Tarnac

commune française du département de la Corrèze

Tarnac
Tarnac
L'église Saint-Georges.
Blason de Tarnac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Vézère-Monédières-Millesources
Maire
Mandat
François Bourroux
2020-2026
Code postal 19170
Code commune 19265
Démographie
Gentilé Tarnacois, Tarnacoises
Population
municipale
343 hab. (2021 en augmentation de 8,89 % par rapport à 2015)
Densité 5,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 52″ nord, 1° 56′ 52″ est
Altitude Min. 533 m
Max. 878 m
Superficie 67,46 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Plateau de Millevaches
Législatives Première circonscription
Localisation
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Tarnac
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Tarnac

Tarnac est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Commune du Massif central, Tarnac est située dans le département de la Corrèze. Elle est limitrophe des départements de la Creuse et de la Haute-Vienne.

Elle est située sur le plateau de Millevaches, à 11 km au nord de Bugeat et à 30 km au nord-ouest de Meymac et à 42 km de la sous-préfecture d'Ussel.

Les gares SNCF les plus proches sont Bugeat et Meymac. Les aéroports les plus proches sont Brive, Limoges et Clermont-Ferrand.

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

Le bourg de Tarnac se trouve à une altitude d'environ 715 m.

Morphologie urbaine modifier

Le bourg se situe au centre de la commune, avec une cinquantaine de villages rattachés dont la majorité des maisons sont des résidences secondaires.

Selon le classement établi par l’Insee en 1999[2], Tarnac est une commune rurale non polarisée, qui ne fait donc partie d’aucune aire urbaine ni d’aucun espace urbain.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 393 mm, avec 14,4 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Peyrelevade à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 9,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 338,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Tarnac est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), prairies (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,6 %), zones humides intérieures (1,4 %), terres arables (0,6 %), zones urbanisées (0,4 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Tarnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tarnac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 16,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 403 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 38 sont en aléa moyen ou fort, soit 9 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, de Marèges, de l'Aigle et de Neuvic d'Ussel, des ouvrages de classe A[Note 2] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[21].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Tarnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Toponymie modifier

Le toponyme est d'origine gallo-romaine, voire celtique. D'après Marcel Villoutreix[23], Tarnac est issu d'un nom d'homme gaulois ou latin, Tarinus ; d'après Jean-Paul Savignac[24] du théonyme Taranus, plus connu sous la forme de Taranis, dieu gaulois du tonnerre. De toute façon, un troisième auteur, Xavier Delamarre[25] rattache aussi bien Tarinus que Taranus à une racine taro signifiant « qui traverse. » Il est vrai qu'à proximité de Tarnac, la vallée de la Vienne est très encaissée et donne l'impression de traverser la montagne.

Histoire modifier

Époque gauloise modifier

Le territoire de l'actuelle commune de Tarnac est habité environ depuis le Ier siècle av. J.-C. En témoignent les quelque 27 tertres funéraires identifiés sur une ligne de crête partant du Puy Besseau au sud et remontant jusqu'aux Grands-Champs au nord. Les datations par le carbone 14 effectuées sur deux de ces tertres ont donné des résultats compris entre 55 av. J.-C. (+ ou - 135) pour le plus ancien et 200 (+ ou - 85) pour le plus récent[26]. La persistance, en pleine époque gallo-romaine, de ce type d'inhumation est passablement surprenante et semble témoigner du maintien tardif de la culture antérieure par au moins une partie de la population. La commune de Tarnac appartenait au territoire des Lemovices.

Pourtant, le lion du Theillet, visible dans l'église et d'époque gallo-romaine[27] indique, lui, que la pénétration du mode de vie romain a été bien réelle, au moins pour l'aristocratie foncière.

Moyen Âge modifier

L'existence de Tarnac est attestée à l'époque carolingienne, d'abord sous la forme in centena Tarninense en 832, puis sous la forme in vicaria cujum est vocabulum Tarnacensem en 871[28]. Ces deux appellations ne correspondent pas toutefois à celle utilisée couramment à l'époque mais à leur transcription en latin, langue administrative d'alors. La seconde est, selon toute vraisemblance, plus proche de la langue vulgaire que la première. Le terme vicaria n'a rien d'ecclésiastique, mais désigne une subdivision d'un comté carolingien (en l'occurrence, le comté de Limoges). Cette désignation tend à prouver que Tarnac a été l'un des plus vieux ancrages de population sur le plateau de Millevaches, alors que celui-ci semble avoir connu un déclin démographique important depuis le milieu du IIIe siècle.

