Faux-la-Montagne

commune française du département de la Creuse

Faux-la-Montagne
Faux-la-Montagne
Le centre du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Grand Sud
Maire
Mandat
Catherine Moulin
2020-2026
Code postal 23340
Code commune 23077
Démographie
Gentilé Fallois, Falloises
Population
municipale
447 hab. (2021 en augmentation de 14,91 % par rapport à 2015)
Densité 9,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 06″ nord, 1° 56′ 08″ est
Altitude Min. 525 m
Max. 826 m
Superficie 47,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Felletin
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Faux-la-Montagne
Liens
Site web fauxlamontagne.fr

Faux-la-Montagne (Faus en occitan) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine. Elle fait partie du périmètre du parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune se situe dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin sur les contreforts du plateau de Millevaches et se prolonge sur sa partie Nord jusqu'à la presqu'île de Broussas qui borde le lac de Vassivière. Elle est limitrophe des départements de la Corrèze et de la Haute-Vienne.

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

Le territoire est bordé au Sud-Ouest par la Vienne, sur 2,2 kilomètres, marquant la limite avec le département de la Haute-Vienne. Il s'agit d'ailleurs de la seule fois que la rivière arrose le territoire creusois. La commune est baignée par un de ses affluents, la Feuillade (ou le Dorat), qui y prend sa source et qui forme au barrage du Dorat une retenue de 45 hectares appelée « lac de Faux ».

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Faux-la-Montagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Vassivière, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[7]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[8],[9].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), prairies (11,4 %), terres arables (4,6 %), eaux continentales[Note 2] (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Écoquartier modifier

Un projet d'écoquartier est en cours sur deux hectares. Il comprendra des maisons en auto-construction, deux logements sociaux, un verger, un potager, un compostage, un stationnement collectif, un four à pain, une halle. Le projet est lauréat de l'appel à projet écoquartier (palmarès projets ruraux) du ministère chargé du développement durable[11]. Le projet de quartier apparaît en 2014 dans le documentaire de Dominique Marchais consacré au bassin versant de la Loire, La Ligne de partage des eaux.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 483 mm, avec 14,6 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Felletin à 23,62 km à vol d'oiseau[15], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 969,0 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Faux-la-Montagne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Faux-la-Montagne.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 45,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 397 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 81 sont en aléa moyen ou fort, soit 20 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[22].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 3] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mètres cubes[25]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Faux-la-Montagne est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

Transports en commun modifier

Histoire modifier

Au hameau de Chatain en 1994, la pose d'un drain a mis au jour les vestiges des thermes d'une villa romaine fouillée entre 2016 et 2020[28],[29].

Politique et administration modifier

Région modifier

La Nouvelle-Aquitaine est depuis 2016 la plus vaste des 18 régions françaises. Son conseil est présidé par le socialiste Alain Rousset depuis 2016.

Département modifier

Le département de la Creuse a été créé à la Révolution française, le en application de la loi du , essentiellement à partir de l'ancienne province de la Marche. Ses habitants sont appelés les Creusois. Le conseil départemental de la Creuse est présidé depuis 2015 par la Valérie Simonet, membre du parti de droite Les Républicains.

Les conseillers départementaux, 2 par canton (binôme : une femme, un homme), sont élus dans le cadre des cantons pour une durée 6 ans. Dans la Creuse, il y a 15 cantons et donc 30 conseillers départementaux.

Circonscription modifier

Avant la redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010, Faux-la Montagne appartenait à la Deuxième circonscription de la Creuse, qui regroupait l'Est du département. Depuis les élections de 2012, la Creuse est une circonscription monodépartementale. Son député est depuis 2017 l'éleveur Jean-Baptiste Moreau, membre de La République en marche.

Canton modifier

Faux-la-Montagne a appartenu au canton de Gentioux-Pigerolles jusqu'à la suppression de celui-ci lors du redécoupage de 2014. La commune appartient depuis 2015 au canton de Felletin, dont les deux élus sont les socialistes Agnès Guillemot et Jean-Luc Léger.

