Combs-la-Ville

commune française du département de Seine-et-Marne

Combs-la-Ville
Combs-la-Ville
La mairie.
Blason de Combs-la-Ville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité CA Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart
Maire
Mandat
Guy Geoffroy (LR)
2020-2026
Code postal 77380
Code commune 77122
Démographie
Gentilé Combs-la-Villais
Population
municipale
22 240 hab. (2021 en augmentation de 0,39 % par rapport à 2015)
Densité 1 536 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ nord, 2° 34′ est
Altitude Min. 43 m
Max. 91 m
Superficie 14,48 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Combs-la-Ville
(bureau centralisateur)
Législatives 9e circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
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Combs-la-Ville
Liens
Site web combs-la-ville.fr

Combs-la-Ville est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

La commune appartient à la ville nouvelle de Sénart.

Géographie modifier

Localisation modifier

Combs-la-Ville est une commune située dans le département de Seine-et-Marne faisant partie de la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart. La ville est située à 28 km au sud-est de Paris et à un peu plus de 16 km au nord de Melun, préfecture du département. Limitrophe du département de l'Essonne, elle est localisée entre la forêt de Sénart à l'ouest, la rivière de l'Yerres au nord et le plateau de Brie à l'est et au sud. Elle est traversée dans sa partie sud par la nationale 104 appelée « la Francilienne ».

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont :

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Carte des réseaux hydrographique et routier de Combs-la-Ville.
 
L'Yerres à Combs-la-Ville

Le réseau hydrographique de la commune se compose de dix cours d'eau référencés :

  • la rivière l’Yerres, longue de 98,23 km[1], affluent en rive droite de la Seine, ainsi que :
    • un bras de 0,36 km[2] ;
    • un bras de 0,92 km[3] ;
    • le ru de Ganisse, 2,55 km[4], affluent de l’Yerres ;
  • le fossé 01 du Bois de Tigery, 2,14 km[5], et ;
  • le fossé 01 du Bois Labrune, 3,18 km[6], affluents du ruisseau des Hauldres ;
    • le fossé 01 du Gland, 1,05 km[7], et ;
    • le fossé 01 des Quincarnelles, 1,21 km[8], affluents du fossé 01 du Bois Labrune ;
  • le canal 01 de la Commune de Soisy-sur-Seine, 4,32 km[9], qui conflue avec le fossé Daniel ;
  • le canal 01 de la Commune de Quincy-sous-Sénart, 1,94 km[10].

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 10,46 km[11].

Gestion des cours d'eau modifier

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[14].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 671 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mandres-les-Roses à 5 km à vol d'oiseau[17], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,3 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Statistiques 1991-2020 et records MANDRES (94) - alt : 93m, lat : 48°42'33"N, lon : 2°32'59"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 31-12-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,6 3,8 5,8 9,6 12,7 14,5 14 10,8 8,2 4,7 2,4 7,5
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,2 11 14,8 18,1 20,2 20 16,3 12,4 7,8 5 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,6 12,7 16,4 19,9 23,5 25,9 26,1 21,8 16,6 10,9 7,5 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−16
08.01.10
−13
07.02.1991
−10,5
01.03.05
−3
07.04.21
0,5
07.05.1997
1,8
04.06.1991
6,1
04.07.1990
6
28.08.1998
1
30.09.12
−3,8
30.10.1997
−10,4
24.11.1998
−10,3
29.12.1996
−16
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
22
27.02.19
25
31.03.21
29
20.04.18
33
28.05.17
38
22.06.17
39,5
31.07.20
40,1
06.08.03
35
15.09.20
29,5
01.10.11
23
08.11.15
17,3
16.12.1989
40,1
2003
Précipitations (mm) 57,2 50,9 49,8 50,6 67,4 58,6 60 61,1 52,4 58 61,8 70,5 698,3
Source : « Fiche 94047001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité modifier

 
Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Combs-la-Ville comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 1],[21] :

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Combs-la-Ville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[27] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30],[31].

