Vittefleur

commune française du département de la Seine-Maritime
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Vittefleur est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Vittefleur
Vittefleur
Le lac de Caniel.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes de la Côte d'Albâtre
Maire
Mandat
Franck Foiret
2020-2026
Code postal 76450
Code commune 76748
Démographie
Gentilé Vittefleurais, Vittefleuraises
Population
municipale
657 hab. (2021 en augmentation de 5,29 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 10″ nord, 0° 38′ 18″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 100 m
Superficie 8,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Vittefleur
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Vittefleur

Géographie modifier

Vittefleur est située dans le pays de Caux.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ectot-lès-Baons à 23 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vittefleur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (70,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,4 %), forêts (18,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), prairies (6,8 %), zones urbanisées (5,4 %), eaux continentales[Note 2] (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Witeflue en 1130 - 1164, Witeflo en 1180[14].

Traditionnellement, le r final, non étymologique, ne se prononce pas.

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale.

La nature du second élément -fleur que l'on retrouve ailleurs en Normandie dans Honfleur, Harfleur, Fiquefleur, Barfleur, Crémanfleur à Crémanville et la Gerfleur, a donné lieu à diverses interprétations par les toponymistes. Il s'agit soit du norois floth (pour René Lepelley[15]), c'est-à-dire, selon les conventions graphiques du vieux norois, flóð « marée montante courant » sans doute à l'origine du mot français flot « marée montante, flux »; du vieil anglais flod (pour François de Beaurepaire) qui a donné l'anglais moderne flood « marée haute, inondation »; du vieux saxon flōdh « flot, marée » (pour Albert Dauzat et Charles Rostaing[16]), alors qu'ils croient reconnaître le vieux norrois fljot « crique », c'est-à-dire en réalité fljót « grande rivière, fleuve » (cf. islandais fljót de même sens) dans Barfleur et qui conviendrait mieux sémantiquement. En effet, le sens de l'ancien normand fleu est bien établi dans un texte du XIIIe siècle qui mentionne le fleu de Lestre, c'est-à-dire « la rivière de Lestre » (cf. la Gerfleur, rivière du Cotentin et le Fleu-le-Roi, ruisseau à Ingouville, le Havre). Vittefleur n'étant pas situé au bord de la mer, mais au bord de la Durdent, il est probable qu'il s'agisse d'un nom alternatif pour cette rivière. En outre, ces derniers considèrent que l'élément -fleur dans Harfleur et dans Honfleur représente le vieil anglais flēot « eau qui coule, courant, rivière ». Cette explication a été reprise ultérieurement par Dominique Fournier pour expliquer Honfleur[17]. L'anglo-saxon flēot s'accorde tout aussi bien avec les mentions les plus anciennes du nom de Barfleur, attesté un siècle environ avant Vittefleur et dont l'élément -fleur apparait ainsi sous une forme plus proche de celle initiale. En effet, l'élément -fleur se retrouve dans des formes anciennes extrêmement variées -floth, -flueth, fluet ou encore flet, ce qui peut s'expliquer par la diphtongue instable du vieil anglais flēot[17].

Le premier élément Vitte- représente peut-être un anthroponyme scandinave ou anglo-saxon, Albert Dauzat propose le nom de personne Witta (comprendre vieux saxon ?), c'est-à-dire plutôt le nom de personne anglo-saxon Hwitta, variante de Hwita[18]. L'association de cet anthroponyme anglo-saxon avec flēot, voire de flod, renforce cette hypothèse. François de Beaurepaire préfère associer cet appellatif aux noms de personnes germaniques Wido / Witto sans doute parce qu'ils sont plus fréquents et qu'on les retrouve selon lui dans Quittebeuf (Witeboe 1205), Yville-sur-Seine (Witvillam vers 1025), Ymare (Wimara vers 1240) et Iville / Vitot (Witot 1035 - 1047) pour lesquels il évoque aussi la possibilité d'un anthroponyme anglo-saxon Hwita[19]. Dans le cas d'un emploi de Wido, le [d] intervocalique aurait dû s'amuïr et on attendrait donc *Vifleur (ou *Ifleur, *Yfleur), d'ailleurs dans Yville-sur-Seine, Ymare, Iville et Vitot, le [d] s'est effectivement amui, tout comme dans le nom du village lorrain de Vionville (Wydonis villa en 1156[20]), où Wido est au cas régime. En revanche, la variante Witto convient mieux, on la rencontre au cas régime sous les formes Witon ou Guiton, confondues avec Uui ou Gui au cas sujet, c'est-à-dire Guy (issu de Wido). On peut citer à cet égard Gui, archevêque de Rouen (de 889 - vers 910), nommé également Witon ou Guiton. Witto semble aussi être contenu dans le nom du village lorrain de Vittonville (Witonisvilla 1161 - 1170)[16].

