet. Ses voisins les plus proches étaient le sculpteur belge George Grard et ses compagnes et modèles Georgette Dufour et Isette Gabriels, dont la maison était assidument fréquentée par d’autres artistes et intellectuels de l’époque, tels que Pierre Caille, Serge Creuz, Albert et Edith Dasnoy, ou Edgard Tytgat. Tournaisien d'origine, Georges Grard recevait souvent la visite de son ami d’enfance Pierre De Geynst, né également à Tournai, le 26 février 1908, dont elle s’éprit rapidement.[1] Ils se marièrent quelques années plus tard, à Saint-Gilles (Bruxelles), le 2 juillet 1941.[2] Ils n’eurent malheureusement pas d’enfant, ce qui fit vécu comme un véritable drame par la jeune femme.

C’est fort probablement ce grand ‘vide’ qu’elle ressentait dans son existence - d’autant plus que son mari, ancien officier de marine reconverti dans le négoce, était souvent absent pour raisons professionnelles - qui la poussa à écrire et à exprimer son ‘désarroi’ par la poésie.

Sa grande ‘sensibilité’ affective - que ses proches qualifiaient parfois ‘d’étrangeté’ et elle-même de ‘mélancolie pernicieuse’ – qui était probablement due au fait qu’elle avait grandi sans amour maternel (« On ne grandit pas impunément sans mère », aimait-elle à répéter), sa passion pour la nature et son caractère ‘sauvage’, trouvèrent un terreau fertile dans le milieu artistique que son mari et elle-même fréquentèrent chez les Grard.

--Havang(nl) (discuter) 10 septembre 2018 à 10:56 (CEST)Répondre

Je vous remercie de bien vouloir discuter ici de la nécessité ou non de maintenir - dans une version modifiée - l'article que j'avais proposé sur la poétesse belge Catherine Fauln.
J'ai bien compris la nécessité de supprimer toute la partie "inédite" qui n'est pas admise sur Wikipedia (ce que je n'avais effectivement pas compris), étant plutôt néophyte ici, malgré un premier article qui avait été admis sans problème auparavant...
Puis-je modifier quelque le texte proposé par Havang(nl) - que je remercie au passage de son intervention - afin de le rendre un peu plus clair, après avoir cherché d'autres sources secondaires ?

Si tel est le cas, de combien de temps est-ce que je dispose pour ce faire ?--Ad5516 (discuter) 10 septembre 2018 à 15:30 (CEST)Répondre

  1. a et b Archives familiales Jensen-De Geynst, photos et correspondances privées.
  2. Archives familiales Jensen-De Geynst.
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