Lieux-dits et écarts modifier

La commune compte 81 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[32].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3% ), zones urbanisées (29,8% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,1% ), forêts (7,9% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (3% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[33].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[34],[35],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification modifier

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Sénartdont l'étude a été engagée en 2013, portée par le syndicat Mixte de Sénart Val de Seine (SYMSEVAS)[36].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[37]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

Logement modifier

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 9 197 dont 54,4 % de maisons et 44,6 % d’appartements.

Parmi ces logements, 92,9 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 64,9 % contre 34 % de locataires[38], dont 17,4 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 5] et 1,2 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports modifier

Voies routières modifier

En venant de Paris :

En venant de province :

Transport ferroviaire modifier

Toponymie modifier

Le nom de la localité est mentionné sous la forme « Villa cognominata Cumbis in pago Parisiaco » en 576[39] et 655[40] ; In Cumbis au IXe siècle[41] ; « Villa Cumbis in territorio Briacensi sita » en 1061[42] ; Villa que Cons vocatur en 1153[43] ; Cuns en 1197[44] ; Cons en 1198[45] ; Parrochia de Comis[46] et Combs en 1216[47] ; Consvilla en 1228[48] ; Parrochia de Combisvilla en 1235[49] ; G. de Cumbisvilla en 1237[50] ; Coms en 1272[51] ; Quons, Quoons la ville en 1319[52] ; Cons la ville[53], Cuons la ville[54] et Coignevilla en 1331[55] ; Conz la ville en 1340[56] ; Conbisvilla en 1356[57] ; Combz la ville en 1405[58] ; Conlaville en 1409[48] ; Camps la ville en Brye en 1673[59] ; Comblaville en 1770[60],[61].

Combs-la-Ville est formé sur le radical celtique Cumba, passé au roman et au français dialectal, combe qui désigne une vallée[62].

Histoire modifier

En 636, le roi Dagobert lègue sa terre de Combs (cumbis) à l’abbaye de Saint-Vincent[réf. nécessaire], qui se nommera plus tard Saint-Germain-des-Prés.

En 1783, le comte de Provence, frère puîné du roi Louis XVI et futur roi Louis XVIII, est propriétaire de Combs-la-Ville[réf. nécessaire].

La gare de Combs-la-Ville - Quincy est inaugurée le 12 août 1849, puis reconstruite en 1981.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de Seine-et-Marne.

Elle faisait partie de 1793 à 1991 du canton de Brie-Comte-Robert, année où elle devient le chef-lieu du canton de Combs-la-Ville[63]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 4 à 5 communes.

Intercommunalité modifier

Combs-la-Ville est l'une des communes qui composent la ville nouvelle de Melun-Sénart, administrée par deux « syndicats communautaires d'aménagement » (SCA) de la ville nouvelle de Sénart, le Grand-Melun et Sénart-Villeneuve.

Le le SAN prend l'appellation de syndicat d'agglomération nouvelle de Sénart-Ville Nouvelle en retirant Melun de son nom. Le , le SAN est transformée en communauté d'agglomération[64], dont était membre la ville.

Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines afin de former, le , la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart, dont est désormais membre Combs-la-Ville.

Tendances politiques et résultats modifier

Les élections municipales 2001 et 2008 ont vu les listes conduites par le candidat UMP Guy Geoffroy l'emporter de façon modérée au premier tour avec respectivement 54,57 % et 51,13 % des voix des votants[65]. Quant à l'élection de 2014, la victoire fut bien plus nette avec 69,85 % des voix des votants, contre la liste de Philippe Sainsard (PS) : 30,14 %, avec un taux de participation de 54,65 %[65]. Cette élection a donc suivi la tendance nationale de 2014 à voter plus à droite que précédemment, notamment du fait de l'impopularité du gouvernement PS mené par François Hollande auprès de la population française.