L'association de l'élément -fleur avec des noms de personnes est la plus fréquente par ailleurs, puisqu'on les identifie avec davantage de certitude dans Honfleur (Hunefleth en 1025, Hunefloth vers 1062 ; anthroponyme vieux norrois Húni, variante de Húnn, ou anglo-saxon Huna), Harfleur (Herolfluoth 1035 ; NP francique ou anglo-saxon Herulf ou Herolf), Barfleur (Barbefloth, Barbeflueth 1066 - 1077 ; NP roman Barbé) et Crémanfleur (NP vieux norrois *Kristmaðr, cf. vieux suédois Kristman ou germano-roman *Christman cf. Crémanviller, Vosges).

Albert Dauzat et Charles Rostaing proposent également pour expliquer l'élément Vitte-, un substantif vieux norrois viti « perche servant de signal » ou widde « distance, éloignement »[16] (comprendre vieux saxon ?). L'ancien scandinave viti « marque, signal, fanal » n'a pas été suggéré par d'autres toponymistes pour expliquer les toponymes normands Quittebeuf, Witeclive (nom disparu) et Vitéquet (on le retrouve dans l'ancien normand wirewite > verguillon « girouette », du vieux norrois veðr-viti). Apparemment, on ne conserve pas trace d'un substantif saxon ou anglo-saxon *widde qui pourrait être une création ad hoc de ces auteurs, car le redoublement du [d] est destiné à justifier de l'existence du [t] intervocalique (durcissement). En effet, le terme saxon ou anglo-saxon serait *wīde, forme substantivée de l'adjectif wīd > anglais moderne wide (cf. substantif vieux haut allemand wîti > allemand Weite, adjectif weit).

Jean Renaud proposent d'expliquer Wite- dans Witeclive par le scandinave hvítr, adjectif signifiant « blanc », nom remplacé postérieurement par la Côte Blanche, quartier d'Évreux[21], et René Lepelley envisage la même solution pour l'élément Vit(e)- dans Vitéquet, rocher dans le Cotentin, composé à partir du scandinave sker « rocher, récif ». Ces hypothèses reposent en partie sur le fait que les appellatifs scandinaves klif et sker sont du genre neutre, car hvítr donne hvítt au neutre. Peut-être cette solution conviendrait-elle également pour Vittefleur[15],[21] et Quittebeuf ? On note en outre qu'il manque apparemment dans les environs un toponyme normand du type *Vitteville ou *Guitteville qui pourrait éventuellement renforcer la thèse de l'emploi d'un anthroponyme Witto ou Hwit(t)a (cf. Crémanfleur / Crémanville ; Honfleur / Honaville, Honneville ; Harfleur - Hérouville ; Barfleur / Barbeville). Ensuite, l'élément -beuf ne semble pas non plus avoir été combiné à un nom de personne (voir Elbeuf, Daubeuf, Criquebeuf, Vibeuf, Brébeuf ou Belbeuf). L'élément -beuf peut être féminin comme le vieux danois bóð dont il est issu, par exemple Belbeuf est attesté en 1044 sous la forme Bellebueth, belle étant l'adjectif français[19]. Pour Quittebeuf, la forme initiale aurait été *Hvítabóð.

