Causse-Bégon

commune française du département du Gard
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Causse-Bégon
Causse-Bégon
Le village de Causse-Bégon.
Blason de Causse-Bégon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes Causses Aigoual Cévennes
Maire
Mandat
Brigitte Évesque
2020-2026
Code postal 30750
Code commune 30074
Démographie
Population
municipale
26 hab. (2021 en augmentation de 44,44 % par rapport à 2015)
Densité 3,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 46″ nord, 3° 21′ 39″ est
Altitude Min. 498 ou 513 m
Max. 928 m
Superficie 7,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Causse-Bégon
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Causse-Bégon
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Causse-Bégon
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Causse-Bégon

Causse-Bégon est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Trèvezel et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « gorges de la Dourbie et causses avoisinants ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Causse-Bégon est une commune rurale qui compte 26 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 117 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Caussenards ou Caussenardes.

Le causse Bégon est aussi le nom d'un des petits causses : celui qui sépare la rivière Dourbie au sud de son affluent le Trèvezel au nord. L'est de ce petit causse est situé dans la commune de Causse-Bégon (Gard) et l'ouest dans la commune de Nant (département de l'Aveyron).

Géographie modifier

Généralités modifier

 
Vue en direction de l'est depuis le village de Causse-Bégon.

Dans l'extrême ouest du département du Gard et limitrophe de celui de l'Aveyron, la commune de Causse-Bégon couvre l'essentiel d'un petit plateau calcaire, le causse Bégon, faisant partie des Grands Causses. Il est délimité au sud par la vallée de la Dourbie et au nord par celle de son affluent le Trèvezel, et se prolonge également sur une petite partie de la commune de Nant dans l'Aveyron.

Le territoire communal de Causse-Bégon, de forme triangulaire, s'étend sur 7,67 km2 et fait partie du parc national des Cévennes. Au nord, les gorges du Trèvezel, hautes de 300 à 400 mètres, marquent la limite communale sur cinq kilomètres.

L'altitude minimale, 498 ou 513 mètres[Note 1], se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, là où la vallée du Trèvezel quitte la commune et entre sur celle de Nant. L'altitude maximale avec 928 mètres est située au Montusclat[Carte 1], un kilomètre au nord-ouest du village de Causse-Bégon.

En bordure de la route départementale (RD) 295, le village de Causse-Bégon est situé, en distances orthodromiques, 21 kilomètres à l'ouest-nord-ouest du Vigan et 23 kilomètres à l'est-sud-est du centre-ville de Millau. Le seul autre lieu de peuplement de la commune se situe à un kilomètre au nord-est, au terminus de cette RD 295, au hameau des Ubertariès.

La commune est également desservie au nord-ouest dans les gorges du Trèvezel par la RD 157.

Communes limitrophes modifier

 
Carte de Causse-Bégon et des communes avoisinantes.

Seules trois communes entourent Causse-Bégon : Trèves au nord et au nord-est, et deux communes du département de l'Aveyron : Saint-Jean-du-Bruel au sud et Nant à l'ouest.

Au nord-ouest, son territoire est distant de moins de 500 mètres de celui de Lanuéjols.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 257 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 8,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 474,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].

La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[9],[10].

Réseau Natura 2000 modifier

 
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : Les « gorges de la Dourbie et causses avoisinants »[12], d'une superficie de 28 057 ha, qui comprennent une grande partie du Causse noir, du Causse du Larzac et du Causse Bégon, ainsi que les gorges qui les séparent. Sept espèces de l'annexe 1 se reproduisent sur le site, parmi lesquelles huit espèces de rapaces[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[14] : les « gorges de la Dourbie et ses affluents » (14 060 ha), couvrant 11 communes dont 6 dans l'Aveyron et 5 dans le Gard[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[14] : le « causse Bégon et Pas de l'Âne Canayère » (2 277 ha), couvrant 6 communes dont 2 dans l'Aveyron et 4 dans le Gard[16].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Causse-Bégon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[I 1],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,3 %), zones agricoles hétérogènes (24,9 %), prairies (16,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Causse-Bégon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Trèvezel. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1994[22],[20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Causse-Bégon.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[23]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 52,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 18 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 13 sont en aléa moyen ou fort, soit 72 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Causse-Bégon est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[26].

