Taden

commune française du département des Côtes-d'Armor

Taden
Taden
Le manoir de la Grand'Cour.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Évelyne Thoreux
2020-2026
Code postal 22100
Code commune 22339
Démographie
Gentilé Tadennais, Tadennaise
Population
municipale
2 563 hab. (2021 en augmentation de 9,11 % par rapport à 2015)
Densité 127 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 34″ nord, 2° 01′ 39″ ouest
Altitude 46 m
Min. 7 m
Max. 90 m
Superficie 20,13 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Dinan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pleslin-Trigavou
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Taden
Liens
Site web Site officiel de la mairie de Taden

Taden [tadɛ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Taden - Vue du toit du Manoir
Taden - Curiosité (1)
Taden - Curiosité (2)

Géographie modifier

Cette commune est aux bords de l’estuaire de la Rance. Elle comprend le bourg de Trélat qui se situe à environ deux kilomètres au nord-ouest.

Taden et Lanvallay sont séparés par la Rance. Le quadripoint entre Taden, Lanvallay, Saint-Hélen, La Vicomté-sur-Rance et le tripoint entre Taden, La Vicomté-sur-Rance et Saint-Samson-sur-Rance se situent également dans la Rance, à quelques mètres l’un de l’autre.

 
Carte de la commune de Taden (le tracé de la frontière est erroné au niveau de la Rance).

Géologie modifier

Le sous-sol granitique a fourni un granite de bonne qualité. Ainsi, en 1847, au moins 497 m3 de pierres de taille et autres matériaux ont été produits pour la construction du viaduc de Dinan[1].

Jusqu'au XIXe siècle, la Rance était couverte de grande vasières, dont la vasière de la Pétrole (actuellement plaine de Taden), les agriculteurs de Taden et des communes limitrophes venaient y extraire des marnes afin d'amender le sol de leurs exploitations agricoles. La construction de l'écluse du Chatelier puis le développement des transports ferroviaires mettront fin à cette extraction[2].

Transports modifier

La commune est traversée par la route nationale 176 (qui va d’Est en Ouest, de Pontorson à la route nationale 12) et par la route départementale 2. Le bourg de Taden est traversé du nord-ouest vers le sud-est par la route départementale 12.

Il n’y a aucun pont ni bac sur la Rance au niveau de la commune de Taden.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleurtuit à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Taden est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dinan, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,8 %), zones agricoles hétérogènes (19 %), prairies (13,3 %), forêts (9,7 %), zones urbanisées (5,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia Sancti Petri de Tadduem et de Tadduen vers 1121, Tadduen et Tadden vers 1120 et en 1130, Tadon en 1133, Taddem vers 1140, Tadden vers 1163, Ecclesia de Tadem en 1187, Taden à la fin du XIIe siècle, Parochia de Taden en 1222, 1232, et vers 1330[16].

Histoire modifier

Protohistoire modifier

Des fouilles archéologiques effectuées aux abords du Bois du Parc, à proximité immédiate de la limite ouest de Taden (commune de Quévert)[17], ont confirmé la présence d'une importante activité métallurgique pouvant remonter à l’époque de la Tène. Des indices de cette activité avaient déjà été mentionnés à la fin du XIXe siècle par plusieurs auteurs[17]. Les sites se caractérisent par l’utilisation de bas-fourneaux alimentés par du minerai de fer et par du charbon de bois fabriqué sur place dans des fosses charbonnières.

Le site fouillé sur Quevert appartient à un vaste ensemble réparti dans un cercle de rayon 2 km autour du Bois du Parc, certains pourraient se rattacher à l’époque de la Tène, d’autres à l’époque gallo-romaine et d’autres encore pourraient dater de période plus récente, la technique des bas-fourneaux se poursuivant au-delà de la période gallo-romaine. Ces sites se situent à proximité immédiate de la voie romaine Corseul-Avranches (chemin de l'Estrat sur la commune de Quévert).

Antiquité modifier

Le vicus portuaire de Taden modifier

De nombreuses traces de vestiges gallo-romains ayant été détectées en contrebas de Taden, Loïc Langouet rédigea, en 1985, une synthèse de l'ensemble des découvertes mises en évidence par prospection aérienne et prospection au sol. Son article cité en référence présente un plan des différentes découvertes et décrit l'ancien vicus[18] routier et portuaire de Taden[19]. La voie romaine entre Corseul et Avranches comportait un gué sur la Rance[20], c'est à cet endroit que l'agglomération s'est développée, face à l'éperon du Chatellier (commune de La Vicomté sur Rance). Durant la période romaine, elle servait de port fluvial au chef-lieu de la cité des Coriosolites, Fanum Martis, aujourd’hui Corseul. Deux temples et de nombreuses structures gallo-romaines y ont été détectées, des monnaies romaines des IIIe et IVe siècles ont été découvertes ainsi que des tessons de céramique permettant d'évaluer la période d'occupation du site de la fin du Ier siècle ap. J.-C. à la fin du IVe siècle ap. J.-C.

