Famille de Saboulin Bollena

Famille noble française
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La famille de Saboulin Bollena, anciennement Sabolin[1],[2] ou Sebolin de Bollena ou Sebolin, est une famille subsistante de la noblesse française originaire de Provence (Signes). Un rameau cadet, éteint, se désista de la noblesse le 13 juillet 1667 en la personne de Jean-Baptiste de Sebolin, puis fut condamné en 1698[3], la branche de Signes, éteinte, fut maintenu noble en 1668[3], la branche ainée, subsistante, secrétaire du roi en 1704 mort en charge[3], puis obtient des lettres de confirmation de leur noblesse d'extraction en 1747.

Famille de Saboulin Bollena
Image illustrative de l’article Famille de Saboulin Bollena
Armes

Devise Albae quia immaculatae
Période XVe siècle - aujourd'hui
Pays ou province d’origine Drapeau de la Provence Provence
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau de la France France
Fiefs tenus La Motte du Caire

La Motte

Demeures Château de Lenfant
Maison Diamantée
Charges Député à l'assemblée de la noblesse et des églises réformés de Provence en 1577
Fonctions militaires Capitaine général de Signes

Origine modifier

La famille de Saboulin Bollena, anciennement Sebolin de Bollena ou Sebolin[4], est originaire de Provence.

La filiation prouvée de cette famille remonte à Pierre Sebolini de Bollena, qui apparaît pour la première fois dans les registres communaux de Signes comme trésorier en 1459. On le retrouve lieutenant du viguier entre 1465 et 1475, viguier entre 1475 et 1480, capitaine général de Signes en 1481 puis 1484, consul en 1481 et 1486.

Pour autant, antérieurement à 1459, on ne trouve aucune mention de la famille dans les registres communaux de Signes. Cette soudaine apparition de Pierre Sebolini de Bollena comme trésorier à Signes, étant concomitante aux prises de fonction de Jacques de Clary dit Pazzis, natif de San Gimignano en Toscane, comme viguier d’Aubagne pour la reine Jeanne, pourrait accréditer la thèse d’un rattachement de Pierre Sebolini à la famille Sabolini de Colle di Val d’Elsa, ville voisine de San Gimignano, connue depuis le 12e siècle.

Histoire modifier

Cette famille se divisa en deux branches. La branche ainée des Sebolin, subsistante, se fixa à Marseille au début du XVIIe siècle, tandis que la branche cadette, restée à Signes, s’éteint au début du XVIIIe siècle.

Le nom de famille originellement Sebolin de Bollena. C’est en effet sous l’influence de la prononciation provençale de Sebolin, dit Augustin Fabre dans son ouvrage Les Rues de Marseille, que le patronyme se francisa au début du XVIIIe siècle, sous la forme Saboulin Bollena[5],[4] (qu'on retrouve parfois également orthographié Sabolin[6]).

Les Sebolin ont exercé depuis leur installation à Signes jusqu’au décès en 1550 de Mgr Jean-Baptiste Cibo, évêque de Marseille, baron de Signes et d’Aubagne, des charges d’officiers locaux du seigneur-évêque, de viguier tout d’abord, puis de fermier et rentier de ses droits seigneuriaux et, alors que peu nombreux, sont cités de manière quasi ininterrompue au Conseil communal de Signes tout au long du XVIe siècle, y exerçant régulièrement les premières charges de consul, trésorier et capitaine général :

