Massignac

commune française du département de la Charente

Massignac
Massignac
L'office du tourisme.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Jean-Pierre Compain
2020-2026
Code postal 16310
Code commune 16212
Démographie
Population
municipale
378 hab. (2021 en diminution de 4,06 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 51″ nord, 0° 39′ 18″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 290 m
Superficie 23,93 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Massignac
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Massignac
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Massignac
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Massignac

Massignac (Massinhac en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Massignac est une commune située à l'est de la Charente, en Charente limousine, entre La Rochefoucauld et Rochechouart et limitrophe de la Haute-Vienne. Elle est sur le versant ouest de la vallée de la Haute Charente.

Elle est à 14 km à l'ouest de Rochechouart, 21 km à l'est de La Rochefoucauld, 41 km d'Angoulême, 47 km de Limoges, 26 km de Confolens, et 8 km à l'est de Montembœuf, le chef-lieu de son canton[1].

Elle est principalement traversée par la D 13, route d'Angoulême à Limoges par Rochechouart, au bord de laquelle le bourg est situé. Le bourg est aussi dynamique et important que son chef-lieu de canton.

D'autres routes départementales de moindre importance relient la commune à celles alentour. La D 163 va au nord-est vers Chabanais et au sud à Sauvagnac et Roussines en direction de Montbron ; la D 163bis va vers Les Salles-Lavauguyon en Haute-Vienne. La D 52 va au nord vers Lésignac et La Péruse. La D 94 va au nord-ouest vers Cherves-Châtelars et Chasseneuil.

De nombreuses routes communales desservent aussi les hameaux[2].

Hameaux et lieux-dits modifier

De nombreux hameaux occupent la commune : Mariaux, Lafont, le Cluzeau, Noyers, le Grand Village, et des hameaux plus petits (Servolles, les Grassias, le Petit Village, Portebœuf, etc.).

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

La commune est située sur les terrains granitiques et métamorphiques de la bordure occidentale du Massif central, qui occupe le quart oriental de la Charente et qu'on appelle Charente limousine. On trouve principalement du gneiss.

Une poche d'argile sableuse d'origine tertiaire est aussi située sur le plateau à l'ouest du Grand Village[3],[4],[5].

La commune se trouve aussi dans l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart, et on trouve des bréches qui servent de matériau de construction.

Le relief est celui des hauts plateaux du Limousin. Le point culminant, 290 m se situe au sud, mais une grande partie de la commune se trouve dans les 270 m d'altitude. Le point le plus bas, 218 m, est le lac du Mas Chaban sur la Moulde au nord de la commune. Le lac de Lavaud, au nord-est, est aussi à cette altitude.

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Charente, la Moulde, le Turlut, le ruisseau de l'étang de la Grange, le ruisseau du Cluzeau, le ruisseau du Mas de Lépi et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Moulde, un des premiers affluents de la Charente sur sa rive gauche, traverse la commune du sud au nord. La Moulde donne naissance au lac du Mas Chaban, lac artificiel dont la partie amont est sur la commune, entre le bourg et Servolles, et la D 13 en direction de Verneuil en traverse l'extrémité[8].

La Charente elle-même, qui prend sa source non loin à Chéronnac (Haute-Vienne), fait la limite communale à l'extrême nord-est avec Pressignac. Elle est occupée par la partie centrale du lac de Lavaud, deuxième lac artificiel de la Haute Charente.

Des ruisseaux se jettent dans la Moulde. D'amont en aval, on a le ruisseau du Cluzeau et le ruisseau du Mas de l'Épi en limite nord.

De nombreux étangs occupent aussi la commune. En plus des deux lacs de Haute-Charente, on a un chapelet d'étangs sur la Moulde en amont du bourg, qu'on appelle les Étangs, et de nombreuses petites retenues sur les affluents de la Moulde.

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat modifier

Comme toute la Charente limousine, le climat est océanique dégradé. La température est plus basse et les précipitations plus nombreuses que dans le reste de la Charente.

