Discussion:Pape

Dernier commentaire : il y a 11 mois par Ariel Provost dans le sujet Nom du pape
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Le chapeau est pourri modifier

Le "chapeau" introductif au début de l'article est de piètre qualité. Ce n'est pas une synthèse de l'article, ni même une définition du terme. Au minimum, il faudrait retrier les paragraphes pour commencer par le plus important et faire plus court, et en profiter pour retirer la citation de Voltaire qui n'a pas sa place dans le chapeau.

Cela donnerait :

Dans l'usage français reconnu par les dictionnaires usuels, et quoiqu'il ne résume pas la totalité de l'usage francophone, le terme de pape employé sans plus de précision désigne l'évêque de Rome, chef de l'église catholique romaine et chef temporel de l'État du Vatican, actuellement Benoît XVI.

C'est dans ce sens seul que ce terme est employé dans cet article ainsi que dans les autres articles traitant des papes, sauf mention contraire.

Toutefois, ce titre est également porté par le chef de l'Église copte orthodoxe, actuellement le pape Chenouda III qui réside au Caire, en Égypte.

Le titre de pape n'est réellement apparu qu'à partir du concile de Nicée en 325. Le Concile de Chalcédoine[1], effaçant l'attelage de trois métropolites, accorde en 451 le titre de Pape, assorti de la primauté sur tous les autres évêques, au seul métropolite de Constantinople. Jean Guyon[2] dit que le premier évêque monarchique de Rome fut Victor Ier (180-199). Le premier évêque de Rome a être désigné par le titre de « Pape » fut Calixte Ier (217-222).

La théologie catholique fait, elle, remonter la lignée des papes à l'apôtre Pierre. S'appuyant sur une lecture de l'Évangile, elle affirme que le rôle de l'apôtre de présider à l'unité de l'Église a été énoncé par le Christ, ce qui s'exprime dans l'évangile de Matthieu : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église... je te donnerai les clefs du Royaume des cieux » (Mt 16. 18-19) et dans l'évangile de Jean, par les paroles : « Simon [Pierre], (...) Pais mes agneaux... Pais mes brebis » (Jn 21. 15,16,17). Ainsi, l'Église catholique romaine considère que les papes se sont succédé en une lignée ininterrompue depuis Saint Pierre.

  1. Walter E. Kaegi, professeur à la Chicago University, in le Monde de la Bible de novembre 2003 : les défaites de Byzance en Orient
  2. Des origines au Ve siècle. Naissance de la Rome chrétienne, in Le monde de la Bible, hors série automne 2007

--Geo115fr (d) 26 juin 2009 à 17:15 (CEST)Répondre

C’est moi qui ai écrit ce chapeau pourri, mais je ne suis pas contre ta proposition. Cela dit, je crois que le principal problème est que ce chapeau est trop long. Il faudrait plutôt en faire un paragraphe à part, « définition du mot » par exemple, à placer avant « origine du mot ». L’inconvénient d’un chapeau trop long est qu’il envoie la table des matières au diable Vauvert. Švitrigaila (d) 26 juin 2009 à 21:32 (CEST)Répondre
Je suis d'accord. Pour faire encore plus court, on pourrait juste écrire :

Dans l'usage français reconnu par les dictionnaires usuels, et quoiqu'il ne résume pas la totalité de l'usage francophone, le terme de pape employé sans plus de précision désigne l'évêque de Rome, chef de l'église catholique romaine et chef temporel de l'État du Vatican, actuellement Benoît XVI. C'est dans ce sens seul que ce terme est employé dans cet article ainsi que dans les autres articles traitant des papes, sauf mention contraire. Toutefois, ce titre est également porté par le chef de l'Église copte orthodoxe, actuellement le pape Chenouda III qui réside au Caire, en Égypte.

Le titre de pape n'est réellement apparu qu'à partir du concile de Nicée en 325. Le premier évêque de Rome a être désigné par le titre de « Pape » fut Calixte Ier (217-222). La théologie catholique fait, elle, remonter la lignée des papes à l'apôtre Pierre.