Commune modifier

Lors des élections municipales de mars 2008 sur 315 inscrits il y a eu lors du deuxième tour 266 votants soit 84,44 % (87,94 % au premier tour)[30].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
1977 mars 2008 François Chatoux PS Agriculteur
mars 2008 En cours Catherine Moulin[31] DVG
(sensibilité écologiste)[32]
Ouvrière
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 447 habitants[Note 4], en augmentation de 14,91 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2789541 0721 0821 3661 6371 7711 8691 888
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9171 8381 8721 9451 9201 9971 9241 8471 835
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9511 8561 8011 2531 1621 038996896829
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
695565417396391394364359413
2021 - - - - - - - -
447--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune a subi un siècle de déprise démographique ; elle comptait près de 2 000 habitants au début du XXe siècle[11] pour 366 aujourd'hui.

Population estimée vers 1700 (règne de Louis XIV) d'après les registres paroissiaux : entre 950 et 1 050 hab.

Entre le maximum et aujourd'hui, la population a été divisée par 5,5, soit un facteur supérieur à la moyenne de l'ensemble du Plateau (3), mais comparable aux communes environnantes[37]

Médias modifier

  • Télé Millevaches est basée à Faux-La-Montagne.
  • IPNS, journal associatif d'informations et de débats du plateau de Millevaches, a son siège à Faux-la-Montagne.

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Folie! les mots…, festival culturel la troisième semaine de juillet.
  • La commune accueille régulièrement le festival des Rencontres musicales de Nedde.

Économie modifier

 
Le « lavoir civique » de Faux.
  • Ambiance Bois[38], une scierie autogérée, est installée à Faux-la-Montagne depuis 1988.
  • La Navette est une agence de rédaction spécialisée dans l'économie sociale et solidaire basée à Faux-La-Montagne. L'agence emploie 8 salariés[39].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Église Saint-Étienne de Faux-la-Montagne

L'église Saint-Étienne est d'une nef avec deux chapelles sur les côtés qui ont été ajoutées ultérieurement. Elle a été construite dès le XIIIe siècle[40]. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1963[40].

  • Le lac du Chammet, retenue artificielle au sud-est de la commune.
  • Le site naturel des rochers de Clamouzat, affleurement granitique.

Distinction culturelle modifier

Faux-la-Montagne fait partie des communes ayant reçu l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Laetitia Carton (née en 1974), réalisatrice, réside à Faux[41].
  • François Dedenis (né le 13 avril 1866 au village de Chatain, hameau de Faux-la-Montagne), fondateur de la première manufacture industrielle française d'accordéons à Brive, Corrèze, en 1887.
  • Gaston Fanton : le 7 mai 1956, un camion de l'armée rempli de réservistes rappelés pour la guerre d'Algérie, se rend à la Courtine, centre de regroupement avant le départ pour l'Algérie. Il est alors bloqué à La Villedieu par les habitants qui soutiennent les soldats réfractaires. Trois personnes seront condamnées pour l'exemple : René Romanet, maire de La Villedieu, Gaston Fanton, instituteur de Faux-la-Montagne, Antoine Meunier, vétéran invalide de la Seconde Guerre mondiale.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Notes de type "Carte"
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Cartes modifier

Références modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail.
  2. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  8. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a et b « Le four à pain, palmarès projets ruraux », ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer.
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Orthodromie entre Faux-la-Montagne et Felletin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Felletin » (commune de Felletin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Felletin » (commune de Felletin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Faux-la-Montagne », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Faux-la-Montagne », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. Article R214-112 du code de l’environnement
  25. « barrage de Confolent », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  28. Gentiane Davigo, « Les thermes antiques de la villa de Chatain, Faux-la-Montagne (Creuse). Résultats de la campagne de fouilles 2017 », Aquitania, t. 34,‎ , p. 375-387 (ISSN 0758-9670, lire en ligne, consulté le ).
  29. Florian Baret, « Chatain 2020 : dernière campagne de fouilles », sur ArcheoTek, (consulté le ).
  30. Résultats complets des élections municipales 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur.
  31. Source : préfecture de la Creuse
  32. Rémi Noyon, « Tarnac : "Pourquoi donc ont-ils tous des capuches ?" », Rue89, 19 mars 2014.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. IPNS no 46, mars 2014.
  38. Ambiance Bois
  39. Association mode d'emploi.
  40. a et b « Église Saint-Étienne », notice no PA00100062, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Rencontre avec une réalisatrice, Laetitia Carton », sur lepopulaire.fr, (consulté le ).