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Utilisateur:Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2020/1

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Sacre de Henri IV modifier

Sacre de Henri IV
 

Date 27 février 1594
Lieu Cathédrale Notre-Dame de Chartres

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Le sacre de Henri IV est la cérémonie religieuse par laquelle Henri de Navarre est intronisé / devient roi de droit divin. La cérémonie du sacre se déroule le 27 février 1594 dans la cathédrale de Chartres sous l'égide de Nicolas de Thou.

Contexte modifier

Préparatifs du sacre modifier

Aménagement de la cathédrale modifier

Regalias modifier

Protection/sécurité du roi modifier

Personnalités et spectateurs présents modifier

Déroulement modifier

Transport/apport des huiles saintes modifier

Déroulement de la cérémonie modifier

Conséquences modifier

Notes et références modifier

Pour approfondir modifier

Articles connexes modifier

siège de Chartres en 1568 modifier

Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2020/1
 
La ville de Chartres assiégée et battue par le Prince de Condé en 1568.
Informations générales
Date 1568
Lieu Chartres
Issue Paix de Longjumeau
Belligérants
Huguenots Garnison royale
Chartrains
Commandants
Louis Ier de Bourbon-Condé Nicolas des Essars
Forces en présence
9000 3000

Guerres de religion

Batailles

Guerres de Religion en France

Prélude

Première guerre de Religion (1562-1563)

Deuxième guerre de Religion (1567-1568)

Troisième guerre de Religion (1568-1570)

Quatrième guerre de Religion (1572-1573)

Cinquième guerre de Religion (1574-1576)

Sixième guerre de Religion (1577)

Septième guerre de Religion (1579-1580)

Huitième guerre de Religion (1585-1598)
Guerre des Trois Henri

Rébellions huguenotes (1621-1629)

Révocation de l'édit de Nantes (1685)

Coordonnées 48° 27′ 21″ nord, 1° 29′ 03″ est
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Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
 
 
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
 
 

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Siège de Chartres en 1591
 
Henri IV assiégeant Chartres en 1591.
Informations générales
Date 1591
Lieu Chartres
Issue Victoire des troupes d'Henri IV
Belligérants
Troupes d'Henri IV Ligueurs
Milice bougeoise (6 compagnies cf. Lépinois)
Commandants
Henri IV François de Coligny[1] Charles de Gontaut-Biron[2] Georges Babou de La Bourdaisière, gouverneur de Chartres nommé/pour par la Ligue/ duc de Mayenne en octobre 1589[3],[4]  ; De Grammont ; Jehan II d'Allonville de Réclainville ;
Forces en présence
2 régiments d'infanterie, 300 cavaliers[5],[6] 3500 hommes à pied, 400 cavaliers : 2 compagnies de chevau-légers, 2 compagnies d'arquebusiers à cheval (comptant un total de 140 à 160 cavaliers, 1 compagnie d'arquebusiers à cheval de 80 cavaliers, un régiment d'infanterie, une unité de 60 cuirassiers[7],[8],[2]

Huitième guerre de religion

Batailles

Guerres de Religion en France

Prélude

Première guerre de Religion (1562-1563)

Deuxième guerre de Religion (1567-1568)

Troisième guerre de Religion (1568-1570)

Quatrième guerre de Religion (1572-1573)

Cinquième guerre de Religion (1574-1576)

Sixième guerre de Religion (1577)

Septième guerre de Religion (1579-1580)

Huitième guerre de Religion (1585-1598)
Guerre des Trois Henri

Rébellions huguenotes (1621-1629)

Révocation de l'édit de Nantes (1685)

Coordonnées 48° 27′ 21″ nord, 1° 29′ 03″ est
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siège de Chartres en 1591 (suite) https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65224800/f337.item.r=1568 https://books.google.fr/books?id=L1jaDwAAQBAJ&pg=PT77&lpg=PT77&dq=si%C3%A8ge+de+chartres+1591+ligue&source=bl&ots=HTWYfEq8k5&sig=ACfU3U1K5Nh7cZFHq1C56K1F2DHpmG681w&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiMsrvoj7vqAhULhRoKHfjlCu0Q6AEwB3oECAQQAQ#v=onepage&q=si%C3%A8ge%20de%20chartres%201591%20ligue&f=false https://books.google.fr/books?id=xm8aAAAAYAAJ&pg=PA34&lpg=PA34&dq=si%C3%A8ge+de+chartres+1591+ligueurs&source=bl&ots=N4c9QY_d2Y&sig=ACfU3U0soLL8HtgtrmGse3YD2y_ov-Hwjw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjIjru2k7vqAhWN4YUKHVE2CpEQ6AEwBnoECAUQAQ#v=onepage&q=si%C3%A8ge%20de%20chartres%201591%20ligueurs&f=false https://books.google.fr/books?id=JvRAAAAAcAAJ&pg=PA132&lpg=PA132&dq=si%C3%A8ge+de+chartres+1591+ligue&source=bl&ots=3G1Ao6HUUn&sig=ACfU3U1o3X9ubNV3i_YoDyuUfo2xm4Xvqw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiN0sjpk7vqAhWmyIUKHV7KCMQ4ChDoATAEegQIBxAB#v=onepage&q=si%C3%A8ge%20de%20chartres%201591%20ligue&f=false

Le siège de Chartres en 1591 intervient dans le cadre de la huitième guerre de religion et est mené par le roi Henri IV contre la ville eurélienne alors partisane de la Ligue. Le siège, qui se déroule de février à avril, se conclu par la victoire des troupes royales et l'entrée de Henri de Navarre dans Chartres.

