Néoules

commune française du département du Var

Néoules
Néoules
Néoules, placette de l'Étoile.
Blason de Néoules
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Christian Ryser
2020-2026
Code postal 83136
Code commune 83088
Démographie
Gentilé Néoulais, Néoulaise
Population
municipale
2 925 hab. (2021 en augmentation de 10,34 % par rapport à 2015)
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 43″ nord, 6° 00′ 48″ est
Altitude Min. 305 m
Max. 700 m
Superficie 25,08 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Néoules
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Garéoult
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Néoules
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Néoules
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Néoules
Liens
Site web neoules.fr

Néoules est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie modifier

Localisation modifier

Néoules est un village qui se situe au cœur du Var, au sein de la Provence Verte, en France. Entouré de vignes, il est à trente minutes de la mer (Hyères, Toulon). C'est un peu le centre de la Provence, Néoules est à la même distance des villes de Marseille, Aix et Draguignan (60 kilomètres).

Administrativement, le village est rattaché au canton de Garéoult.

La commune s’étend sur une superficie de 2 508 hectares et repose sur quatre sources : Font Veille, Font Robert, Font Gayaou et Font Marcellin. Située à l’écart des grands axes et flux de circulation du secteur (RD 54, RD 5 et RD 64), Néoules offre une tranquillité et un cadre de vie incomparables.

C'est une des 43 communes du pays de la Provence Verte, qui a obtenu le label « Villes et Pays d'art et d'histoire »[1].

Géologie et relief modifier

Adossé au massif de la Verrerie[2] et du Saint Clément (705 mètres)[3], ensembles boisés dominant vers le sud la vallée du Gapeau par la barre de Cuers, le village de Néoules fait face à la montagne de la Loube (850 mètres) de l’autre côté de la plaine arrosée par l’Issole. Il est situé sur un coteau rocheux à une altitude de 325 mètres.

Sismicité modifier

La commune se situe en zone de sismicité : faible. Bâtiment existant de catégorie d'importance III[4].

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

On compte cinq sources sur la commune[5] :

  • Font Gayaou, première source alimentant le village ;
  • Font Vieille ;
  • Font Robert ;
  • Font Marcellin, appelée « la mère des eaux » ;
  • La Servette.

Cours d'eau modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 821 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 1,9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cuers », sur la commune de Cuers à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,3 °C, atteinte le [Note 1],[13],[14].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[15]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

La commune se situe sur la D 68 Garéoult - Méounes-lès-Montrieux, entre les départementales 12 et 43 qui relient Brignoles à Toulon.

Transports en commun modifier

Transports routiers modifier

Le transport collectif est assuré par le réseau régional "Zou !"[17].

Lignes SNCF modifier

Les gares SNCF les plus proches sont :

Aéroport en Provence-Alpes-Côte d'Azur modifier

Ports en Provence-Alpes-Côte d'Azur modifier

Histoire modifier

Il semblerait, comme en témoignent la grotte préhistorique de la Baume (abri sous roche) qui se trouve sous le village fortifié de Saint-Thomé, ou encore les vestiges romains trouvés au quartier de Trians (ruines de la chapelle Notre-Dame située à l'emplacement d'une ville gallo-romaine), que Néoules ait été depuis longtemps habitée. Cependant, les origines du peuplement restent méconnues. Le Regay, avent situé au sud-est du village, a livré de la céramique préhistorique[18] sans que l'on sache s'il s'agissait d'un habitat ou d'une réserve d'eau. Les âges du bronze et du fer n'ont, jusqu'à présent, livré aucun site archéologique. Il faudra attendre la mise en valeur de la plaine à l'époque romaine pour ainsi voir apparaître un certain nombre de fermes parmi lesquelles celles de Trians et du quartier Saint-Jean. Mais, à l'heure actuelle, il n'en reste aucun vestige architectural visible.

Le premier établissement de population s'est effectué sur le piton de Saint-Thomé en raison de sa double position géographique et stratégique. Au XVIe siècle, ce site fut abandonné au profit des terres agricoles où se sont constitués les hameaux de la Bataillère et Font Gayou, ainsi que le village actuel (qui s'appelait Ribière) et ce, autour du château édifié entre janvier et novembre de l'année 1585 (délai mentionné sur le devis de commande de l'époque) et de l'église Saint-Jean-Baptiste édifiée, elle, en 1565.

