Les corps de Mallory entrent le plus souvent dans le cadre d'une hépatopathie alcoolique[1]. Ils représentent des amas résiduels de microfilaments consécutifs à la toxicité de l’alcool et de ses métabolites.

Corps de Mallory

De manière plus générale, les corps de Mallory se retrouvent aussi dans une stéatohépatite non alcoolique[2]

Ils portent le nom du pathologiste américain Frank Burr Mallory.

Notes et références

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  1. Anatomie pathologique générale et spéciale, Alan Stevens, James Lowe, 1997
  2. NASH