--Geo115fr (d) 4 juillet 2009 à 18:57 (CEST)Répondre

Déplacé du Bistro :== Trop plein d'articles papaux == modifier

Note : le texte ci-dessous a été déplacé depuis le Bistro de Wikipédia. --Teofilo @ 23 avr 2005 à 23:57 (CEST)


Je me balladais sur les pages aléatoires quand j'ai fini par tomber sur un article d'un pape du IXe siècle, Étienne VI, ce brave homme. Considérant l'article ébauché, j'ajoute un { { ébauche } } et puis clique sur «Commankils'appelle, leupap' suivant ??» pour tomber sur une page aussi peu ébauchée que la première (typiquement : alors lui il est mort comme ça après avoir régné pendant deux lunes.) Quel intérêt ?
Je veux bien croire qu'il y a un intérêt certain à laisser des pages «en chantier» pour stimuler la création, mais là, ce sont vraiment un tas de pages inutiles qu'il serait plus utile de mettre en tableau... ne serait-ce que pour faire des statistiques (alors on va jouer à un jeu... Tu devines combien de temps ont duré tous les Étienne réunis, à 50 ans près, et tu as le droit de faire joujou avec la Wikipédia quelques heures encore !), ou simplement pour favoriser la création de _vrais_ articles quand c'est nécessaire. Je doute que jamais personne n'ajoute plus de choses (assez pour que ça nécessite un article) au sujet de Étienne VI. Pourquoi d'ailleurs ne pas les regrouper par siècle, par fonction, ou que sais-je ?
— Nucleos 14 avr 2005 à 21:50 (CEST)

Ces pages ne sont pas inutiles. C'est une question de rigueur que d'attribuer le même traitement à des articles de mêmes ordres. Les articles de papes ne doivent pas être traités selon 2 ou 3 règles différentes. Treanna °¿° 14 avr 2005 à 22:32 (CEST)

Rien n'empeche de faire des listes et des tableaux synthétiques. Mais je ne vois pas de raison de supprimer des ébauches pour autant. Pourquoi faire l'un ou l'autre alors qu'il n'y a aucune raison de ne pas faire l'un et l'autre? Nicnac25 berdeler 14 avr 2005 à 22:50 (CEST)

Par contre il existe des tas de papes sur qui on ne sait vraiment rien : qu'ils aient leur page ne me gène pas du tout, mais peut-être qu'il n'est pas nécéssaire de parler d'ébauche, dans le cas où il est impossible de compléter l'article faute d'infos. (->Jn)
Avant de retirer le bandeau d'ébauche, il faudrait tout de même que l'article indique explicitement que c'est là tout ce qu'on sait, et d'où ce savoir vient. Marc Mongenet 15 avr 2005 à 01:53 (CEST)
Y'a plein de choses à dire sur Étienne VI ; le concile cadavérique, c'est quand même croustillant, et là c'est à peine ébauché. Mais c'est vrai que les querelles entre Spolétains et Formosiens n'interessent plus grand monde. Petrusbarbygere 15 avr 2005 à 03:24 (CEST)
Si, si ! Ça nous intéresse ! Voudrais-tu nous raconter ça ici : Concile cadavérique ? Merci.
Roby  15 avr 2005 à 07:44 (CEST)
Il l'a fait! J'adore wikipédia :o) Gadjou 15 avr 2005 à 10:49 (CEST)
En espèrant que vous y trouverez quelque interet. Et une explication sur les brefs pontificats de l'époque... Aux Nantais d'aller prendre en photo le tableau du Musée des Beaux Arts (premier étage je crois) .Petrusbarbygere 15 avr 2005 à 11:19 (CEST)
Merci à toi, Petrusbarbygère, pour ce beau geste wikipédien ! Magnifique ! Roby  17 avr 2005 à 08:45 (CEST)

Il ne faut jamais douter qu'on puisse écrire un livre complet sur le sujet le plus insignifiant à nos yeux. Sur Wikipédia, la seule chose importante est de savoir si le sujet est encyclopédique ou non. Et puis, avoir un article par pape n'empêche pas d'avoir un article de synthèse (voir par exemple : Pharaons par ordre chronologique). Aineko 15 avr 2005 à 04:53 (CEST)

Et il y aura un jour les articles Réactions à l'annonces du décès du pape Étienne VI et Listes des personnalités invités à l'enterrement du pape Étienne VI ? Treanna °¿° 15 avr 2005 à 07:59 (CEST)
Héhé... :o) Hégésippe | ±Θ± 15 avr 2005 à 09:31 (CEST)
J'ai complété Étienne VI. Ce n'est pas le record du monde de longueur d'articles, mais on a vu bien pire (surtout qu'on aurait pu intégrer concile cadavérique dans l'article)... Jastrow  15 avr 2005 à 12:15 (CEST)

Le problème était le même pour les rois mérovingiens et je suis entrain peu à peu de rédiger les articles. Il faut les laisser les articles sur les papes, à terme ils seront complétés -Semnoz 19 avr 2005 à 09:48 (CEST)


=== L'article conteste la tradition faisant de Pierre le premier Pape. Pourtant, les textes anciens sont trés souvent fidéles et précis, malgrés ce que l'on peut croire. C'est au contraire trés facile de leur dénier toute vérité, de parler de délire. Mais alors cela détruit le texte tout entier, ce qui n'est pas trés honnette intellectuellement.