Contexte modifier

En mai 1588, lors de la crise des Barricades, Henri III se dirige vers le Val-de-Loire et vient séjourner à Chartres. Bien qu'une partie de la population chartraine soit sympathisante de la politique de la Ligue, le roi est bien accueilli. Le souverain retourne à Chartres au mois de juillet et vient à s'entretenir avec le duc de Guise, potentiel prétendant au trône de France. Lors de ce second séjour de 1588, Henri III fit tenter de faire assassiner le duc de Guise. La tentative d'assassinat fut déjouer par des bourgeois chartrains partisans de la Ligue. En partant de Chartres en décembre 1588, et forcer de s'accorder avec les Ultras-Catholiques, le roi fut dans l'obligation d'enjoindre la population de Chartres « à se déclarer ouvertement pour la Ligue ».

En février 1589, Henri de Guise entre dans Chartres et de Sourdis, partisan du roi et jusqu'alors gouverneur de la ville, se voit démis de ses fonctions. Il est remplacé par Réclainville. Chartres, comme les autres villes acquises à la Ligue, tomba sous la loi de lèse-majesté édictée par Henri III en avril 1589. Réclainville est à son tour remplacé par Georges Babou de La Bourdaisière en octobre 1590, lequel est appuyé par le duc de Mayenne.

Après l'assassinat de Henri III, en août 1589, puis les batailles survenues en pays chartrain durant l'année 1590, et[9]

Déroulement modifier

Après la fin du siège de Paris, Biron et les troupes royales s'acheminent à travers la Beauce et s'installent dans les quartiers extramuros de Chartres, non incendiés[10], le 10 février 1591. Henri IV les rallie le 15[11]. Face aux forces du roi, 3500 hommes

La première phase du siège consiste essentiellement en des mis en chantier de sape et de contre-sape de la section d'enceinte comprise entre la porte Drouaise et la porte des Épars[10].

La deuxième phase du siège débute le 27 février[10].. Les pièces d'artillerie de l'armée royale pillonnent la section d'enceinte située entre la porte des Épars et la porte du Châtelet[10].. Au cours de cette phase, l'église Sainte-Foy est endommagée et un boulet perdu provoque l'explosion de l'une des cloches de la cathédrâle Notre-Dame[10].

Le 5 mars, les troupes royalistes lancent un premier assault sur/par la porte des Épars[10]. Les assiégeants sont repoussés après une lutte serrée livrée par les deux camps[10]. Après ce premier assault, et jusqu'à la fin du mois de mars, les deux camps se livrent à plusieurs escarmouches[10].. Cette phase du siège de 1591 est également ponctuée de plusieurs tentatives de conciliation/négociation de la part d'Henri IV. Ces tentatives ne trouvent pas d'écho chez / de la part des / les assiégés, en raison de « l'intransigeance des ligueurs » qui ne désiraient pas « se rendre à un hérétique »[10].

À partir du 31 mars, Henri IV modifie sa tactique[12]. Les pièces d'artillerie sont déplacées et leurs tirs se concentrent sur le mur d'enceinte situé en face du faubourg des Filles-Dieu[12]. Le 2 avril, un deuxième les troupes royales lancent un deuxième assault au niveau de ce secteur, simultanément à une manœuvre de diversion menée sur la porte des Épars[12]. La milice bourgeoise chartraine font face et résiste au second assault, suscitant ainsi « l'estime des soldats de métier des deux camps »[12].