Liste des maires modifier

Liste des maires successif[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790   Jacques Viret   Vigneron
13 novembre 1791   Claude Pichon   Vigneron
30 septembre 1793   Nicolas Prevot   Cordonnier
An VII   Paul Dutfoy   Cultivateur
1818   Jean-Didier Dutfoy   Cultivateur
7 janvier 1823   Jean-Louis Nicolle   Cultivateur
11 mai 1824   Pierre-Noël Papillon   Meunier
26 décembre 1828   Jean-Didier Dutfoy (2e du nom)   Cultivateur
25 septembre 1831   Paul Dutfoy (2e du nom)   Cultivateur
29 août 1843   Jean-Didier Dutfoy   Cultivateur
6 novembre 1846   René Garnot   Cultivateur
6 avril 1857   Philéas Breger   Cultivateur
28 novembre 1857   Auguste Denier   Propriétaire
4 décembre 1867   Jean-Noël Papillon   Meunier
23 janvier 1881   Hippolyte Lahaye   Cultivateur
20 mai 1888   Henry Chardin   Propriétaire
20 mai 1900   Emile Breton   Cultivateur
2 août 1903   Alphonse Rodier   Boucher
17 mai 1908   Albert Dauvergne   Cultivateur
12 décembre 1919   David Bondu   Représentant de l'État au PLM
14 octobre 1923   Henri Lebœuf   Cultivateur
12 mai 1935   André Quentin   Pharmacien
27 octobre 1944 23 octobre 1947 Henri Pavard   Mandataire aux Halles
23 octobre 1947 21 mars 1959 Henri Chasselon   Instituteur en retraite
21 mars 1959 13 mars 1977 Lucien Peyriguère   Médecin
13 mars 1977 18 mars 1983 Alain Vivien PS Professeur
Conseiller général de Brie-Comte-Robert (1970 → 1982)
Député de la Seine-et-Marne (1re circ.) (1973 → 1986)
18 mars 1983 17 mars 1989 Claude Sapin PS Ingénieur économiste
Vice-président du SAN de Sénart-Ville Nouvelle (1983 → 1989)
17 mars 1989 29 juin 1992[66] Alain Vivien PS Professeur
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères (1991 → 1992)
Député de Seine-et-Marne (9e circ.) (1988 → 1991)
Démissionnaire
29 juin 1992[67] 18 juin 1995 Claude Sapin PS Ingénieur économiste
18 juin 1995[68] En cours
(au 7 juillet 2020)
Guy Geoffroy RPR
puis UMP
(RS)
puis
LR
Proviseur de lycée
Député de Seine-et-Marne (9e circ.) (2002 → 2017)
Conseiller général du canton de Combs-la-Ville (1992 → 1998)
Vice-président du conseil général de Seine-et-Marne (1994 → 1998)
Réélu en 2001, 2008, 2014 et 2020[69],[70]

Politique de développement durable modifier

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[71].

Jumelages modifier

 
Jumelages et partenariats de Combs-la-Ville. 
Jumelages et partenariats de Combs-la-Ville. 
VillePaysPériode
 Baia Mare[72] Roumaniedepuis le
 Duderstadt[72] Allemagnedepuis
Dáli[72],[73] Chypredepuis le
Oswestry[72] Royaume-Unidepuis
 Petite-Île[72] Francedepuis
R'Kiz[72] Mauritaniedepuis
 Salaberry-de-Valleyfield[72] Canadadepuis

Équipements et services modifier

Eau et assainissement modifier

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [74],[75].

Assainissement des eaux usées modifier

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Combs-la-Ville est assurée par le syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne (SIAAP) pour le transport et la dépollution[76],[77],[78].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[79]. La communauté d'agglomération Marne et Gondoire (CAMG) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[76],[80].

Eau potable modifier

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [76],[81],[82].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[83],[Note 6].

En 2021, la commune comptait 22 240 habitants[Note 7], en augmentation de 0,39 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
500540512507500493494540609
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6107897497056768078819091 067
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1381 1561 3941 5381 7972 0392 3862 4822 833
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 6926 19211 09313 75919 97320 95321 60321 90822 212
2021 - - - - - - - -
22 240--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee à partir de 2006[84].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Le , le Premier ministre français Dominique de Villepin est officiellement venu inaugurer la nouvelle mairie de Combs-la-Ville, en présence du député-maire de Combs-la-Ville Guy Geoffroy.

Économie modifier

Commerce modifier

La commune se retrouve confrontée à de nombreuses grosses structures commerciales tout autour. Le centre commercial Carré Sénart n'est pas loin au sud, et il concentre nombre de commerces (tels que Carrefour, Célio, Desigual ou encore Darty) qui auraient pu s'implanter en son absence dans le centre de Combs-la-Ville. Enfin, il existe une forte évasion commerciale vers le centre commercial Val d'Yerres 2 de Boussy-Saint-Antoine, dans l'Essonne, qui par sa situation sert de lieu d'achats pour nombre d'habitants des environs.

Enfin, l'explosion, quoique ralentie et en légère régression depuis 2007, du nombre d'administrés à Combs-la-Ville depuis les années 1990 explique le manque de commerces, car la ville n'a jamais été très commerçante auparavant étant trop petite en nombre d'habitants.

La municipalité tente de redonner vie à l'hypercentre avec la finalisation récente de la place de l'An 2000 qui devrait redorer légèrement le commerce de centre-ville de la commune.

Un restaurant McDonald's est implanté depuis le , vers la sortie sud de la commune.

Secteurs d'activité modifier

Agriculture modifier

Combs-la-Ville est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[85].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[86]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 7 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 93 ha en 1988 à 137 ha en 2010[85]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Combs-la-Ville, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Combs-la-Ville entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[85],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 7 4 4
Travail (UTA) 12 5 4
Surface agricole utilisée (ha) 652 535 549
Cultures[87]
Terres labourables (ha) 650 535 549
Céréales (ha) 421 377 324
dont blé tendre (ha) 299 255 185
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 114 s s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) 72 83 s
Élevage[85]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 7 0 0

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Monuments civils modifier

 
Château de la Fresnaye.
  • École Sommeville.
  • Parc Mennechy.
  • Château de la Fresnaye.
  • Rue des Vignes.
  • Château des Marronniers (ancien hôtel de ville).

Monuments religieux modifier

  • Église Saint-Vincent (reconstruite au début du XXe siècle avec conservation d'un clocher carrée ainsi que de bases et chapiteaux de piliers fin XIIe siècle/début XIIIe siècle[88].)
  • Maison communautaire des Musulmans.
  • Synagogue et centre communautaire de culture juifs.

Espaces verts modifier

  • Parc Arthur-Chaussy.
  • Forêt de Sénart.
  • Promenades le long de la rivière l'Yerres.
  • Parc Central.
  • Bois l'évêque.
  • Site de la Couture

Patrimoine culturel modifier

La Coupole, œuvre de l'architecte Jean Nouvel[89], est un lieu multiculturel qui inclut une médiathèque, un cinéma, une salle de musique, une salle de danse comme des espaces de réunion et de restauration[90].

