Le cardinal Marc Ouellet décoré de l'Ordre de Vasco Núñez de Balboa, le 28 novembre 2012
Le cardinal Marc Ouellet décoré de l'Ordre de Vasco Núñez de Balboa, le 28 novembre 2012

Marc Ouellet (né le à La Motte) est un homme d'Église canadien membre de la Curie romaine. Depuis juin 2010, il occupe les fonctions de préfet de la Congrégation pour les évêques et de président de la Commission pontificale pour l'Amérique latine. En 2003, il fut créé cardinal. Il fut primat du Canada et archevêque de Québec de 2003 à 2010.

Marc Ouellet est né au sein d'une famille de huit enfants. Il fit ses études collégiales ainsi que deux ans de philosophie à l'École normale d'Amos de 1959 à 1964 à la fin desquelles il reçut un baccalauréat en pédagogie de l'Université Laval. Ensuite, il fit ses études théologiques au Grand Séminaire de Montréal de 1964 à 1968 pour recevoir une licence en théologie de l'Université de Montréal.

Lumière modifier

1 Le Festival des guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue présente pendant 8 jours une vingtaine de spectacles sans compter les Sorties du Festival en salle privée. Un total qui avoisine les 70 événements. Ce festival québécois se déroule principalement à Rouyn-Noranda, en Abitibi-Témiscamingue.

Le festival est né de la rencontre de deux hommes: Jean-Charles Coutu, juge de la Cour du Québec à la retraite et Alain Vézina, ancien disquaire passionné de musique. Entourés de quelques parents et amis, ils produisent en mai 2005 le premier FGMAT. La direction artistique est confiée à Alain Vézina qui utilise ses nombreux contacts dans l'industrie de la musique pour attirer de grands noms de la guitare à Rouyn-Noranda. L'événement se déroule sur 3 jours et propose une dizaine de spectacles dont Robert Michaels, Canadian Guitar Quintet et les Lost Fingers. Devant l'engouement et la réponse des festivaliers, les 2 membres fondateurs décident de poursuivre l'aventure à chaque année.

En 2012, le festival a enregistré 33 000 entrées pendant les 8 jours de festivités et 23 spectacles étaient inclus dans la programmation régulière dont Luc De Larochelière, Patrick Norman, et des géants du rock tels que George Thorogood, les Doobie Brothers et Grand Funk Railroad. Les « Sorties du festival » se sont déroulées aux quatre coins de l'Abitibi-Témiscamingue dans des salles privées à La Sarre, Amos, Val-d'Or, Malartic, Ville-Marie, Rouyn-Noranda et La Motte.

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Le cardinal Marc Ouellet décoré de l'Ordre de Vasco Núñez de Balboa, le 28 novembre 2012

Marc Ouellet (né le à La Motte) est un homme d'Église canadien membre de la Curie romaine. Depuis juin 2010, il occupe les fonctions de préfet de la Congrégation pour les évêques et de président de la Commission pontificale pour l'Amérique latine. En 2003, il fut créé cardinal. Il fut primat du Canada et archevêque de Québec de 2003 à 2010.

Marc Ouellet est né au sein d'une famille de huit enfants. Il fit ses études collégiales ainsi que deux ans de philosophie à l'École normale d'Amos de 1959 à 1964 à la fin desquelles il reçut un baccalauréat en pédagogie de l'Université Laval. Ensuite, il fit ses études théologiques au Grand Séminaire de Montréal de 1964 à 1968 pour recevoir une licence en théologie de l'Université de Montréal.

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Mont Chaudron

Le mont Chaudron ou colline Cheminis est un inselberg, une anomalie géologique à la frontière de l'Ontario et du Québec et aussi connu sous différents noms en anglais comme Mount Cheminis ou Sugar-Loaf Mountain (mont du Pain de Sucre).

Le mont Chaudron est situé non loin des éléments paysagers et forestiers remarquables contigus à la réserve écologique projetée du ruisseau Clinchamp et du mont Kanasuta, au nord de la route 117.

Le nom de « Chaudron » a été donné parce que le mont ressemble à un chaudron inversé.

4 La rivière Mégiscane est l'une des plus importantes rivières de la région de l'Abitibi-Témiscamingue. Elle a la réputation d'être un endroit privilégié pour pêcher l'esturgeon.

