Sous-genres de la romance

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Bonsoir, merci pour vos modifications sur cet article. Pour la romance gothique, c'est moi qui l'avais rajoutée, mais je suis incapable de me souvenir pourquoi ni d'où je la sors   ! C'est vrai que je trouvais la romantic fantasy très limite mais comme elle était sur l'article en anglais, je m'étais dit que c'était peut-être normal. Comme vous avez l'air de vous y connaître, ça me confirme que ça n'avait rien à faire sur l'article. Pendant longtemps, j'ai eu un mal de chien à trouver un nom français pour l'"inspirational romance", c'est vrai que "romance religieuse" c'est parfait. Bonne soirée ! -- Guil2027 (discuter) 21 novembre 2013 à 23:56 (CET)Répondre

Sous-genres de la romance

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Bonjour,

N'ayant jamais utilisé le système de discussion, je ne sais pas du tout comment celui-ci fonctionne. J'espère donc répondre correctement à votre message (si ce n'est pas le cas, je suis pour une petite explication sur la marche à suivre)

J'ai retiré la romance Gothique car c'est un terme tout simplement faux. Le roman gothique reprend par définition des éléments de romance, et s'inscrit alors plus largement dans le roman fantastique. De la même manière, j'ai retirer "romantic fantasy" qui était tout simplement une aberration de catégorisation. La fantasy ayant une dimension épique, la romance peut s'inscrire dans le genre mais par définition même de la fantasy, la romance ne peut peut en être la ligne directive de l'intrigue. Par contre, certains articles que j'ai pris le temps de corriger on été re-modifié derrière moi, et donc on recommencé à mettre en avant de erreur et énormité. Je parle notamment de la bit-lit qui n'est pas un genre ni un sous-genre de quoi que ce soit mais une appellation commerciale, une marque déposée par Milady, un coup marketing purement et seulement français, pour catégoriser les romans de romance fantastique (et non romance paranormale qui est une aberration par son nom, les anglais n'ayant pas de vrai terme pour différencier les genres fantastiques, merveilleux et de fantasy). Je parle également de la fantasy urbaine, dont l'article à la base faux, l'est redevenu par l'intervention d'un internaute. La fantasy urbaine appartient à la fantasy et au merveilleux et n'a absolument rien à voir avec la romance fantastique, la bit-lit et ce genre de chose, bref rien à voir avec le fantastique...

Merci d'avoir pour votre message. En m’excusant d'avance de n'avoir probablement pas répondu correctement à la suite de votre message.

Kit

Bonsoir, je ne connais pas très bien la bit lit, la fantasy, romances fantastiques ou autres, j'en ai lu très peu. Si j'ai mis romance paranormale, c'est parce qu'avant j'avais mis roman d'amour paranormal et je voulais harmoniser avec le reste. J'y mets toutes les romances avec des loup-garous, des fantômes, des anges, des vampires etc... Mais il est possible qu'il y ait des genres différents à l'intérieur, je n'ai aucune certitude à ce sujet. Je vois que toutes vos modifications ont été annulées par ‎ChtiKorrigan. Ce serait mieux d'en discuter sur cette page, je vais lui demander d'expliquer son point de vue. Vous pourrez discuter plutôt que d'annuler mutuellement vos modifications sur les articles. Cordialement, -- Guil2027 (discuter) 23 novembre 2013 à 00:06 (CET)Répondre

Si ça peut aider, voilà ce que j'ai trouvé :

  • la définition de "romance fantastique" sur la page d'une maison d'édition ([1]) : « On entend par romance fantastique une histoire d'amour où l'un des protagonistes est une créature fantastique (vampire, ange, fantôme, loup-garou...). Les scènes d'amour sont du même ordre que celles de la romance, à savoir relativement soft, et donc accessibles à tous. A conseiller à un public amateur de bit-lit ou de fantasy. »,
  • ce lien d'Harlequin qui parle de "romance paranormale" ([2]) et ils définissent le genre paranormal : « Découvrez des histoires intenses où s’estompent les limites entre le réel et le surnaturel. Sombre et étrange sont les maîtres mots de ces romans caractéristiques de la littérature bit-lit. Ces livres sauront vous faire frissonner autant de peur que de passion. » ([3]).
  • Ils le différencient du genre fantastique : « Plongez au cœur de romans fantastiques qui vous emporteront dans des mondes imaginaires et magiques. Suivez les aventures épiques de nos personnages d’heroic fantasy et affrontez ensemble les obstacles qui se dressent devant eux. » ([4]).
  • Milady parle également de romances paranormales ([5]). -- Guil2027 (discuter) 23 novembre 2013 à 00:30 (CET)Répondre
J'ai supprimé une partie de ses contributions à cause de la neutralité de point de vue. Ses propos concernant la bit-lit sont typiques des nombreux détracteurs de ce genre récent. A l'origine la bit-lit était une collection du label Milady pour rassembler sous une seule étiquette plusieurs genres connus outre-atlantique sous les noms d'urban fantasy et de paranormal romance pour les plus représentés. Puis le terme a été repris par d'autres sans que Bragelonne n'y fasse barrage et c'est devenu, en France uniquement, un genre à part qui n'est plus vraiment de la fantasy urbaine et plus vraiment de romance paranormale. La bit-lit a d'ailleurs eu sa conférence au dernier salon du livre.
Et on parle bien de romance paranormale. Il n'y a qu'à faire une recherche internet pour comparer le nombre de résultats avec "romance fantastique". Le terme possède un sens plus large puisque le paranormal est aussi bien présent dans la fantasy (urbaine ou non) que dans le fantastique.
Laissez vos préjugés en dehors des articles. Les livres ne rentrent pas tous dans ces cases trop étroites. Une œuvre de fantasy urbaine n'est pas nécessairement que de la fantasy urbaine. Après tout, c'est de la fantasy avant d'être de la fantasy urbaine. Pourquoi ce ne pourrait pas être aussi de la romance paranormale et du policier ? Et pour casser les idées reçues, il y a des livres de bit-lit sans romance.
ChtiKorrigan (discuter) 23 novembre 2013 à 01:12 (CET)Répondre

Bonjour, j'espère avoir bien compris le système pour répondre à la discutions. Concernant la bit-lit, il s'agit bien d'une marque déposé dans le sens où elle correspondant effectivement à l'une des collections de Milady. Mais si ce terme est passé dans le langage courant, il n'est en aucun cas un genre ou un sous-genre. Les auteurs eux-même rejettent cette appellation "bit lit" qui est est décriée dans le monde du livre comme péjorative et synonyme de roman bas de gamme. Le véritable terme reste celui de la romance fantastique. Le problème, c'est qu'en affichant un article où la bit-lit est ouvertement dite "sous-genre", les lecteurs le croient les yeux fermés. Mais plus encore les jeunes auteurs qui, en plus d'être alors un peu perdus, ne comprennent plus les refus massifs des manuscrits dans les maisons d'éditions, et pour ceux qui parviennent à publier dans des structures un peu douteuses profitant de cela, pourquoi la presse et les critiques littéraires se rient de ces publications. C'est pour cela qu'il est important de noter que non, la bit-lit n'est pas un genre mais une marque déposée par Milady pour sa collection fantastique adolescente qui s'est popularisé dans le langage courant pour définir ce type de roman. Romance paranormal est la transposition littérale de l'anglais vers le français. Mais en français ce terme n'a pas de sens puisque paranormal intéresse autant le domaine de la SF que celui du fantastique. Hors, l'anglais le définit très bien comme appartenant au fantastique. Le fait que les recherches internet pointe plus vers ce terme est donc logique puisque la traduction littérale a été faite un jour. De copie en copie, le nombre de liens augmentent. C'est comme quand quelqu'un partage un "fake" sur les réseaux sociaux, le nombre de partage augmente de manière exponentielle, finit par atteindre des blogs puis des sites mettant en garde... et pourtant cela reste un "fake" et le trop peu de sites rétablissant la vérité seront noyez autours de tous ces liens. Internet n'est pas fiable. Et la preuve en est que certains articles wikipédia se font justement avoir. La preuve par quelques sources cités plus haut est qui sont effroyablement fausse (ed. Harlequin, spécialiste de romans d'amour, mais qui n'y connaissent absolument rien en littérature de l'imaginaire, mais exploite la mode commerciale de la romance fantastique) Concernant la fantasy urbain (mais plus généralement tous les genres) si vous étiez un minimum connaisseurs vous seriez que le mélange des genres est une pratique très courante et ne va pas à l'encontre de la définition des genres qui composent cette association dans le sens où leurs codes, s'ils ne sont pas opposés, sont parfaitement additionnables. Pour revenir à la fantasy urbaine, ce sont encore les Français qui ont amenés des incompréhensions quand à la multiplication des sorties de séries fantastiques pour adolescents.

Kit

"Sous-genre" n'est pas du tout employé dans un sens péjoratif, pourquoi croyez-vous ça ? C'est un genre littéraire qui fait partir d'une genre littéraire déterminé plus vaste, c'est tout. Comme la romance historique est un sous-genre de la romance, comme le roman policier ferroviaire est aussi un sous-genre du roman policier. Je ne sais pas du tout pour la bit lit (terme que je déteste, comme chick-lit ou porno soft), mais pour ce qui concerne les romances fantastiques, paranormales ou ce que vous voulez, Harlequin n'a pas attendu la mode actuelle pour en publier. La collection "Sixième sens" existait déjà en 1994 en France, donc encore plus tôt aux Etats-Unis ([6]). Et vu que la spécialité d'Harlequin c'est justement la romance, il me semble quand même intéressant d'avoir leur avis sur la question (en tout cas uniquement sur ce qui concerne la romance). Cordialement, -- Guil2027 (discuter) 23 novembre 2013 à 15:56 (CET)Répondre

Vous ne savez pas lire. Je n'ai jamais dit qu'un sous-genre avait une connotation péjorative. Lisez bien s'il vous plait. Je parlais du terme bit-lit. Et si, harlequin à bien surfer sur la mode de la romance fantastique qui dans les pays anglophones à débuté dans les années 80.

Vous résumez tout en une phrase : "Les auteurs eux-même rejettent cette appellation "bit lit" qui est est décriée dans le monde du livre comme péjorative et synonyme de roman bas de gamme."
Ces préjugés n'ont pas à interférer avec un article Wikipédia. Beaucoup d'éditeurs vendent de la bit-lit parce que les lecteurs plébiscitent ce genre. Vous vous comportez comme un élitiste parlant de "roman de gare". Vous n'aimez pas, point. Mais un article Wikipédia n'est pas une page de blog dans laquelle vous pouvez donner votre point de vue.
D'autre part Wikipédia relate les faits. Donc erreur de traduction ou non peu importe, si les gens appellent ça de la romance paranormale alors c'est de la romance paranormale. Wikipédia ne sert pas à rectifier des "erreurs" qui sont devenues la norme. Je le sais pour l'avoir tenté.
Enfin je cite : "Pour revenir à la fantasy urbaine, ce sont encore les Français qui ont amenés des incompréhensions quand à la multiplication des sorties de séries fantastiques pour adolescents." Les français n'y sont pour rien car, sauf quelques exceptions, ils traduisent et éditent des romans anglophones. La fantasy française était presque inexistante au XXe. Le tort des éditeurs français a été de rejeter la fantasy qu'ils classaient en jeunesse, en SF ou en fantastique. Et tandis que la fantasy est devenu à la mode grâce au cinéma, les professionnels du livre ont du mal à lui faire la place qu'elle mérite. De fait, on met en fantasy des oeuvres jusque là classé en fantastique, en SF ou en jeunesse et ça perturbe.
PS: La bit-lit n'est pas une collection adolescente. Des romans étiquetés "bit-lit" chez nous sont interdits aux mineurs dans d'autres pays. Vous devez confondre Milady avec Castelmore, autre label de Bragelonne, qui publie des romans Young Adult souvent associé à la bit-lit par des personnes qui confondent bit-lit et romance paranormale.
ChtiKorrigan (discuter) 23 novembre 2013 à 17:45 (CET)Répondre
Dites-donc Kit, je sais parfaitement lire mais vos explications ne sont absolument pas claires. C'est quand même vous qui avez écrit qu': « en affichant un article où la bit-lit est ouvertement dite "sous-genre", les lecteurs le croient les yeux fermés. Mais plus encore les jeunes auteurs qui, en plus d'être alors un peu perdus, ne comprennent plus les refus massifs des manuscrits dans les maisons d'éditions ». Sans parler du fait que vous n'avez apporté aucune source pour soutenir votre discours depuis le début. J'ai vérifié dans le guide de Kristin Ramsdell, Romance fiction - a guide to the genre (édition 2012) [7], les romances futuristes, paranormales, fantasy et fantasy urbaine sont classées dans la catégorie "Alternative reality romance" et leur venue date plutôt de la fin des années 80/années 1990. Et Harlequin en publiait déjà, vous n'avez pas l'air de bien vous y connaître. Une romance doit avoir pour sujet principal : l'histoire d'amour et doit obligatoirement se terminer par un happy-end. Il peut y avoir du fantastique, du polar ou des vampires mais ce n'est que le décor. Si la bit-lit n'entre pas toujours dans cette définition alors on ne peut pas l'assimiler à la romance. Et je confirme que j'ai trouvé beaucoup plus de sites sur google parlant de romance paranormale plutôt que romance fantastique. C'est sûr que des pages internet, ce n'est pas le top mais c'est très difficile de trouver des sources sérieuses en français sur le sujet car si la science-fiction est maintenant beaucoup mieux considérée par les universitaires et le milieu littéraire, ce n'est pas encore le cas de la fantasy (mais je pense que ça peut évoluer). Par contre pour la romance, on en est très très loin : la réaction méprisante et moqueuse des médias et du monde littéraire face au phénomène 50 nuances de grey est très révélatrice. -- Guil2027 (discuter) 24 novembre 2013 à 01:36 (CET)Répondre

Comme je le disais, vous ne lisez pas... et vous ressortez des choses que j'ai déjà dites. Mais ce n'est pas grave. Je n'insisterais. Si vous souhaitez garder des informations fausses, ce n'est pas à moins d'essayer de vous faire changer d'avis. Et juste pour le détail, vous me faites doucement rire en mentionnant "50 nuances de grey" : pour commencer l'avez-vous lu ? car si pour ce "phénomène" il y a eut réaction moqueuse des médias et du monde littéraire c'est que c'est véritablement mauvais (et cela n'a aucun rapport avec la romance en général, bien que celle-ci a des difficultés à être prise au sérieux parce qu'elle est avant tout de la littérature féminine... et que le monde de l'édition reste très machiste, quoi qu'on en dise). Au revoir à tous.

kit

Non je ne l'ai pas lu mais on s'en fiche de savoir s'il est bien ou pas, quel est le rapport ? Même s'il avait été fantastique, il aurait de toute façon été critiqué puisqu'il s'agit d'un roman d'amour. Je ne vais quand même pas vous apprendre l'ostracisme dont est victime le roman d'amour, non ? C'est vous qui me faites rire, "50 nuances de grey" ne serait pas une romance selon vous ? Je commençais à me douter qu'en fait vous ne saviez pas ce qu'était une romance et vous venez de confirmer mes doutes. Je suis sûre que Julie Garwood, Judith McNaught ou Bertrice Small n'évoquent rien pour vous. En fait, vous ne connaissez rien à la romance, vous ne savez même pas de quoi vous parlez. J'en ai lu des centaines depuis une quinzaine d'années, je fréquente régulièrement le site Les Romantiques, j'ai lu des livres en anglais sur le sujet alors commencez déjà par vous renseigner sur ce qu'est une romance et après vous pourrez venir nous donner des leçons. Cordialement,-- Guil2027 (discuter) 25 novembre 2013 à 00:11 (CET)Répondre

Là où vous faites erreurs, c'est que ce n'est pas parce qu'un roman appartient à la romance qu'il se retrouve pris dans le jeu de la mauvaise critique. Il sera évidemment critiquer (= Analyser, juger des ouvrages) par la presse et critiques littéraires, comme tous les livres publiés. Pour information, "50 nuances de grey" est un roman érotico-sado-masochiste (je vous l'accorde, c'est moche comme terme). Et comme je l'ai dit précédemment << la romance en général a des difficultés à être prise au sérieux parce qu'elle est avant tout de la littérature féminine... et que le monde de l'édition reste très machiste, quoi qu'on en dise >>. Et pour votre gouverne, si, je sais qui sont Julie Garwood, Judith McNaught, Bertrice Small, mais je préfère largement des romans ayant une romance qui ne soit pas si prédominante et s'intègre à une intrigue plus large (quoi que je dit ça et m'emballe... mais la série Skye O'Malley ou des Lairds des Highlands y correspondent) comme dans les livres de Jacqueline Monsigny ou Anne Golon, ou bien qui soit intégré dans un roman engagé, comme c'est le cas de l'oeuvre de l’excellente Jane Austen. Donc apprenez à ne pas juger une personne que vous ne connaissez pas.

Kit

Vous êtes gonflée, c'est vous qui nous jugez depuis le début. Pour votre information, "50 nuances de grey" est une romance érotique et non un roman érotique. Il n'est pas le premier du genre d'ailleurs (contrairement à ce que croient tous les médias). Êtes-vous capable de me citer une romance, à part "50 nuances de grey", qui ait fait l'objet d'une critique littéraire en France ? voire même un entrefilet dans un journal ? Il faut être réaliste, personne n'en parle nulle part. Les romances constituent un genre totalement oublié et méprisé. En plus en France, rares sont ceux qui savent faire la différence entre un roman d'amour et une romance. Les gens croient que tous les romans d'amour sont construits de la même manière mais c'est faux. Une romance obéit à des codes. Vous dites que vous préférez les romans n'ayant pas une romance si prédominante. Mais l'histoire d'amour doit absolument prédominer dans une romance, c'est le principe même de ce type de roman d'amour ! La série des Skye O'Malley sont des romances (même si l'héroïne connaît plusieurs amants) et pour les Lairds des Highlands, je préciserais même que ce sont des romances historiques. Par contre, les romans de Jane Austen ne sont pas du tout des romances. Et même si son œuvre a inspiré de nombreux auteurs (Georgette Heyer, Mary Balogh), ce n'est pas du tout le même niveau de littérature. -- Guil2027 (discuter) 25 novembre 2013 à 02:31 (CET)Répondre

Raison et sentiments/Orgueil et préjugés/Persuasion de Jane Austen, pas de la romance ? Eh bien ! J'en ai lu des belles mais des comme celle-ci ! Je ne pensais pas lire une telle bêtise... Mais vous avez raison sur un point : ce n'est pas le même niveau de littérature.

Je vous dis au revoir pour ne plus revenir.

C'est vous qui racontez des stupidités ! Comment peut-on écrire qu'Orgueil et préjugés est une romance ?? C'est un roman social, de mœurs, d'amour mais une romance bien sûr que non. Si vous n'êtes pas capable de faire la différence entre Jane Austen et un auteur comme Bertrice Small, c'est quand même inquiétant. Et pour votre gouverne, j'ai consulté le guide de Kristin Ramsdell sur tous les sous-genres de romance et la romance gothique existe belle et bien, c'est un dérivé du roman gothique. Comme quoi, vous ne racontez vraiment que des âneries. C'est certain qu'on ne vous regrettera pas ! -- Guil2027 (discuter) 26 novembre 2013 à 01:31 (CET)Répondre

Roman de mœurs et romance ne sont pas incompatible... Pour votre gouverne, romance est un anglissisme pour qualifier les romans d'amour anglo-saxons... Mais je ne vous apprends rien. Et comme vous savez si bien lire votre guide, vous allez pouvoir en corriger des articles wikipédia alors ! Enfin ! Je ne vous regretterais pas non plus. Et j'aurais une anecdote à raconter au moins.