Notes et références modifier

Notes modifier

Références modifier

  1. ↑ [1]
  2. ↑ a et b Métais 1894, p. 266.
  3. ↑ Lépinois 1858, p. 306.
  4. ↑ Marie-Clarté Lagrée, « La mélancolie d'un ligueur : Georges Babou de La Bourdaisière », dans François Pernot, Valérie Toureille, Lendemains de guerre--: de l'Antiquité au monde contemporain : les hommes, l'espace et le récit, l'économie et le politique, t. I : Les hommes, Peter Lang, (lire en ligne).
  5. ↑ Métais 1896, p. 265.
  6. ↑ Métais 1896, p. 266.
  7. ↑ Lépinois 1858, p. 315-317.
  8. ↑ Métais 1894, p. 265.
  9. ↑ Roger Joly, « La Ligue », dans Histoire de Chartres, Horvath, (lire en ligne).
  10. ↑ a b c d e f g h et i Joly 1982, p. 111.
  11. ↑ Joly 1982, p. 110.
  12. ↑ a b c et d Joly 1982, p. 112.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Charles Métais et Georges Babou de La Bourdaisière, « Siège de Chartres par Henri IV. — 1591 », Carnet de la Sabretache,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Charles Métais et Georges Babou de La Bourdaisière, « Siège de Chartres par Henri IV. — 1591 (suite) », Carnet de la Sabretache,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Eugène-Louis-Ernest de Buchère de Lépinois, chap. XX « Du siège de la ville par le Prince de Condé, au siège mis par Henri IV (1568-1591) », dans Histoire de Chartres, t. 2, Garnier, (lire en ligne).
  • Eugène-Louis-Ernest de Buchère de Lépinois, chap. XXI « Du siège mis par Henri IV devant Chartres au sacre de ce monarque (1591-1594) », dans Histoire de Chartres, t. 2, Garnier, (lire en ligne).
  • Louis Bonnard, « L'artillerie chartraine », Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, t. 15,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Roger Joly, « Le siège de 1591 », dans Histoire de Chartres, Horvath, (lire en ligne).

Articles connexes modifier

{{Portail|Histoire|protestantisme|Renaissance|Royaume de France}} [[Catégorie:Bataille des guerres de religion|Chartres]] [[Catégorie:1568 en France]] [[Catégorie:Histoire de Chartres]] [[Catégorie:Histoire d'Eure-et-Loir|Chartres]]

refonte paragraphe élection récente Fondettes modifier

Article connexe : Élections municipales de 2020 en Indre-et-Loire.

La population de la commune, au recensement de 2011, étant comprise entre 10 000 et 19 999, le nombre de conseillers municipaux pour l'élection de 2020 est de 33, dont 3 siègent au conseil communautaire de l'agglomération de Tours[1].

Lors des élections municipales de 2020, les 33 conseillers municipaux, dont 30 issus de la liste majoritaire LUD, ont été élus au premier tour avec un taux de participation de 51,79 %[2]. Ont obtenu[2],[3],[4],[5] [6],[7],[8] :

Suffrages exprimés 4 563 33 sièges à pourvoir
Liste Tête de liste Tendance politique Suffrages Pourcentage Sièges acquis Var.
Plus forts ensemble Mr Cédric de Oliveira LUD 3 591 78,7 %
30 / 33
  
Cap citoyens 2020 Mr Charles Girardin Autre écologiste 972 21,3 %
3 / 33
  

Enceintes / fortifications de Chartres modifier

 
Plan de Chartres en 1750 Porte des Epars au nord, porte de Chatelet, au nord-est, porte de Saint-Jean, à l'est, porte Drouaise, au sud-est, porte Guillaume, au sud, porte Morard, au sud-su-ouest, porte Saint-Michel, au nord-ouest.[9]
 
Tour de la Léthinière.

Les enceintes de Chartres sont un ensemble de fortifications ayant défendu Chartres de l'époque gallo-romaine à l'époque contemporaine.

Les fortificatuons de Chartres sont un ensemble d'enceintes ayant défendu Chartres de l'époque gallo-romaine à l'époque contemporaine.

Les fortifications de Chartres sont un ensemble d'ouvrages défensifs construits de l'époque gallo-romaine à l'époque moderne.

Les fortifications de Chartres sont un ensemble d'enceintes construites entre l'époque gallo-romaine et l'époque moderne.

Les enceintes de Chartres sont un ensemble de fortifications construites entre l'époque gallo-romaine et l'époque moderne.

L'enceinte de Chartres est un ensemble de fortifications construites entre l'époque gallo-romaine et l'époque moderne.

 
Fortifications de Chartres en 1500.
Enceinte(s) de Chartres
 
La tour des Jacobins (construite vers 1386-1387).
Présentation
Type
Envergure
Haut-Empire : 275 ha
Bas-Empire : 2 100 m (cf. Bonnard, et [10]
Haut-Moyen-Âge ? : 1 500 m, 11 ha[11]
950 : 20 ha[12],[13]
XIIe siècle : 65 ha[14] ; 3,7 km de circonférence, superficie de 60 ha[15],[16],[13],[12]
Localisation
Pays
Région
Département
Arrondissement
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
Localisation sur la carte du Centre-Val de Loire
Localisation sur la carte d’Eure-et-Loir

modifier - modifier le code 

 
Vue des vestiges de la tour nord de la barbacane de la porte Guillaume avec son archère-canonnière.
 
Tour Jehan Pocquet
 
Tour du Massacre.
 
Tour de la Léthinière.
 
Collégiale Saint-André, rempart, pont, traces d'arrachement ancien pont.