En 1200, le territoire fait partie de la seigneurie de Signes. Charle Ier, comte de Provence, fait son entrée en Provence en 1246 à Aix, tout d'abord, puis à Brignoles. À la suite d'une affaire criminelle, son autorité est reconnue. Dans l’enquête sur les droits et revenus de Charles Ier d'Anjou en Provence de 1252 (ERC n° 359-362), on lit qu’un hôpital existe alors sur le territoire. La même année, une autre enquête indique que l’hôpital se situe hors du castrum et que l’enceinte possède un portail (AD13, B 347). Mais Charles Ier ne conserva pas longtemps la seigneurie de Néoules. En effet, dans le cadre de sa politique de prise de contrôle des principales villes de Provence, la seigneurie de Néoules lui servit de monnaie d'échange avec plusieurs autres seigneuries ou parts de seigneuries (Signes, La Roquebrussanne, Méounes, Meynarguette, Le Béranger, Orves) afin d'acquérir la juridiction et les droits temporels détenus par l'évêque de Marseille. Cette transaction fut conclue le , et l'évêque de Marseille devint, de fait, le principal seigneur de Néoules, bien que le village appartienne au diocèse de Toulon.

Au XVIe siècle, le village (descendu de la colline Saint-Thomé au quartier Ribière) est possédé par plusieurs seigneurs (les sieurs Reybiol et Blancart, ainsi que l'évêque de Marseille).

À partir de 1657, un certain André Allard se met à acheter, petit à petit, les différentes parts de la seigneurie de Néoules, si bien qu'avant la fin du XVIIe siècle, il en est le seul et unique seigneur. Jean-François Allard[19], né en 1750, fut le dernier seigneur de Néoules. Thérèse Henriette lui succéda. Cette parente est devenue par la suite marquise de Grimaldi-Régusse, ce qui explique que les archives des Allard furent déposées au palais des Princes de Monaco.

En 1721, Néoules est atteint par l'épidémie de peste venue de Marseille, tuant plus de 300 habitants.

En 1908, à la suite de la révolte des vignerons de 1907, Néoules crée la deuxième cave coopérative du Var.

Héraldique modifier

  Blason
D'azur à trois noix d'or[20],[21],[22] .
Détails

Politique et administration modifier

Budget et fiscalité 2020 modifier

 
Mairie.

En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

  • total des produits de fonctionnement : 3 095 000 , soit 1 119  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 2 884 000 , soit 1 043  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 877 000 , soit 317  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 750 000 , soit 271  par habitant ;
  • endettement : 2 614 000 , soit 945  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 10,38 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,20 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 97,70 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 060 [24].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1874 1875 César-Frédéric Émeric    
1878 1881 Victor Émeric    
ca. 1893   M. Brémond    
Les données manquantes sont à compléter.

(décès)
Henri Émeric[25] (1885-1940) RG Président de coopérative vinicole
Réélu en 1935
Louis Joulian[26] (1895-1980) SFIO Commerçant
Élu en 1945, réélu en 1947 et 1953
Les données manquantes sont à compléter.
ca. 1980   Alphonse Rumello    
André Guiol (1954- ) PS puis TdP Ancien chef de bureau d'études
Sénateur du Var[27] (2020 → )
Conseiller général du canton de La Roquebrussanne (2008 → 2015)
6e vice-président de la CA de la Provence Verte (2018 → 2020)
Réélu en 2001, 2008, 2014 et 2020
en cours Christian Ryser[28] (1949- ) DVG Commerçant retraité, ancien 1er adjoint

Politique environnementale modifier

La commune fait partie du parc naturel régional de la Sainte-Baume, créé par décret du [29].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Néoules est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[30],[31],[32]. Elle appartient à l'unité urbaine de Néoules, une unité urbaine monocommunale[33] de 2 712 habitants en 2017, constituant une ville isolée[34],[35].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[36],[37].

