Bonjour,

Je travaille chez John Nollet et j'essaye depuis maintenant plusieurs semaines de modifier l'article en utilisant une nuance qui ne soit pas trop promotionnelle. Pourriez vous m'aider a faire la declaration afin que le bandeau "remuneration" disparaisse. De plus je vous envoie l'article que j'aimerai poster sur Wikipedia. N'hesitez pas a faire des modifications si vous trouvez que l'article est trop promotionnelle. Enfin, puisque nous avons lance le site internet nous aimerions que l'article soit mis a jour le plus vite possible.

John Nollet, né le 17 octobre 1970[1] à Courchelettes, est un coiffeur-hairdesigner et créateur de bijoux pour tête français. Célèbre pour ses coiffures sur mesure il est à l’origine de la maison John Nollet Paris et du concept “Hair Room Service Around The World”.

BIOGRAPHIE Né à Courchelettes, le 17 Octobre 1970, John se passionne pour la coiffure dès son plus jeune âge. Il est fasciné par les coiffures des mariages organisés dans le petit hôtel restaurant de ses parents A 8 ans, sa grand-mère maternelle lui offre une panoplie de coiffeur professionnel et l’abonne au magazine Coiffure de Paris[1]. Elle écrit une lettre aux sœurs Carita et réalise le rêve de son petit-fils lors d’une visite guidée du salon de coiffure Carita à Paris. Dès 1981, il fait ses premiers pas dans la coiffure dans un salon à Douai où il se voit confier de plus en plus de responsabilités. Il réussit trois ans plus tard à décrocher une place dans le salon de coiffure de Maurice Frealle, qui devient son mentor. À 18 ans, John Nollet passe un CAP coiffure à Prouvy Rouvignies. Il est embauché à Montpellier comme chef coiffeur dans un salon. Fabrice Ramalingom, son voisin de palier et danseur, lui présente Dominique Bagouet, chorégraphe renommé, à la tête de la Compagnie Bagouet à l’Opéra de Montpellier. Une rencontre qui permet à John de créer des coiffures pour la danse contemporaine. En 1992, Il est embauché, en tant qu’extra, pour Le Retour de Casanova, un film d’époque qui se tournait à Montpellier, ainsi que sur le tournage de Germinal[3]. En 1995, il décroche sa première place de chef coiffeur pour La Cité des Enfants Perdus, film réalisé par Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet aux côtés du couturier Jean-Paul Gaultier.

RÉALISATIONS John Nollet travaille sur le film l’Appartement où il fait la rencontre de Monica Bellucci. Il se met ensuite à travailler pour la mode et la publicité. Le professionnel continu à collaborer pour le cinéma. Il est notamment à l’origine du carré d’Amélie Poulain, et des dreadlocks de Jack Sparrow dans Pirates des Caraïbes. Au fil de sa carrière, des actrices françaises et internationales le sollicitent pour être coiffées lors d’événement majeurs, telles que Nicole Kidman lors du Festival de Cannes 2013 où elle fait partie du jury.]Monica Bellucci a également fait appel à son savoir-faire lors de la cérémonie d'ouverture du Festival de Cannes 2017, en tant que maîtresse de cérémonie ou encore[2]Sandrine Kiberlain, présidente du jury lors du Festival du film américain de Deauville 2018. En 2009, John Nollet part à la rencontre des femmes autour du monde pour les coiffer dans les suites des hôtels Park Hyatt de Dubaï, Milan, Moscou, Istanbul, Chicago, Buenos Aires, Shanghai ou encore Tokyo. Il devient au fil du temps le coiffeur renommé des stars pour son travail avec Isabelle Adjani, Catherine Deneuve, Mylène Farmer, Emmanuelle Béart, Uma Thurman mais également Gérard Depardieu et Vincent Cassel.