La Maison des Jeunes et de la Culture permet la pratique de la musique (tam-tam, rap, rock...), et accueille également un club d'aquariophilie.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Gustave Caillebotte (1848-1894), peintre impressionniste, vient souvent à la propriété Caillebotte à Yerres, à partir de 1872 jusqu'en 1879, puiser son inspiration sur les bords de la rivière du même nom. Il peint plus de 80 tableaux avec des vues de la région.
  • Edmonde Charles-Roux (1920-2016), femme de lettres, commence en 1961 l'écriture de son premier roman Oublier Palerme au Moulin du Breuil, dans une des maisons prêtée par son amie Helena Rubinstein. L'ouvrage sera couronné par le Prix Goncourt en 1966 et fera l'objet d'un film réalisé par Francesco Rosi en 1989.
  • Victor Cherbuliez (1829-1899), romancier, auteur dramatique, essayiste et critique littéraire, mort dans la commune.
  • Laurent Fignon (1960-2010), cycliste, a pris sa première licence au club de la commune.
  • Patricia Girard (1968), athlète, entraîne une équipe dans la commune depuis 2009.
  • Au XVIIIe siècle, quatre filles de Jean Jouvenet (1644-1717), peintre ordinaire du roi, séjournent régulièrement à Combs-la-Ville, dans une maison de campagne ayant appartenu à la famille Lordelot. L'une se marie dans cette paroisse, les trois autres y décèdent[91].
    • Elisabeth-Anne Jouvenet (1684[92]-?) épouse le 9 novembre 1712 en l'église paroissiale Saint-Vincent de Combs Bernard-Claude Lordelot (v. 1677- ?), avocat au parlement, 35 ans, fils de Benigne Lordelot, également avocat au parlement. Jouvenet père, Mlles Marie-Anne, Marie-Magdelaine et Catherine Jouvenet, sœurs de l'épousée assistent à la cérémonie. Ces dernières, non mariées, sont régulièrement accueillies dans l'ancienne maison de campagne des parents Lordelot qui échoit successivement à leur fils Bernard-Claude Lordelot (en 1720) et à sa veuve (vers 1738?). Les trois sœurs de celle-ci y décèdent et sont inhumées à Combs-la-Ville dans la nef de l'église Saint-Vincent[91] ;
    • Marie-Anne Jouvenet (1681[92]-1740[91]), « fille majeure », inhumée le 22 octobre 1740 (morte la veille).
    • Marie-Magdelaine (1682[92]-1746[91]), « damoiselle », inhumée le 26 octobre 1746 (morte la veille).
    • Catherine Jouvenet (?-1750[91]), « fille de défunt Jean-Jouvenet », inhumée le 23 novembre 1750 (morte l'avant-veille).
      Jean II Restout[93] (1692-1768), leur cousin germain, peintre ordinaire du roi, assiste aux funérailles de Marie-Anne et de Marie-Magdelaine Jouvenet[91].
  • René Lalique (1860-1945), achète en 1913 une verrerie installée dans la commune.
  • Chris Mavinga (1991), footballeur, a joué dans la commune de 1999 à 2004.
  • Adolphe Paban (1839-XXe), littérateur, est né dans la commune.
  • Erwan Baynaud (1983), acteur, né dans la commune.
  • Helena Rubinstein (1870-1965), industrielle et fondatrice de la société du même nom, transforme en 1936 le moulin du Breuil, lieu historique de la commune, en résidence secondaire[94].
  • Sheila (1945), chanteuse, a vécu dans la commune pendant son enfance.
  • Christiane Spoturno-Coty (1904-2005), mécène et fille du parfumeur François Coty, achète en 1963 le moulin du Breuil.
  • Laurent Tailhade (1854-1919), polémiste et poète, mort dans la commune.
  • Bernard Tapie (1943-2021), homme d'affaires, locataire depuis 1999 du moulin du Breuil comme résidence secondaire, achète cette propriété en 2010 à travers une société anglaise.


Héraldique modifier

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

d’azur aux trois fleurs de lys d’or accompagnées, en abîme, d’un écusson cousu de sable aux trois besants d’argent, chaussé aussi d’or, au chef cousu de gueules chargé d’une couronne à l’antique d’or.

Photos modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Histoire de Combs-La-Ville des origines à la Révolution (1995) de Joseph Perret édité par la ville de Combs-la-Ville
  • Histoire de Combs-La-Ville de la Révolution à l'an 2000 (2000) de Joseph Perret édité par la ville de Combs-la-Ville.
  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Combs-la-Ville », p. 303–305
  • Évolution de Combs-la-ville, du fond des âges à nos jours, Hiltenbrand, Jackie, éditions Amatteis.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
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Références modifier

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  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Ganisse (F4827000) ».
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  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois Labrune (F4603400) ».
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  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Quincarnelles (F4603420) ».
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  92. a b et c Auguste Jal, Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, Paris, Plon, 1872, pp. 709-711 (en ligne).
  93. Jean II Restout (1692-1768), neveu et filleul de Jean Jouvenet, orphelin de sa mère Magdeleine Jouvenet vers l'âge de 6 ans et de son père à 10 ans, a des liens forts avec la famille Jouvenet, au sein de laquelle il a été recueilli, élevé et éduqué avec ses cousins et cousines et où il a notamment bénéficié d'une solide formation de peintre auprès de son oncle. Dans le registre des inhumations de Combs-la-Ville, il est qualifié de « peintre ordinaire du Roy, professeur de son académie royale » (1740), de « peintre ordinaire du Roy, adjoint recteur de l’accadémie Royalle de peinture » (1746), « de la paroisse St-Germain l'Auxerrois à Paris, dans le cloître St-Nicolas du Louvre, rue Fromenteau » (1740, 1746).
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