Saint-Père-Marc-en-Poulet

commune française d'Ille-et-Vilaine

Saint-Père-Marc-en-Poulet
Saint-Père-Marc-en-Poulet
La mairie en 2023.
Blason de Saint-Père-Marc-en-Poulet
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Saint-Malo Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Francis Richeux
2020-2026
Code postal 35430
Code commune 35306
Démographie
Gentilé Péréen
Population
municipale
2 346 hab. (2021 en augmentation de 3,17 % par rapport à 2015en augmentation de 3,17 % par rapport à 2015)
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 16″ nord, 1° 55′ 26″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 56 m
Superficie 19,74 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dol-de-Bretagne
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Saint-Père-Marc-en-Poulet
Liens
Site web www.ville-saint-pere.fr

Saint-Père-Marc-en-Poulet, anciennement nommée Saint-Père jusqu'en , est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne et peuplée de 2 346 habitants[Note 1].

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Panorama du village émergeant de la forêt depuis le Fort-Saint-Père

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 715 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleurtuit à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Père-Marc-en-Poulet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,1 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), prairies (13,1 %), forêts (8 %), zones urbanisées (6,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %), zones humides côtières (0,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

La première partie de son nom est en réalité une déformation de Saint-Pierre, la seconde partie proviendrait de marck, mot franc qui signifie « frontière ». Saint-Père se situait à la limite de la paroisse du Poulet et de l'évêché de Saint-Malo[18].

Pendant la Révolution, la paroisse prend le nom de Père-en-Poulet[19].

La commune est renommée Saint-Père-Marc-en-Poulet en [20].

Le gentilé est Péréen.

Histoire modifier

Saint-Père-Marc-en-Poulet est l'une des plus anciennes paroisses du Clos-Poulet(archidiaconé du diocèse de Saint-Malo), remontant au VIe siècle VIIe siècle et dépendait de l'ancien évêché de Saint-Malo. La fondation de ce petit village se trouvant dans le canton de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine remonterait au VIe ou VIIe siècle. Elle fait partie du doyenné du Clos Poulet.

Au XVe siècle, le bourg est un domaine de haute-justice car il détient à la fois la prison, l'auditoire et les ceps de vigne de la seigneurie de Saint-Père. Car on ciltivait la vigne a Saint-Père au XVe siècle.

La seigneurie de la paroisse devait à l'éveché 8 boisseaux de paumelle (voilure), matériel utilisé en terme maritime.

La paroisse possédait une pièce de terre valant 30 livres de revenu et un petit fief rapportant 12 boisseaux de grain[21]

En 1597, pendant la Ligue va ici etre perpétrer un massacre sous les ordres du capitaine Jean d'Avaugour[22] une troupe de ligueurs dit de Saint-Laurent tombe dans une embuscade et est anéantie en allant porter secours aux troupes du château du Plessis-Bertrand en Saint-Coulomb

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Saint-Père-Marc-en-Poulet appartient à l'arrondissement de Saint-Malo et au canton de Dol-de-Bretagne depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune était rattachée au canton de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la septième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Gilles Lurton (LR). Auparavant, elle a successivement appartenu à la deuxième circonscription de Saint-Malo (IIIe République) et à la 6e circonscription (1958-1986).

Intercommunalité modifier

Depuis 2001, date de sa création, Saint-Père-Marc-en-Poulet appartient à Saint-Malo Agglomération.

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[23].

Liste des maires modifier

 
Les Halles
 
Boîte à livres.
Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
1956 Louis Gaislin    
[26] [27]
(décès)
Francis Poirier   Retraité de la Police nationale
[28] Louise Leretrait[29]    
[30] En cours Jean-Francis Richeux[31] UDF puis
UDI-AC
Commerçant
Conseiller général de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine (1994 → 2015)
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 2 346 habitants[Note 4], en augmentation de 3,17 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4611 4021 5911 8061 8861 9581 9681 9802 003
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9311 8381 8171 8111 8351 7391 7201 7151 622
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5671 5141 5081 3471 2811 2471 1891 1741 250
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1451 0551 0801 2471 5161 7502 1262 2292 232
2018 2021 - - - - - - -
2 3152 346-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis le [36].

