Valence (Charente)

commune française du département de la Charente

Valence
Valence (Charente)
Vue du bourg depuis le Sonsonnette.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Christine Soury
2020-2026
Code postal 16460
Code commune 16392
Démographie
Population
municipale
187 hab. (2021 en diminution de 15 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 26″ nord, 0° 18′ 29″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 143 m
Superficie 10,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Valence
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Valence
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Valence

Valence est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Valence est une commune du Nord Charente située à 10 km à l'est de Mansle et 29 km au nord-est d'Angoulême, dans la vallée du Son-Sonnette.

Le bourg de Valence est aussi à 5 km au nord de Saint-Angeau, 12 km à l'ouest de Saint-Claud, 13 km au nord-ouest de Chasseneuil, 14 km au sud-ouest de Champagne-Mouton, 18 km au sud-est de Ruffec et 31 km au sud-ouest de Confolens[1].

La commune de Valence est traversée d'ouest en est par la D 739 entre Mansle et Saint-Claud et qui passe à 300 m au sud du bourg. Celui-ci est desservi par la D 15, transversale à la D 739, entre Beaulieu-sur-Sonnette et Saint-Angeau, en direction d'Angoulême, et la D 26 qui se dirige vers le nord-ouest en direction de Ruffec[2].

Hameaux et lieux-dits modifier

La commune compte quelques hameaux : le Pont et Bel-Air au sud du bourg où est située la mairie, Goize à l'est, une petite partie de Romefort à l'ouest qui est plus sur la commune de Saint-Front, Bois Bernardant et Lairière au sud, avec la Poterie en limite avec Saint-Amant[2].

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

Le sol est calcaire et date du Jurassique moyen (Callovien). Les plateaux, au sud et à l'extrême nord du bourg et partiellement boisés, sont recouverts d'altérite et d'argile rouge à silex, dépôts du tertiaire[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 100 m, traversée d'est en ouest par une vallée. Le point culminant de la commune est à une altitude de 143 m, situé sur la limite sud. Le point le plus bas est à 72 m, situé sur la rive droite du Sonsonnette en limite ouest. Le bourg, construit sur le flanc de la vallée en rive droite, s'étage entre 80 et 100 m d'altitude[2].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le ruisseau des Bourgons, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La commune est traversée d'est en ouest par le Sonsonnette (ou Son-Sonnette), affluent de la Charente, juste en aval du confluent du Son et de la Sonnette.

Le ruisseau intermittent des Bourgons descend de Chavagnac (commune de Cellefrouin) et se jette sur sa rive gauche[2].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Valence est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,6 %), forêts (20,7 %), prairies (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Valence est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Valence.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 68,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 150 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 112 sont en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie modifier

Les formes anciennes sont Valencia en 1299, de Valenciis[20].

L'origine du nom de Valence remonterait à un nom de personne gallo-romain Valentius au féminin, avec villa ou fundus sous-entendu, ce qui correspondrait à « domaine de Valentius »[21],[Note 2].

La commune a été orthographiée Valance lors de sa création en 1793, puis s'est appelée Valence après 1801[22]. Elle est orthographiée Vallence sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle)[2].

Limite dialectale modifier

Valence est proche de la limite du domaine marchois (langue d'oc), à l'est (Cellefrouin), mais se trouve dans le parler poitevin (langue d'oil), appelé localement patois charentais. Saint-Front, à l'ouest, formait une enclave de parler marchois au XIXe siècle[23].

Histoire modifier

L'Antiquité a laissé quelques traces. La limite sud de la commune est tracée le long de l'ancienne voie romaine de Chassenon à la Terne[2]. Son carrefour avec la voie d'Angoulême à Bourges par Argenton était juste à l'est de la commune, à La Tâche. Près de la Poterie situé sur la première voie, la tradition place une « villa antique », la Ville d'Étampes ou des Temples, entre La Tâche et Mansle[24].

Sous l'Ancien Régime, le fief de Bourgon était possédé par la famille Martin de Bourgon et a appartenu à Jean-Guillaume de Lacroix de Bourgon, général en 1778-1815[25]. Cette famille est issue des Martin de La Pile de l'échevinage d'Angoulême au XVIe siècle et a aussi résidé à Saint-Cybardeaux.

Au tout début du XXe siècle, l'élevage des cochons représentait une des principales ressources des habitants de la commune. L'industrie était représentée par deux minoteries sur le Son, appartenant à messieurs Videau et Sabouraud.

Pendant la première moitié du XXe siècle, Valence était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Confolens par Saint-Angeau appelée le Petit Mairat[25].

Administration modifier

 
La mairie en 2015.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 ? Marcel Lemasson    
2001 2008 Patricia Nexon    
2008 2014 Danielle Gibouleau SE Comptable
2014 En cours Christine Soury SE Employée

La commune de Valence était dans le canton de Cellefrouin à sa création en 1793 avant d'être dans le canton de Mansle en 1801[22]. Elle est maintenant dans le canton de Boixe-et-Manslois.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 187 habitants[Note 3], en diminution de 15 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
421433389450456502507507527
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
487497473484476457437416411
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
411408366373331325338316302
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
242256265212240233233227197
2021 - - - - - - - -
187--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2007, Valence compte 233 habitants (soit une diminution de 3 % par rapport à 1999).

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41,7 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 94 hommes pour 99 femmes, soit un taux de 51,3 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,0 
15,6 
75-89 ans
18,8 
17,7 
60-74 ans
29,7 
28,1 
45-59 ans
20,8 
14,6 
30-44 ans
14,9 
14,6 
15-29 ans
5,9 
9,4 
0-14 ans
8,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques modifier

C'est durant la première moitié du XXe siècle que Valence a perdu la moitié de sa population.

Économie modifier

Agriculture modifier

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

Équipements, services et vie locale modifier

Enseignement modifier

L'école publique est un RPI entre Saint-Front et Valence. Saint-Front et Valence accueillent chacune une école élémentaire. Celle de Valence est l'école Bel-Air et comporte une classe jusqu'en 2016. La classe est alors transférée sur la commune de Saint-Front toujours dans le cadre du RPI Saint-Front, Valence et Ventouse.

Le secteur du collège est Mansle, Alfred-Renoleau[32].

Lieux et monuments modifier

L'église paroissiale Saint-Pierre comporte une dalle funéraire en pierre, du XIIe siècle ornée d'arcatures et présentant au-dessus des colonnettes des traces de chapiteaux. Cette dalle est un objet classé monument historique depuis le [33].

Entre autres bâtiments de patrimoine rural, est à noter la minoterie Cuissard au lieu-dit le Moulin de Bourgon.

Élevé sur un tertre sur la rive gauche du Son-Sonnette, le château de Bourgon, flanqué de deux tours rondes, date du XVe siècle. Il est inscrit monument historique depuis 2011[34].

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les noms des communes de Valence (Drôme) et Valence-en-Brie (Seine-et-Marne) ont aussi cette étymologie. Valensole signifierait le petit Valence, Valence-sur-Baïse, Valence (Tarn-et-Garonne) et Valence-d'Albigeois (Tarn) seraient des transferts du nom de Valence en Aragon (réf: Longnon in Dauzat).
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Valence » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c d e et f Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Valence », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Valence », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Valence », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 6,34,113
  21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 697.
  22. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  24. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 149
  25. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 394
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Valence (16392) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  31. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  32. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  33. « Dalle funéraire », notice no PM16000293, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  34. Journal officiel de la République française, « Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2011 », (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Catillus Carol, « Valence », (consulté le )