  • Entre 1475 et 1480, Pierre Sebolin de Bollena est viguier de Signes pour l’évêque de Marseille Jean Alardeau, qui lui donna en bail plusieurs terres[5], puis consul en 1481 et 1486.
  • En 1481 et 1484, lors des mouvements militaires à la suite de la succession de Charles du Maine, Pierre Sebolin de Bollena fut nommé capitaine général des habitants en armes pour se défendre d’une troupe menaçante[7][réf. à confirmer].
  • En 1494, Raymond Sebolin de Bollena est viguier de la ville de Signes
  • En 1502, Barthélémy Sebolin de Bollena est capitaine général de Signes.
  • En 1515-1525, Antoine Sebolin de Bollena est rentier des droits seigneuriaux de Mgr Claude de Seyssel puis du Cardinal Cybo pour Marseille et sa vallée.
  • En 1568, François Sebolin, ancien rentier des droits seigneuriaux de Mgr Jean-Baptiste Cibo pour Marseille et sa vallée[8], suspecté d'être de la religion réformé et de participer aux troubles religieux, est jeté dans les geôles du château de Signes avec plusieurs autres notables malgré leurs protestations « d'être gens de bien, honnêtes, vivant catholiquement selon les lois de la Sainte Mère l'Église »[9],[8].
  • Bertrand de Saboulin, consul de Signes en 1552, reçut durant les guerres de religion le commandement de 200 hommes de pied par commission du comte de Tende, il épousa en 1546 Claire de Glandevès[10], fille d'Antoine, seigneur de Cujes et viguier de Marseille.
  • En 1585, Balthazar de Sebolin est nommé par commission du Grand-Prieur de France Henri d'Angoulême, gouverneur de Signes, jusqu’en 1590, il est également premier consul de la ville en 1588[11].
  • Le 9 juin 1577, Vincent Sebolin, tige de la branche subsistante, fait partie des députés de la noblesse et représentants des églises réformées de Provence à l’assemblée réunie à Seyne à la demande de Henri de Navarre. Il est le chef de la communauté protestante de Signes.
  • En 1589, le même Vincent Sebolin, est capitaine dans les compagnies de François de Vintimille-Tourves durant les guerres de Religion[12].
  • François de Saboulin Bollena, seigneur de La Motte-du-Caire, avocat au parlement, fut 1er consul d'Hyères[13] et représenta les états de Provence comme député[14] aux états généraux de 1614[15].

La « maison Bollène », actuelle mairie de Signes, fut de 1597 jusqu’au milieu du XVIIe siècle la demeure de évêques de Marseille, tandis que la « maison Sebolin », 15 rue Saint-Jean, servit de temple pendant la seconde partie du XVIe siècle. En effet, durant les guerres de religions, ils embrassent le parti protestant, à la suite de quoi la branche aînée issue de Vincent Sebolin, capitaine dans les compagnies razats de Mr de Vintimille-Tourves, se fixe à Marseille.

Ils s’y enrichissent dans la fourniture des galères et le négoce avec les échelles du Levant, la Barbarie, puis les Amériques. « Dans les premières années du XVIIIe siècle, l'Hôtel de Noailles fut acheté par François de Sabolin, riche négociant que l'on nomma premier échevin de Marseille aux élections du 28 octobre 1702. Sa famille, originaire de Signes en Provence, s'était divisée en plusieurs branches et l'une d'elles était venue s'établir à Marseille où elle acquit un renom considérable » in Augustin Fabre, Les Rues de Marseille, Volume 5, p. 141 et 142

Pierre Sebolin, fils du capitaine Vincent Sebolin, s'installe comme négociant à Marseille où il fut écrivain du roy sur la galère La Seguirane. Il participe à la reprise des îles de Lérins en 1637, et à la bataille de Vado au large de Gênes (), où la flotte française défait les Espagnols. Il teste le 30 juin 1640 à Marseille (Icard, not.), avant d’embarquer sur les galères commandées par le cardinal de Sourdis qui appareillent pour l’Italie et qui seront à la bataille de Tarragone (1641), teste à nouveau le 23 avril 1644 (Pierre Amalric, not. Signes), avant d’embarquer à nouveau, fait la campagne de 1644 de la flotte du Levant au large des côtes espagnoles sous le commandement du duc de Brézé et au blocus de Rosa.

Son fils Vincent de Saboulin Bollena nommé en l’office de conseiller du roi auditeur-titulaire et expert des comptes au bureau de Cuers (lettres patentes données à Paris le 16 décembre 1639, reçu le 23 juillet 1640), sera à son tour écrivain du roy sur la galère D’Allemagne (1642-1655), sert notamment dans la campagne d’Italie lors du combat d’Orbetello (1646), puis avec les galères de Toulon dans le golf de Naples et campagnes sur les côtes toscanes et napolitaines entre 1647 et 1650, s’installe à Toulon un peu avant 1650 où il poursuit sa carrière d’officier de plume, puis revient, après le décès de sa première épouse, à Marseille comme négociant où il s’associe à son frère Pierre, fonde en 1672 avec Jean et David Meynard une maison de commerce à Constantinople[16][réf. à confirmer].