La villa gallo-romaine des Alleux modifier

Lors de l'extension de la zone d'activité des Alleux, une riche villa gallo-romaine a fait l'objet de fouilles préventives par l'INRAP en 2005 et 2006[21],[22]. Elle fut occupée du Ier au IIIe siècle ap. J.C. La villa disposait d'un plan en U, bordé d'une galerie portique, sa surface était d'environ 1 000 m2. Elle était composée d'une partie résidentielle (pars urbana) et de dépendances (pars rustica : écurie, granges, étables)[23]. Son domaine foncier (pars agraria) aurait pu être de 50 à 200 ha. La partie résidentielle comportait une salle de réception de 30 m2 (triclinium) avec un sol en épi (opus spicatum), une cuisine et sa réserve. Elle comportait également des thermes d'une surface de 200 m2 décorés de fresques murales[24],[25],[26].

Xe siècle - XIIIe siècle modifier

En 1121, l'évêque d'Aleth mentionne l'église de Taden en ces termes : "Nous avons généreusement fait don de cette église aux moines dudit Marmoutier pour qu’ils la possèdent en aumône perpétuelle"[27]. L'église Saint-Fiacre de Trélat est donnée la même année au moines de Marmoutier, les deux églises sont alors toutes deux rattachées au Prieuré Saint-Malo de Dinan[28].

En 1222, Alain de Beaufort, fait don des dîmes de Taden aux moines du Prieuré Saint-Malo de Dinan, ce prieuré dépendait de l'abbaye de Marmoutier[29]. Il scella l'acte de donation d'un sceau portant ses armoiries: de gueules à trois écus d'hermines.

XVIIIe siècle, la Révolution modifier

Ultérieurement, Taden fut un lieu où le comte de la Garaye accueillait des pauvres ou des soldats français ou anglais pour les soigner. Ce même comte découvrit de nouveaux médicaments.[réf. nécessaire]

Le XXe siècle modifier

Les guerres du XXe siècle modifier

Le monument aux Morts porte les noms des 59 soldats morts pour la Patrie[30] :

  • 47 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
  • 8 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
  • 3 sont morts durant la Guerre d'Indochine.
  • 1 est mort hors conflit.

Résistant dinannais né à Taden, Jean-Baptiste Brault a participé, dans la nuit du 11 au 12 avril 1944 à Dinan, avec d'autres camarades FTP du secteur, à la libération de deux membres importants de la Résistance en d'Ille-et-Vilaine[31].Se sachant activement recherché, il prit néanmoins le parti de ne pas s'enfuir. Sur dénonciation d'un voisin, Jean-Baptiste Brault fut arrêté le 8 mai 1944 et incarcéré à la prison de Rennes.

Jugé et condamné à la peine de mort le 30 mai, il fut fusillé le lendemain 31 mai, avec 9 autres de ses camarades, au camp de la Maltière à Saint-Jacques-de-la-Lande. Jean-Baptiste Brault avait 26 ans.

Héraldique modifier

  Blason
D’azur à la barre d’or accompagné en chef d’une main dextre d’argent surmontée à dextre d’une étoile d’or et en pointe d’un cygne nageant d’argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avril 1911 ? M. Ramard Républicain  
? ? Victor Briand père   Minotier
? mars 1959 Victor Briand fils   Minotier
mars 1959 janvier 1970
(décès)
Marie-Ange Renault    
février 1970 juin 1995 André Grignon UDF-CDS Inspecteur d'assurances retraité, maire honoraire
Conseiller général de Dinan-Ouest (1985 → 1998)
Vice-président du District urbain de Dinan (1971 → 1995)
Conseiller municipal de Dinan (1965 → 1970)
juin 1995 mars 2014 Bertrand Claudeville DVD puis UMP Ophtalmologiste retraité
mars 2014 En cours
(au 19 janvier 2021)
Évelyne Thoreux DVG Retraitée de l'enseignement
Réélue pour le mandat 2020-2026

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 2 563 habitants[Note 4], en augmentation de 9,11 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2501 2201 1621 2621 3751 4341 2401 5571 623
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5301 4985401 5901 5801 4661 4641 4591 544
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5201 4251 3271 1911 2041 1781 1781 1431 034
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 0321 1751 5081 6161 6981 7411 9201 9422 249
2017 2021 - - - - - - -
2 4672 563-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

Patrimoine culturel modifier

La commune compte cinq monuments historiques, dont :

Ainsi que plusieurs sites antiques :

  • site gallo-romain de l'Asile des Pêcheurs, inscrit MH[43] ;
  • site gallo-romain des Boissières, inscrit MH[44] ;
  • la villa antique de Taden[45] ;
  • l'église Saint-Pierre. En forme de croix latine, elle date du XIVe siècle mais a été profondément remaniée au XIXe siècle[28]. Des travaux de réhabilitation, en 2003, ont révélé la présence de peintures murales datant du XIVe jusqu'au XVIIIe siècle. On peut y voir notamment une litre funéraire, du début du XVIe siècle où figure le blason des Quédillac, seigneurs du manoir de la Grand Cour, de gueules à trois fasces d'argent surmonté d'un cimier et d'un panache à tête de chèvre[38], inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [46]. ;
  • l'église Saint-Fiacre de Trélat, elle pourrait dater du XVIIIe siècle selon R. Couffon[28] ;
  • la motte féodale de la grande Prévotais[47].

