Cuers

commune française du département du Var

Cuers
Cuers
La mairie.
Blason de Cuers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Toulon
Intercommunalité Communauté de communes Méditerranée Porte des Maures
Maire
Mandat
Bernard Mouttet
2020-2026
Code postal 83390
Code commune 83049
Démographie
Population
municipale
12 550 hab. (2021 en augmentation de 15,86 % par rapport à 2015)
Densité 248 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 14′ 18″ nord, 6° 04′ 18″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 700 m
Superficie 50,53 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulon
(banlieue)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Solliès-Pont
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Cuers

Cuers [kɥɛʁs] est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie modifier

Localisation modifier

Commune située à 7 km de Solliès-Pont, 16 de La Valette-du-Var et 22 de Toulon.

Géologie et relief modifier

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

Cuers est arrosée par 3 rivières :

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Var, Alpes-Maritimes »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 794 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 1,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,3 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Statistiques 1991-2020 et records CUERS (83) - alt : 72m, lat : 43°14'51"N, lon : 6°07'52"E
Records établis sur la période du 01-06-1998 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 2,1 4,3 7,1 10,8 14,1 16,4 16,1 13,1 10,2 6,1 2,9 8,8
Température moyenne (°C) 7,9 8,3 10,9 13,8 17,7 21,7 24,4 24,2 20,4 16,5 11,7 8,6 15,5
Température maximale moyenne (°C) 13,7 14,5 17,5 20,5 24,5 29,3 32,4 32,3 27,6 22,8 17,4 14,3 22,2
Record de froid (°C)
date du record
−9,1
07.01.02
−9,3
11.02.12
−9,3
02.03.05
−4,4
08.04.21
1,3
07.05.19
5,5
04.06.06
7,9
17.07.00
7,2
23.08.07
3,1
21.09.17
−1,4
22.10.07
−8,8
23.11.1998
−9,1
20.12.01
−9,3
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
23,3
10.01.15
25,1
03.02.20
28,4
21.03.02
27,9
23.04.09
35,1
12.05.12
39
27.06.19
39,8
20.07.23
41,3
05.08.17
35,9
05.09.16
31,1
28.10.06
27,9
14.11.23
23,1
30.12.21
41,3
2017
Précipitations (mm) 73,4 54,8 57,4 57,1 56,7 33,5 15,6 19,3 76,6 105,5 141,4 87,6 778,9
Source : « Fiche 83049005 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
13,7
2
73,4
 
 
 
14,5
2,1
54,8
 
 
 
17,5
4,3
57,4
 
 
 
20,5
7,1
57,1
 
 
 
24,5
10,8
56,7
 
 
 
29,3
14,1
33,5
 
 
 
32,4
16,4
15,6
 
 
 
32,3
16,1
19,3
 
 
 
27,6
13,1
76,6
 
 
 
22,8
10,2
105,5
 
 
 
17,4
6,1
141,4
 
 
 
14,3
2,9
87,6
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communications et transports modifier

Cuers est desservie par plusieurs grandes routes régionales et nationales : la RN 97, CD 14 (Cuers - Grimaud (Var)), CD 40 (Cuers - Puget-Ville), CD 43 (Cuers - Brignoles), autoroute A57. L'une des deux barrières de péage de cette autoroute est implanté à proximité de Cuers, sur la commune de Puget-Ville   Péage de Puget-Ville   9 Cuers-sud   10 Cuers-nord.

Transports en commun modifier

Transports aériens modifier

Les aéroports les plus proches sont :

Lignes SNCF modifier

Ports modifier

Urbanisme modifier

Typologie modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[11],[12].

Cuers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon, une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes[16] et 575 347 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue.

L'agglomération de Toulon est la neuvième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice et Nantes[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon dont elle est une commune de la couronne[Note 3].

Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols modifier

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 7,8 % 404
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 1,3 % 69
Réseau routier et ferroviaire et espaces associés 0,6 % 32
Aéroports 0,4 % 19
Vignobles 29,2 % 1494
Vergers et petits fruits 0,9 % 47
Oliveraies 1,3 % 68
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 0,6 % 32
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 3,5 % 180
Forêts de feuillus 3,9 % 201
Forêts de conifères 17,7 % 905
Forêts mélangées 12,6 % 645
Végétation sclérophylle 20,0 % 1024
Source : Corine Land Cover[21]

Cuers dispose d'un plan local d'urbanisme[22].

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

De nombreuses traces d'occupation humaine ont été retrouvées sur le territoire communal, les plus anciennes remontant à 2500 av. J.-C.. Les Ligures, puis les Romains, s'installèrent ensuite dans la région de Cuers, laissant notamment les traces de trois camps romains, et d'un oppidum en haut de la Barre de Cuers[23].