Histoire modifier

Enceinte gallo-romaine modifier

Une enceinte du Haut Moyen Age hypothétique modifier

Enceinte dite du IXe siècle modifier

Enceinte du XIIe siècle modifier

(Travaux de) Fortifications du XIIIe au XVIe siècle modifier

Sièges de 1568 et 1591 modifier

Reconstructions et entretien modifier

Destruction progessive modifier

Architecture et description modifier

Portes modifier

Remparts modifier

Tours et bastions modifier

Citadelle modifier

Chaîne de House modifier

apna https://www.lesechos.fr/2015/10/de-nombreux-pilotes-dair-france-candidats-au-depart-a-letranger-279026 + ; https://www.lesechos.fr/2015/10/de-nombreux-pilotes-dair-france-candidats-au-depart-a-letranger-279026 -
siphnos
https://pleiades.stoa.org/places/333036425 , https://books.google.fr/books?id=DeQVUtZnpOQC&pg=PA143&lpg=PA143&dq=siphnian+treasury+sacred+way&source=bl&ots=_rjprTbDEd&sig=ACfU3U0HwgKsAda0IwfF8QKQkFy2e5uswA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjc1Pbtr7XpAhW1o3EKHbpODyE4ChDoATAAegQIAxAB#v=onepage&q=siphnian%20treasury%20sacred%20way&f=false

Chaîne de House
 
Notch Peak, un sommet de la chaîne de House
Géographie
Altitude 7 500-8 500 pieds m, Swasey Peak (9 669 pieds)[17][17]
Massif Cordilière américaine
Administration
Pays
Géologie
Âge Mésozoïque 143 Ma[18] 170 Ma[19]
modifier  

Chaîne de House
 
Géographie
Altitude 7 500-8 500 pieds m, Swasey Peak (9 669 pieds)[17][17]
Administration
Pays
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https://books.google.fr/books?id=Zg0yAQAAMAAJ&pg=PP6&lpg=PP6&dq=House+Range&source=bl&ots=HRFqOWFpFy&sig=ACfU3U2mU1U3QTM30m-rkboxwm94goYLzA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwi24NCc2vzoAhVJCxoKHXI-AZ84ChDoATAAegQIChAB#v=onepage&q=House%20Range&f=false

https://books.google.fr/books?id=ZShoM2JyfHYC&pg=PR15&lpg=PR15&dq=House+Range+Utah&source=bl&ots=nOyPdK99su&sig=ACfU3U39rKy3gxlSvmZq0tFB5qaxUHjYTA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjg34m83fzoAhUJfBoKHWsTBsA4ChDoATAGegQICRAB#v=snippet&q=House%20Range&f=false

https://books.google.fr/books?id=E8pRAQAAMAAJ&pg=SL3-PA27&lpg=SL3-PA27&dq=House+Range+Utah&source=bl&ots=8edHwUG7Ul&sig=ACfU3U062KmzWvGHnP14tPz47haFmnKVHw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjwwOGx3vzoAhVKxYUKHYhHBxo4FBDoATABegQICBAB#v=onepage&q=House%20Range&f=false

Formation de Orr modifier

Formation de Orr
 
Affleurement de calcaire stromatolithique du calcaire de Big Horse, unité stratigraphique appartenant à la formation de Orr.
Localisation
Pays
Informations géologiques
Période Cambrien moyen - Cambrien supértieur
Guzhangien et Paibien
Nommé par Walcott, 1908, d'après le site de
Formation inférieure Formation de Weeks
Puissance moyenne 630 m
Lithologie principale Shale, grainstone oolithique
modifier  
formation de Orr
https://pubs.usgs.gov/bul/1405g/report.pdf = https://books.google.fr/books?id=1z9SAQAAMAAJ&pg=RA8-PA4&lpg=RA8-PA4&dq=Orr+Formation+Walcott+1908&source=bl&ots=7WtIt2g4QL&sig=ACfU3U24zPXedO5MA_cWN0830Ro-WMKWAg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwipibPfwfvoAhUsA2MBHY6SB90Q6AEwCnoECAsQAQ#v=onepage&q=Orr%20Formation%20Walcott%201908&f=false ; https://books.google.fr/books?id=ZShoM2JyfHYC&pg=PA62&lpg=PA62&dq=Orr+Formation+trilobite&source=bl&ots=nOyPdG86qt&sig=ACfU3U2ZP-JYOd553_mh8xNh0qV3PWCWfA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiFq-rEw_voAhWkxIUKHdzzDooQ6AEwA3oECAgQAQ#v=onepage&q=Orr%20Formation%20trilobite&f=false Hintze ; https://books.google.fr/books?id=qr0qAgAAQBAJ&pg=PA793&lpg=PA793&dq=big+horse+limestone+member+orr+formation&source=bl&ots=N1rgvDseOL&sig=ACfU3U32db5rNwnF6bGILFred5Qci4ki8Q&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiD4I_fxfvoAhUOahQKHZI6CSIQ6AEwCHoECAQQAQ#v=onepage&q=big%20horse%20limestone%20member%20orr%20formation&f=false ; https://books.google.fr/books?id=GdgnT_f60tsC&pg=PA161&lpg=PA161&dq=big+horse+limestone+member+orr+formation&source=bl&ots=m3mwHm66d8&sig=ACfU3U2L5zGBgzGiWuuVJQyY6npGdxdLXw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwimk8bRyPvoAhWC0eAKHeF1CZ44ChDoATAAegQICRAB#v=onepage&q=big%20horse%20limestone%20member%20orr%20formation&f=false ; https://pubs.geoscienceworld.org/msa/ammin/article-abstract/73/11-12/1302/42074/Fluid-infiltration-through-the-Big-Horse-Limestone?redirectedFrom=fulltext ; https://pubs.geoscienceworld.org/gsa/gsabulletin/article-abstract/94/7/889/202875/The-Notch-Peak-Contact-Metamorphic-Aureole-Utah?redirectedFrom=fulltext ; https://www.researchgate.net/publication/236381289_Effects_of_contact_metamorphism_on_the_chemistry_of_calcareous_rocks_in_the_Big_Horse_Limestone_Member_Notch_Peak_Utah ; http://geology.byu.edu/home/sites/default/files/dommer.pdf

