François-Firmin Fricot
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François-Firmin Fricot, né le à Belfort et mort le à Château-Renard (Loiret), est un homme politique français.
| François-Firmin Fricot | ||
| Fonctions | ||
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| Député du bailliage de Mirecourt | ||
| – (2 ans, 5 mois et 30 jours) |
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| Gouvernement | Assemblée constituante de 1789 | |
| Groupe politique | Tiers état | |
| Député des Vosges | ||
| – (4 mois et 13 jours) |
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| Gouvernement | Convention nationale | |
| Député au Conseil des Cinq-Cents | ||
| – (1 an, 8 mois et 18 jours) |
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| Maire de Saint-Firmin | ||
| Consul de France à Ancône | ||
| Biographie | ||
| Date de naissance | ||
| Lieu de naissance | Belfort (Territoire-de-Belfort) | |
| Date de décès | (à 82 ans) | |
| Lieu de décès | Château-Renard (Loiret) | |
| Nationalité |  Française
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| Parti politique | Modérés | |
| Profession | Avocat Magistrat |
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| députés des Vosges | ||
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Biographie modifier
Fricot était, en 1767, avocat au Conseil souverain d'Alsace et, en 1776, procureur du roi au bailliage de Remiremont. Le 31 mars 1789, il fut élu député du tiers aux États généraux pour le bailliage de Mirecourt. Il assista au serment du Jeu de Paume.
En 1790, il fut nommé administrateur du district, juge au tribunal de Remiremont, et, le 6 septembre 1791, administrateur du département des Vosges. Nommé haut-juré dans les Vosges, en septembre 1792, il fut élu, le 11 novembre 1792, 4e suppléant à la Convention pour le même département. Il fut admis à siéger le 14 messidor an III, en remplacement de Bresson, arrêté comme Girondin. Peu après, il alla en mission en Alsace.
Le 21 vendémiaire an IV, il fut élu député des Vosges au Conseil des Cinq-Cents, redevint haut-juré en l'an VI, puis passa consul de France à Ancône, secrétaire général du ministère de l'Intérieur, enfin caissier de la loterie nationale.
Il se retira en 1802 dans le Loiret et devint maire de Saint-Firmin.
La Restauration lui offrit le poste de procureur du roi à Sarreguemines qu'il refusa, mais il fut nommé, le 21 avril 1819, juge de paix du canton de Château-Renard, fonctions qu'il remplit jusqu'à sa mort.
Le 1er septembre 1818, il fut autorisé à s'appeler désormais Frécot.
Sources modifier
- « François-Firmin Fricot », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
Liens externes modifier
- Ressource relative à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
