Roussines (Charente)

commune française du département de la Charente

Roussines
Roussines (Charente)
Le village vu depuis la mairie.
Blason de Roussines
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Raymond Martin
2020-2026
Code postal 16310
Code commune 16289
Démographie
Gentilé Roussinois
Population
municipale
299 hab. (2021 en augmentation de 12,41 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 43′ 26″ nord, 0° 37′ 16″ est
Altitude Min. 147 m
Max. 281 m
Superficie 16,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Roussines
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Roussines
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Roussines

Roussines (Rossinas en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Roussinois et les Roussinoises[1].

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Roussines est une commune du département de la Charente, ou Charente limousine. Elle est à la fois limitrophe des départements de la Dordogne au sud-est et de la Haute-Vienne à l'est.

Elle est sur la rive droite de la Tardoire, qui fait la limite de départements.

Elle est située à l'extrémité sud-est du canton de Montembœuf dont elle est à 8 km du chef-lieu. Elle est aussi à 11 km au nord-est de Montbron, 37 km à l'est d'Angoulême, 33 km au sud de Confolens, 51 km à l'ouest de Limoges, 11 km à l'ouest de Saint-Mathieu[2].

À l'écart des grands axes routiers, elle est traversée par de petites routes départementales. La D 50 passe au bourg, va au nord-ouest vers Le Lindois et Montembœuf, et au sud-est vers la Dordogne (D 699 et Busserolles). La D 163 dessert aussi le bourg, et va de Montbron à Chabanais par Massignac et Sauvagnac. La D 398 rejoint la D 27 qui fait la limite nord de la commune, toute de Montembœuf à Sauvagnac et Les Salles-Lavauguyon[3].

Hameaux et lieux-dits modifier

La commune comprend de nombreaux gros hameaux parfois presque aussi importants que le bourg : Lavallade, Magnanon, la Madrinie, le Montizon, le Boin, Écossas, et de nombreux autres hameaux et fermes[3].

Communes limitrophes modifier

Roussines est limitrophe de six autres communes dont une dans le département de la Dordogne et une autre dans celui de la Haute-Vienne.

 
Carte de Roussines et des communes avoisinantes.

Géologie et relief modifier

Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune appartient géologiquement à la partie occidentale du Massif central, composée de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

La commune est principalement occupée par le massif granitique de Saint-Mathieu, ainsi que par du gneiss sur la partie sud[4],[5],[6].

L'altitude moyenne est de 220 m, et les dénivelés sont assez importants, entre le point le plus bas, 147 m, situé sur la Tardoire à sa sortie de la commune au sud, et le point culminant, 281 m, situé au nord à la limite du Lindois. Le bourg est à 238 m d'altitude.

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Tardoire, le ruisseau de Montizon, le ruisseau de Logeat, le ruisseau de la Peyre, le ruisseau de Suchés et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est bordée au sud-est par la Tardoire, bassin de la Charente, qui fait la limite départementale, et qui coule du nord-est au sud-ouest. Le Suchés, affluent à l'est, prolonge vers le nord cette limite avec la Haute-Vienne.

D'autres ruisseaux affluents de la Tardoire traversent la commune du nord au sud : le ruisseau de Logeat, qui passe à l'est et que rejoint le ruisseau de la Peyre, limite avec Sauvagnac ; et à l'ouest du bourg le ruisseau de Montizon qui descend du Lindois et des étangs de la Grole en limite avec cette commune et de Montizon.

Le sol imperméable est propice à de nombreuses petites retenues d'eau et étangs, disséminés dans la commune.

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat modifier

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, avec des températures plus basses et des précipitations plus nombreuses que dans le reste du département.

Végétation modifier

La commune est assez boisée, à environ 50 %. Les prés sont principalement occupés par de l'élevage de la vache limousine.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Roussines est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,4 %), prairies (29,2 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), zones urbanisées (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Roussines est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Roussines.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 14,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 291 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 12 sont en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Roussines est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Toponymie modifier

Les formes anciennes sont Runciniis, Rossinis en 1280[22], Rossines en 1444[23].

L'origine du nom de Roussines remonterait à un nom de personne gallo-romain Ruscinius, ou Russinus dérivé de Russus, ce qui correspondrait à Russina villa, « domaine de Russinus »[24],[25].