Hum... La romance n'est pas un anglicisme pour qualifier le roman d'amour. C'est un type de roman d'amour développé chez les anglophones. Les anglophones parlent d'ailleurs de en:romance novel pour la romance et de en:sentimental novel pour le roman d'amour. Pour la différence entre les deux c'est pareil que pour la SFFF. Les non-initiés ne savent pas faire la différence entre SF, fantasy et fantastique, surtout si on rajoute la fantasy urbaine et la science fantasy par exemple. ChtiKorrigan (discuter) 26 novembre 2013 à 11:06 (CET)Répondre

Romance novel relates the loving feelings. In French speaking well "roman d'amour or romance". Sentimental novel relates the novels of the 18th century dealing with sensitivity, emotional and intellectual feelings, distress. The literature focused on the weakest members of society, such as orphans and convicted criminals, and allowed readers to identify and sympathize with them. Loving feelings are not necessarily present.

According to Romance Writers of America, two basic elements comprise every romance novel: a central love story and an emotionally satisfying and optimistic ending.
A Central Love Story: The main plot centers around individuals falling in love and struggling to make the relationship work. A writer can include as many subplots as he/she wants as long as the love story is the main focus of the novel.
An Emotionally Satisfying and Optimistic Ending: In a romance, the lovers who risk and struggle for each other and their relationship are rewarded with emotional justice and unconditional love.
And I quote : "Paranormal Romance: Romance novels in which the future, a fantasy world, or paranormal elements are an integral part of the plot."
Read and see, instead of prejudging.
ChtiKorrigan (discuter) 26 novembre 2013 à 14:32 (CET)Répondre
Exactement, une romance est seulement un type de roman d'amour anglo-saxon. Autant en emporte le vent n'est pas une romance, les romans de Danielle Steel ne sont pas non plus des romances. Si Et si c'était vrai ou Sept jours pour une éternité de Marc Levy peuvent être assimilés à des romances, ce n'est pas du tout le cas de Où es-tu ? par exemple. Cassandra O'Donnell est un auteur français mais elle suit les codes du genre "romance". D'ailleurs, comme vous le dites vous-même, il s'agit d'un anglicisme. ça ne fait pas très longtemps qu'il est utilisé en France (dans ce sens-là). C'est venu progressivement d'internet (je pense vers la fin des années 2000) et ça a été récupéré par les éditeurs (alors que pourtant ils en publient depuis la fin des années 70). Depuis la sortie de "50 nuances de grey", le mot commence à être de plus en plus utilisé dans les médias traditionnels. -- Guil2027 (discuter) 26 novembre 2013 à 22:41 (CET) Si vous voulez savoir ce qu'est exactement une romance, voici une conférence qui a eu lieu pendant le salon du livre en mars dernier : [8]. -- Guil2027 (discuter) 27 novembre 2013 à 01:26 (CET)Répondre

Fantasy urbaine, romance paranormale et bit-lit

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Bonjour, merci pour ta participation, l'article fantasy urbaine manque cruellement de source. Mais il faudrait respecter davantage la neutralité de point de vue qui est l'une des bases de Wikipédia. Ton point de vue sur l'état actuel de la fantasy urbaine suite à l'édition boulimique de romances paranormales dans des univers de fantasy urbaine, rassemblés en France sous le terme marketing bit-lit - qui est depuis devenu un sous-genre à succès (mais il n'est pas dit qu'il perdura) -, n'a rien à faire dans un article. Par ailleurs tu restreins la bit-lit à de la romance fantastique alors que la bit-lit se voulait un concept commercial qui réunissait plusieurs sous-genres dont principalement la fantasy urbaine et la romance paranormale (cf sources). On parle de bit-lit tandis que les anglophones parlent d'urban fantasy et de paranormal romance. ChtiKorrigan (discuter) 23 novembre 2013 à 00:21 (CET)Répondre