"En effet, jusqu'au 5ème siècle, le terme pape est utilisé pour désigner n'importe quel évêque sur le mode affectueux. Durant 400 ans, l'évêque de Rome a donc été un évêque comme els autres. Adoncques, il n'est pas péremptoire d'affirmer que la liste des premiers papes à Rome descendants de l'installation de Pierre est une belle légende."

Confusion mot/notion.

Pontifex maximus est trés anciens, mais l'effondrement de la religion romaine à libéré le mot pour cette fonction que nous appelons pape aujourd'hui -et qui ne devait pas être exactement ce qu'elle est aujourd'hui, étant donné les nombreux conciles.

La citation de l'article ne s'y trouve pas. Es-tu sûr que tu as consulté l'article actuel? Jyp 19 mai 2005 à 09:15 (CEST)Répondre

Réponse à Utilisateur:Clio64 modifier

Je ne sais pas si les quelques lignes ajoutées par moi en introduction à l'article pape était redondantes ou non mais ce que je sais c'est que la présentation initiale arbitrairement rétablie par vous n'est ni claire ni exacte historiquement. Ce n'est pas l'Église catholique qui a pour pape l'évêque de Rome, c'est le pape de Rome qui est devenu le chef suprême de l'Église catholique. À ne pas savoir distinguer les trois sens successifs et actuellement coexistant du mot pape, on embrouille tout. J'avais déjà signalé sur cette même page l'existance du "pape et patriarche orthodoxe d'Alexandrie ..." J'irai donc voir ailleurs, mais je suis tranquille, j'ai le pape avec moi puisqu'il a réhabilité Galilée ! Marge 16 décembre 2005 à 23:18 (CET)Répondre

Lien externe mort modifier

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, et dans le cadre du projet correction des liens externes un lien était indisponible.

Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Si le lien est disponible, merci de l'indiquer sur cette page, pour permettre l'amélioration du robot. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 23:38 (CET)Répondre

Grain de sel modifier

Voici plusieurs mois que le dialogue était interrompu sur cette page parce que toute tentative de correction des erreurs de l'article était aussitôt repoussée (sans discussion) et que le présent espace de discussion était surchargé et de ce fait illisible. J'ai donc archivé en Archives2 toutes les interventions du 18 décembre 2003 au 31 décembre 2004. Peut être sera-t-il possible d'instaurer ici comme c'est le cas ailleurs sur Wiki un véritable esprit encyclopédique, de réflexion, de perfectibilité et d'écoute. Cordialement. Marge 23 avril 2006 à 16:46 (CEST)Répondre

Origine de la fonction du pape romain modifier

La traduction en anglais de Mt 16, 18 donne : « And I tell you that you are Peter, and on this rock I will build my church, and the gates of Hades will not overcome it. » Donc même si le jeu de mot sur Pierre n'est pas concervé en anglais, le sens général de la phrase est néanmoins conservé.Pautard (d) 25 août 2008 à 17:17 (CEST)Répondre

C'est de l'histoire canonique, pas de l'histoire; En plus commenter des "jeux de mot" araméens en farnçais ou en anglias n'a pas beaucoup de sens. L'article est nuancé à ce propos et, comme pour l'article Église catholique, il faut expliciter les débats autour de ce passage de matthieu si on veut en parler davantage. Autrement, ce n'est que du dogme. Mogador 26 août 2008 à 19:00 (CEST)Répondre

La soutane blanche des évêques modifier

Si les évêques, mais aussi les prêtres et les cardinaux, portent généralement une soutane blanche dans certains pays c'est uniquement en raison du climat (le blanc réfléchissant la chaleur solaire) et non pas parce qu'il s'agit de "pays de mission". Le sens de terme demanderait d'ailleurs à être précisé.

Tout à fait d'accord. --Portalix (d) 22 avril 2009 à 20:38 (CEST)Répondre


pape et pope modifier

il me semble que le chef de l'eglise orthodoxe se nomme le pope et nom le pape

=> Il me semble aussi, en revanche le chef de l'Eglise COPTE orthodoxe (schisme antérieur datant du Concile de Calcédoine) est nommé Pape.

