Ce Wikipédien est décédé le 21 mars 2022. Cette page est conservée en sa mémoire.

Un livre d’or est disponible si vous souhaitez laisser un message.

en-3
es-1
it-2
Rhinocéros laineux (2005)

Introduction

Mes domaines favoris sont la physique, les mathématiques. Je suis aussi intéressé par l'histoire, la moto et le vol à voile.

Je suis diplômé d'une Grande École française. Je pense qu'il ne devrait pas être trop difficile de deviner de quelle école il s'agit.

Vol à voile

 
Sondage correspondant à mon vol d'onde

Je suis un pilote commercial de planeur titulaire de l'insigne de diamant et donc je suis intéressé par la météorologie. Je suis aussi instructeur sol. J'ai modifié pas mal d'articles météorologiques en ajoutant des précisions en ce qui concerne le vol à voile. Les pilotes d'avion à moteur ont la réputation de détester les ascendances thermiques qu'ils appellent improprement turbulences. Il en est de même pour les ondes de gravité. Cela me fait doucement sourire car les ascendances sont notre carburant. En faisant attention, il est possible pour un pilote de planeur de voler dans les rotors et sous les cumulonimbus (pas dedans !) qui ont pourtant la réputation (souvent usurpée) de pouvoir produire des turbulences sévères. Les planeurs sont lents et par conséquent, ils sont beaucoup moins sensibles que les avions aux « turbulences » de l'atmosphère. Par contre, les pilotes d'avion gaspillent du carburant inutilement en n'exploitant pas les mouvements verticaux de l'atmosphère. Toutefois, lorsque j'ai acquis mon insigne de diamant (avec le gain d'altitude de 5000 mètres), j'ai compris ce que signifiait l'instabilité de Kelvin-Helmholtz où je suis passé d'un rotor relativement calme avec des ascendances de 2 à 3 m/s à des ascendances parfaitement laminaires de 10 m/s générées par des ondes orographiques avec un vent de 50 nœuds en crête (voir le sondage). Cela s'est traduit par une perte de contrôle (très brève) du planeur. Pour la petite histoire, lorsque j'ai acquis mon insigne d'or, je me suis fait surprendre par un haboob qui s'est déclenché 45 minutes après mon atterrissage sans histoire - le haboob avec une visibilité 0/0 et un vent de 50 nœuds.

La physique, ça ne sert à rien

Beaucoup de pilotes gagnent le Prix Darwin à cause de leur incompréhension des lois de la physique. Ainsi beaucoup de pilotes s'écrasent lorsqu'ils traversent un downburst lié à un orage car ils ne comprennent pas que ce qui est à peu près constant est la vitesse sol et non la vitesse air et donc passent d'un vent de face à un vent arrière entraînant un départ en vrille irrécupérable. La même chose concerne les ondes orographiques qui tuent des pilotes d'avion à moteur au pied des Montagnes Rocheuses. De même beaucoup de pilotes ne comprennent pas que   et par conséquent qu'une petite déviation peut soit sauver d'un accident ou simplement permettre de rester en l'air en volant dans une zone plus favorable.

Moi même, j'eusse pu gagner le Prix Darwin lors de la rencontre avec le haboob mentionné supra si j'avais attendu 45 minutes de plus. En effet, le ciel était très clément lors de mon vol d'insigne d'or (quelques cumulus humilis isolés à 4 km d'altitude), sauf que, sauf que, il y avait un mur de cumulonimbus sur les hauts plateaux que j'ai découvert récemment en dépouillant mes photos. À l'époque, je ne connaissais pas bien la physique des cumulonimbus et j'ignorais la théorie de la goutte froide. Icelle engendre une ascendante mécanique en se glissant sous l'air chaud et donc soulève mécaniquement l'air au-dessus. Cette goutte froide peut se faire sentir à 50 km ou plus du monstre sus-cité. Mon expérience personnelle que la physique ne sert à rien (façon de voir).

Mathématiques

J'ai retouché bon nombre d'articles mathématiques que j'ai trouvés soit trop vagues soit incorrects.


Phôtes d'aurtaugraffes Fautes d'orthographe

Je corrige toutes les fautes d'orthographe que je trouve. Pour cela, je suis un wikignome. Je n'aime pas modifier les articles sujets à polémique.

Je suis allergique à la réforme orthographique de 1990 qui n'a plus d'objet. À l'époque, il n'y avait pas encore de correcteur orthographique vraiment disponible. Maintenant les choses sont différentes. Un correcteur orthographique saura reconnaître un chariot (oh pardon un charriot ?). Je ne vois aucun intérêt à modifier l'orthographe d'usage vu que les correcteurs orthographiques répareront ces fautes facilement. Les rédacteurs devraient se concentrer sur les fautes grammaticales. Je ne peux pas admettre qu'un rédacteur écrive « je vais allé me couché ». C'est équivalent à dire « je vais grandi ». Comme la notion d'intelligence artificielle est un oxymore, un correcteur orthographique ne peut pas corriger les fautes grammaticales car une machine de Turing est dépourvue d'intelligence et donc n'a aucune compréhension d'un texte. Par exemple, j'aimerais que l'on m'explique comment on traduit de manière automatique de l'anglais vers le français la phrase suivante : The glass fell on the table. It broke. Est-ce le verre ou la table qui se sont brisés ?!? On pourra se rapporter au livre de Roger Penrose The Emperor's New Mind qui n'est pas tendre vis à vis de l'intelligence artificielle forte.

Faux nez

J'ai créé le faux nez Malosse-2 destiné à être utilisé sur des ordinateurs non sécurisés.

Administrateurs: n'hésitez pas à bloquer l'utilisateur Malosse-2 si celui-ci se conduit mal. Cela voudrait dire qu'il a été piraté.

J'ai un autre faux-nez que je garde secret car ce dernier ne sert que lorsque je traite de personnes vivantes qui peuvent ne pas être trop contentes de ce que j'écris.