Patrimoine naturel modifier

Les landes et bois d'Avaugour au nord-ouest de la commune ont été classés zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type I. Constitués d'une trentaine d'hectares, ces terrains sont occupés par une lande mésophile à humide partiellement reboisée. Cette zone qui appartenait initialement à l'armée a été rachetée en partie par le Syndicat mixte de la Rance et de la Baie. On peut y observer quelques espèces végétales rares des milieux humides ainsi que des espèces animales peu fréquentes : fauvette pitchou, bondrée apivore, lézard vivipare, triton marbré[48].

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Louis Chauris, Les carrières exploitées pour la construction du viaduc de Dinan (1846-1852), dans Le Pays de Dinan, 2002, p. 219-241.
  2. Jean-Pierre Camuzard, « L'exploitation des tangues ou le souvenir des savoirs oubliés », Bulletin de la Société géologique et minéralogique de Bretagne, d no 8,‎ , p. 14-18 (lire en ligne).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Taden et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Taden ».
  17. a et b VIVET Jean-Bernard, QUÉVERT (22). Mitasse. la Ville Pierre 2. Rapport de sondage réalisé dans le cadre de la prospection thématique (RAP01726)., Rennes, Service régional de l'archéologie de Bretagne, , 127 p. (lire en ligne).
  18. Vicus : nom latin donné à une petite agglomération, notamment en Gaule romaine. Il pouvait s’agir d’un village gaulois d’avant la conquête.
  19. Langouet Loïc, « Un vicus gallo-romain, routier et portuaire : Taden (Côtes-du-Nord), sur les bords de la Rance. », Revue archéologique de l'ouest, tome 2,‎ , pp. 73-82. (lire en ligne).
  20. Langouet Loïc, Rapport de sondage sur le gué gallo-romain de Taden (RAP00520.pdf), Rennes, Service Régional de l’Archéologie de Bretagne, , 10 p. (lire en ligne).
  21. « Rapport d’activités » [PDF], sur Institut national de recherche archéologique préventive, (consulté le ), p. 80.
  22. « La villa gallo-romaine de Taden, chronique de la fouille », sur Institut national de recherche archéologique préventive, (consulté le ).
  23. « La villa des Alleux à Taden », sur villaegalloromaines.wordpress.com, (consulté le ).
  24. « La villa gallo-romaine des Alleux à Taden, Côtes-d’Armor » [PDF], sur Institut national de recherche archéologique préventive (consulté le ).
  25. Ferrette (Romuald), « La villa des Alleux à Taden dans les Côtes d’Armor. Aperçus de l’évolution d’un établissement rural de la cité des Coriosolites », Aremorica, CRBC / Université de Bretagne Occidentale (UBO), no 3,‎ , p. 47-64 (ISBN 978-2-901737-84-1).
  26. Romuald Ferrette, La villa des Alleux à Taden : lectures archéologique et architecturale d'un établissement rural de la cité des Coriosolites, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, , 208 p. (ISBN 978-2-7535-6463-3).
  27. Georges Minois, Histoire religieuse de la Bretagne, Paris, Jean-Paul Gisserot, , 119 p., p. 27.
  28. a b et c Couffon R., « Répertoire des églises et chapelles du diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier », Bulletins et mémoires / Société d'émulation des Côtes-du-Nord,‎ , p. 42 (lire en ligne).
  29. Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 1, Rennes, Molliex, , 535 p., p. 221.
  30. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  31. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)",, Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011..
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Gwyn Meirion-Jones, Michael Jones, Le manoir de la Grand'Cour en Taden, dans Le Pays de Dinan, 1991, p. 61-78.
  37. Notice no PA00089666, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. a et b Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 79.
  39. Douard et Kerhervé 2021, p. 141.
  40. Notice no PA00089665, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Notice no PA00089664, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Notice no IA22133274, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. Notice no PA22000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. Notice no PA22000013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. La villa antique de Taden, Interviews de Romuald Ferrette, archéologue responsable d'opération et Michel Baillieu, adjoint scientifique et technique, de l'Inrap.
  46. « Église Saint-Pierre », notice no PA22000033, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  47. Frottier de la Messelière, « De l'age probable des châteaux de terre des Côtes du Nord », Société d'émulation des Côtes-d'Armor, vol. 65,‎ , p. 72 (lire en ligne).
  48. « LANDES ET BOIS D'AVAUGOUR EN TADEN », sur inpn.mnhn.fr, (consulté le ).

Liens externes modifier

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