Ascarat

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Ascarat
Ascarat
Maison basque de Basse-Navarre (tuiles rousses et pierres d'angle apparentes).
Blason de Ascarat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Philippe Etchenique
2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64066
Démographie
Gentilé Azkaratear
Population
municipale
339 hab. (2021 en augmentation de 6,94 % par rapport à 2015)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 10′ 17″ nord, 1° 15′ 14″ ouest
Altitude Min. 120 m
Max. 446 m
Superficie 5,82 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Jean-Pied-de-Port
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Jean-Pied-de-Port
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ascarat
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Ascarat

Ascarat (prononcé [askaʁat]) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Azkaratear[1],[2].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune d'Ascarat se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

Elle se situe à 119 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 50 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 43 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Uhart-Cize (1,1 km), Lasse (1,5 km), Saint-Jean-Pied-de-Port (1,6 km), Ispoure (1,7 km), Anhaux (2,9 km), Irouléguy (3,8 km), Caro (4,0 km), Ispoure (4,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Ascarat fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le pays de Baïgorry-Ossès (Baigorri-Ortzaize), au sud-ouest de ce territoire.

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier d'Ascarat.

La commune est drainée par la Nive, la Nive d'Arnéguy, Pagolako erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[13],[Carte 1].

La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naît au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delà de la frontière espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bayonne, après avoir traversé 20 communes[14].

La Nive d'Arnéguy, d'une longueur totale de 20,8 km, naît au pied du col d'Ibañeta, dans la commune de Luzaide (Espagne), et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Nive à Uhart-Cize, après avoir traversé 4 communes[15].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 686 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bustince-Iriberry à 6 km à vol d'oiseau[19], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 327,4 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Nive »[24], d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[25],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[26],[Carte 3] :

  • les « landes de Larla-Jarra et d'Orzaize-Izpura » (4 429,5 ha), couvrant 10 communes du département[27] ;
  • le « réseau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du département[28].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ascarat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[30],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Jean-Pied-de-Port, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[32] et 4 773 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[33],[34].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,4 %), prairies (20,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,4 %), forêts (13,4 %), zones urbanisées (5,7 %)[37]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

Voies de communication et transports modifier

Ascarat est desservie par les routes départementales D 15 et D 918.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Ascarat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Nive d'Arnéguy et la Nive. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014 et 2021[40],[38].

Ascarat est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[41]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[42],[43].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ascarat.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 66 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[45].

Toponymie modifier

Attestations anciennes modifier

Le toponyme Ascarat apparaît sous les formes Ascarat (1106[46]), Escarat (XIIIe siècle[46]), Azcarat (1350[46]), Atzcarat (1366[46]), Azquarat (1413[46]), Axcarat (1513[47], titres de Pampelune[48]), Axcarate (1621[47], Martin Biscay[49]) et Sanctus Julianus d'Ascarat (1763[47], collations du diocèse de Bayonne[50]).

Étymologie modifier

Jean-Baptiste Orpustan indique que le toponyme est composé de aitz (« rocher ») et de garate (« lieu haut »), soit « hauteur de rocher »[46].

Autres toponymes modifier

Chubitoa est un hameau d’Ascarat et d’Anhaux, mentionné en 1863[47] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

Jauréguy était un fief vassal du royaume de Navarre, cité dans le dictionnaire de 1863[47] de même que Larragoyen.

Graphie basque modifier

Son nom basque actuel est Azkarate[2].

Histoire modifier

La paroisse est mentionnée[51] dès 1256 et est « ravagée par des gens de guerre » en 1396.

En 1391, Saint-Étienne-de-Baïgorry englobait les communes actuelles de Anhaux, Ascarat, Irouléguy et Lasse[52].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2020 Jean-Michel Galant REG[53]
EHBAI[54]
Conseiller général (2001-2008)
2020 En cours Philippe Etchenique    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

La commune d'Ascarat appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, du SIVOS de Garazi, du SIVU Hiruen Artean et du syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port.

Démographie modifier

L'enquête de 1786[55] recense à Ascarat 56 maisons et 328 personnes[56].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58].

En 2021, la commune comptait 339 habitants[Note 9], en augmentation de 6,94 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
334260279369402441440445403
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
340375354360353350354346412
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
338350354321323355353348325
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
274283282294294275280315318
2021 - - - - - - - -
339--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy et de celle d'appellation de l'ossau-iraty. L'activité est principalement agricole.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine civil modifier

La commune possède un ensemble de fermes[61] des XVIe et XVIIe siècles, inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel. La ferme Harizpea[62] date de 1587 et la maison Uhaldea[63] de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle. Le manoir[64] dit château de Vergues ou château de Fargas date, quant à lui, du XVIIIe siècle.

Patrimoine religieux modifier

L'église Saint-Julien-d'Antioche[65], d'origine médiévale, a été fortement remaniée aux XVIIIe et XIXe.

Personnalités liées à la commune modifier

Pierre Narbaitz, né en 1910 à Ascarat et mort en 1984 à Cambo-les-Bains, est un historien, écrivain et académicien basque français de langue basque et française.

Héraldique modifier

  Blasonnement :
Écartelé au 1 d'azur au cep de vigne pampré d'argent et fruité d'or ; au 2 d'argent à une aigle essorante de sable sur un mont de sinople ; au 3 d'argent à deux fasces de gueules ; au 4 d'azur à un cheval gai passant d'or surmonté de deux étoiles d'argent posées en fasce au franc quartier des barons militaires d'Empire[66].

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Ascarat » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ascarat », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ascarat », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

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  5. Stephan Georg, « Distance entre Ascarat et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. Stephan Georg, « Distance entre Ascarat et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Communes les plus proches d'Ascarat », sur villorama.com (consulté le ).
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  10. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  12. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac et ad Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  13. « Fiche communale d'Ascarat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  14. Sandre, « la Nive ».
  15. Sandre, « la Nive d'Arnéguy ».
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  22. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  54. « 15 maires et plusieurs élu·e·s votent EHBAI ! »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Euskal Herria Bai, (consulté le ).
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  60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  61. « Le recensement des bâtiments anciens d'Ascarat », notice no IA64000486, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. « La ferme Harizpea », notice no IA64000416, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. « La maison Uhaldea », notice no IA64000459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. « Le château de Vergues », notice no IA64000415, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. « L'église Saint-Julien-d'Antioche », notice no IA64000414, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  66. Guy Ascarat.