Formation de Weeks modifier

Formation de Weeks
 
Localisation
Pays   États-Unis
État   Utah
Informations géologiques
Période Cambrien moyen, Guzhangien[20][21][22]
Âge 499[20]
Province géologique House Range
Nommé par Walcott, 1908, d'après le site type Weeks Canyon[23]
Formation supérieure Formation de Marjum[20],[24]
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ou calcaires de Weeks (Weeks Limestone) https://books.google.fr/books?id=3xN7RxC9ysEC&pg=PA116&dq=drum+mountain+weeks+formation&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjg3d_O9OroAhXM8uAKHcdZBN0Q6AEwAHoECAMQAQ#v=onepage&q=drum%20mountain%20weeks%20formation&f=false ; https://books.google.fr/books?id=dhh5Qa6KDqUC&pg=RA5-PA23&lpg=RA5-PA23&dq=Weeks+Limestone&source=bl&ots=SHDPV-LMcB&sig=ACfU3U30lrurrnXmiMp-mqxe759WBJ62GA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwj8vbPQ9eroAhV05OAKHavnCvgQ6AEwBnoECAYQAQ#v=onepage&q=Weeks%20Limestone&f=false ; [23]

Formation de Marjum modifier

Formation de Marjum
 
Localisation
Pays   États-Unis
État   Utah
Informations géologiques
Période Cambrien moyen, Drumien[25][26]
Âge 502[27]
Province géologique House Range, Drum Mountain
Nommé par Walcott, 1908, d'après le site Marjum Pass[28][29]
Formation supérieure Schistes de Wheeler
Formation inférieure Formation de Weeks[30][24]
Puissance moyenne 162 à 431 m[31]
Lithologie principale Shale, calcaires, dolomie[24]
modifier  

La formation de Marjum est une unité stratigraphique du Cambrien moyen qui s'étend dans des massifs de l'Utah, aux États-Unis. +

Cette unité stratigraphique constitue un Konservat-Lagerstätte[32] dont le mode préservation de fossiles est de type shistes de Burgess (en) (BST)[33],[34]. La formation de Marjum, équivalent de la formation de Pierson Cove, sont connus pour leur richesse en fossiles de trilobites[32].

La formation de Marjum a été décrite et nommée en 1908 par le paléontologue Charles Doolittle Walcott d'après la Marjum Pass, site type localisé dans la chaîne de montagne de House (en), en Utah[35],[36]. +

Maison d'Albert Nachbaur modifier

Maison d'Albert Nachbaur
 
Façade de la maison d'Albert Nachbaur.
Localisation
Situation 3, boulevard de la République, à Nogent-sur-Marne
  Île-de-France
  France
Coordonnées 48° 50′ 17″ nord, 2° 29′ 31″ est
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
 
 
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
 
 
Architecture
Type Villa
Style Art nouveau
Histoire
Architecte Albert Nachbaur
Date d'érection 1904 ou 1905
Protection   Inscrit MH (2013)[37]
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https://www.openstreetmap.org/search?query=3%2C%20boulevard%20de%20la%20R%C3%A9publique%20Nogent-sur-Marne#map=19/48.83792/2.49202

https://fr.calameo.com/books/002202362fd77bc6fdd7b ; https://fr.calameo.com/read/002202362fd77bc6fdd7b

https://www.tourisme-nogentsurmarne.com/les-incontournables/villa-la-detente/

Schistes de Spence modifier

On Wheeler Shale formation

Schistes de Spence
 
Empreinte fossile de Gogia kitchnerensis, spécimen retrouvé dans les schistes de Spence.
Localisation
Coordonnées 41° 35′ 52″ nord, 112° 02′ 13″ ouest
Pays   États-Unis
Informations géologiques
Période Cambrien moyen
Âge ~507.5-506 Ma form LAngstn [38] 506-505  
Province géologique Wellsville Mountains ; Wasatch Mountains ; Bear River mounts[38]
Regroupé dans Formation de Langston
Nommé par Charles Walcott, 1908, d'après le site de Spence Gulch[39],[40]
Formation supérieure Calcaires de Naomi Peek[38],[40],[41]
Formation inférieure Calcaires de High Creek[38],[40],[41]
Puissance moyenne 50-65 m (au sein des montagnes de Wellsville, site de Minners Hollow) [42] [43],[41] 192 pieds [44] [45] Affleurement allant de 9 m à Blacksmith Fork jusqu'à 120 m à Oneida Narrows
Géolocalisation sur la carte : Idaho
 
