Grandvillers-aux-Bois

commune française du département de l'Oise

Grandvillers-aux-Bois
Grandvillers-aux-Bois
Église Saint-Eutrope.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Bertrand Candelot
2020-2026
Code postal 60190
Code commune 60285
Démographie
Gentilé Eutropiens
Population
municipale
302 hab. (2021 en diminution de 4,43 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 27″ nord, 2° 36′ 20″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 99 m
Superficie 6,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Grandvillers-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Grandvillers-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Grandvillers-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Grandvillers-aux-Bois
Liens
Site web https://www.grandvillersauxbois-beaupuits.fr/Grandvillers_aux_Bois_-_Beaupuits/Accueil.html

Grandvillers-aux-Bois est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Eutropiens et les Eutropiennes en hommage à saint Eutrope, patron du village.

Géographie modifier

Localisation modifier

Grandvillers-aux-Bois est une commune située à 69 km au nord de Paris, 38 km à l'est de Beauvais, 17 km à l'ouest de Compiègne et à 54 km au sud d'Amiens[1].

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Cressonsacq, Moyenneville, La Neuville-Roy et Rouvillers.

Communes limitrophes de Grandvillers-aux-Bois
La Neuville-Roy Moyenneville
  Rouvillers
Cressonsacq

Topographie et géologie modifier

Grandvillers-aux-Bois est une commune de transition entre la plaine d'Estrées et le plateau Picard, d'étendues planes. Ce dernier est parcouru par plusieurs vallées sèches : la fosse Quette et la vallée à Fromages à l'ouest convergent vers la vallée sinueuse de Grandvillers. Elle se prolonge au nord par la vallée de Beaupuits au niveau du hameau éponyme où se trouve le point le plus bas du territoire à 63 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le terroir culmine à 99 mètres au sommet de la fosse Quette, tandis que le chef-lieu et le hameau de Beaupuits se trouvent respectivement à 80 et 70 mètres. Plusieurs bornes géodésiques ont été implantées, la première à 92 mètres sur la route de Cressonsacq au sud-ouest et la seconde à l'arbre des Pauvres à l'est à 91 mètres d'altitude[2].

Hydrographie modifier

La commune n'est traversée par aucun cours d'eau permanent. Les talwegs orientent les ruissellements vers le bassin versant de l'Aronde situé au nord[2]. La vallée de Beaupuits est située au-dessus d'une nappe phréatique sous-affleurante[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 661 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 15 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Grandvillers-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hormis les espaces bâtis couvrant 20 hectares soit 3 % de la surface communale, le territoire comprend 96 % d'espaces cultivés sur 631 hectares ainsi que 2,4 hectares de vergers et de prairies. Les quelques larris boisés autour de Beaupuits, seuls éléments boisés, s'étendent sur 6,4 hectares soit 1 % du terroir[15],[2].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux et lieux-dits modifier

Le hameau de Beaupuits est situé à 1,5 km au nord du village[2].

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 133, alors qu'il était de 127 en 2013 et de 117 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 89,5 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Grandvillers-aux-Bois en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) inférieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Grandvillers-aux-Bois en 2018.
Typologie Grandvillers-aux-Bois[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 89,5 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,3 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 9,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports modifier

La commune est traversée par trois routes départementales : la RD 36, la RD 531 et la RD 531E. La principale voie de communication est la route départementale 36 reliant Jaux à Saint-Just-en-Chaussée traversant le village par la rue du bois de Coupelle. Elle permet d'accéder aux agglomérations d'Estrées-Saint-Denis et de Compiègne, les plus proches par la commune voisine de Rouvillers. La RD 531 se détache de la RD 36 au niveau du cimetière, passe sur la place de l'église rejoint Moyenneville en passant par la rue Saint-Lucien au hameau de Beaupuits. La RD 531E se détache de la RD 531 à Beaupuits par la rue de l'Épine et se dirige vers La Neuville-Roy[2].

Le territoire communal est tangenté à l'est par la ligne d'Ormoy-Villers à Boves, dont la station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Estrées-Saint-Denis à 4 km à l'est[1], desservie par des trains TER Hauts-de-France, express ou omnibus, qui effectuent des missions entre les gares Amiens et de Compiègne.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 662, 6301 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[17]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des huit points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[18]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6810) relie le village au groupe scolaire de Bailleul-le-Soc, avec les communes de Cressonsacq et Rouvillers[17].

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 36 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 51 km au sud[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

Risques naturels et technologiques modifier

La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[19].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Magno villare (657) ; Magnino villare (657) ; villa que vocatur grandum villare (1086) ; Grandis villare (1086) ; Grandviller alodium (1108) ; Grandi villaris (1116) ; Magni villoe (1136) ; Magni viler (vers 1140) ; rodulfus de grandivillari (1165) ; Granviler (1165) ; Radulfus de granviler (1165) ; Grandviller (1165) ; Grantviler (1165) ; de Magni villari (1187) ; Magnivillaris (1197) ; Magniviler (1197) ; Radulphus de grandivillari (XIIe) ; Grantviller (1202) ; Grandi villare (1206) ; Grandivillarium (1221) ; Grandvillaris (1232) ; de Grandivillari juxta Bellum puteum (1239) ; Grande villaris (1245) ; Grandviller lès la neuville le roy (1367) ; de Magno villari juxta villam nove ville regis (1369) ; Grandvilliers au bois (1606) ; Granville (1667) ; Grandviller aux Bois (1835) ; Grandviller au Bois (XIXe) ; Grandvillers aux Bois (XIXe)[20].

