Miniac-Morvan

commune française d'Ille-et-Vilaine

Miniac-Morvan
Miniac-Morvan
L'église Saint-Pierre et le monument aux morts.
Blason de Miniac-Morvan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Saint-Malo Agglomération
Maire
Mandat
Olivier Compain
2020-2026
Code postal 35540
Code commune 35179
Démographie
Population
municipale
4 311 hab. (2021 en augmentation de 11,08 % par rapport à 2015en augmentation de 11,08 % par rapport à 2015)
Densité 139 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 53″ nord, 1° 54′ 00″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 68 m
Superficie 31,03 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Miniac-Morvan
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dol-de-Bretagne
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Miniac-Morvan
Liens
Site web www.miniac-morvan.fr

Miniac-Morvan est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne, peuplée de 4 311 habitants[Note 1].

Géographie modifier

Miniac-Morvan est située à 20 km de Saint-Malo sur la quatre voies Rennes-Saint-Malo.

Hameaux, écarts et lieux-dits modifier

  • Beillac
  • Boutry
  • Caridan
  • Casse Noé
  • Champveau
  • Couabel
  • Gouillon
  • L'Angle
  • L'Ouche
  • La Barre
  • La Barre Guineheuc
  • La Besnard
  • La Binellerie
  • La Blainerie
  • La Bouexiere
  • La Bouglaie
  • La Brizardière
  • La Butte
  • La Chalandière
  • La Chambre
  • La Costardais
  • La Croix de Villebret
  • La Croix des Gués
  • La Croix Durand
  • La Gaudinière
  • La Haute Folie
  • La Herlise
  • La Janais
  • La Lande des Gués
  • La Landelle
  • La Maison Neuve
  • La Mare
  • La Mettrie
  • La Noé
  • La Nouette
  • La Potenne
  • La Roussaie
  • La Saboterie
  • La Salle
  • La Salle-es-Beaugeard
  • La Sauvagere
  • La Touche-aux-Vanais
  • La Touesse
  • La Tresse
  • La Verrerie
  • La Viette
  • La Ville Aubry
  • La Ville Blanche
  • La Ville Boutier
  • La Ville-es-Genils
  • La Ville-es-Tues
  • La Ville Mauny
  • La Ville Oger
  • Launay
  • Launay Béliard
  • Launay Boulen
  • Launay Guibert
  • Launay Robidou
  • Le Bas Gouillon
  • Le Bas Miniac
  • Le Bas Rocher
  • Le Bois Guyot
  • Le Bois Hamon
  • Le Bourg
  • Le Breginal
  • Le Chatelier
  • Le Chêne
  • Le Chiendent
  • Le Clos de la Croix
  • Le Clos Hiard
  • Le Clos Pierre
  • Le Clos Sauvage
  • Le Domaine
  • Le Domaine d'Amélie
  • Le Frèche
  • Le Gavre
  • Le Grand Bois Hamon
  • Le Haut Boutry
  • Le Haut Gouillon
  • Le Haut Miniac
  • Le Haut Rocher
  • Le Havre
  • Le Moulin Faruel
  • Le Pas Pecet
  • Le Petit Angle
  • Le Petit Bois Hamon
  • Le Petit Rochambaud
  • Le Point du Jour
  • Le Porche
  • Le Port Besnard
  • Le Pré Malouin
  • Le Pron
  • Le Rimbriant
  • Le Rocher
  • Le Rocher aux Merles
  • Le Rocher Pleureur
  • Le Rocheret
  • Le Verger
  • Les Champbriants
  • Les Champs d'Avenais
  • Les Chesnaies
  • Les Colettes
  • Les Conais
  • Les Corbinières
  • Les Épines Meliauds
  • Les Gués
  • Les Hervelins
  • Les Jardins d'Amélie
  • Les Jardins d'Élise
  • Les Marvatières
  • Les Mettras
  • Les Noés
  • Les Rivières
  • Les Tertres
  • Montloie
  • Moulin du Tertre Guy
  • Mousson
  • Robidou
  • Rochambaud
  • Saint Gré
  • Saint Grégoire
  • Sevin

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleurtuit à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Miniac-Morvan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Miniac-Morvan, une unité urbaine monocommunale[11] de 3 931 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), prairies (19,3 %), forêts (10,3 %), zones urbanisées (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Meniac au IXe siècle, Morvani de Miniac en 1181, Miniacum en 1371[17].

Miniac est issu du latin Minius et du suffixe gallo-romain acum[18] et de morvan, signifiant « homme de mer », en vieux breton[réf. nécessaire]

Minya en gallo[17].