Le Moyen Âge modifier

Afin d'échapper aux invasions sarrasines, fréquentes dans la région au VIIIe siècle, les habitants du village se réfugient dans les environs ; ils donnent ainsi naissance aux hameaux de Valcros et Saint-Laurent.

A l'époque mérovingienne, Cuers fait partie du comté de Fréjus. Les terres passent ensuite dans les mains du vicomte de Marseille, aux alentours de 970, qui en fit don aux moines de l'abbaye de Saint-Victor, en 1032[23].

Isnard de Glandevès (1340-1409), viguier de Marseille (1380), lieutenant du sénéchal (1405), fut seigneur de Cuers, de Pourrières et de Glandevès. Il fut le premier enfant de Guillaume Féraud de Glandevès, seigneur de Cuers et de Thorame et de Louise de Villeneuve. Il fut selon le baron du Roure « un des seigneurs les plus puissants et les plus considérés de Provence[24] ». Il fut l'objet de la reine Marie de Blois qui le couvrit de dons.

Le , Béatrix de La Roche était dame de Cuers et du Revest[25] ; elle était mère du chevalier Raymond de Montealbano[26].

Époque moderne modifier

Le , Éric Borel, âgé de 16 ans, assassine sa famille à Solliès-Pont puis tue à la chaîne plusieurs personnes à Cuers avant de se suicider[27].

Blasonnement modifier

Les armoiries de Cuers se blasonnent ainsi :

D'azur aux deux clefs d'argent passées en sautoir, au cœur cousu de gueules brochant en abîme chargé d'une fleur de lys d'or[28].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs à partir de 1901
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? 1901[29] M. Emmanuel Droite  
1901 1922
(démission)
François Brun[30] Rad.soc. Avocat, juge au Tribunal civil de Marseille
1922 1935 Raoul Reymonenq[31] Rad.soc. Négociant
1935 1941 Eugène Prat-Flotte SFIO Médecin
Conseiller général du canton de Cuers (1931 → 1937)
octobre 1947 décembre 1958
(décès)
Raoul Reymonenq[31] SFIO Négociant
Conseiller général du canton de Cuers (1951 → 1958)
mars 1959 mars 1977 Fernand Blacas SFIO puis PS Dessinateur d’études à la DCAN
Conseiller général du canton de Cuers (1959 → 1982)
? mars 1983 M. Geraud PS  
mars 1983 mars 1985 Claude Blanc SE-DVD  
mai 1985[32] juin 1995 Jean-Charles Salphati RPR Notaire, ancien premier adjoint du précédent
juin 1995 novembre 2007 Guy Guigou[33] PCF Ouvrier à l’Arsenal de Cuers
Conseiller général du canton de Cuers (1982 → 2008)
novembre 2007 mars 2008 Gérard Cabri DVG Responsable DCNS
mars 2008 juin 2020 Gilbert Pérugini UMP-LR Ingénieur DGA retraité
Vice-président de la CC Méditerranée Porte des Maures
Réélu en 2014
juin 2020 en cours Bernard Mouttet DVC Cadre commercial
Vice-président de la CC Méditerranée Porte des Maures

Source pour la période 1790-1897 : Joseph Salvarelli, les administrateurs du département du Var, Draguignan, Imprimerie Olivier-Joulian, 1897

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[34],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 12 550 habitants[Note 5], en augmentation de 15,86 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 1004 8905 1235 3805 1065 0004 3094 5624 363
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 3874 3114 2954 0044 1583 8003 4733 4103 383
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 0983 0903 0383 3043 3573 5173 6984 0184 319
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 6655 1075 4536 5717 0278 1749 54210 33311 192
2021 - - - - - - - -
12 550--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

L'ancienne base aéronavale a été reconvertie en pôle industriel et commercial en destination de l'industrie de l'aviation et de la défense. Le cœur du village ne compte pas d'agents économiques d'envergure mais c'est à la périphérie, dans les zones d'implantation plus récentes, que se comptent les nouvelles installations.

Agriculture modifier

L'Histoire du village est en effet très marquée par l'agriculture, à la fois par la culture des céréales, du tabacs, des vers à soie, mais également par l'élevage bovin et ovin.

L'agriculture actuelle est plus tournée vers les productions viticoles et oléïcoles[23]. La commune fait partie de la zone de production de l'huile d'olive de Provence AOC, des vins Maures (IGP) et Côtes-de-provence.

Tourisme modifier

Commerces modifier

Commerces et services de proximité[40].