Néoules dispose d'un plan local d'urbanisme[38] et relève du schéma de cohérence territoriale de la Provence verte, approuvé en [39].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,6 %), zones urbanisées (10,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), cultures permanentes (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 2 925 habitants[Note 4], en augmentation de 10,34 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
460513485611666627613598625
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
634630580599574420360342360
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
369337353318318323335305316
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3044393726191 1101 6172 2062 2642 486
2015 2020 2021 - - - - - -
2 6512 8872 925------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Santé modifier

Les professionnels et établissements de santé[46] les plus proches :

  • Médecins généralistes à Garéoult.
  • Dentistes à Garéoult.
  • Kinésitherapeute à Garéoult.
  • Infirmières à Garéoult.
  • Pharmacie ouverte au village en 2017.
  • Ophtalmologiste à Brignoles.
  • Hôpital à Brignoles.
  • Radiologie à Rocbaron et Brignoles.

Cultes modifier

Catholique, paroisse de Garéould, église Saint-Jean-Baptiste à Néoules[47], diocèse de Fréjus-Toulon.

Lieux et monuments modifier

  • Le château Renaissance, édifié en 1584[48] est aujourd'hui divisé en plusieurs habitations privées.
  • L'église Saint-Jean-Baptiste[49] édifiée en 1528 et agrandie en 1567, et sa cloche de 1723[50]. La première église paroissiale de Néoules était dédiée à saint Thomas[51].
  • Monuments commémoratifs[52] :
    • Monument aux morts[53] avenue de la Libération[54],
    • Plaque commémorative dans l'église Saint-Jean-Baptiste,
    • Conflits commémorés 1914-1918 et 1939-41945[55],
    • Conflits commémorés AFN - Algérie (1954-1962)[56].
  • Chateauloin (tour gardant l'entrée du village)[57].
  • La Pierre Plantée de Néoules[58] : signalé comme dolmen probable par le commandant Laflotte en 1929[59],[60], il ne s'agit pas d'une structure mégalithique mais d'un simple clapier comme l'a attesté une fouille de sauvetage entreprise en 1985 par Philippe Hameau[61].
  • La fontaine républicaine[62].
  • Bassin abreuvoir, lavoir[63].
  • Le château d'eau de l'avenue Font-Marcellin[64].
  • La ragaie de Néoules[65].
  • La grotte profonde de la Baume, abri sous roche, d'où jaillit la source Fouan Croutado[66].

Économie modifier

Agriculture modifier

  • Coopérative vinicole « L'Indispensable »[67]. C’est à Néoules que fut créée, en 1908, la seconde cave coopérative du Var. Elle a été agrandie en 1911[68].
  • Château de Trians, domaine viticole du XVIIIe siècle[69],[70].

Entreprises et commerces modifier

 
Centrale solaire photovoltaïque.
 
Festival 2019.
  • Brasserie artisanale « La Blonde & la Brune »[71].
  • Apiculteur ; Les Ruches de Saint Thomé ; Oliveraie du Peyronnier ; Truffes[72]...
  • Centrale solaire photovoltaïque dans le massif de la Verrerie, d'une puissance de 24 MWc, mise en service en 2012[73],[74].