  • Malouinière Le Bois Martin.

Le corps principal de cette malouinière date des années 1725-1730 et le bâtiment a été construit à l'emplacement de l'ancienne chapelle dans les années 1970. À propos de la chapelle, Théodore Chalmel écrivait: « La chapelle domestique du Bois-Martin, construite par N. H. écuyer Jean Martin, sieur de la Chapelle, est contemporaine du château du même nom. C'est un édifice quadrilatéral, situé à l'ouest et à environ dix mètres du château. L'entrée unique se trouve au sud, l'abside au nord, fenêtres à droite et à gauche, prenant toute la hauteur, du sol au plafond. Ce sanctuaire était dédié à la Sainte Vierge, sous l'invocation de Notre-Dame du Bois-Martin. L'intérieur est voûté. Quatre nervures se croisent au sommet. Sur l'autel, encore en place, on remarque un crucifix, deux chandeliers en cuivre ciselé, de valeur artistique. La pierre sacrée, les vases précieux, les ornements sacerdotaux ont été donnés à l'église de Saint-Père par madame la comtesse de Cheffontaines. Aujourd'hui, la chapelle est désaffectée ».

À l'est de la demeure existante, un bâtiment a été remanié aussi vers 1970. Sur les cadastres de 1809 et 1848 un colombier, surmonté d'un campanile, est représenté au fond du jardin. Sont également figurées des douves entourant partiellement la cour. Au nord-est, se trouvent la métairie et le parc composé d'allées et de ronds-points, déjà mentionnés au cadastre de 1809. Pour Théodore Chalmel, le parc est « Le plus important forme dépendance du Bois-Martin. Il contient 22 ha divisés en parcelles que limitent allées et ronds-points savamment tracés. Ici, les taillis sont les survivants d'arbres futaies. Les essences y sont le chêne et le châtaignier ».

Théodore Chalmel nous apprend également que la propriété était, jadis, appelée le Bois-Bouvier et qu'elle relevait de Bonaban. Il précise que le domaine appartenait à écuyer René Martin et Modeste Cécile Gris (1700-1737), à écuyer Jean-Baptiste Le Gobien et Marie-Modeste Martin (1724-1768).

D'après la tradition orale, il aurait été occupé par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.

Depuis août 1987, le Bois Martin accueille l'école Sainte-Marie.

Fort de Saint-Père modifier

 
Le fort.

C'est à la suite de la guerre de Sept Ans, sous Louis XV que ce fort fut construit. Il était destiné à protéger Saint-Malo d'une attaque anglaise par les terres et est aujourd'hui utilisé en tant que site pour des manifestations culturelles dont le festival La Route du Rock.

La chapelle Saint-Roch modifier

C'est en 1626 que fut édifiée cette chapelle. Elle était destinée à l'origine à faire face à une épidémie de peste qui perdurait depuis la fin du XVIe siècle. Elle prit le nom de saint Roch, saint invoqué par les fidèles contre ce genre de maladie.

La chapelle fut détruite à la Révolution, puis reconstruite à partir de 1897.

Le moulin du Beauchet modifier

 
Le moulin en 2008.

Le moulin à marée du Beauchet est en fait une reconstruction de 1882 à la suite d'un incendie, il se situe au bas de la côte du Lyonnais. Composé de pierre et de schiste, il a été construit à l'emplacement d'anciens moulins qui, jusqu'en 1789, servaient aux habitants du canton de Châteauneuf pour moudre leur blé.

C'est en 1957 que l'énergie électrique remplace la force des marées pour son fonctionnement. Aujourd’hui ce moulin est une propriété privée, que l’on peut voir dominant l’étang du même nom, l'étang du Beauchet.

Il est inscrit en tant que monument historique depuis 1986[37].

Lieux et monuments religieux modifier

Église Saint-Pierre modifier

L'église Saint-Pierre[38] possède un vitrail comportant des fragments du XIVe siècle, classé monument historique en tant qu'objet[39], remontés par le maître verrier Charles Lorin de Chartres dans les années 1920.