L'église de Tarnac est d'ailleurs l'une des plus anciennes du plateau de Millevaches et remonte au XIIe siècle.

Également d'époque médiévale, les fortifications du Puy Murat, dont subsistent quelques vestiges, et la grange templière du hameau de Champeau. Marius Vazeilles signale également les traces d'un donjon entre les hameaux de la Chapelle et de la Berbeyrolle.

XVIIe et XVIIIe siècles modifier

La paroisse de Tarnac jouait un rôle économique et social central sous l'Ancien Régime pour les villages alentour. De par ses dimensions (2,5 fois celle de Bugeat), le nombre de villages et sa situation d'une part. À savoir la proximité des bourgs appartenant aujourd'hui à la Creuse (Faux-la-Montagne) ou la Haute-Vienne (Rempnat, Nedde), sans compter la corrézienne Peyrelevade. On doit pouvoir ajouter le poids essentiel de plusieurs familles de notables ou nobles très influents (Mercier, Chauzeix, Pichard, notamment), bien au-delà du secteur géographique (la géographie des mariages est parlante). Le petit groupe de religieux (curé et vicaires) gérait également la paroisse du Toy (écrit soit Touet, soit Toit, ce qui indique bien l'origine étymologique). Cette dernière possédait son église et son propre cimetière. Ses différents actes et sacrements figurent sur les registres paroissiaux de Tarnac, où on peut les retrouver assez facilement.

D'après les relevés opérés par les curés dans ces mêmes registres, et les taux de natalité-mortalité admis pour l'époque, on peut résumer la démographie par ces quelques chiffres : une soixantaine de naissances - ou baptêmes annuels et 50 décès, une dizaine de mariages. Hors périodes de crises, fréquentes aux environs de 1700 (règne de Louis XIV). Avec une grande variabilité annuelle : de 25 à 70 B, de 4 à 25 M, de 30 à 85 S. ce qui permet une estimation de 1 500 habitants vers 1700 (dont 600 pour le bourg), à comparer aux 500 de Bugeat à même date. Un déclin assez net au XVIIIe siècle (1 200 vers 1800) et un maximum de 2 180 en 1886. Une paroisse-commune très importante donc à l'échelle du plateau de Millevaches.

L'importance – prestige social, intérêt économique - déjà soulignée peut aussi se repérer au poids proportionnel des paroisses voisines dans les mariages hors-paroisse (1/3, alors que le « réservoir » local de conjoints était pourtant élevé). Tarnac représentait avant la Révolution 35 % du canton actuel, aujourd'hui seulement 20 %.

XXe et XXIe siècle modifier

Le 6 avril 1944, Jeudi Saint, pendant la Seconde Guerre mondiale, une compagnie d'une division allemande chargée de ratisser le plateau de Millevaches (division SS "B" / Brehmer, formée essentiellement de Caucasiens), venant du Sud-Ouest, commit de multiples exactions. À Tarnac, elle fusilla quatre Juifs dans la ville[29]. Ce sont, par ordre alphabétique, Henry Dresdner, 37 ans, né le 1er janvier 1907 à Cluj (Roumanie), Wolf Gretzer, 65 ans, né le 1er juin 1878 à Varsovie (Pologne), Meyer Monheit, 48 ans, né le 1er janvier 1896 à Tarnobrzeg (Pologne) et Léopold Scheinhaus, 57 ans, né le 24 août 1886 à Radislikus[30]. Voir aussi L'Eglise-aux-Bois, Rempnat, Eymoutiers.