Animation et tourisme modifier

  • Animations créées par l’association “Châteauloin-Chemins Pluriels”[75].
  • Le Festival des musiques du monde[76].
  • Création d'Esprit de Cirque[77]. Le chapiteau a été monté à l'année depuis [78].
  • L'hébergement touristique est assuré grâce à des gîtes et chambres d'hôtes[79]; commerces de proximité : café-restaurants "Les Vignes D'or" et "Lissole", pizzeria "La Campagnette"[80]...
  • Le patrimoine architectural du village[81] et les sites environnants offrent des promenades pour tous les publics.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. La commune de Néoules et le Pays d’art et d’histoire de la Provence Verte.
  2. Massif de la Verrerie.
  3. Randonnée Le Pilon Saint-Clément.
  4. Didacticiel de la règlementation parasismique
  5. Le patrimoine de la commune.
  6. Fiche cours d'eau L'Issole (Y5100600).
  7. L'eau dans la commune de Néoules.
  8. Schéma d'alimentation en eau potable : État des lieux.
  9. Fiche cours d'eau Ruisseau de la Foux (Y5101280).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Néoules et Cuers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Cuers », sur la commune de Cuers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « Cuers », sur la commune de Cuers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  17. Le transport en commun
  18. La céramique préhistorique -connaissance des techniques par la méthode expérimental
  19. Essais historiques sur le parlement de Provence : depuis son origine jusqu'à sa suppression, 1501 - 1790, Volume 1 Prosper Cabasse 1er janvier 1826, Pihan Delaforest : Jean-François Allard
  20. Val d'Issole : Néoules, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  21. À la sainte Marie-Madeleine
  22. Héraldique : Néoules
  23. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  24. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  25. Notice ÉMERIC par Jacques Girault, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
  26. Notice JOULIAN Louis, Paul. par Jacques Girault, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 25 juillet 2018
  27. Conseil municipal du 26-10-2020
  28. Guide des Maires » Néoules, sur le site amf83.fr (consulté le 2 décembre 2020)
  29. décret de constitution du Parc naturel régional de la Sainte-Baume
  30. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  32. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Unité urbaine 2020 de Néoules », sur insee.fr (consulté le ).
  34. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  35. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  36. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur insee.fr (consulté le ).
  37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  38. Plan local d'urbanisme
  39. Schéma de Cohérence Territoriale de la Provence verte
  40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. École, Collèges et Lycées
  46. Professionnels et établissements de santé
  47. Saint Jean Baptiste
  48. Le château
  49. L'église Saint Jean-Baptiste
  50. Notice no PM83000394, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Jean-Baptiste
  51. La première église paroissiale
  52. Monuments commémoratifs
  53. Monuments aux morts de la guerre de 1914-1918, sur dossiersinventaire.maregionsud.fr/
  54. Monument aux Morts avenue de la Libération, Plaque commémorative dans l'église Saint-Jean Baptiste
  55. Conflits commémorés 1914-18 et 1939-45
  56. Conflits commémorés AFN - Algérie (54-62
  57. Néoules-revue: études religieuses, histoire locale, questions agricoles, Volumes 1 à 3, 1899, 85 pages
  58. Dolmen de la Pierre Plantée
  59. La Pierre Plantée de Néoules, Commandant Laflottes, Bulletin de la Société préhistorique de France, Année 1929 Volume 26 Numéro 5 pp. 317-319
  60. La pierre Plantée de Néoules (Var), par Commandant Laflotte. Bulletin de la Société préhistorique française Année 1928 25-6 pp. 302-303
  61. Le dolmen de Néoules dit «La Pierre Plantée», Rapport de fouilles N°03513, 1985, Philippe Hameau, Direction régionale des Affaires culturelles Provence-Alpes-Côte d'Azur
  62. La fontaine républicaine
  63. Lavoirs du Var
  64. Le château d'eau de l'avenue Font Marcellin
  65. Le ragaie de Néoules, cavité « active » avec la présence d’une rivière souterraine
  66. Communes du Var, Grottes et sanctuaires, par Jeannine de Ridder et Émilie Michaud-Jeannin
  67. « coopérative vinicole L'Indispensable, enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur) », notice no IA83001355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  68. Néoules, village de la Provence Verte
  69. Domaine de Trians
  70. Le patrimoine et l'économie de la commune
  71. (fr + en)Brasserie Artisanale La Blonde & La Brune à Néoules, en Territoire Provence Verte et Pays de la Provence Verte
  72. Les Ruches de Saint Thomé
  73. NEOULES / La centrale solaire photovoltaïque a été développée par la société Akuo Energy et installée par Phoenix Solar avec des modules SunPower de technologie Monocristalline
  74. Ferme photovoltaïque de Néoules : Étude d'impact et suivi de travaux paysagers
  75. Festival de Néoules
  76. Le Festival Châteauloin
  77. Esprit de cirque à Néoules
  78. Conservatoire d'Art Equestre
  79. Hébergements
  80. Le village
  81. Le patrimoine architectural
  82. L'évêque de Marseille en est le seigneur principal, tandis que les d'Emenjaud, d'Arcussia ou Émeric, se partagent les parts restantes du pouvoir seigneurial
  83. Historique de la commune
  84. Provincia : bulletin de la Société de statistique de Marseille, Société de statistique, d'histoire de d'archéologie de Marseille et de Provence, juillet 1926
  85. Le château a été construit (ou reconstruit) en 1584 par François Blancard, co-seigneur de Néoules. Il y eut toujours plusieurs co-seigneurs à Néoules, jusqu’au dernier qui était Jean François Allard

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