Droit divin modifier

la notion de Droit divin est absente de l'article pape, est ce que l'o,n peut en parler ici ?--frange - - - - - (d) 13 novembre 2009 à 23:13 (CET)Répondre

Yves-Marie Hilaire, Michel Perrin et Michel Rouche, Histoire de la papauté. 2000 ans de missions et de tribulations, éd. Seuil/Tallandier, coll. Points/Histoire, 2003. A peine 10 €? Bonne lecture. Mogador 14 novembre 2009 à 00:48 (CET)Répondre

Élection modifier

Je n'ai rien trouvé sur l'élection du pape, ni dans cet article ni dans d'autres. Peut-être ai-je insuffisamment cherché. Mais dans tous les cas, il me semble possible de faire un petit paragraphe ici, quitte à rediriger vers un article détaillé. --Laurent Jerry (d) 20 octobre 2011 à 17:57 (CEST)Répondre

Le Pape est bien le chef... modifier

...quoique d'une manière particulière. Apparemment, cela déplaît à certains ! Le Code de Droit canonique précise :
Deuxième partie - La constitution hiérarchique de l'Eglise
Section I - L'autorité suprême de l'Eglise
Chapitre I - Le Pontife romain et le Collège des Evêques
Can. 330 –(...)
Art. 1 - Le Pontife Romain
Can. 331 – L’Évêque de l’Église de Rome, en qui demeure la charge que le Seigneur a donnée d’une manière singulière à Pierre, premier des Apôtres, et qui doit être transmise à ses successeurs, est le chef (caput : chef ou tête) du Collège des Évêques, Vicaire du Christ et Pasteur de l’Église tout entière sur cette terre ; c’est pourquoi il possède dans l’Église, en vertu de sa charge, le pouvoir ordinaire, suprême, plénier, immédiat et universel qu'il peut toujours exercer librement.
Can. 332 – § 1. Le Pontife Romain obtient le pouvoir plénier et suprême dans l’Église par l’élection légitime acceptée par lui, conjointement à la consécration épiscopale. C’est pourquoi (...).
§ 2. S’il arrive que le Pontife Romain renonce à sa charge, il est requis pour la validité que la renonciation soit faite librement et qu’elle soit dûment manifestée, mais non pas qu’elle soit acceptée par qui que ce soit.
Can. 333 – § 1. En vertu de sa charge, non seulement le Pontife Romain possède le pouvoir sur l’Église tout entière, mais il obtient aussi sur toutes les Églises particulières et leurs regroupements la primauté du pouvoir ordinaire par laquelle est à la fois affermi et garanti le pouvoir propre ordinaire et immédiat que les Évêques possèdent sur les Églises particulières confiées à leur soin.
§ 2. Dans l’exercice de sa charge de Pasteur Suprême de l’Église, le Pontife Romain est toujours en lien de communion avec les autres Évêques ainsi qu’avec l’Église tout entière ; il a cependant la droit, selon les besoins de l’Église, de déterminer la façon personnelle ou collégiale d’exercer cette charge.
§ 3. Contre une sentence ou un décret du Pontife Romain, il n’y a ni appel ni recours.
Bref, il est vraiment le chef (quoique d'une manière particulière).--Timeo Danaos (d) 29 décembre 2012 à 18:58 (CET)Répondre

le Christ en personne.... modifier

Merci beaucoup de m'avoir fait sourire.

Le "Christ en personne" est une blague d'une finesse exquise, car, tout en admettant que Jésus était Dieu personnifié, il est quand même mort, puis monté au Ciel (où il est soi-disant assis à la droite du Père). Il n'est donc pas une personne, mais Dieux même (et Saint Esprit en même temps). Bref, pour ceux qui y croient...

Féminin ? modifier

Je sais que le poste est réservé actuellement à un homme, mais plus tard, on dira "la pape", ou "la papesse" ? domsau2 (discuter) 29 juin 2018 à 22:12 (CEST)Répondre

Vandalisme ? modifier

Manacore me fait comprendre qu'il me juge illégitime pour modifier l'article. Pour cette raison, il annule systématiquement mes modifications : mises en forme (ex : [1]), retrait d'ouvrages fictifs ou, en tout cas, non scientifiques de la bibliographie ([2]) ou, au contraire, ajout d'ouvrages scientifiques ([3]),

Que faire ? C'est d'autant plus gênant quand il met en avant les convictions religieuses d'un auteur (pourtant connu et reconnu pour la qualité de ses ouvrages) pour refuser la mention d'un livre. 81.254.98.189 (discuter) 24 mars 2019 à 20:03 (CET)Répondre

Pas eu le temps de e pencher la dessus, mais il semblerait que Manacore (d · c · b) ne soit pas le seul à ne pas être d'accord avec vos modifications, au vu des différentes personnes qui vous ont révoquées. Olivier LPB (discuter) 25 mars 2019 à 11:32 (CET)Répondre
Les autres n'ont apporté aucun argument. 81.254.98.189 (discuter) 25 mars 2019 à 11:38 (CET)Répondre
Faut dire que votre niveau d'argumentation n'est pas vraiment élevé aussi. « Mattei connu et reconnu pour la qualité de son travail scientifique (ses convictions religieuses ne nous regardent pas, d'autant plus qu'il n'est pas créationniste : vous racontez n'importe quoi). Dupront toujours un ouvrage de référence. Ces ouvrages de Rendinat et Bachet, sont du niveau de S. Bern : une accumulation d'anecdotes.) » Spécial:Diff/157776190. Olivier LPB (discuter) 25 mars 2019 à 11:45 (CET)Répondre
Olivier LPB Mattei n'est pas un historien de l'Église reconnu en Italie ? Les convictions religieuses ou politiques d'un scientifique doivent-elles suffire à le crédibiliser ou à le décrédibiliser ? Le livre de Dupront n'est-il pas un ouvrage de référence sur le sujet ? Rendinat n'est-il pas un romancier et poète ? Bachelet n'est-il pas un romancier ? Ces deux-là, en tant que tels, sont-ils des auteurs de référence sur le sujet ?
Que voulez-vous que j'ajoute à cela ? 81.254.98.189 (discuter) 25 mars 2019 à 13:24 (CET)Répondre

  Manacore et Fugitron : ? Olivier LPB (discuter) 27 mars 2019 à 18:07 (CET)Répondre

Les attaques personnelles et les insultes de cette ip ressemblent plus que fortement à celles de l'ex-contributeur Vanneau Asocial, ainsi que son pov-pushing incessant, de même que ses "articles fétiches". Il ne respecte même pas les règles de base du sourçage, entre un livre complètement obsolète (1968) et ce qu'il ose considérer comme "scientifique", LOL. Là encore, c'est du Vanneau Asocial typique. Par ailleurs, il récuse Rendina parce qu'il n'en a jamais entendu parler. Ce contributeur bloqué indef n'a rien à faire ici et il n'y a même plus lieu de lui répondre. Je l'ai fait plusieurs fois, il ne veut rien entendre et continue de faire n'importe quoi en agressant ses contradicteurs. STOP à Vanneau Asocial. Manacore (discuter) 27 mars 2019 à 18:28 (CET)Répondre
Indécrottable ! Restez donc dans vos suppositions, vos attaques ad hominem et votre malhonnêteté (vous diffusez le résumé d’Église dans la tourmente, un recueil de chroniques, en le faisant passer pour celui du Vicaire du Christ, vous faites passer un ouvrage de référence pour périmé car trop « vieux » pour vous, etc.) ! Sans jamais apporter ni preuves, ni arguments... Quelle idée d’avoir laissé les femmes infester l’encyclopédie...

Sérieux du chapeau, ou paratexte de l'article modifier

Par curiosité arrivé sur cette page, j'ai pu voir quelque chose de vraiment peu sérieux. J'ai observé la modification récente de l'article. Des actes de vandalisme visiblement sont perpétrés, ou tout du moins, sans remettre en cause la bonne volonté des auteurs de modifications, des actes complètement vides de sérieux.

Ainsi la partie de paragraphe suivante : ou la renonciation de son prédécesseur" n'est pas une formulation correcte car d'après les Canons de l'Eglise on était élu après la mort d'un pape. François 1er est le seul pape à avoir été élu après "renonciations" de son prédécesseur ce qui n'est pas assez pour en faire une règle et donner du sens à la phrase. Il est préférable d'écrie "Il est élu, après le décès de son prédécesseur, sauf dans le cas de Benoît XVI qui a été le premier pape à avoir renoncé à sa mission apostolique... enfin quelque chose comme ça me semble particulièrement déplacée et nocive à la crédibilité de Wikipédia. Je suspecte donc, quoique ça ne soit pas à moi de porter des accusations, son auteur de faire des actes de vandalisme. --Mordicus WikiFrancophone (discuter) 6 avril 2021 à 15:11 (CEST)Répondre

Introduction modifier

Bonjour,
J'ai supprimé une phrase entre parenthèses dans l'introduction car celle-ci s'apparente plus à une remarque à destination des rédacteurs (ci-dessous). Je ne peux pas me prononcer sur le fond de cette remarque mais en attendant qu'elle soit traitée, il me semble que sa place est plus dans la discussion que dans l'introduction de l'article. D'ailleurs, il me semble que l'article traitant de la renonciation du pape semble dire le contraire.

Le pape est l'évêque de Rome et le chef de l'Église catholique. Il est élu, après le décès ou la renonciation de son prédécesseur ("ou la renonciation de son prédécesseur" n'est pas une formulation correcte car d'après les Canons de l'Eglise on était élu après la mort d'un pape. Le premier pape qui a renoncé à son ministère a été Pontien.