Pour Vittefleur, aucun argument définitif ne permet de trancher en faveur de l'une ou l'autre des hypothèses, à savoir : soit le vieil anglais *Hwit(t)aflēot « la rivière qui passe sur la propriété de Hwit(t)a », soit l'ancien scandinave *Hvíttfljót « la rivière blanche (ou brillante) » influencé par le vieil anglais *Hwīteflēot de sens analogue.

Histoire modifier

 
Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

À lire, l'histoire de Vittefleur sur le site de la Bibliothèque Nationale[22].
En 1597, l'église de Vittefleur est mentionnée en latin médiéval sous la forme ecclesia sancti martinei de Victo Fluctua[22].
Tous les ans, le , jour de Saint Denis, une foire se tenait dans le bourg[23].
La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Vittefleur est un bourg situé sur la rive droite de la Durdent.
Sur la rive gauche est figuré un château.
Quatre moulins à eau sont représentés par une roue dentée sur la carte. Celui situé après du pont est le dernier en aval des 33 moulins à eau fonctionnant encore sur la Durdent au XVIIIe siècle. Comme le montre l'Arrêt du Conseil d'Etat du Roi du [24], ces moulins servaient surtout au blanchiment des toiles.
À l'est, la chapelle Saint-Thomas, aujourd'hui disparue, était une léproserie qui fut fondée en 1311 par les seigneurs d'Auberville-la-Manuel[25].
Sur la rive gauche de la Durdent, Croville, avec son hameau Haut Crosville, était une paroisse indépendante avec son église Saint-Pierre désaffectée de nos jours. La commune a été rattachée à Vittefleur en 1824.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1992 2014 Sylvie Houzard UMP Présidente du SIVOS de la vallée de la Durdent (2008[26] → 2014)
2014[27] En cours
(au 10 août 2020)
Franck Foiret   Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

Démographie modifier

 
Panorama du village vers 1930.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 657 habitants[Note 3], en augmentation de 5,29 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8038208467821 2551 3501 2321 3491 333
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2171 2721 1451 012914812832844842
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
806793738707655642694726703
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
685651638736678641611623634
2014 2019 2021 - - - - - -
626653657------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Pierre-Saint-Paul.
  • L'église Saint-Pierre [actuel lieu d'exposition] (Crosville).
  • Le manoir de la Motte appelé aussi le manoir des Guerrots - 1630
  • La croix de cimetière de Vittefleur.

Personnalités liées à la commune modifier

Thomas Gayet, auteur, scénariste et personnalité d’internet parisienne.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Vittefleur et Ectot-lès-Baons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 166.
  15. a et b René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, éditions Charles Corlet et PUC 1994, p. .
  16. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , p. 727b.
  17. a et b Dominique Fournier, Dictionnaire des noms de rues et noms de lieux de Honfleur, éditions de la Lieutenance, Honfleur 2006. p. 124-125.
  18. Latin Learning And English Lore, edited by Katherine O'Brian O'Keeffe and Andy Orchard, p. 261 (lire en ligne) [1]
  19. a et b François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 132 et 211.
  20. Dauzat et Rostaing 1978, p. 726a.
  21. a et b Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1).
  22. a et b Alexandre-Auguste Guilmeth, Description géographique, historique, monumentale et statistique des arrondissements du Havre, Yvetot et Neufchatel, Paris, (lire en ligne), p.365.
  23. Guilmeth 1838, p. 368.
  24. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8610970k.r=vittfleur?rk=21459;2
  25. Guilmeth 1838, p. 366.
  26. « Sylvie Houzard présidente », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Franck Foiret a été élu maire », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La commune a créé la surprise aux municipales sur le canton de Cany-Barville avec la victoire de Franck Foiret détrônant Sylvie Houzard, maire sortante et élue depuis 22 ans. En deux tours, la liste de Franck Foiret a remporté 12 sièges et la liste adverse seulement 3 ».
  28. « Vittefleur. Le conseil municipal est en place, Franck Foiret est réélu », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.