LE STYLE JOHN NOLLET En 2005, John Nollet devient le directeur artistique pour les produits professionnels de la marque L'Oréal. À l’ouverture de l’Hôtel Cheval Blanc de Courchevel en 2006, il propose alors le concept du Hair Room Service, un service unique où les femmes peuvent profiter d’un soin en position allongée. En 2011, il s’installe dans la suite 101 de l’Hôtel Park Hyatt Paris - Vendôme totalement rénovée pour l’occasion, un salon confidentiel où les clientes ont la possibilité de se faire coiffer par lui ou par l’un des coiffeurs qu’il a spécialement formés. Dans cet esprit, John Nollet à l’idée dès 2009, de créer une malle à coiffure sur-mesure avec des ateliers d'Asnières-sur-Seine de la Maison Louis Vuitton, malle qui le suit partout lors de ses déplacements[5],[6]. C’est en 2011 que le professionnel lance une collection d’accessoires haute couture en cheveux naturels, réalisés à la main grâce aux savoir-faire des Métiers d’arts, des ateliers Lemarié, Lesage, Hamon et Swarovski. En 2017, il fut aussi à la tête d’un pop-up au Château Marmont de Los Angeles, lors des Oscars et des Golden Globes[4]. Parallèlement à sa carrière de coiffeur, il réalise le clip “Dès que j'te vois”pour la célèbre chanteuse Vanessa Paradis et participe en 2010 à l’opération caritative Coiffeurs contre le sida où il réalise un calendrier avec des célébrités. Sa collaboration avec des marques comme Schiaparelli, Rimowa sur le thème Safari ou encore Bonpoint ont permis à John Nollet de se développer à l’international notamment aux Etats Unis et en Asie.

COLLECTIONS JOHN NOLLET PARIS Dès 2009, John Nollet imagine et dessine des accessoires et bijoux de têtes. Il crée par la suite, d’autres accessoires en collaboration avec des artisans reconnus pour leur talent et leur professionnalisme. Sa première collection, Feathers, voit le jour en 2014. En Juillet de cette même année, Colette, le concept store parisien, lui offre sa vitrine au cours de la semaine de la Haute Couture, afin de célébrer le lancement de sa collection. Cette collection d’accessoires est aussi vue dans des pop-up stores à Shangaï (L’avenue Mall), à Paris (Le Bon Marché), ainsi qu’à Los Angeles (Just One Eye). Aujourd’hui John Nollet offre 7 autres collections avec ses Maisons d’Art d’exception pour sublimer les femmes du monde.


Merci pour votre aide,

Bien cordialement,

John Nollet Paris

Bonjour. Suite à votre message sur ma page de discussion, mais aussi celle de Jules78120 (d · c · b).

Je pense que vous n'avez pas compris ce que souhaite être Wikipédia.

  • Tout d'abord, « le plus vite possible » n'existe pas sur Wikipédia ; lire Wikipédia:Il n'y a pas d'urgence.
  • Dans un second temps, il vous faut lire WP:AUTO.
  • Dans un troisième temps, comprenez que Wikipédia se construit par la synthèse de sources secondaires et indépendantes, de qualité. Le texte, ce storytelling ci-dessus, ne peut être publié sur Wikipédia. Seul un texte faisant une synthèse de sources pourrait être présent. Wikipédia n'est pas le site pour poser des communiqués de presse, n'est pas un autre réseau social, n'est pas là pour satisfaire vos envies de communication.
  • Enfin, « vous » ou d'autres contributeurs sont passés en force de multiples fois sur cet article que j'essayai de tenir au moins correct, que j'avais sourcé, sans jamais tenir compte des corrections, sans tenir compte des avertissements, en annulant systématiquement toutes modifications allant dans le sens des recommandations de Wikipédia, en utilisant plusieurs comptes, à copier coller un texte qui ne convenait pas, à importer des images non-libres de droitetc.. Le tout donc sans jamais faire l'effort de comprendre la notion de « travail collaboratif ». Vous insistez de nouveau avec ENCORE le même texte, le même que celui qui a été maintes fois corrigé, puis maintes fois supprimé. Il est donc clair que j'ai déjà passé beaucoup de temps sur cet article à corriger, à recorriger et à rerecorriger, je ne vais pas y consacrer cinq minutes de plus pour reprendre encore une fois le même texte, alors que chaque modification est annulée par vos soins (ou les autres multiples comptes). Le résultat, au final, est que l'article a été largement nettoyé de la moitié de son contenu (entre autres par Sijysuis (d · c · b)) et qu'il est maintenant bloqué en écriture par Hégésippe Cormier (d · c · b) pour tout nouveau contributeur, puis suivi par plusieurs contributeurs confirmés. Vous ne pouvez donc PAS publier ce texte. Seul un contributeur confirmé pourrait intervenir sur l'article, et ce ne sera pas moi, je suis fatigué d'avoir tant contribué pour rien sur ce sujet.

Salutations, --Arroser (râler ou discuter ?) 5 février 2020 à 17:50 (CET)Répondre