 
Géolocalisation sur la carte : Utah
 
 
Géolocalisation sur la carte : États-Unis
 
 
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Les schistes de Spence sont un lagerstätte du Cambrien moyen présents dans le sud-est de l'Idaho et le nord-ouest de l'Utah. Cette unité lithostratigraphique, membre de la formation de Langston, a été nommée par le paléonthologue Charles Walcott d'après le site de Spence Gulch. Les schistes de Spence, datés d'environ 506 à 505 Ma sont de Burgess Shale type preservation (en) (BST)[43],[33], https://www.researchgate.net/publication/271076317_Burgess_Shale-type_preservation_and_its_distribution_in_space_and_time ; [34]

site type : Spence Gulch [38]

41° 36′ 04,8″ N, 112° 02′ 12,5″ O pour le site de Minners Hollow [43] ; https://kuscholarworks.ku.edu/bitstream/handle/1808/26428/Hammersburg_20.pdf?sequence=5&isAllowed=y

  • (en) Charles Doolittle Walcott, « Nomenclature of Some Cambrian Cordilleran Formations », Smithsonian Miscellaneous Collections, vol. 53, no 1804,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  • faune, arthropodes et contexte de formation : [46]

Historique modifier

  • premières découv en 1896 par R. S. Spence dans les montagnes de River Bear cf. Resser
  • recherches sondages explorations et collecte de fossile par Walcott entre 1898 et 1906 cf. Maxey
  • désignation par Walcott en 1908 cf. Maxey, Resser, Kimmig, Walcott, etc..
  • attribution incorrecte à la formation de Ute en 1939 cf. Maxey, Resser
  • attribution à la formation de Langston par Williams et Maxey en 1941 cf. Maxey 1958

corrélations :

Localisation et sites modifier

Stratigraphie modifier

Taphonomie modifier

Faune / biota modifier

Vauxia modifier

Vauxia
 
Empreinte fossile d'un spécimen de Vauxia découvert dans des schistes de la carrière Walcott.
Classification
Règne Animalia
Embranchement Porifera
Classe Demospongiae
Ordre Verongiida
Famille † Walcott, 1920

Genre

† Vauxia
Walcott, 1920

Vauxia est un genre éteint de spongiaires appartenant à l'ordre des Verongiidae. Des spécimens fossilisés d'espèces de Vauxia ont été découverts dans les schistes de Burgess. Vauxia a été décrit par le paléontologue Charles Doolittle Walcott en 1920. possédait un mode de croissance ramifié distinctif. Chaque branche était constituée d'un réseau de fibres. Le squelette de Vauxia était composé de spongine.

Vauxia doit son nom à la femme de Walcott, Mary Vaux Walcott https://books.google.fr/books?id=EMITAQAAIAAJ&q=Vauxia+Mary+Vaux&dq=Vauxia+Mary+Vaux&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjpo7re1NjnAhXB8-AKHZF-C4EQ6AEwAHoECAUQAQ ; https://www.nationalgeographic.com/magazine/2015/06/yoho-national-park-canada/ Mount Vaux (en).

ls béton (article existant)
Canadia
 
Empreinte fossile de Canadia spinosa.
Classification
Règne Animalia
Embranchement Annelida
Classe Polychaeta

Genre

† Canadia
Walcott, 1911

Espèce

† Canadia spinosa
Walcott, 1911

Canadia est un genre éteint d'annélides appartenant à la classe des polychètes.

Schistes de Burgess modifier

Schistes de Burgess
 
Localisation
Coordonnées 51° 26′ 07″ nord, 116° 28′ 38″ ouest
Pays   Canada
Informations géologiques
Période Wuliuen
Âge 508 Ma
Province géologique Montagnes Rocheuses
Regroupé dans Formation de Stephen (en)
Géolocalisation sur la carte : Canada
 
 
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Terra rossa modifier

Terra rossa <-> argiles de décalcification

constitué d'argiles de décarbonatation[47] sur affleurements calcaires des régions méditerranéennes, particulièrement sur des calcaires durs et cristallins[48]. La terra rossa est également[49] identifiée et désignée comme étant des argiles de décalcification[50],[51],[52],[53].