Elle prend sa source à l'ouest du réservoir Gouin en Mauricie, traverse le grand lac Mégiscane et termine sa course dans le lac Parent non loin de Senneterre. Au total, elle parcourt environ 230 km avec un débit moyen de 392 m³/s.

Son nom, comme celui du lac, dérive de l'algonquin metshishkan ou mesiskine et signifie hameçon, en référence à sa qualité comme lieu de pêche.

Durant les années 1940 et 1950, la société Shawinigan Water and Power Company qui détenait la concession des forces hydrauliques de la rivière Saint-Maurice, effectue plusieurs études afin d'évaluer le détournement potentiel de rivières vers ses centrales hydroélectriques.

5 La réserve de biodiversité des Lacs-Vaudray-et-Joannès est une aire protégée du Québec située sur le territoire de Rouyn-Noranda. Cette réserve a pour mandat de protéger des échantillons représentatifs de la diversité biologique de la région naturelle des Basses-terres du lac Témiscamingue. Elle fut créée au début de l'année 2007. Elle porte le nom des deux principaux lacs du territoire.

La réserve, à 20 km à l'est du centre-ville de Rouyn-Noranda, couvre une superficie de 193,07 km2. On y accède par la route 117, par le chemin Joannès-Vaudray, près du secteur McWatters de Rouyn-Noranda. La plupart des activités du sites sont offertes par le centre éducatif forestier du Lac-Joannès.

La réserve de biodiversité abrite les mammifères suivants: le porc-épic d'Amérique (Erethizon dorsatum), l'écureuil roux (Tamiasciurus hudsonicus), le castor du Canada (Castor canadensis), le grand polatouche (Glaucomys sabrinus), le rat musqué (Ondatra zibethicus), l'orignal (Alces alces), le lièvre d'Amérique (Lepus americanus), la belette à longue queue (Mustela frenata), l'hermine (Mustela erminea), la martre d'Amérique (Martes americana), le pékan (Martes pennanti), le vison d'Amérique (Mustela vison), la Mouffette rayée (Mephitis mephitis), la loutre de rivière (Lontra canadensis), l'ours noir (Ursus americanus), le loup gris (Canis lupus), le coyote (Canis latrans), renard roux (Vulpes vulpes) et le lynx du Canada (Lynx canadensis).

6 Le lac Duparquet est un petit lac de 12 km², situé au nord de Rouyn-Noranda. Il compte une centaine d'îles dont 3 sont des réserves écologiques où poussent les plus vieux arbres du Québec. La municipalité de Duparquet est établie sur ses berges.

Il reçoit ses eaux du sud par la rivière Kanasuta et coule vers le nord et le lac Abitibi par la rivière Duparquet, pour ultimement se déverser dans la baie James.

Parmi les 135 îles que compte le lac, la plus grande est l'île Mouk-Mouk, à l'origine d'une expression populaire au Québec pour parler du bout du monde.

Des thuyas vieux de plus de 500 ans, dont un de presque 1000 ans, poussent sur les îles du lac, dont trois ont été transformés en réserves écologiques. Des conditions sèches ont contribué à une croissance lente et dense, les protégeant ainsi des insectes, des maladies, des champignons et des castors qui préfèrent du bois plus mou. L'isolement sur les îles a pour sa part assuré de protéger les arbres des feux de forêt.

7 En pays neufs est un film documentaire de Maurice Proulx, sorti en 1937.

Prêtre et agronome, Maurice Proulx commence dans les années 1930 à produire des films pédagogiques pour les cours qu’il dispense à l'école de Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Le film relate l’histoire du développement de l’Abitibi ouverte à la colonisation au début du XXie siècle, dans une période où le Québec est en crise économique. Le gouvernement québécois de l’époque, plus particulièrement le Ministère de l’agriculture, y offrait des terres de colonie avec l’appui du clergé pour contrer l’exode massif des Québécois dans les usines de Nouvelle-Angleterre. Les familles allaient faire de la terre en Abitibi, y défricher, y installer une maison et y cultiver. Elles ont ouvert cette région économique du Québec où, à l’agriculture, s’est ajouté depuis l’exploitation des forêts et des mines d’or et de cuivre. Maurice Proulx suit avec sa caméra amateur ces colons d’un pays neuf. Son film devient une forte illustration de la naissance du pays.