Ce dernier, capitaine des milices de la ville de Marseille lors de la révolte de Glandevès-Niozelles, est déchargé de l’assignation lors des recherches de noblesse en 1667 pour services rendus. Juge consul de Marseille en 1668[17], puis échevin[18] en 1682[19]. Il fit bâtir en 1694 l'église des Capucins. Il participa à la fondation de l'hospice des incurables et se distingua par l'aide qu'il apporta aux œuvres de Terre Sainte, notamment la restauration de l'église du Saint Sépulcre à Jérusalem[20]. Il intègre la clientèle de Colbert et accueillera en 1684, alors échevin-vieux de Marseille, Colbert de Seignelay. Il acquiert la Maison Diamantée[21] à Marseille, actuel Musée du Vieux Marseille, considéré comme l'une des plus vieilles demeures de Marseille, conservé pendant 4 générations dans la famille[21]. Il finance par un don de 35.000 livres la construction de la nouvelle chapelle du couvent des capucins par Puget à Marseille, où sera érigé le caveau Saboulin dans la chapelle latérale Notre-Dame du Bon Voyage. Il est, d’après une correspondance de M. de Montmort à Colbert, le premier négociant marseillais à avoir armé pour les Amériques dès les années 1670[22][réf. à confirmer].

François de Sebolin, fils de Vincent, et héritier de son oncle Pierre, est élu premier échevin de Marseille (élections du [23]), puis reçu en 1704 conseiller-notaire-secrétaire du roi en la grande chancellerie, maison, couronne de France et de ses finances[24] dans la charge du marquis de Nointel, cousin de Colbert. Comptant parmi les plus riches négociants de Marseille au début du XVIIIe siècle, il achète l'hôtel de Noailles, où il reçoit lors de son arrivée en Provence, comme gouverneur, le maréchal-duc de Villars pendant plusieurs mois[4].

Appartenant avec les Gleize, les Maurellet, et les Bruny à un groupe de financiers liés au clan Colbert, et détestés de Samuel Bernard, une tradition orale rapporte que lors d’un de ses séjours à Versailles, des adversaires tentèrent de provoquer sa perte en jetant auprès du roi la suspicion sur sa réussite. Louis XIV dans les jardins de Versailles s’arrêta devant lui et lui demanda comment on pouvait devenir aussi riche aussi vite. François de Sebolin s'inclinant dans une révérence lui répondit : « Sire, j'ai épousé une muette » (expression exacte rapportée). Ce trait d’esprit plut au roi, qui poursuivit sa promenade. Son fils Jean-François de Sebolin, élevé avec ses frères au collège Louis le Grand, reçut à l’hôtel de Noailles la princesse Charlotte-Aglaé d'Orléans, duchesse de Modène, lors de son passage à Marseille au printemps 1720[4][réf. à confirmer].

Ils participèrent à l'essor du négoce maritime en commerçant[25] avec les échelles du Levant - Chios[26], Constantinople[16](actuelle Istanbul) et Seyde[27](actuelle Sidon) -, mais aussi avec le Maroc (Tetouan)[28]. Ils furent par ailleurs les premiers à lancer des expéditions vers les îles des Amériques (Caraïbes)[22].

À la fin du XVIIIe siècle, la famille se fixe à Aix-en-Provence, où elle habite 44 cours Mirabeau dans l’hôtel d’Adaoust, alias Saboulin Bollena (anciennement Gassendi), quelle conservera jusqu’au début du XXe siècle. C’est dans cette maison que grandirent l’abbé Léon de Saboulin, prêtre des pauvres, et à la génération suivante, Pierre-Humbert de Saboulin Bollena, avocat, félibre, lauréat du concours pour l’inscription de la Croix de Provence en haut de la Sainte-Victoire, ses frères Gabriel, bâtonnier du barreau d’Aix-en-Provence, photographe et propriétaire du studio Walery à Marseille qu’il rachète en 1871 au Comte Ostroróg, Armand, disciple de Frédéric Le Play et de Charles de Ribbe, et leur sœur Delphine de Saboulin Bollena, poétesse connue sous le nom de « Marie de Bec ». À la génération suivante Louis de Saboulin Bollena fut bâtonnier du barreau du Maroc et officier des palmes académiques, et Pierre de Saboulin Bollena, directeur général des Messageries Maritimes et commandeur de la légion d'honneur.