Histoire modifier

La paroisse de Miniac-Morvan faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et est placée sous le vocable Saint-Pierre.

La paroisse existait déjà au XIIe siècle. Cependant, il existe des vestiges gallo-romains dans la commune.

D'après une légende, l'ermite saint Colomban aurait construit au VIIe siècle un oratoire dans une forêt. Cet oratoire est remplacé par la suite par un prieuré qui disparaît vers la fin du XVIIe siècle. Ce prieuré, qui dépend avant 1245 de l'abbaye Saint-Florent de Saumur en Anjou, est rétrocédé à l’abbaye Notre-Dame du Tronchet[19], dont l'abbé possédait le trait qu'il assigne en 1337 à ses religieux pour subvenir à leurs dépenses.

Vers 1200, Alain de La Chapelle, avec Raoul et Godefroy de Miniac sont témoins de la cession du domaine Saffredi à l'abbaye Notre-Dame du Tronchet, par Godefroy, fils de Main, avec le consentement de ses héritiers, dont Thomas Taon, chevalier[20].

En 1295, les religieux du Tronchet concluent un accord au sujet d'une pièce de terre sise à Miniac, avec Amicie, veuve de Jourdain de Gouillon (Goyllon). Cet arrangement est scellé du sceau de Châteauneuf-la-Noë et de l'écusson des de Rochefort, vairé, avec lambel à trois pendants[21]. Les dîmes de la paroisse et le bailliage du Gavre, étaient au bénéfice de cette abbaye[22].

L'activité économique traditionnelle de Miniac-Morvan était à la fois liée à l’agriculture et à la pêche :

  • jusqu'au XIXe siècle, le chanvre était particulièrement cultivé dans la commune, avec également un grand nombre de tisserands. Cette activité disparaît vers 1880 ;
  • jusqu'au début du XXe siècle, de nombreux hommes de la commune participent aux campagnes de pêche à Terre-Neuve. Ainsi, chaque mois de décembre, les patrons de navires venaient pour recruter leurs équipages lors de la « louée de la mer »[19].

L’organisation des fêtes révolutionnaires témoigne de l’accueil favorable de la population de Miniac-Morvan aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur :

La paroissiale Saint-Pierre possède un tableau qui évoque cette période, mais dont le sujet illustré se rapporte au Nord de la France : il s'agit de la Condamnation à mort les sœurs de La Charité d'Arras, en 1794, à Cambrai.

Héraldique modifier

Le blason est celui de la famille Le Clavier, seigneur du château de Miniac pendant plusieurs siècles.

  Blasonnement :
De gueules aux deux clefs d'or posées en sautoir[25].

Politique et administration modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
septembre 1947 avril 1953 Henri Mordrelle   Cultivateur
mai 1953 avril 1961 Émile Goger   Retraité Marine Marchande
mai 1961 avril 1971 Yves Destais   Docteur en médecine
mai 1971 mars 1983 Jean Fantou CD Exploitant en bois
mars 1983 juin 1995 Pierre Porcon   Retraité Marine nationale
juin 1995[27] mars 2014 Roger Chapon DVD Agent du Trésor public
mars 2014[28] mai 2020 M. Dominique Louvel[29] DVD Retraité
mai 2020[30] En cours Olivier Compain DVC Chef d’entreprise de maçonnerie

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 4 311 habitants[Note 4], en augmentation de 11,08 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3642 5922 7203 0073 0413 0653 1073 1923 270
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 2853 3323 2643 1243 2263 2403 1813 0993 098
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 9782 8922 8462 5622 4382 4982 5052 4122 235
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 2902 2442 1612 5952 8152 7843 2123 2803 705
2015 2020 2021 - - - - - -
3 8814 2574 311------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

Patrimoine classé modifier

 
L’allée couverte de Four-ès-Feins.

La commune compte un monument historique :