Divers modifier

Pour autant, les spécialistes en protohistoire, et notamment les protohistoriens régionaux, prennent ultérieurement appui sur les travaux de Hatt publiés dans le Bulletin de la Société préhistorique française entre 1955 et 1961 concernant chronologie de l'âge du bronze[54] réfra : https://books.google.fr/books?id=DD6e2p4SqksC&pg=PA102&lpg=PA102&dq=Hatt+Bronze+1954&source=bl&ots=na7VCg2f52&sig=ACfU3U3VHme1SM7ahXGNifneygjDtwohmw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwig1Ivj777nAhXFA2MBHXCCAYsQ6AEwEHoECAkQAQ#v=onepage&q=Hatt%20Bronze%201954&f=false

µ / https://www.researchgate.net/publication/222579959_Early_Cambrian_Yangtze_Plate_Maotianshan_Shale_macrofauna_biodiversity_and_the_evolution_of_predation POsition : https://books.google.fr/books?id=BMbGAwAAQBAJ&pg=PA34&dq=Qiongzhusian+Maotianshan+Shales&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjloo6YkavnAhXF8-AKHTo0BEcQ6AEINDAB#v=onepage&q=Qiongzhusian%20Maotianshan%20Shales&f=false

Schistes de Maotianshan
 
Localisation
Coordonnées 22° 23′ nord, 103° 01′ est
Pays   Chine
District Xian de Chengjiang
Informations géologiques
Période Cambrien supérieur
Âge 518 Ma
Province géologique Plateau de Yangtze
Sous-groupe Formation de Yu'anshan[58][59]
Nommé par Ho, 1942[60][61][62][63]
Puissance moyenne 50[58][59]
Lithologie principale Shale
Lithologie secondaire Mudstone
Géolocalisation sur la carte : Yunnan
 
 
Géolocalisation sur la carte : Chine
 
 
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M. Jaunet, « Ouverture du chemin de grande communication n74 de Nogent à Champigny », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Trésor de Siphnos
 
Localisation
Pays   Grèce
Coordonnées 38° 28′ 54″ nord, 22° 30′ 05″ est
Géolocalisation sur la carte : Grèce
 
 
Trésor de Siphnos
Histoire
Époque archaïque, construction vers 530 av. J.-C.[64] - 524 av. J.-C.[65]
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Trésor de Sicyone
 
Localisation
Pays   Grèce
Coordonnées 38° 28′ 54″ nord, 22° 30′ 06″ est
Géolocalisation sur la carte : Grèce
 
 
Trésor de Sicyone
Histoire
Époque archaïque
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Trésor des athéniens
 
Localisation
Pays   Grèce
Coordonnées 38° 28′ 55″ nord, 22° 30′ 05″ est
Géolocalisation sur la carte : Grèce
 
 
Trésor des athéniens
Histoire
Époque archaïque
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Statue du général Daumesnil
 
Vue de la statue sur l'esplanade Marigny, à Vincennes
Artiste
Date
1873
Propriétaire
Ville de Paris
Localisation
Protection
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
Localisation sur la carte d’Île-de-France
Localisation sur la carte du Val-de-Marne
Localisation sur la carte du bois de Vincennes
Localisation sur la carte de Paris

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Monument du général Daumesnil

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lapin à lever (âge du fer briton/atlantique) modifier

Niola Doa modifier

-> https://aars.fr/images/pdf/menardi_noguera_2017_eli.pdf

Grande Riparo / Archeï VII
 
Fresque d'art rupestre de la grotte de Grande Riparo.
Localisation
Coordonnées
Pays
Division administrative
Massif
Vallée
 

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https://aars.fr/cahier_19_fr.html

  • * Roberta Simonis, Adriana Ravenna et Pier Paolo Rossi, chap. 1 « Grande Riparo, un incroyable chaos », dans Ennedi, Pierres historiées. Art rupestre dans le massif de l’Ennedi (Tchad), All’Insegna del Giglio, , 288 p. (lire en ligne [PDF]).

dossier archéo glaciaire modifier

-> Gletscherarchäologie (de)

Cairn dolménique de Midhowe modifier

Cairn dolménique - mégalithique de Midhowe
 
Localisation
Pays   Royaume-Uni
Nation constitutive   Écosse
Orcades
Rousay
Protection Scheduled monument, 1934[67]
Coordonnées 59° 09′ 24″ nord, 3° 05′ 53″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Écosse
 
 
Cairn dolménique - mégalithique de Midhowe
Géolocalisation sur la carte : Royaume-Uni
 
 
Cairn dolménique - mégalithique de Midhowe
Histoire
Préhistoire Néolithique
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mobilier
http://nms.scran.ac.uk/database/record.php?usi=000-100-035-368-C&scache=22zk2g2ead&searchdb=scran&PHPSESSID=4208v2dil6bav2bm64qr48k0g4 ; http://nms.scran.ac.uk/database/record.php?usi=000-100-035-366-C&scache=330hbg2eak&searchdb=scran&PHPSESSID=4208v2dil6bav2bm64qr48k0g4 ;
howe issu du vieux norrois https://pub-prod-sdk.azurewebsites.net/api/file/795f5413-2b38-40b9-9fb2-a8b800d7b9a7 haugr, mound
(en) Ross G. Arthur, English–Old Norse Dictionary, York University, (lire en ligne [PDF]), p. 96. ; https://ia800503.us.archive.org/35/items/icelandicenglish00cleauoft/icelandicenglish00cleauoft_bw.pdf

241 ; (en) Walter Mykura, Derek Flinn et Frank May, British regional geology: Orkney and Shetland, Institute of Geological Sciences, (lire en ligne).