Une branche s'est établie durant le XVIIe siècle[29] et le XVIIIe siècle[30] à Bayonne[31], laquelle compta plusieurs corsaires[32], dont Michel de Saboulin qui partit s'installer à la fin du XVIIIe siècle en Martinique. Jean de Saboulin, écuyer, fut représentant de la noblesse à l'assemblée générale du pays des basques et labour en 1789[33]. La famille Saboullin, négociants et corsaires à Bayonne, originaires de Marseille, sur la base d’un rattachement erroné aux Sebolin de Provence, obtint des lettres de reliefs, et ce faisant à Jean de Saboullin d’être représentant de la noblesse aux États Généraux des Pays Basques et du Labour en 1789. Cependant le rattachement des Saboullin de Bayonne ne peut toujours pas être réalisé de manière certaine, même si la souche commune ne semble pas impossible.

Des membres de cette famille sont depuis la seconde moitié du XVIIIe siècle[34] à Nice et à Aix-en-Provence[35]. D'autres sont en Lozère, à Barjac[36], ainsi qu'en Bretagne, à Vannes.

Noblesse modifier

La branche ainée des Sebolin, subsistante, se fixa à Marseille au début du XVIIe siècle, tandis que la branche cadette, restée à Signes, s’éteint au début du XVIIIe siècle.

La première, à laquelle appartient François de Saboulin Bollena, reçu conseiller-notaire-secrétaire du roi en la grande chancellerie, maison, couronne de France et de ses finances en 1704, mort en charge[24], obtint des lettres de confirmation de leur noblesse d'extraction, conçues en lettres en omission de qualification et de titres d’écuyer en 1747, lui permettant de bénéficier d’un jugement de maintenue rendu 19 octobre 1668 par l’intendant Belleguise en faveur de la branche de Signes[10], un de ses membres étant ainsi plus tard reçu officier aux gardes de Monsieur[37], Comte de Provence[38], en 1776, et son fils à l’école des aspirants-gardes de la Marine de Toulon[39] en 1779[38].

Un rameau cadet, éteint, se désista de la noblesse le 13 juillet 1667 en la personne de Jean-Baptiste de Sebolin, puis fut condamné en 1698. Il ne laissa qu'un fils Joseph de Saboulin, capucin, commissaire de l'ordre de la Rédemption des Captifs.

Enfin Jean de Saboullin, fit ses preuves et siégea avec la noblesse aux Assemblées du Pays basque et de Labour en 1789[33].

Cette famille est membre de l'ANF [40], depuis 1973.

Personnalités modifier

  • François Sébolin (17 novembre 1661 à Marseille - 11 février 1717 à Marseille), premier échevin-maire de Marseille en 1702, écuyer, secrétaire du roi en la Grande chancellerie, maison, couronne de France et de ses finances au Grand Collège en 1704, armateur et négociant marseillais. Le 17 novembre 1689 à Marseille, il épouse Catherine Dasque.
  • Pierre de Saboulin Bolléna (29 novembre 1694 à Marseille - 1777), chevalier, enseigne au Régiment de Royal les Vaisseaux, capitaine des grenadiers du Régiment de Berry Infanterie, puis Major Général des bataillons gardes-cotes de la ville de Marseille, Chevalier de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis en 1745. Le 12 août 1734 à Marseille, il épouse Magdeleine Cécile Sallade.
    • André Pierre de Saboulin Bollena (14 février 1736 à Marseille - 5 décembre 1782 à Marseille), chevalier, capitaine des grenadiers du régiment de Normandie, puis garde du corps du comte de Provence, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis en 1760. Le 27 mars 1764 à Marseille, il épouse Charlotte Julie de Robineau de Beaulieu.
      • Armand Pierre de Saboulin Bolléna (3 octobre 1766 à Marseille - 10 juin 1809), chevalier, aspirant garde de la marine (1779), lieutenant de vaisseau (1788), capitaine de vaisseau (1796). Le 22 janvier 1795, il épouse Marie Louise d'Adaoust.