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La Cathédrale Sainte-Thérèse-d'Avila d'Amos

La cathédrale Sainte-Thérèse-d'Avila d'Amos est le seul lieu de culte en Abitibi-Témiscamingue qui porte le titre de cathédrale.

La Cathédrale fut construite selon le style dit « romano-byzantin ». La particularité de ce style est quelle est de forme circulaire, contrairement aux cathédrales romanes qui sont en forme de croix. Elle est située sur la colline centrale de la ville, sur la rive est de la rivière Harricana.

La structure de la cathédrale est d'acier et de béton armé. Le dôme du bâtiment est fait des mêmes matériaux, hormis le fait qu'il soit recouvert de cuivre. Il mesure 30,48 mètres de diamètre (100 pieds). La cathédrale culmine à 49 mètres, à la pointe de la coupole. La bâtiment fait 31 mètres sous la voûte.

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Bourlamaque, 1935, construction des maisons, des égouts et des aqueducs

Le Village minier de Bourlamaque est un site historique classé le 1er juin 1979 par le ministère des Affaires culturelles du Québec en vertu de la Loi sur les biens culturels.

Le classement s'applique à la portion du territoire de l'ancienne ville de Bourlamaque qui comprend un ensemble résidentiel construit par la compagnie Lamaque Gold Mines Limited pour ses employés. Dans cet ensemble résidentiel, on retrouve 68 maisons unifamiliales en bois rond représentant l'habitation au début de la colonisation de l'Abitibi-Témiscamingue. Situé dans le canton de Bourlamaque et dans la limite est de l’actuelle ville de Val-d'Or, le site accueillera dès 1923 après la découverte d’un filon d’or, un premier aménagement établi sous la direction de Robert C. Clark qui se composera de quelques tentes et de constructions en pièce sur pièce dans le but de pourvoir aux besoins des premières cohortes de travailleurs. Suivant près d’une décennie d’exploration, la Lamaque Gold Mines Limited entrera en phase d’extraction du minerai en 1934. Conséquemment à ce début de production, la minière mandatera un groupe de professionnels qui aura à définir un plan d’aménagement pour la ville qu’elle entend fonder afin d’y loger ses travailleurs.

10 Le projet Osisko ou projet Canadian Malartic est un projet de mine aurifère à ciel ouvert situé dans la ville de Malartic, qui est devenue en 2011 l'une des plus grandes au Canada. La mine est sous la gestion de la Corporation Minière Osisko (Osisko Mining Corporation), une société de développement minier basée à Montréal, Québec. Il s'agit d'un des 20 sites les plus prometteurs au monde pour une compagnie.

Les ressources mesurées comme telles sont de 9,17 millions d'onces, soit une valeur d'environ 16,5 milliards de dollars canadiens avec environ 1 800 $ US l'once d'or sur les marchés (gold markets) en septembre 2010 et des coûts d'exploitation de 319 $ US l'once, se situant dans le plus bas quartile parmi les producteurs d'or mondiaux. La compagnie Canadian Malartic, au premier trimestre 2010, fait état d'une production de plus de 600 000 onces d'or par année sur une durée d'exploitation de plus de 12,2 ans (taux d'usinage de 55 000 tonnes par jour). Ses actions sont transigées à la bourse de Toronto sous le symbole « OSK » ainsi que sur la Deutsche Börse sous le symbole « EWX ».

11 Les Huskies de Rouyn-Noranda est une équipe de hockey qui fait partie de la Ligue de hockey junior majeur du Québec. Son domicile est l'aréna Iamgold. Avant de déménager à Rouyn-Noranda en 1996, la franchise fut originalement le Canadien junior de Montréal, puis le Junior de Verdun (1982) et ensuite le Laser de Saint-Hyacinthe (1989).

En raison de sa situation géographique, l'équipe partage une féroce rivalité avec les Foreurs de Val-d'Or. Cette rivalité est souvent appelée « la bataille de la 117 », les deux villes étant séparées par quelques 100 kilomètres de route.

12 Le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue a lieu chaque année dans la ville de Rouyn-Noranda, au Québec depuis 1982.

La qualité de sa programmation, ses invités de renommée, l'excellente couverture médiatique, la ferveur de son public et le professionnalisme de son organisation en ont fait un événement reconnu tant par la presse que par les artisans du cinéma.