Broch de Crosskirk modifier

Broch de Crosskirk
 
Localisation
Pays   Royaume-Uni
Nation constitutive   Écosse
Caithness
Crosskirk (en)
Protection Scheduled monument[68],[69]
Coordonnées 58° 36′ 30″ nord, 3° 40′ 48″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Écosse
 
 
Broch de Crosskirk
Géolocalisation sur la carte : Royaume-Uni
 
 
Broch de Crosskirk
Histoire
Protohistoire Âge du bronze britannique final - à vérif
Âge du fer britannique
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Notes et références modifier

Notes modifier

Références modifier

  1. ↑ art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  2. ↑ a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  3. ↑ « Liste de C. de Oliveira "Réussir Fondettes ensemble" », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. ↑ « Municipales : liste "Agir pour Fondettes" », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. ↑ « Liste Jacques Sauret : "Réuni(e)s pour Fondettes" », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. ↑ Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées municip2020
  7. ↑ « Fondettes 37230 - Résultats aux municipales 2020 », sur Le Monde (consulté le ).
  8. ↑ « Résultats éléctions municipales Fondettes 2020 », sur Ouest France (consulté le ).
  9. ↑ [2]
  10. ↑ Adrien Blanchet, « Villes de la Gaule romaine aux Ier et IVe siècles de notre ère. », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 50e année, no 3,‎ , p. 192-196 (DOI doi.org/10.3406/crai.1906.71815, https//www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1906_num_50_3_71815, consulté le ).
  11. ↑ Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Ben-Kaddour
  12. ↑ a et b Michel Rouche, « Conclusion », dans Rouche M. (dir.), Millénaire de Fulbert 1006-2006. Fulbert de Chartres, précurseur de l’Europe médiévale ?, Paris, Presses Universitaires de Paris Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales », 255-283 p. (lire en ligne).
  13. ↑ a et b Laurent Coulon, « Topographie chartraine 950-1100 », dans Rouche M. (dir.), Millénaire de Fulbert 1006-2006. Fulbert de Chartres, précurseur de l’Europe médiévale ?, Paris, Presses Universitaires de Paris Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales », 255-283 p. (lire en ligne).
  14. ↑ Cyrille Ben Kaddour, « Chartres et sa proche campagne au haut Moyen Age (fin Ve – fin Xe siècle). Topographie urbaine et péri-urbaine, analyse de structures et étude du mobilier : un premier bilan », Revue archéologique du Centre de la France, t. 53,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. ↑ Vincent Acheré, « Une barbacane de la fin du Moyen Âge à Chartres (Eure-et-Loir) », Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre (BUCEMA), vol. 19, no 2,‎ (DOI doi.org/10.4000/cem.14214, lire en ligne, consulté le ).
  16. ↑ Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Lecchoère
  17. ↑ a b c et d David A. Lindsey, David R. Zimbelman, David L Campbell et al., « Mineral Resources of the Swasey Mountain and Howell Peak Wilderness Study Areas, Millard County, Utah », Bulletin de l'Institut d'études géologiques des États-Unis, no 1749,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
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  20. ↑ a b et c (en) Rudy Lerosey-Aubril, Robert R. Gaines, Thomas A. Hegna et al., « The Weeks Formation Konservat-Lagerstätte and the evolutionary transition of Cambrian marine life », Journal of the Geological Society, vol. 175,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. ↑ Taphonomy and paleoecology of the "Middle" Cambrian (Series 3) formations in Utah's West Desert: recent finds and new data
  22. ↑ [5]
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  43. ↑ a b et c (en) Sean R. Hammersburg, Stephen T. Hasiotis et Richard A. Robison, « Ichnotaxonomy of the Cambrian Spence Shale Member of the Langston Formation, Wellsville Mountains, Northern Utah, Usa », Paleontological Contributions, no 20,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  48. ↑ Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Mathieu
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  54. ↑ « Introduction », dans {{Chapitre}} : paramètre titre ouvrage manquant (lire en ligne).
  55. ↑ Jean Guisnel, « Inondations : le plan secret Escale pour évacuer l'Élysée à Vincennes », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  57. ↑ « Les présidents habitent-ils vraiment au palais de l'Elysée ? », sur BFM TV, (consulté le ).
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  68. ↑ (en) « MHG39521 - Broch, Crosskirk », sur la base de données Highland Historic Environment Record (consulté le ).
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