Armes modifier

Pierre Sebolin et son neveu François, négociants et échevins de Marseille furent inscrits à l'Armorial général avec des armes imposées : De gueules, à trois oignons arrachés et grenés d’or, posés en pal, deux et un. François de Sebolin reprit les armes originelles sculptées sur le caveau de la famille dans l’église Saint-Pierre de Signes depuis le XVe siècle : De gueules à trois roses d’argent, deux en chef et l’autre en pointe, déposées par la branche de Signes (d’Hozier).

Alliances modifier

Les principales alliances de la famille de Saboulin Bollena sont : d'Amalric (Signes - 1540, Signes - 1598, Signes - 1658, et Signes - 1676), de Glandevès (La Cadière - 1546), Michel (1570), d'Espinassy (Signes 1510 et Signes 1575), de Carbonnel (Toulon - 1606), de Colin du Janet, de Galbert (Toulon - 1612), Chautard de Turis (Toulon - 1646), de Fauris de Saint Clément (1629), de Bausset, Vernet (Marseille - 1616), Prépaud (1656), Dasque (1689), de Félix de La Ferratière (1698), de Valavoire (Marseille - 1712), de Clappier de Collongue (Manosque - 1727), de Pontevès-Maubousquet (Marseille - 1713), Sallade (Marseille - 1734), de Robineau de Beaulieu (1764)[10],[42], d'Adaoust (1795), de Ferrier de Riez, de Gardiolle, de Geoffroy d'Entrechaux, d'Astorg, Baboin-Jaubert, Borély, de Bec, de Boisgelin, de Bouquier de Seillans, etc.