À partir du , le village devient le centre d'une enquête sur des sabotages visant Réseau ferré de France, enquête connue sous le nom de « l'affaire de Tarnac »[31].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1798 Antoine Mercier    
1798 1830 Pierre Coutaud    
1830 1853 Léonard Aimable Breton    
1853 1861 Pierre Rousseau    
1861 1871 Jean-jacques Arfeuillere    
1871 1874 Pierre Bonnet    
1874 1890 Jean-jacques Arfeuillere    
1890 1902 Ernest Jean-baptiste Verdeaux    
1902 1905 Gabriel Dejammet    
1905 1914 Annet Marie Verdeaux    
1914 1919 Léonard Cloup    
1919 1919 Annet Marie Verdeaux SFIO  
1919 1935 François Louis Banette    
1935 1939 François Antonin Nard    
1939 1944 Léger Dars    
1944 1945 François Antonin Nard    
1945 1956 Léon Léonard Plazanet    
1956 1967 François René Plazanet    
1967 1992 Louis Philippe Brondel PCF Agriculteur
1992 2008 Jean Plazanet[33] PCF Agriculteur
2014 Bernard Leduc[34] UMP Retraité
2020 Marie-Rose Bourneil[35] FG[36] Employée
En cours François Bourroux[37]   Ouvrier
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39]. En 2021, la commune comptait 343 habitants[Note 3], en augmentation de 8,89 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0051 1911 1981 4211 5821 7321 8461 9601 935
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9901 8801 8631 8861 9732 0892 1802 0061 996
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9901 8121 5641 3241 2171 2431 2661 020808
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
681546506472403356331327315
2017 2021 - - - - - - -
339343-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

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Lieux et monuments modifier

 
Fontaine Saint-Georges.

Plusieurs édifices figurent à l'inventaire des monuments historiques :

  • l'église Saint-Georges de style roman construite aux XIIe et XIIIe siècles, classée en 1919[42],
  • un château du XVIIe siècle dont le propriétaire est Yves de Kerdrel, la façade et la toiture sont inscrites depuis 1989[43],
  • le village de Puy-Murat, vestiges d'un ensemble médiéval inscrit en 1993[44],
  • la fontaine Saint-Georges qui alimente un lavoir du XVIIIe siècle[45].

Deux chênes monumentaux sont plantés sur la place de l'Église[46].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules au franc-quartier d'hermine accompagné de trois merlettes d'argent.
Détails
Adopté en 1986.

Bibliographie modifier

Notes et références modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Page INSEE [1]
    Cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Tarnac et Peyrelevade », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Peyrelevade » (commune de Peyrelevade) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Peyrelevade » (commune de Peyrelevade) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Tarnac », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Tarnac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Article R214-112 du code de l’environnement
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. Marcel Villoutreix Les Noms de lieux du Limousin, témoins de l'Histoire d'une région, Association des Antiquités historiques du Limousin, Limoges 2002
  24. Jean-Paul Savignac, Merde à César, La Différence, Paris, 2000, p. 57.
  25. Xavier Delamarre Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, Paris, 2003
  26. Guy Lintz, « Fouilles de tertres de pierres à Tarnac (Corrèze) », Revue archéologique du centre de la France, vol. 18, no 3,‎ , p. 101-108 (lire en ligne, consulté le ).
  27. Site de l'Association de recherche historique et archéologique de Tarnac présentant le lion.
  28. Guy Lintz, Carte archéologique de la Gaule - La Corrèze, Académie des inscriptions et belles lettres, Paris, 1992
  29. Jeudi Saint de Jean-Marie Borzeix
  30. Voir, Klarsfeld, 2012.
  31. « TGV sabotés : les secrets de l'enquête », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Les maires de Tarnac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  33. Isabelle Rio, « Tarnac : décès de Jean Plazanet, ancien maire », sur France 3 Régions, 21 juillet 2015, mis à jour le 11 juin 2020.
  34. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
  35. CP Marie-Rose Bourneil Maire De Tarnac
  36. « Affaire Coupat: la maire de Tarnac dénonce "l'acharnement" judiciaire », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. « Église Saint-Georges », notice no PA00099901, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Château de Tarnac », notice no PA00099965, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Village de Puy-Murat », notice no PA00125510, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Fontaine Saint-Georges », notice no IA00029831, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Les chênes de Tarnac (Corrèze) », sur Krapo arboricole, (consulté le ).
  47. David Dufresne, Tarnac, magasin général, Calmann-Lévy, 2012, p. 16 sqq [lire en ligne].
  48. Ariane Chemin, « Tarnac, au bazar des libertés publiques », Le Monde, 1er mars 2012
  49. « Julien Coupat, étudiant brillant et chef présumé des saboteurs », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. Brigitte Salino, « Armand Gatti, miroir éclaté des utopies », Le Monde, 6 avril 2017
  51. Christine Moutte, « Le photographe corrézien Philippe Auliac a lancé sa carrière en suivant son ami David Bowie », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  52. Jean-Marie Borzeix, 2008.
  53. (en) Jean-Marie Borzeix. One Day in France: Tragedy and Betrayal in an Occupied Village, 2016.

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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