Yainville

commune française du département de la Seine-Maritime

Yainville
Yainville
La mairie.
Image illustrative de l’article Yainville
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Anne-Marie Del Sole
2020-2026
Code postal 76480
Code commune 76750
Démographie
Gentilé Yainvillais
Population
municipale
1 037 hab. (2021 en diminution de 2,54 % par rapport à 2015)
Densité 313 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 12″ nord, 0° 49′ 51″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 68 m
Superficie 3,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Barentin
Législatives 5e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Yainville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Yainville
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Yainville
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Yainville
Liens
Site web http://www.mairie-yainville.fr/

Yainville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Elle fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Géographie modifier

Description modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Yainville
Le Trait
Heurteauville   Duclair
Jumièges

Hydrographie modifier

Yainville est située sur la rive droite de la Seine.

Un bac permet de traverser la Seine et de rejoindre Heurteauville.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 863 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jumièges à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 843,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Yainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,3 %), zones urbanisées (20,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,9 %), eaux continentales[Note 3] (9,1 %), forêts (7,1 %), prairies (7 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le lieu est attesté sous les formes Ewenvilla en 1025 et vers 1080, puis sous la forme Eudonis villa en 1138[14].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (ville est issu du gallo-roman VILLA de même sens). Le premier élément Yain- représente vraisemblablement, selon le cas général, un anthroponyme.

François de Beaurepaire identifie dans l'élément Yain-, le nom de personne Edwin[us] de type à la fois germanique continental et anglo-saxon[14]. Il note cependant une analogie possible avec Hyenville (Manche, Eudonis villa 1186, Heenville XIVe siècle[14]) qui contient peut-être le nom de personne germanique Odo[15] (cas sujet Eudes, cas régime Odon), bien que les formes Eudonis villa soient dans les deux cas, tardives et isolées[15]. En outre, le cas régime en -on reste exceptionnel dans les formations en -ville de Normandie.

Histoire modifier

Dans la plaine d'Yainville coulait jadis l'Austreberthe. À l'ère quaternaire, son cours fut capturé par la Seine. L'idée de remettre en eau cette vallée morte pour abréger le parcours des navires fut lancée par Vauban puis reprise, au XIXe siècle, par divers ingénieurs. Ce projet, abandonné après quelques travaux, reste connu sous le nom de « coupure d'Yainville ». Yainville était jusqu'à la Révolution l'une des trois paroisses composant la baronnie de Jumièges, domaine direct de l'abbaye du même nom.

 
La gare de Yainville - Jumièges vers 1907.

Première activité industrielle : une carrière de pierre située à Claquevent et exploitée à la Révolution par le syndic du village, Jacques Rollain et au XIXe siècle par Émile Sylvestre. Tous deux furent maires d'Yainville.

En 1882, avec le prolongement de la ligne de Barentin à Caudebec-en-Caux, Yainville dispose d'une gare qui va favoriser le déplacement des habitants, l'expédition de la production locale de fruits et l'implantation d'entreprises.

En 1913, Sacha Guitry fait de Yainville sa résidence d'été.

En 1916, l'entreprise Pont-à-Mousson investit à Yainville avec l'achat de terrains et la création d'une fabrique de goudron.

Sur le site de Claquevent s'édifie à la fin de la Grande guerre une centrale électrique d'abord exploitée par la SHEE (Société havraise d'énergie électrique). Autour de cette centrale, des entreprises satellites sont alors créées : une savonnerie, une huilerie, une cartonnerie et une unité de produits électrolytique qui, le 9 août 1934, est le cadre d'une violente explosion. Bilan : trois morts et plusieurs blessés.

En 1940, le général Paulus fait de l'ancien manoir de Sacha Guitry son quartier-général. Il est alors propriété de Clarin Mustad, directeur de la clouterie de Duclair.

Le 19 avril et les 29 et , la centrale est bombardée[16]. A la Libération, EDF lui substitue une centrale thermique qui sera détruite à la fin des années 1990. Le développement de la centrale s'est accompagné de la création d'une cité ouvrière.