Patrimoine religieux modifier

  • L'église Saint-Pierre (église paroissiale).
  • Chapelle Notre-Dame-de-Toute-Puissance du château de Miniac (1654-1656), démolie pendant la Ligue, reconstruite.
  • Ancienne chapelle de Bourgneuf, dont la donation est approuvée par Jean, évêque de Dol (1190-1199) à l'abbaye de Marmoutier.
  • Ancienne chapelle de Langle, près de la Mare.
  • Ancienne chapelle du Frêche (XVIe – XVIIe siècle), située près du village du Hâvre, aujourd'hui disparue.
  • Ancienne chapelle Notre-Dame-de-Grâce, construite au Vieux-Bourg avec les pierres de l'ancienne église.
  • Ancienne chapelle de l'Immaculée-Conception, chapelle moderne des Filles de la Sagesse, bénite en 1842.
  • Ancienne chapelle de la Bouglaye, route de Châteaunef d'Ille-et-Vilaine, aujourd'hui disparue.
  • Ancienne église du Vieux-bourg (XIVe – XVe siècle : vestiges de la porte.
  • Prieuré Saint-Colomban de la Mare, devenu manoir de la Mare-Ferron. Le premier prieuré fut la propriété de l'abbaye Saint-Florent de Saumur déjà en 1186, abandonné, il est en 1245, rétrocédé par Étienne, évêque de Dol à l'abbaye Notre-Dame du Tronchet, et reconstruit au XVe et au XVIIe siècle. Il conserve une chapelle et avait un clocher-arcade à une baie, la porte en arc brisé, moulurée, datée de 1649. Devenu la propriété de Michel Ferron en 1480, il est transformé en manoir et prend le nom de la Mare-Ferron.
  • Prieuré Saint-Grégoire de Miniac, il dépendait de l'abbaye de moniales de Saint-Sulpice-des-Bois, près de Rennes. En 1161, le pape Alexandre III confirme les religieuses dans cette possession. Aujourd'hui une croix marque l'emplacement de l'église priorale.
  • Croix à L'Angle (1804).
  • Calvaire du château (XVe siècle).
  • La maison de charité. Elle était au lieu-dit La Motte ou Les Vieux Cimetières, fondée en 1757 et desservie par les sœurs de la Sagesse.x

Patrimoine civil modifier

 
Le château de Gouillon vers 1900.
 
Pierre Lorenzi, Monument aux morts de Miniac-Morvan (1920)[36].
  • Château de Bas-Miniac, (XVe siècle, XVIIe et XVIIIe siècles) : ultime berceau de la famille de Miniac, le château est édifié sur les restes d'une motte féodale, probablement construite autour de l'an mil alors qu'apparaît la forme la plus ancienne du nom Miniac, Méniac.
  • Château de Gouillon, sur la route de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine, (XVe siècle) incendié et reconstruit. Propriété successive des familles du Breil, de Québriac (1513), Gaultier (1658), Uguet, Laubespin.
  • Manoir de Launay-Quinouart, situé route de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine. Appartenant en 1480 à Thomas Quinouart.
  • Ancien manoir du Bas-Gouillon ou du Bois-Gouillon, route de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine, propriété d'Olivier de Hirel en 1480.
  • Ancien manoir de Bishamon, sur la route de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine, propriété de la maison de Bohier, puis de Québriac, seigneurs de la Hirelays en 1513.
  • Ancien manoir de la Jambonnière, propriété de la maison Ferron en 1513.
  • Ancien manoir de la Barre-Guéhéneuc, possédait jadis une chapelle, propriété des Guéhéneuc en 1513.
  • Ancien manoir de la Ville-Blanche, propriété de la maison de la Monneraye en 1513.
  • Malouinère de Launay-Guibert (1731) avec un colombier.
  • Léproserie au Village de la Maladrerie.
  • Moulin du Bas-Miniac, moulin à eau.
  • Moulin de Beillac, moulin à vent.
  • Moulin de Guillon, moulin à vent.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Miniac-Morvan et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Miniac-Morvan », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez, an Here, (ISBN 978-2-86843-153-0), p. 118
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, p. 485.
  19. a et b Inventaire préliminaire du patrimoine.
  20. Michel Pelé, Les établissements religieux dolois, les bénédictins du Tronchet, Combourg, Rennes, 1975-2009, p. 5.
  21. Michel Pelé, op. cit., p. 7.
  22. Déclarations de 1685 et 1790.
  23. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in : Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
  24. Dubreuil, Fêtes…, p. 401.
  25. « Miniac-Morvan Ille-et-Vilaine »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur GASO, la banque du blason (consulté le ).
  26. D'après Joël Sorette, "Miniac-Morvan".
  27. « Départ de Roger Chapon, après 31 ans de vie communale », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. « Dominique Louvel est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. « Dominique Louvel est le nouveau maire », Ouest-France, 1er avril 2014.
  30. « Miniac-Morvan. Sans surprise, Olivier Compain est élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Notice no PA00090630, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice sur monumentsmorts.univ-lille.fr.
  37. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, p. 139.
  38. « Football : Un beau mercato pour l'AS Miniac-Morvan », sur actu.fr (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier