Lanvallay

commune française du département des Côtes-d'Armor

Lanvallay
Lanvallay
Quartier de Lanvallay au bord de la Rance,
face à Dinan.
Blason de Lanvallay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Communauté d'agglomération Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Bruno Ricard
2020-2026
Code postal 22100
Code commune 22118
Démographie
Gentilé Côtissois
Population
municipale
4 222 hab. (2021 en augmentation de 3,73 % par rapport à 2015)
Densité 289 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 21″ nord, 2° 01′ 37″ ouest
Altitude 76 m
Min. 7 m
Max. 87 m
Superficie 14,61 km2
Unité urbaine Dinan
(banlieue)
Aire d'attraction Dinan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lanvallay
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel de la mairie de Lanvallay

Lanvallay ([lɑ̃valɛ]) est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Ses habitants se nomment les Côtissois et les Côtissoises. Ils étaient 3 735 au recensement de 2010[1].

Géographie modifier

Lanvallay est une commune des Côtes-d'Armor, situé en Bretagne à l'ouest de la France.

Communes limitrophes de Lanvallay
Taden Saint-Hélen
Dinan  
Saint-Carné Calorguen Les Champs-Géraux

Relief et hydrographie modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 746 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Quiou à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lanvallay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dinan, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[12] et 27 885 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dinan, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,6 %), terres arables (30,7 %), zones urbanisées (14,7 %), forêts (11 %), prairies (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Origine du gentilé modifier

La source du terme Côtissois, pour désigner les habitants de Lanvallay, n'est pas connue avec certitude. L'explication la plus crédible est que ce nom viendrait de la digitale, qui poussait sur les bords de Rance, et qui en gallo se nomme cotia ou cotissa[18]. Ce surnom, donné par les Dinannais, apparaît dès 1884[18].

Selon Yves Castel (un historien local), le dimanche, les Dinanais allaient se promener sur les bords de la Rance, notamment sur les prairies de Lanvallay, où les fleurs de digitale poussent en abondance, de mi-juin à mi-juillet. En gallo on appelle cette fleur la côtiâ ou la cotissouâ, d'où le surnom de Cotiâs ou Côtissouâs d'Lanvallâ attribués par les citadins aux habitants de Lanvallay, qui se dit Lanvallâ en gallo. Francisé au cours du XIXe siècle, ce sobriquet est devenu Côtissois en français écrit. Ce nom est devenu le gentilé officiel des habitants de la commune en 1961[19].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lanvalei à la fin du XIIe siècle[20], Lanvalay en 1154[21], Lanvallei en 1167[21], Lanvalae en 1201, Parrochia de Lanvalay en 1219, Lanvalae en 1240, Parrochia de Lanvalaio en 1262, Lanvalet en 1262[20], Lanvalay et Lanvaley en 1271[21], Parrochia de Lanvallayo en 1295, Lanvalais vers 1330, Lanvalay à la fin du XIVe siècle[20], Lanvaley en 1420[21], Lanvalay en 1453 et en 1516[21] et Lanvallay dès 1790[20].

Lanvallay se trouve dans la zone de diffusion de la toponymie brittonique.

Lanvallay semble être un nom en Lan- « territoire, le plus souvent consacré à un saint »[22] (breton lann « ajonc », mais autrefois aussi « lande » et « monastère », même mot que le français lande, d'origine gauloise.

Le second élément doit être, comme c'est le plus souvent le cas, un nom de personnage ou de saint. Ici il s'agit probablement de Saint Balay († en 524), vieux breton Balae (variante Bachla) ou Valay ou Balley ou Biabailus, seigneur de Rosmadec en Bretagne, disciple de saint Guénolé, moine à Landévennec, puis ermite sur la montagne de Penflour, près de Châteaulin et Ploermellac ; patron de Ploubalay fêté le 12 juillet[23].

Il a donné son nom à plusieurs villes ou villages des alentours :

Histoire modifier

L'Antiquité modifier

Deux voies romaines traversaient la commune, l'une empruntait le gué de Taden entre l'Asile des Pêcheurs (Taden) et l'embouchure du ruisseau du Pont Josselin pour rejoindre Saint-Piat (voie Corseul-Avranches), la deuxième aurait traversé la Rance au niveau du pont de Léhon (voie Corseul-Le Mans)[24].

Les fouilles préventives effectuées en 2012 à l'emplacement de la ZAC de Coetquen (site de production des Gavottes en 2018) ont révélé l'existence d'une occupation humaine datant de la période de la Tène ainsi que la présence d'une riche villa gallo-romaine[24].

La paroisse de Lanvallay faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et était sous le vocable de saint Méen.

L'Époque moderne modifier

XVIIIe siècle modifier

En 1790, de paroissial, le territoire est érigé en commune.

XIXe siècle modifier

  • 1807 : la commune de Tressaint lui est rattachée.
  • 1828 : Tressaint lui est détachée.

Le XXe siècle modifier

La Belle Époque modifier

Les guerres du XXe siècle modifier

Le monument aux morts porte les noms de 59 soldats morts pour la patrie[25] :

Le rattachement de Tressaint et Saint-Solen modifier

Le les communes de Tressaint et de Saint-Solen lui sont rattachées pour former le Grand Lanvallay.