Après l'arrêt de la centrale, le site de Claquevent accueillera de nouvelles activités tandis que l'entreprise d'orfèvrerie Christofle s'est implantée dès 1972 à Yainville, année où roule le dernier train sur la ligne de chemin de fer.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1789 1794 Jacques Rollain   Carrier
1796 1826 François Lesain   Agriculteur
1826 1829 Pierre-Michel Rollain   Chauffournier
1830 1839 Jean-Georges Delépine   Propriétaire
1839 1846 Charles Lesain   Propriétaire
1846 1848 Pascal Mettérie   Garde-forestier
1848 1884 Jean-Augustin Lafosse   Agriculteur
1884 1894 Émile Silvestre   Carrier
1894 1804 Patrice Costé   Agriculteur
1904 1922 Athanase Leroy   Arboriculteur
1922 1925 Émile Carpentier   Agriculteur
1925 1929 Auguste Fessard   Agriculteur
1929 1945 Jean Lévêque   Électricien
1945 1964 Gaston Passerel   Régisseur
1945 1964 Théophile Pourhomme   Technicien
1964 1974 Henri Marcilloux   Instituteur
1974 2008 Jean-Louis Claudet [Note 4],[17]
(1931-2008)
  Ingénieur aux chantiers du Trait, retraité
mars 2008 En cours
(au 10 août 2020)
Anne-Marie Del Sole   Médecin
Réélue pour le mandat 2020-2026[18],[19]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 1 037 habitants[Note 5], en diminution de 2,54 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
204238237261234251210286240
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
229224260249226224261287281
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
275241214265258350347340616
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8839931 1171 2461 1351 1811 1531 0961 123
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0701 0411 037------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports modifier

Économie modifier

Activités contemporaines : savonnerie et huilerie. Usine d'orfèvrerie Christofle (1971).

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église Saint-André en 2010.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Marie Madeleine Dreux d'Aubray, marquise de Brinvilliers a, selon la légende, séjourné à Yainville.
  • Sacha Guitry et Charlotte Lysès, sa première épouse, font du manoir des Zoaques leur résidence d'été de 1913 à 1916.
  • Bernard Bloch-Levallois, marchand de biens, collectionneur, racheta les Zoaques à Sacha Guitry.
  • Lazare Bloch, époux de Marthe Hanau, la célèbre banquière, fut propriétaire des Zoaques[25].
  • Maurice Ray (1863-1938), peintre parisien, familier du Salon des Indépendants, fut propriétaire de La Broche, l'ancien nom des Zoaques.[réf. nécessaire]
  • Roger Martin du Gard séjourna à plusieurs reprises chez son ami Martin Ray, à La Broche, où il rédigea sa thèse sur l'abbaye de Jumièges.
  • L'abbé Houlière, poète, chansonnier, auteur de Notre Dame d'Autretot, fut curé de Yainville. Il y rédigea son ouvrage intitulé Poésies d'un curé de campagne.[réf. nécessaire]

Yainville dans les arts modifier

Des scènes du film Un pont entre deux rives (1999) de Gérard Depardieu et Frédéric Auburtin y ont été tournées.

Parrainages modifier

Un cargo construit aux Ateliers et chantiers de la Seine-Maritime du Trait pour la Compagnie maritime et charbonnière Worms en 1961 portait le nom de Yainville[26].

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Paul Bonmartel, Histoire du patrimoine industriel de Duclair-Yainville-Le Trait 1891-1992, 1998
  • Charles-Antoine Deshayes, Notice sur les paroisses Jumièges, Le Mesnil-sous-Jumièges et Yainville
  • Gilbert Fromager, Le Canton de Duclair à l'aube du XXe siècle, Duclair, G. Fromager, , 163 p. (ISBN 2-9501653-0-3)
  • Gilbert Fromager, Le canton de Duclair : 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 2-9501653-1-1)
  • Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 264 p., broché (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5)
  • « Yainville », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) vol. 1, p. 450
  • Laurent Quevilly, Sacha Guitry en Normandie, Paris, BoD - Books on Demand, , 202 p. (ISBN 9782322115198)
  • Laurent Quevilly, 14-18 dans le canton de Duclair, Paris, Books on Demand, , 224 p. (ISBN 978-2-322-04161-9, présentation en ligne)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le foyer municipal porte le nom de ce maire
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Yainville et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1) (OCLC 6403150). p. 166.
  15. a et b François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 141.
  16. Gontran Pailhès (préf. Pierre Varenne), Rouen et sa région pendant la guerre 1939-1945, Rouen, Henri Defontaine, , 309 p., p. 156, 166.
  17. « Les années Claudet », Yainville, sur Le Canard de Duclair (consulté le ).
  18. « Municipales 2020. Anne-Marie Del Sole vise un troisième mandat à Yainville : La maire sortante, seule candidate déclarée à ce jour, met l’accent sur l’éducation, la solidarité, la citoyenneté et l’esprit d’entreprise », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élue maire en 2008, Anne-Marie Del Sole, 71 ans, médecin généraliste toujours en activité dans son cabinet au sein du village, vise un troisième mandat ».
  19. « Liste des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Gilles Henry, Promenades littéraires en Normandie, Condé-sur-Noireau, C. Corlet, , 213 p., 27 cm (ISBN 2-85480-516-X et 978-2-85480-516-1, OCLC 36104323, BNF 35804179, lire en ligne), « Nous entrons sur la Seine… Maritime », p. 162.
  25. ' Marthe Hanau ', sur le site melao.free.fr, consulté le 10 décembre 2013
  26. « Le "Yainville" a été lancé au Trait pour la Cie Worms », Archives, sur wormsetcie.com, (consulté le ).