Dialecte modifier

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[26]. Elle se nomme Rossinas en occitan[27].

Histoire modifier

Au nord de la commune, entre Écossas et la Courrière, au lieu-dit les Mottes, une enceinte circulaire (diamètre de 55 mètres) a été signalée au XIXe siècle. Il peut s'agir d'un ancien camp dont la datation reste à trouver, protohistorique ou médiéval[28]. Une entrée de cave ou de souterrain aurait été dégagée sur une longueur de trois mètres[29].

Au cours du Moyen Âge, Roussines se trouvait, comme Montbron, sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes. L'église de Roussines est l'une des sept églises charentaises à vénérer Jacques le Majeur[30],[Note 2].

Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1634.

Sous l'Ancien Régime, d'importantes forges se trouvaient au Montizon[31].

Le château d'Écossas appartenait à la famille Dauphin.

Au début du XXe siècle, la principale industrie de la commune était la fabrication de cercles pour barriques à partir des châtaigniers. L'élevage consistait principalement en porcs et veaux[32].

Administration modifier

 
La mairie et le monument aux morts.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1989 avril 2014 Roland Boiraud SE Retraité de l'agriculture
avril 2014 juillet 2020 Danielle Chagnaud SE  
juillet 2020 En cours Raymond Martin EELV Technicien de maintenance

Démographie modifier

Évolution démographique modifier


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 299 habitants[Note 3], en augmentation de 12,41 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 0509699119531 1641 2011 1261 1601 233
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0691 1021 1031 1271 1671 1381 1391 1261 065
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 0541 036939898772708712624577
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
504442396374301310311264283
2021 - - - - - - - -
299--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 44,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 138 hommes pour 149 femmes, soit un taux de 51,92 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
12,3 
75-89 ans
16,0 
33,9 
60-74 ans
27,5 
22,0 
45-59 ans
25,0 
8,4 
30-44 ans
11,9 
7,3 
15-29 ans
9,6 
16,1 
0-14 ans
10,1 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Commerces modifier

 
Place de l'Église.

Équipements, services et vie locale modifier

Enseignement modifier

 
La mairie-école et son immense tilleul.

Depuis la rentrée scolaire 2012 il n'y a plus de classe de maternelle à Roussines et la commune appartient désormais au RPI qui, outre Roussines, concerne Le Lindois, Mazerolles, Montembœuf, Saint-Adjutory et Vitrac-Saint-Vincent. Le secteur du collège est Montembœuf[39].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • La forge de Pont Rouchaud date de 1792[40].
  • L'église paroissiale Saint-Jacques date des XIe et XIIe siècles.
  • Château de Bellat (ruiné).

Personnalités liées à la commune modifier

  • Jean Faure, jurisconsulte à Angoulême. Né à la Vallade vers 1300, avocat talentueux et érudit du XIVe siècle, il est mort en 1340 et enterré au couvent des Jacobins, à Angoulême, à l'emplacement de l'actuel palais de justice[32].
  • Alexis Gellibert des Seguins, député de la Charente de 1827 à 1834 et maire d'Angoulême de 1835 à 1837, est mort à Roussines en 1859.

Héraldique modifier

  Blason
Parti : au 1er de sinople au taureau furieux contourné au naturel, au 2e d'or à l'arbre arraché de sinople, au canon de pourpre brochant en pointe sur la partition, le tout sommé d'un chef de pourpre chargé d'une rose d'or boutonnée et feuillée de sinople accostée de deux gerbes de blé d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. En Charente, les églises consacrées à Jacques le Majeur sont Saint-Jacques d'Aubeterre-sur-Dronne, de Cognac, de Conzac, de L'Houmeau à Angoulême, de Roussines, de Salles-de-Barbezieux et de Tusson, toutes situées sur ces chemins de pèlerinage secondaires.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Roussines » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Roussines », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Roussines », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Roussines », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 63
  23. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 168
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 577.
  25. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  26. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  27. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  28. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 153.
  29. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 323.
  30. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9,70
  31. « Forge de Montizon », notice no IA00066363, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 305-306.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Roussines (16289) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  40. « Forge de Pont-Rouchaud », notice no IA00066364, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Catillus Carol, « Roussines », (consulté le )