Végétation modifier

La commune est assez boisée, environ 30 %, et le terrain est surtout occupé par du bocage propice à l'élevage, principalement de la vache limousine mais aussi des ovins.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Massignac est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), forêts (14,7 %), terres arables (7,3 %), eaux continentales[Note 2] (4,4 %), zones urbanisées (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Massignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Massignac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 8,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 317 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 5 sont en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Massignac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Toponymie modifier

Le nom est attesté sous la forme Massinhaco (non datée)[22].

L'origine du nom de Massignac remonterait à un nom de personne gallo-romain Massinius, dérivant de Massius, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Massiniacum, « domaine de Massinius »[23].

Langues modifier

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[24]. Elle se nomme Massinhac en occitan[25].

Histoire modifier

Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1658.

Sous l'Ancien Régime, Massignac était le siège d'une seigneurie qui appartenait à la famille Dauphin. Cette seigneurie dépendait du comté de La Rochefoucauld. Cependant, le fief des Étangs, pourtant situé dans la même paroisse, relevait de la principauté de Chabanais.

Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par la minoterie de Servolles, sur la Moulde, ainsi que l'exploitation du bois.

D'importantes foires se tenaient le 19 de chaque mois[26].

Politique et administration modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Louis de la Guéronnière Ultraroyaliste  
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 En cours Jean-Pierre Compain UMP-LR Agriculteur retraité

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 378 habitants[Note 3], en diminution de 4,06 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 0901 1421 0621 2201 1101 1651 2661 2791 286
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 2361 2661 2021 2241 2781 3711 3001 3591 306
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 3791 2871 1151 030993987928751780
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
745620515451401410411392390
2021 - - - - - - - -
378--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 185 hommes pour 208 femmes, soit un taux de 52,93 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
2,0 
16,4 
75-89 ans
17,1 
21,8 
60-74 ans
22,9 
22,8 
45-59 ans
25,8 
17,3 
30-44 ans
11,6 
7,6 
15-29 ans
8,2 
12,4 
0-14 ans
12,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Commerces modifier

 
La place Centrale et ses commerces.

Tourisme modifier

 
Le lac au pied du bourg.
  • Le lac du Mas Chaban, sur la Moulde
  • Le Domaine des Étangs est un resort qui s'étend sur plus de 1 000 hectares de forêts, pâturages et étangs. Il comprend le château aménagé en hôtel de luxe 5 étoiles et disposant de deux restaurants gastronomiques, dont l'un est étoilé au guide Michelin, un centre de bien-être et de relaxation ainsi qu'un espace d'art contemporain. Le Domaine des Étangs comprend aussi une ferme comprenant un élevage de cerfs et 850 vaches de race limousine[33].

Équipements, services et vie locale modifier

Enseignement modifier

 
Massignac ancienne école catholique Saint-François-Xavier.

Massignac abritait une école catholique Saint-François-Xavier, fondée en 1892 par la comtesse de la Gueronnière.

L'école publique est un RPI entre Cherves-Châtelars, Lésignac-Durand et Massignac. Massignac accueille le primaire (école maternelle et école élémentaire), et Cherves et Lésignac les écoles élémentaires. L'école de Massignac comporte deux classe de maternelle et une élémentaire. Le secteur du collège est Montembœuf[34].

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Henri Salomon, né le à Massignac (Charente) et mort le , homme politique, député de la Vienne de 1876 à 1885.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Massignac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a et b Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Massignac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « la Moulde »
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Massignac », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Massignac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 50
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 440.
  24. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  25. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  26. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 236
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Massignac (16212) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  33. « Week-end au Domaine des Étangs, cuisine locavore et art contemporain », Madame Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  34. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  35. « Dolmen de Thauzat », notice no PA00104417, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 458-459

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Massignac sur le site du Pays Charente Limousine
  • Catillus Carol, « Massignac », (consulté le )