PRÉCISIONS SUR LA BIOGRAPHIE D’OMRAAM MIKHAËL AÏVANHOV Par Louise-Marie Frenette

J’ai pris conscience des remarques concernant ma biographie d’O. M. Aïvanhov sur cette page Wikipedia. À propos de la valeur hypothétique de cette biographie, permettez-moi d’apporter quelques précisions sur la façon dont je l’ai faite. J’ai consacré sept années de ma vie à la préparer. J’ai fait des recherches avec toute l’objectivité nécessaire et toute l’intégrité que je possède. Tout d’abord, j’ai fouillé les Archives de la FBU à Sèvres, France. J’ai étudié les conférences d’O. M. A. à partir de la toute première qu’il a donnée en 1938. J’ai relevé dans ces conférences le plus de détails possible concernant sa vie, dont il parlait assez souvent afin d’illustrer sa pensée sur un thème – surtout au début, au fil de ses premières années en France lorsqu’il s’adressait à des groupes restreints. Je n’avais aucune raison de douter de la sincérité de ce conférencier et j’ai utilisé les anecdotes et les réflexions que j’ai trouvées dans ses causeries sans rien y ajouter, sans rien romancer non plus. J’ai remarqué que, lorsqu’il lui arrivait de raconter à quelques reprises un évènement marquant de sa vie, il ne l’enjolivait jamais. L’anecdote était redite à peu près dans les mêmes termes. Pour les détails historiques et sociaux, j’ai utilisé des sources variées : Wikipedia et diverses bibliothèques. Pour les précisions concernant l’entourage et le caractère d’O.M.A., j’ai rencontré des membres de sa famille en Bulgarie. L’une de ses sœurs et deux de ses frères étaient encore vivants lors des deux séjours que j’y ai faits en 1992 et 1993, ainsi que des neveux et nièces qui l’avaient connu. J’ai interviewé plusieurs de ces personnes. Là non plus, je n’avais aucune raison de douter de la véracité des évènements et des détails que je recueillais. Pour d’autres précisions sur sa vie en France, j’ai interviewé 85 témoins. Je n’ai utilisé un événement que lorsque celui-ci m’avait été relaté de la même façon par au moins deux de ces témoins. Et, comme je l’ai mentionné dans mon introduction de sa biographie, même les dialogues que j’ai inclus dans mon livre venaient de sa propre relation de l’évènement. Je n’en ai inventé aucun. Et chacune des mentions : « Il pensait que... », ou : « Il se disait que...», est véridique: c’est lui-même qui avait précisé, en racontant une anecdote, ce qu’il avait pensé ou ressenti.

Précisions sur les différentes éditions : 1ère édition, en 1997. Titre, « Omraam Mikhaël Aïvanhov et le chemin de lumière », A.L.T.E.S.S., Paris. L’éditeur n’avait aucun lien connu avec la FBU. Il a publié ce titre dans le cadre d’une série sur les maîtres spirituels, collection « Témoins du Réel ». Distribution : DG Diffusion. La FBU ne l’a pas distribué.

2e édition, en 2002. Sous un nouveau titre, « La vie d’un Maître en Occident », Éditions Robert Lachance, Laval, Québec. Cet éditeur avait un lien de collaboration avec Prosveta.

3e édition, en 2008. Sous un nouveau titre, « La vie d’un Maître en Occident », Éditions AdA, Varennes, Québec. Cet éditeur n’a aucun lien connu avec la FBU. Distribution au Canada : Ada, qui est un gros distributeur en même temps qu’un éditeur. Distribution en Europe francophone : DG Diffusion. Ce titre n’a jamais été distribué par les Éditions Prosveta France ni par les Éditions Prosveta Canada. Toutefois, Prosveta-Canada a bien publié deux de mes livres, mais quelques années plus tard, en 2000 : « La belle histoire d’un Maître » (courte biographie d’O.M.A. pour les jeunes), et « La Reine tzigane » (roman pour les jeunes).


Les traductions : anglais / italien / espagnol / allemand / lituanien / bulgare

1. « Omraam Mikhaël Aïvanhov, a Biography ». Publiée et distribuée par Suryoma, et non par la FBU. Suryoma n’a pas de lien avec AdA, qui ne publie pas en anglais. 2. Quatre des six traductions ont été publiées par des éditeurs indépendants sans lien connu avec la FBU : « Mediterranee » en Italie, « Nous Editorial » en Espagne, « Kibea » en Bulgarie, et « Asteja » en Lituanie. 3. Prosveta USA et Prosveta Verlag d’Allemagne ont publié chacune une traduction de cette biographie, respectivement en anglais et en allemand.


Il n’est pas exact de dire que le sujet de tous les livres de L. M. Frenette soit Omraam Mikhaël Aïvanhov. « Le temps de la colombe », « L’autre rive de la vie », « La Reine tzigane » et « La naissance de l’aube » sont des romans.