Le XXIe siècle modifier

Le scandale sexuel du foyer de charité de Tressaint modifier

Au moins 90 femmes hébergées pour des séjours d'environ une semaine et venues faire des retraites spirituelles ou se ressourcer dans le foyer de charité de Tressaint, lequel dépend d'un réseau catholique de communautés religieuses dénommé Foyers de charité qui compte 80 prieurés dans le monde, ont été victimes d'agressions sexuelles au sein de ce foyer de la part d'un religieux décédé en 2004. Le scandale éclate tardivement en 2018 et le responsable d'alors du foyer de charité, Hervé Gosselin, devenu depuis évêque d'Angoulême, s'est vu reprocher son silence sur ces faits[26].

Légende modifier

La légende raconte que saint Valay (ou Balay), disciple de saint Guénolé à l'abbaye de Landévennec, s'était établi là où se trouve aujourd'hui la ville de Dinan. Poursuivi par des femmes furieuses, il franchit d'un bond la Rance et s'installa sur la rive droite, fondant ainsi Lanvallay[27].

Héraldique modifier

  Blasonnement :
D'azur, à sept losanges accolées d'argent, posées 3, 3, 1.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Julien François Delépine   Recteur
1837 ? Boisnard    
1860 ? Bouesnard    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959[29] mars 1983 Adolphe Castel DVD Dirigeant de l'entreprise Castel, maire honoraire (1983)
Vice-président du District urbain de Dinan (1963 → 1983)
mars 1983 juin 1995 Joseph Brasset DVD Retraité, premier adjoint (1973 → 1983)
Vice-président du District urbain de Dinan (1983 → 1995)
Maire honoraire
Chevalier du Mérite agricole et des Palmes académiques (1995)
juin 1995 mars 2014 Jean-Yves Delarocheaulion DVD Directeur de banque retraité
Réélu en 2001[30] et 2008[31]
mars 2014 En cours
(au 19 janvier 2021)
Bruno Ricard DVG puis
EÉLV[32],[33]
Ingénieur hydrologue
7e vice-président de Dinan Agglomération
Réélu pour le mandat 2020-2026[34]
Les données manquantes sont à compléter.
 
La mairie.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 4 222 habitants[Note 4], en augmentation de 3,73 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8228618381 0421 1931 1401 1211 2701 301
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2531 2051 2981 2501 3371 3341 3611 1901 248
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2651 2831 2991 1621 1591 1461 1911 1651 132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2941 5992 9013 3073 3103 0683 2683 8304 153
2021 - - - - - - - -
4 222--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes modifier

Fondé en 1976, le prieuré Sainte-Anne, situé avenue de Beauvais, est le premier des prieurés de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X créés en France. Sa chapelle du Sacré-Cœur est ornée de vitraux représentant les sept saints fondateurs de la Bretagne ; y sont célébrées les messes selon la forme tridentine du rite romain.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église Saint-Méen de Lanvallay.
  • Église Saint-Méen.
  • Manoir de Landeboulou, construit au (XVe siècle-XVIIIe siècle).
  • Manoir du Bois-Harouard (XVIIe siècle)

Jumelages modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Insee - Populations légales 2010 - 22118-Lanvallay ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Lanvallay et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Dinan », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Présentation de Lanvallay »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur mairie-lanvallay.com (consulté le ).
  19. Corentin Le Doujet, « Les tribus bretonnes », Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, .
  20. a b c et d infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Lanvallay ».
  21. a b c d et e Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 383a
  23. Nominis : Saint Balay
  24. a et b HAMON Anne-Louise, LANVALLAY (22). ZAC de Coëtquen. Occupations rurales protohistorique et antique. rapport de diagnostic (RAP02765.pdf), Rennes, Service régional de l'archéologie de Bretagne, , 84 p. (lire en ligne).
  25. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  26. Valérie Le Moigne, « Après le scandale sexuel, comment le foyer de Tressaint à Lanvallay panse ses plaies », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Octave-Louis Aubert, Légendes traditionnelles de la Bretagne, Éditions Octave-Louis Aubert, 1931, p. 34.
  28. Site personnel recensant une liste de maires français
  29. « Lanvallay. M. Adolphe Castel élu maire », Ouest-France,‎
  30. « Jean-Yves Delarocheaulion confortablement réélu maire », Ouest-France,‎
  31. « Jean-Yves Delarocheaulion étrenne sa nouvelle écharpe de maire », Ouest-France,‎
  32. Capucine Gilbert, « Législatives. Bruno Ricard (EELV), le visage de l’union de la gauche dans la 2e circonscription », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
    « Bruno Ricard, encarté Europe Écologie Les Verts depuis 2021. »
  33. Valérie Le Moigne, « Législatives à Dinan : Bruno Ricard, candidat de la Nupes », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  34. « À Lanvallay, Bruno Ricard désigné maire par le conseil municipal : Il repart pour un second mandat à Lanvallay (Côtes-d’Armor). Élu par 22 voix contre cinq bulletins blancs, l’homme sera entouré de huit adjoints pour les six ans à venir. », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

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