Toponymie modifier

La plus ancienne mention écrite connue du lieu date de l'an 1321 sous la forme lo Causse Bego[27].

Histoire modifier

Causse-Bégon a fait partie de la communauté de Trèves jusque vers la fin du XVIIe siècle ; il en fut détaché à cette époque pour former, avec la Baumelle et les Ubertariès, une communauté séparée. Il faisait partie de la viguerie du Vigan et Meyrueis et de l'archiprêtré de Meyrueis.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune fait partie de l'arrondissement du Vigan. Précédemment dépendante du canton de Trèves, elle est rattachée au canton du Vigan depuis 2015.

Liste des maires modifier

 
La mairie en 2019.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 ? Bernard Brouillet DVD  
? mai 2020 Christian Évesque    
mai 2020 En cours Brigitte Évesque    

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 26 habitants[Note 6], en augmentation de 44,44 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
676784108117116100108109
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
999992829094848168
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
574837424949482029
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
423432322323202012
2015 2020 2021 - - - - - -
182626------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Causse-Bégon, avec 20 habitants en 2017, est la commune la moins peuplée du département du Gard, juste devant Revens (21 habitants).

Enseignement modifier

Santé modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Économie modifier

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 0 % 0 % 5,9 %
Département[I 5] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 14 personnes, parmi lesquelles on compte 88,2 % d'actifs (82,4 % ayant un emploi et 5,9 % de chômeurs) et 11,8 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 5 emplois en 2018, contre 5 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 13, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 69,6 %[I 8].

Sur ces 13 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, la totalité des habitants utilise un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues[I 10].

Activités hors agriculture modifier

Deux établissements[Note 8] seulement relevant d’une activité hors champ de l’agriculture sont implantés à Causse-Bégon au [I 11].

Agriculture modifier

1988 2000 2010 2020
Exploitations 3 3 3 4
SAU[Note 9] (ha) 1 101 754 727 570

La commune est dans le Causse Noir, une petite région agricole concernant six communes à l'extrême-ouest du département du Gard[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 5]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (trois en 1988). La superficie agricole utilisée est de 570 ha[34],[Carte 6],[Carte 7].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Croix de carrefour au village de Causse-Bégon.

Témoignages du passé préhistorique de la région, sur le territoire communal ont été répertoriés le dolmen du Sot del Viala[35] et l'un des trois menhirs de la Plaine-des-Baldits[36]. Au sud, à moins de 150 mètres du territoire communal, sur le territoire de la commune aveyronnaise de Saint-Jean-du-Bruel, trois autres menhirs ont été répertoriés : les deux autres menhirs de la Plaine-des-Baldits[37],[38] ainsi que le menhir de Pal[39].

Causse-Bégon est l'une des rares communes françaises sans église.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules à la tour d'argent, ouverte et ajourée du champ, surmontée de trois fleurs de lis d'argent rangées en chef[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Deux valeurs différentes pour l'IGN, 498 mètres sur la carte et 513 sur son ancien site.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
  • Cartes
  1. « le Portalet » sur Géoportail (consulté le 4 avril 2020)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Causse-Bégon » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Causse-Bégon » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Causse-Bégon » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Causse-Bégon et Saint-Sauveur-Camprieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Sauveur-Camprieu » (commune de Saint-Sauveur-Camprieu) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Sauveur-Camprieu » (commune de Saint-Sauveur-Camprieu) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  8. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le ).
  10. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Causse-Bégon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « site Natura 2000 FR7312007 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Causse-Bégon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 132..
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  37. Menhir de la Plaine-des-Baldits (A), Mégalithes du monde, consulté le 2 mai 2020.
  38. Menhir de la Plaine-des-Baldits (C), Mégalithes du monde, consulté le 2 mai 2020.
  39. Menhir de Pal, Mégalithes du monde, consulté le 2 mai 2020.
  40. 30 074 - CAUSSE BEGON - (Gard), L'Armorial des villes et des villages de France, consulté le 2 mai 2020.

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