Le Festival du cinéma s'étend sur six jours à partir du dernier samedi d'octobre et présente une programmation comprenant des longs, des moyens et des courts métrages. Fictions, documentaires ou films d’animation, ces œuvres cinématographiques sont regroupées en blocs de quatre heures présentés en après-midi et en soirée. Même si les longs métrages constituent les pièces centrales de ces blocs, il n’en demeure pas moins que les courts métrages sont toujours très attendus et appréciés du public.

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Réservoir Dozois

La réserve faunique La Vérendrye est située dans la MRC de La Vallée-de-la-Gatineau dans la région de l'Outaouais et dans la MRC de La Vallée-de-l'Or, en Abitibi-Témiscamingue, entre Grand-Remous et Louvicourt. Le territoire est un parc de conservation qui fait partie du réseau des réserves fauniques du Québec gérées par la Sépaq.

Cette réserve fut établie en 1939 sous le nom de Réserve de la Route-Mont-Laurier–Senneterre. C'est en effet cette année-là qu'on s'attendait à compléter les travaux routiers permettant de relier Mont-Laurier à l'Abitibi. En rendant ainsi accessible à des milliers de chasseurs et de pêcheurs un territoire d'une richesse faunique exceptionnelle, il devenait par le fait même important de le protéger.

En 1950, le gouvernement transforme cette réserve de chasse et de pêche en parc et profite du 200e anniversaire du décès (1749) de l'explorateur Pierre Gaultier de Varennes et de La Vérendrye pour lui attribuer son nom.

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Edmund Horne

Edmund Horne (1864-1952), né à Enfield, en Nouvelle-Écosse, était un homme d'affaires et prospecteur canadien.

En 1908, il entendit parler des découvertes d'argent à Cobalt (Ontario), et il se dirigea vers le Nord de l'Ontario pour entamer le chapitre le plus important de son odyssée minière.

M. Horne pénétra pour la première fois dans l'arrière-­pays du Québec, en canot, en 1911, persuadé que les richesses géologiques ne s'arrêtaient pas à la limite de l'Ontario. Cette conviction le mena à la découverte de la mine cupro­aurifère Horne, qui devint l'assise de la société Noranda, une des plus grandes sociétés minières au Canada.

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Le lac Osisko à Rouyn-Noranda

Le lac Osisko baigne la ville de Rouyn-Noranda qui est établie sur ses berges.

Osisko signifie rat musqué en algonquin. Ce lac est aussi connu sous le nom de Lac Rat Musqué et Lac Tremoy (ou Lake Tremoy), nom d'un petit syndicat minier qui finança les voyages d'exploitation d'Edmund Horne dans la région.

C'est vers 1920 qu'Edmund Horne découvrit un énorme gisement d'or et de cuivre sur la rive nord du lac Osisko. Le lac servit bientôt de base d'hydravion au service des entreprises minières de la région, mais aussi de point d'arrivée pour des colons et des marchandises. Il joua un rôle clé dans le développement de la ville de Rouyn-Noranda.

Un parc municipal très fréquenté est établi sur la rive ouest.

Une piste cyclable de huit kilomètres fait le tour du lac et emprunte une des digues qui divise le lac en trois sections.

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Bassin de la rivière Harricana

La rivière Harricana prend sa source près de Val-d'Or et se jette dans la baie James quelque 553 kilomètres plus au nord. Elle traverse Saint-Mathieu-d'Harricana et Amos.

En tant qu'affluent de la baie James, et donc de la baie d'Hudson, la rivière Harricana et son bassin sont la propriété de la Compagnie de la Baie d'Hudson jusqu'à l'achat par le Canada en 1869. Le territoire est officiellement annexé à la province de Québec en 1898 et les efforts de colonisation peuvent commencer.

En 1906, Henry O'Sullivan explore les bords de l'Harricana et en 1908, les premiers camps s'établissent sur les berges de la rivière à la hauteur des rapides. Il s'agit de camps d'approvisionnement pour la construction d'un chemin de fer transcontinental. Quelques années plus tard, en 1910, les premiers colons arrivent et fondent la ville d'Amos en 1912 à l'endroit où le chemin de fer croise la rivière.