Vie locale modifier

Enseignement modifier

Établissements d'enseignements[41] :

Les élèves de Cuers suivent leurs études dans le village, qui dispose de deux écoles maternelles, deux écoles primaires, une école primaire bilingue français/provençal (la seule dans le Var), une école primaire privée, deux collèges et un lycée professionnel.
La ville a la particularité de posséder sur son territoire la seule école publique bilingue français-provençal du département du Var et de l'académie de Nice (récompensée par le Prix Louis-Vouland de la Vocation Provençale en 2011)[43].

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[44] :

  • Médecins,
  • Pharmacies,
  • Hôpitaux à Pierrefeu-du-Var, La Farlède, La Valette-du-Var, Hyères.

Cultes modifier

Services publics modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux :

 
Chapelle Saint-Roch.

Patrimoine civil :

 
Aqueduc des cinq ponts.
 
Monument aux morts.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. Carte géologique du BRGM
  2. L'hydrogéologie de la partie occidentale de la dépression permienne bordant à l'Ouest le Massif des Maures (Bassin de Cuers), par Yves Travi. Géologie Méditerranéenne Année 1982 9-2 pp. 129-138
  3. Communes traversées par Le Gapeau
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cuers » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Cuers » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. accès à la commune
  11. PLU approuvé le 27 février 2019
  12. PLU, sur Géoportail de l'urbanisme
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Toulon », sur insee.fr (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  22. PLU
  23. a b et c Histoire de Cuers
  24. Baron du Roure, Glandevès, p. 14.
  25. Les Seigneurs du Revest et de Dardennes du Moyen Âge à la Révolution
  26. Gérin-Ricard, Actes, p. 214.
  27. (fr)Caroline Delabroy, « «J’ai voulu redonner une mémoire à la tuerie de Cuers», Bruno Masi revient sur cette fusillade tombée dans l'oubli », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  28. « Vexillologie et Héraldique provençale. Méditerranée Porte des Maures : Cuers »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site personnel de Dominique Cureau (consulté le ).
  29. Le conseil municipal est dissous et une nouvelle élection est organisée.
  30. « De nouvelles élections eurent lieu le 8 septembre 1901. Sur 718 votants, la liste de M. Brun, avocat, socialiste remporta 500 voix contre 200 à son adversaire M. Emmanuel. Cela permit à François Brun de devenir maire. » [1]
  31. a et b La fiche biographique de REYMONENQ Raoul, Paul sur le Maitron en ligne
  32. [2]
  33. La fiche biographique de GUIGOU Guy, Léon, Marcel sur le Maitron en ligne
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Hébergements et restauration
  38. Gîte de France
  39. Chambres d'hôtes
  40. Commerces et services de proximité
  41. Etablissements scolaires
  42. Établissements d'enseignements
  43. Le Prix de la Vocation provençale
  44. Professionnels et établissements de santé
  45. paroisse de Cuers
  46. L'église Notre-Dame de l'Assomption
  47. Les orgues de Cuers
  48. Notice no IM83000807, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de Cuers
  49. Cuers, collégiale Saint Pierre : Orgue Charles Royer, 1669
  50. Ancienne collégiale Notre-Dame-de-l'Assomption, antérieurement Saint-Pierre
  51. Notice no IA00060126, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Mobilier de la Collégiale
  52. Les églises et édifices religieux, recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
  53. Ancienne chapelle Saint-Jacques
  54. Notice no PA00091366, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Chapelle Saint-Laurent
  55. Ancienne chapelle Sainte-Thérèse
  56. Chapelle du Tiers-Ordre-de-Saint-François ou de la Corde
  57. Chapelle Notre-Dame-de-Santé
  58. Chapelle Saint-François
  59. Chapelle Saint-Louis (Valcros)
  60. La chapelle St-Louis de Valcros, sur petit-patrimoine.com/]
  61. Le patrimoine de Cuers, sur provence7.com/
  62. Sainte-Christine
  63. Chapelle Saint Roch
  64. La chapelle Saint-Roch
  65. Mosquée D'ER-Rahma
  66. Monument aux morts
  67. Notice no PA00097915, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Château
  68. Base Eligis Culture : Patrimoine archéologique de Cuers
  69. Sites et patrimoine de Cuers, sur www.culture.eligis-web.com/
  70. La fontaine du Coq
  71. La fontaine Saint-Pierre

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Lei couioun de Cuers, de Gabriel Trotobas Editions de la Pignato 1935. Réédité en 2008 par Edicioun Prouvènço d'Aro.
  • Histoire chronologique de Cuers de René Jacob Editions Lacour-Ollé 2006
  • Orphéon, légende de Georges Perpes, Les Cahiers de l'Égaré, 2019.
  • Paroisse Notre Dame de l'Assomption – Cuers
  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)
    Cuers, p. 398

Articles connexes modifier

Liens externes modifier