--Maerje1345 (discuter) 9 avril 2021 à 18:07 (CEST)Répondre

Sections Froufrous et Dentelles modifier

Un premier constat : après les deux premières sections, historiques et documentées, l'article n'est pas sourcé, alors qu'il existe de nombreuses sources secondaires de qualité sur le sujet, l'unique difficulté étant la surabondance de ces sources fiables et utilisables. Un deuxième constat : certaines sections (non sourcées, comme le reste) se perdent dans des labyrinthes non encyclopédiques (euphémisme). En particulier, les deux sections "Insignes" et "Paramentique" relèvent plus du catalogue de pitidrapôs que d'une rédaction encyclopédique. D'ailleurs, elles ne sont pas rédigées. Plusieurs problèmes s'accumulent ici : listes à puces (proscrites dans le corps des articles), POV massif sur des détails tombés en désuétude, PROP non respectées, mélange de symboles importants (l'anneau) et de fanfreluches dentellières qui ne fascinent que les rédacteurs qui les ont introduites. Par conséquent, je vais copier-coller ci-dessous, telles quelles, ces deux sections. Libre à ceux que cela passionne d'en faire un article séparé. Et, de ces deux sections, ne seront conservés (et regroupés) dans l'article que les aspects sourçables et à peu près pertinents. Cdt, Manacore (discuter) 19 septembre 2021 à 18:14 (CEST)Répondre

Titres pontificaux modifier

  • Évêque sous-entendu du diocèse de la ville de Rome : (Urbis) episcopus.
  • Vicaire de Jésus-Christ (Vicarius Christi) : l'appellation est attestée du temps du pape Gélase Ier, au synode romain du [1]. Au IIe siècle, est également attesté le titre de « Vicaire de Pierre », très vite tombé dans l'oubli car ecclésiologiquement erroné : d'une part, parce que le pape est le successeur, mais non l'intendant (serviteur) de Pierre ; il est même pleinement « Pierre » à son tour puisqu'il exerce la plénitude du ministère apostolique que le Christ avait accordé au « Prince des Apôtres » ; d'autre part, parce que le pape rendra compte de ses actes au Christ seul, tout comme Pierre avant lui. C'est pourquoi le titre de « Vicaire du Christ », théologiquement et ecclésiologiquement vrai, s'est imposé au cours des siècles (« vicaire » dans le sens d'« intendant »). Innocent III se proclame en 1214 aussi bien « Vicaire du Christ » que « Vicaire de Dieu » (car la foi catholique déclare en Jésus-Christ Dieu lui-même fait homme)[2].
  • Successeur du prince des apôtres : Successor principis apostolorum.
  • Chef suprême de l'Église : Pontifex maximus.
  • Souverain pontife de l'Église universelle : Pontifex maximus.
  • Primat d'Italie : Primatus Italiae.
  • Archevêque métropolite de la Province romaine : Archiepiscopus ac metropolitanus provinciae ecclesiasticae Romanae.
  • Souverain de l'État de la Cité du Vatican : Princeps sui iuris civitatis Vaticanae.
  • Serviteur des serviteurs de Dieu : Servus servorum Dei.
  • Patriarche d'Occident : Patriarcha Occidentis (titre abandonné par Benoît XVI en 2006[3]).

En droit canonique catholique, le pape est désigné sous l'appellation de « Pontife romain » (Pontifex Romanus), dérivé de l'appellation du grand prêtre romain (plus tard porté par les empereurs romains), en tant que représentant de Dieu sur terre : « Pontifex Maximus ».

La signature papale prend la forme « NN. PP. x » c'est-à-dire « un tel, Pontifex Primus [premier pontife], numéro tant » (ainsi, le pape Paul VI signait « Paulus PP. VI »), et son nom est fréquemment accompagné dans les inscriptions par les abréviations « Pont. Max » ou « P.M. » — abréviation de l'ancien titre hérité de l'Antiquité latine Pontifex Maximus, littéralement « le bâtisseur suprême de ponts » (entre Dieu et les hommes). Le Christ est le pontife suprême et éternel entre Dieu et l'humanité. « Pontifex Maximus », concernant le pape, se traduit habituellement en français par « Souverain Pontife ».

Les bulles, décrets et constitutions du pape sont signés « NN. Episcopus Ecclesia Catholicæ » (« NN. Évêque de l'Église catholique »), alors qu'elles débutent par l'appellation « NN. Episcopus Servus Servorum Dei » (« NN. Évêque, serviteur des serviteurs de Dieu »), ce dernier titre datant du pape Grégoire Ier le Grand.