Prieuré Saint-David de la Mare de Saint-Père-Marc-en-Poulet modifier

Le prieuré Saint-David de la Mare de Saint-Père-Marc-en-Poulet. Il est également connu sous le nom de prieuré de la Mare de Saint-Père ou Mare- Normand (t)[21]. Il a été possédé par R. Chauvel (en 1470), J. Paulmier (1500), Th. de la Boullaie (en 1505), frère Alain de Saint-Jean (1528) et Louis Dupont du Grippel (1657). Il dépendait à l'origine de l'abbaye Saint-Magloire de Léhon, puis par la suite de l'abbaye Notre-Dame du Tronchet[40].Sa chapelle située à la Motte conservé les armes au dessus d'une porte de François Pépin, prieur des lieux de 1706 à 1727[21]

Associations culturelles modifier

  • Association Théodore-Chalmel. Créée en 1983, cette association a pour objet la conservation de la mémoire de Théodore Chalmel (1867-1945), auteur notamment d'une monographie de la commune, et la promotion de son oeuvre[41].

Personnalités liées à la commune modifier

Jumelages modifier

La commune est jumelée avec Nandrin (province de Liège, Belgique).

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Père-Marc-en-Poulet et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  15. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Source : "Histoire" sur le site de la commune
  19. Le patrimoine d'Ille-et-Vilaine, Éditions Flohic, Paris, 2000.
  20. Décret no 2018-956 du 5 novembre 2018 portant changement du nom de communes, publié au JORF du .
  21. a b et c Infobretagne
  22. Saint-Laurent, seigneurie appartenant à Jean d'Avaugour, dans Hervé Le Goff, La Ligue en Bretagne.. , PUR, 2010, Chapitre I, pp.41-146.
  23. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  24. Les maires de Saint-Père, sur le site Geneawiki
  25. « Saint-Père : Élection du maire et de l'adjoint », Ouest-France,‎
    « Dimanche, le Conseil municipal de Saint-Père s'est réuni pour procéder à l'élection d'un nouveau maire en remplacement de M. Louis Provost, démissionnaire. M. Félix Rougeul, adjoint, a été élu maire ».
  26. « Élections de maires », Ouest-France,‎
    « ST-PÈRE-MARC-EN-POULET  : M. Francis Poirier, élu ».
  27. Avis d'obsèques du paru dans Ouest-France
  28. « Louise Leretrait, nouveau maire », Ouest-France,‎
    « Ainsi, le 6 octobre, Louise Leretrait est-elle devenue « madame le Maire », la deuxième du canton de Châteauneuf après l'élection de 1983 au Tronchet ».
  29. « Les femmes-maires », Ouest-France,‎
    « Saint-Père-Marc-en-Poulet (1 259 hab.) : Louise Leretrait, conseillère en 1977, premier adjoint en 1983, maire en 1984. ».
  30. « Sénatoriales : Jean-Francis Richeux candidat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. Réélection 2014 : « Une élection sans surprise du maire et de ses cinq adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Notice no PA00132552, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Moulin du Beauchet », notice no PA00090878, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00130811, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Verrières : scènes de la Résurrection et du Jugement dernier », notice no PM35000641, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  40. Archives départementales de la Loire-Inférieure, B.841, liasse, 15 pièces, parchemin.
  41. Les associations culturelles de Saint-Père-Marc-en-Poulet.
  42. François Ploux, Une Mémoire de papier. Les historiens de village et le culte des petites patries rurales, Presses universitaires de Rennes, 2011 (ISBN 978-2-7535-1387-7).
  43. « Théodore Chalmel (1867-1945) », BnF Data.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

  • Théodore Chalmel, Saint-Père-Marc-en-Poulet : bulletin communal 1911-1918 (fac-similé), Saint-Père-Marc-en-Poulet, Association Théodore Chalmel, , 526 p. (OCLC 466919855, BNF 36697286, SUDOC 164135677).
  • Théodore Chalmel, Saint-Père-Marc-en-Poulet. Une commune rurale à travers les siècles, Saint-Père-Marc-en-Poulet, Association Théodore-Chalmel, 1999.

Liens externes modifier