Du latin magnus, traduit au XIe siècle par Grand- et villare (« domaine rural »)[21].

Histoire modifier

En 1825, la commune de Granvillers aux Bois, instituée par la Révolution française, absorbe celle de Grandpuits, qui comptait, en 1821, 113 habitants recensés[22]

De 1891 à 1948, Grandpuits était desservi par la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. L'ancienne gare, au hameau de Beaupuits subsiste toujours aujourd'hui.

 
Horaires de la ligne en 1936.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1803 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité modifier

Grandvilliers-aux-Bois est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  1971[23] Louis Candelot    
1971 mars 2008 Jean-Marie Candelot[Note 3] DVD[24] Ingénieur en agriculture, fils de Louis Candelot
Vice-président de la CC du Plateau picard[Quand ?]
mars 2008 En cours
(au 6 juin 2023)
Bertrand Candelot   Agriculteur, fils de Jean-Marie Candelot.
Réélu pour le mandat 2020-2026[25],[26]

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

En matière d'enseignement primaire, les enfants sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal associant les communes de Bailleul-le-Soc,Cressonsacq, Rouvillers et Grandvillers-aux-Bois, dans lequel chaque village conserve son école.

En , 150 élèves fréquentent le regroupement. Une cantine a été créée ainsi qu'une bibliothèque, une salle informatique et une salle d'accueil périscolaire[27].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 302 habitants[Note 4], en diminution de 4,43 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
160142164124226224217207220
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
231254257283279293279281249
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
257255226215288288251251254
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
182163129159274263253253308
2014 2019 2021 - - - - - -
319306302------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 156 hommes pour 153 femmes, soit un taux de 50,49 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,7 
4,5 
75-89 ans
2,0 
15,6 
60-74 ans
15,1 
18,8 
45-59 ans
20,4 
24,7 
30-44 ans
24,3 
14,9 
15-29 ans
13,8 
20,8 
0-14 ans
23,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Eutrope, dont les fonts baptismaux sont du XIe siècle.
  • Chapelle Saint-Lucien de Beaupuits : bâtie à côté d’un monastère, elle a subi quelques transformations depuis sa construction, notamment la construction d'un clocher. Celui-ci date du début du XXe siècle. Autrefois, le bas de ce dernier était fermé par des portes et servait d’entrepôt pour les pompiers. Dans les années 1970, les portes furent supprimées et un arrêt de bus a été aménagé.
  • Ancien moulin à vent en ruines, entre le village et Beaupuits
  • L'Arbre des Pauvres : Il est situé sur un point stratégique (point culminant où les troupes françaises et allemandes envoyaient les éclaireurs pendant la Première Guerre mondiale) à la croisée de plusieurs chemins. Les « anciens » des villages voisins avaient l’habitude de se retrouver pour discuter sous cet arbre.
  • Site archéologique au lieu-dit la Sente du Moulin
  • Ancienne distillerie de Beaupuits
  • Ancienne gare de Beaupuits
  • Monument aux morts, dans le cimetière de Beaupuits
  • Calvaire, à l’intersection de la D 36 et la rue du Calvaire.
  • Croix, le long de la D 531, en sortie du village

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La salle des fêtes de la commune porte le nom de ce maire[23]
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a b c et d « orthodromie : distance à vol d'oiseau »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c d et e « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 31 mai 2017)..
  3. « Carte de remontée des nappes », sur inondationsnappes.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Grandvillers-aux-Bois et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Transports en commun à Grandvillers-aux-Bois », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
  19. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Grandvillers-aux-Bois », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 254.
  21. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Errance, , p. 125.
  22. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. a et b Lucien Djani, « Un poignant hommage à la mémoire de Jean-Marie Candelot à Grandvillers-aux-Bois : La salle des fêtes du village porte désormais le nom de l’ancien maire, décédé en 2020, qui a dirigé la commune pendant 37 ans. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu conseiller municipal en 1959, il devint maire en 1971, à la suite de son père Louis, durant 37 ans. Il fut à l’origine de nombreuses réalisations dans le village et sur le Plateau picard, dont il fut vice-président ».
  24. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  25. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Grandvillers-aux-Bois », Cartes de France (consulté le ).
  26. Réélu pour le mandat 2020-2026« Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  27. Sylvie Molines, « Terminée la cantine à la salle des fêtes : Les élèves disposent désormais d'une salle de restauration. Mais aussi d'un périscolaire », Courrier picard, édition Oise,‎ , p. 12.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Grandvillers-aux-Bois (60285) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).