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Rivière Dumoine au kilomètre 55

La rivière Dumoine est une rivière du Québec (Canada), affluent de l'Outaouais. Frontière entre le Pontiac et le Témiscamingue, elle prend sa source dans le lac Machin au nord du lac Antiquois, coule sur plus de 140 km vers le sud dans le lac Dumoine puis se jette dans le lac Holden, élargissement de la rivière des Outaouais, situé à une douzaine de kilomètres à l'ouest de l'île de Rapides-des-Joachims. Son bassin draine un territoire de 5 380 km².

La rivière Dumoine a une morphologie semblable à celle de la rivière des Outaouais où se succède des lacs reliés l'un aux autres par de brefs cours d'eau, brisés de chutes et de rapides, à partir de la rivière des Outaouais jusqu'au nord du lac Cawasachouane. Le 14 mai 2008, le gouvernement du Québec a annoncé la désignation de ce territoire à titre de réserve aquatique protégée d'une superficie de 1 445 km2.

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La synagogue de Rouyn-Noranda

La synagogue de Rouyn-Noranda est un bâtiment d'intérêt patrimonial située dans le quartier de Noranda. Elle fut construite en 1948 sous le nom de Beit Knesset Israel en hébreu ou Kneseth Israel Congregation. Elle ferma ses portes comme lieu de culte juif en 1972.

C'est sur un style d'architecture néo-roman, sous une interprétation spécifiquement nord américaine, qu'a été reconstruite la synagogue entre 1948 et 1949. Elle est caractérisée par une ornementation classique et des surfaces douces et arrondies, ainsi que par l'utilisation de fenêtres elliptiques. Elle ressemble au Temple Beth Israel de San Diego en Californie. Ce style s'inspire de l'architecture romane et reprend des éléments les plus typiques comme l'arc cintré. Les arcs en plein cintre qui encadrent les vitraux sont typiques du néo-roman ainsi que le corps central en saillie. Les briques ont été posées à l'anglaise (les lits sont constitués d'une alternance de boutisses et de panneresses), c'est-à-dire empilées sur le plat.

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Vestiges du Fort Témiscamingue avec le lac Témiscamingue à l'arrière plan.

Le Fort Témiscamingue fut un poste de traite fortifié à l'époque de la Nouvelle-France. Le site du Fort-Témiscamingue est aujourd'hui un Lieu historique national du Canada.

Le Fort Témiscamingue fut en activité pendant près de deux siècles. C'est dans ce fortin que les trappeurs venaient vendre leurs fourrures aux marchands et négociants français qui les envoyaient ensuite vers l'Europe.

Au XVIIesiècle, les trappeurs et coureurs des bois français entrèrent en contacts avec les Amérindiens des Nations Algonquines et Ojibwés. Ils établirent des postes de traite afin d'entreposer les peaux troquées avec les Amérindiens.

En 1679, les marchands et négociants de fourrure de Montréal firent édifier un premier fort dans cette région de l'Abitibi-Témiscamingue. Ils considérent que ce lieu était une bonne place stratégique, située près des lacs Timagami, Nipissing, Abitibi et sur la voie qui conduit à la baie James.

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Pont suspendu du lac La Haie

Le Parc national d'Aiguebelle est un parc national du Québec. Il est situé dans la région touristique de l'Abitibi-Témiscamingue et à une distance d'environ 50 kilomètres de Rouyn-Noranda. Il est d'une superficie de 268,3 km². Le parc fut constitué en 1985 et connut une révision de ses limites en 1998. Il a pour mission de protéger un échantillon représentatif de la ceinture argileuse de l'Abitibi ainsi que les collines Abijévis.

Le parc comprend une ligne de partage des eaux et s'étend donc sur deux bassins hydrographiques: le bassin de la baie d'Hudson et celui de l'Atlantique. On y retrouve les traces d'une très ancienne activité volcanique ainsi que plusieurs lacs de failles. Il est géré par le gouvernement québécois par la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ).

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La faille de Cadillac désigne une anomalie géologique du Québec. Tirant son nom du canton de Cadillac où elle fut découverte, elle permet de comprendre la richesse minière de la région de l'Abitibi-Témiscamingue.

Longue d'environ 320km, la faille est très riche en gisements d'or, de cuivre, de zinc, de nickel et autres métaux non ferreux. C'est grâce aux mines construites le long de cette faille que furent fondées les villes de Rouyn-Noranda, Val-d'Or, Malartic et plusieurs autres.

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