D'autres circonstances officielles voient l'usage de titres tels que Summus Pontifex, Sanctissimus Pater (Très Saint Père — cette formule est d'usage en France pour la correspondance adressée au pape), Beatissimus Pater, Sanctissimus Dominus Noster (Notre Très Saint Père), et à l'époque médiévale Domnus [et non Dominus] Apostolicus (Seigneur Apostolique).

Paramentique et insignes pontificaux modifier

Dans l'Église catholique, un certain nombre d'insignes sont réservés au pape :

 
Emblème pontifical.
  • l'anneau du pêcheur, ou anneau piscatorial (en or), représente l'apôtre Pierre en pêcheur tirant son filet plein de poisson de la mer. L'anneau piscatorial est utilisé pour sceller les brefs, les constitutions, les décrets et les encycliques ; il est personnel à chaque pape ; le cardinal camerlingue le brise solennellement immédiatement après la mort ou en cas de renonciation du pape ;
  • la férule crucifère simple, ou crucifère triple ; c'est le bâton liturgique réservé au pape seul ; le pape tient en sa main gauche la férule crucifère triple dans les très solennelles cérémonies, par exemple lorsqu'il procède à l'ouverture et à la fermeture de la Porte Sainte lors des jubilés (habituellement tous les vingt-cinq ans) ;
  • la soutane blanche, systématiquement portée depuis saint Pie V ; ce pape l'adopta en hommage à l'habit blanc de l'Ordre des Prêcheurs auquel il appartenait (autrefois le pape était souvent vêtu de rouge – mais pas obligatoirement, par exemple, le blanc était aussi utilisé – comme le sont, depuis Paul II, les cardinaux romains). Bien d'autres ecclésiastiques (prêtres ou évêques) portent aussi une soutane blanche, mais d'une forme et d'une teinte légèrement différentes de celle du pape ; sur sa soutane blanche, le pape porte aussi le camail blanc (couvrant les épaules et le haut des bras, mais dont les deux pans sont ouverts sur la poitrine) ;
  • la calotte blanche. Si beaucoup d'évêques, surtout dans les pays chauds (et non uniquement dans les pays de mission), arborent la soutane blanche, seul le pape peut faire usage de la calotte blanche. C'est donc bien un signe distinctif du souverain pontife ;
  • la ceinture blanche moirée et la simarre blanche frappée aux armes personnelles du pape ; aucun autre dignitaire ecclésiastique ne porte la ceinture blanche et la simarre blanche (pendant de la ceinture) ; la simarre, également moirée, est brodée des armoiries personnelles du pape régnant ; ces armes, en couleurs, figurent sur chacun des deux pans de la simarre ;
  • les mules de velours rouge, en référence à la pourpre souveraine ; jusqu'à Benoît XV (1914-1922), elles étaient ornées chacune d'une croix tissée de fil d'or, pour le baisement des pieds (en tant que Vicaire du Christ). Jean-Paul II a personnellement opté, durant la seconde moitié de son pontificat, pour des escarpins de couleur brun-rouge. Le pape Benoît XVI a rétabli le strict usage des escarpins rouges ; le rituel du baisement des pieds a été progressivement abandonné durant la première moitié du XXe siècle (en approchant aujourd'hui du pape, les catholiques mettent habituellement un genou à terre, accompagné du baisement de l'anneau piscatorial) ;
  • la mozette (ou mosette) rouge. À certaines occasions (cérémonies où il siège en habit de chœur sans célébrer la messe, audiences à des chefs d'État chrétiens ou au corps diplomatique, réception de corps constitués, etc.) le pontife romain revêt la mozette (camail fermé sur la poitrine et couvrant le haut des bras). Quand le pape reçoit un chef d'État catholique, il revêt l'étole au-dessus de la mozette). La mozette se porte exclusivement sur le rochet, constituant avec lui l'habit de chœur. En automne et en hiver, le pape porte la mozette de velours pourpre bordée d'hermine ; au printemps et en été, la mozette est de satin pourpre non bordée d'hermine. Une fois par an, durant la Semaine in Albis (« semaine en blanc », c'est-à-dire l'Octave de Pâques), le pape revêt la mozette de velours blanc (non pourpre), bordée d'hermine.
  • le manteau et le chapeau rouges, en référence à la pourpre souveraine, qui fut celle aussi des empereurs romain durant l'Antiquité ; le manteau papal est une pèlerine rouge jusqu'aux pieds, doublée d'un camail rouge. Le pape porte aussi parfois un manteau de coupe classique, de couleur blanche, à boutons croisés ;
  • le camauro, bonnet rouge bordé d'hermine, plus guère porté par les papes depuis Clément XIV, au XVIIIe siècle ; mais, jusqu'à Pie XII, on en coiffait les papes durant leur première exposition sur leur lit de mort, dans leur chambre personnelle (avant leur exposition solennelle en habits pontificaux dans la basilique Saint-Pierre) ; Jean XXIII porta le « camauro » épisodiquement, ainsi que Benoît XVI.