Notes et références modifier

  1. Revue Mabillon : archives de la France monastique, 1933, p. 214 : « 1554 : François Sabolin, de Signes » (lire en ligne).
  2. Artefeuil, Histoire héroique et universelle de la noblesse de Provence, Volume 2, 1776, p. 352 (lire en ligne).
  3. a b et c Dictionnaire de la noblesse française, 1975, p. 891.
  4. a b c et d Augustin Fabre, Les Rues de Marseille, Volume 5, Marseille, E. Camoin,, , 505 p. (lire en ligne), p. 142-143
  5. a et b Artefeuil, Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence, Volume 2, 1776, page 352.
  6. Revue Mabillon : archives de la France monastique, 1933 page 214 : 1554 : François Sabolin, de Signes.
  7. abbé V. Saglietto, La commune de Signes : étude archéologique et historique, 1935, page 195.
  8. a et b Victor Saglietto (abbé), « Monseigneur J.-B. Cybo, évêque de Marseille (1543-1550), notes inédites », Archives historiques et archéologiques du diocèse de Fréjus-Toulon, vol. 2,‎ , p. 30-37
  9. abbé V. Saglietto, La commune de Signes : étude archéologique et historique, 1935, page 79.
  10. a b et c Baron du Roure, Les maintenues de noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669), 1923, Tome 2, p.583/584.
  11. abbé V. Saglietto, La commune de Signes : étude archéologique et historique, 1935, page 103.
  12. Journalier des troupes de Mr de Tourves au château de Signes, de juillet à septembre 1589 - Archives départementales du Var - Inventaire Mireur - Signes - EE 15 - 1589, consultable en ligne.
  13. Louis-Pierre Anquetil, L'Intrigue du cabinet sous Henri IV et Louis XIII, terminée par la Fronde, tome IV, Paris 1809
  14. Augustin Thierry, Essai sur l'histoire de la formation et des progrès du tiers état, Paris 1853
  15. Duval et Lalourcé, Recueil de pièces originales et authentiques concernant la tenue des états-généraux, tome 5, Paris 1789.
  16. a et b Edhem Eldem, French trade in Istanbul in the eighteenth century, 1999
  17. Léon Magnan, Histoire des juges consuls et du tribunal de commerce de Marseille, Marseille, impr. Barlatier (Marseille), (lire en ligne), p. 168
  18. Paul Masson, Les Bouches-du-Rhône : encyclopédie départementale, 1932
  19. Louis-E. Méry, Histoire analytique et chronologique des actes et des délibérations du corps et du conseil de la municipalité de Marseille, depuis le Xe jusqu'à nos jours, tome V, 1847, p. 18
  20. Syndic et Trésorier perpétuel à Marseille de l'Hospice de le Terre Sainte du Couvent des Cordeliers, cf: Lettre écrite de Jérusalem le 11 juin 1698 au sujet du rétablissement de l'église du Saint Sépulcre, accordée aux religieux de Saint François sur la demande de l'Ambassadeur du Roy à la Cour Ottomane - extrait du Mercure galant, octobre 1698 in "Archives des voyages ou Collection d'anciennes relations inédites ou très-rares de lettres, mémoires, itinéraires et autres documents relatifs à la géographie et aux voyages, suivies d'analyses d'anciens voyages et d'anecdotes relatives aux voyageurs" Henri Ternaux-Compans, 1840, p.207
  21. a et b « La Maison Diamantée ou l'Oustau Bigarrado pouncho de diamant », sur Site Officiel de la ville de Marseille
  22. a et b Charles Carrière, Négociants marseillais au XVIIIe siècle : contribution à l'étude des économies maritimes, volume 1, Institut historique de Provence, 1973 p. 68
  23. Grosson, Almanach historique de 1779, p. 1094
  24. a et b Abraham Tessereau, Histoire chronologique de la grande Chancellerie de France, tome 2, Paris 1706, p.475
  25. Gabriel-Joseph Lavergne-Guilleragues, Correspondance, 1976
  26. Philip Pandely Argenti, Diplomatic archive of Chios, 1577-1841, Volume 1, University Press, 1954
  27. Maurice H. Chéhab, Documents diplomatiques et consulaires relatifs à l'histoire du Liban et des pays du Proche-Orient du XVIIe siècle à nos jours, volume 1, numéro 2, éditions des œuvres politiques et historiques, 1975
  28. Henri Marie de La Croix Chastries (comte de), Les sources inédites de l'histoire du Maroc de 1530 à 1845, Volume 1 et 4, E. Leroux, 1931 et travaux du Professeur Penz, lettre du 15 juillet 1684 du consul Jean Peillet
  29. Société des sciences, lettres & arts de Bayonne, bulletin numéros 114 à 119, p. 460/461
  30. Recueil de documents relatifs à la convocation des États Généraux de 1789, bailliage de Labourd
  31. Mercure de France, novembre 1746
  32. Édouard Ducéré, Histoire maritime de Bayonne : les corsaires sous l'Ancien Régime, 1895
  33. a et b Louis de la Rocque et Édouard de Barthélemy, Catalogue des gentilshommes en 1789, 1866
  34. René Borricand, Les Hôtels particuliers d'Aix-en-Provence, 1971
  35. Antoine C. Sfeir, Le Domaine de Lanfant, mémoire sous la direction du professeur Éric Mension-Rigau, université Paris-1 Panthéon-Sorbonne 2009. (extrait de)
  36. « francedusud.com/languedoc-rous… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  37. Benoît de Fauconpret (Les preuves requises pour appartenir à la maison militaire des Princes sont de 200 ans sur titres), Les preuves de noblesse au XVIIIe siècle : la réaction aristocratique ; avec un recueil de tous les ordres, honneurs, fonctions, écoles, chapitres, réservés à la noblesse, Paris, Du Puy, , 2e éd. revue et augmentée, 272 pages, p. 125 et 131
  38. a et b Fréderic d’Agay, La Provence au service du roi (1637-1831), Officiers des vaisseaux et des galères. Dictionnaire. Tome II, Paris, Honoré Champion, , 2 vol. (695, 765 p.) (ISBN 978-2-7453-2110-7), p. 562
  39. Benoit de Fauconpret (Les preuves requises pour être reçu garde de la marine à Toulon sont de quatre degrés de noblesse.), Les preuves de noblesse au XVIIIe siècle : la réaction aristocratique, avec un recueil de tous les ordres, honneurs, fonctions, écoles, chapitres, réservés à la noblesse, Paris, Du Puy, , 2e éd. revue et augmentée, 272 pages, p. 150
  40. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, Robert Laffont, 2007, page 171.
  41. a b et c sous la direction de Bernard Guastalla et Frédéric Couffy, Milles visages d'Aix-en-Provence, dictionnaire biographique, Aix-en-Provence, Académie des Arts et Belles Lettres d'Aix-en-Provence, , 508 p. (ISBN 9782494000018), p. 399-400
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Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Revue de Marseille et de Provence, volume 16, Marseille 1870, p.6

Articles connexes modifier