Dans le domaine liturgique, seul le pape peut célébrer de droit à l'autel majeur des quatre basiliques majeures : basilique Saint-Pierre, archibasilique Saint-Jean-de-Latran, basilique Saint-Paul-hors-les-Murs et basilique Sainte-Marie-Majeure. Un cardinal peut y célébrer, mais pour cela il reçoit un mandat d'autorisation, pratique en usage au moins depuis la Renaissance. Au XVIIe siècle, lorsqu'un cardinal célébrait à l'autel majeur d'une des quatre basiliques majeures de Rome, on affichait une indulgence papale sur l'un des piliers du ciborium pour le signifier à tous[4].

Jusqu'à Paul VI (qui en abandonna l'usage), le pape possédait encore d'autres insignes particuliers :

  • la tiare papale : coiffure non liturgique, à triple couronne (pouvoir terrestre sur les États pontificaux, pouvoir spirituel sur les âmes, pouvoir moral sur les princes). Elle n'est plus portée depuis Paul VI. Dans la première version publiée des armoiries pontificales de Benoît XVI, elle est remplacée par une mitre. Dans les armoiries officielles de l'État de la Cité du Vatican, la tiare figure avec les Clefs de saint Pierre ;
  • la nappe Incarnatus est : nappe constituée de 13 morceaux de toile damassée et frangée d'or. Repliée au début de la messe, elle était dépliée après l’Incarnatus est du symbole de Nicée-Constantinople ;
  • le chalumeau en or utilisé pour boire au calice; mais le chalumeau est un instrument prévu pour la communion au calice en toutes circonstances. Il n'est pas propre à la messe papale ;
  • les flabelli (pluriel de flabellum) : 2 éventails à long manche, frangés à leur sommet de plumes d'autruches, qui étaient en usage dans les cérémonies solennelles, supprimés par Paul VI ;
  • le gonfanon : étendard des armées pontificales, aujourd'hui remplacé par le drapeau de la Garde suisse pontificale et celui de la Gendarmerie pontificale ;
  • la sedia gestatoria : chaise à porteurs, qui n'est plus utilisée depuis la mort de Jean-Paul Ier (qui ne l'appréciait d'ailleurs pas, et qui ne l'utilisait que sur le conseil de son maître de cérémonie, dans le seul but de pouvoir être vu de tous), et que Jean-Paul II a remplacée par la papamobile.

N.B. : les clefs de saint Pierre qui figurent sur les armes pontificales sont un emblème héraldique dont la signification est symbolique et spirituelle, faisant référence à l'Évangile (Matthieu 16,19 : « Je te donnerai les clefs du Royaume des Cieux : tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les Cieux, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les Cieux »). Elles concernent le pouvoir spirituel du pape, ce qui est également appelé « Pouvoir des Clefs ».

  1. Claude-Henry Du Bord, Le christianisme : Histoire, courants, cultures, Eyrolles, (lire en ligne), p. 79.
  2. (en) Philip Schaff, History of the Christian church, Volume 5, C. Scribner's sons, , p. 36.
  3. Benoît XVI renonce au titre de « patriarche d’Occident », devenu « obsolète », article de Zénit, 22 mars 2006, sur le site 44catholique.org44.
  4. Cf. Dom Jean Mabillon, « Iter italicum ».

Nom du pape modifier

Je n'ai rien trouvé dans l'article, concernant le nom du pape (Pie XII, François, etc.), notamment :

  • j'ai dit « nom du pape », mais il y a peut-être une autre appellation ?
  • d'après ce que je comprends les papes récents ont choisi leur nom (sans rapport avec leur prénom personnel), mais peut-être la pratique a-t-elle changé au cours des siècles ?

Ariel (discuter) 10 mai 2023 à 03:49 (CEST)Répondre

Bonjour. Le dernier paragraphe de la section « Éligibilité » parle du « nom de règne » et donne une explication. --H2O(discuter) 10 mai 2023 à 07:12 (CEST)Répondre
Merci H2O  . Du coup, j'ai réorganisé les sections « Éligibilité » et « Élection pontificale » (devenues « Électorabilité et éligibilité » et « Élection pontificale et investiture », qui n'étaient pas ordonnées de façon logique. — Ariel (discuter) 10 mai 2023 à 08:21 (CEST)Répondre
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