Wikipédia:Oracle/semaine 17 2010

Semaines : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52 



Arbre avec deux types de fleurs différents modifier

C'est le printemps, les arbres sont en fleurs, et sur le parking d'un supermarché (à Bagneux), j'ai vu ces deux arbres : L'un à fleurs roses, mais quelques branches où elles sont blanches, l'autre à fleurs blanches, mais quelques branches où elle sont roses. Comment est-ce possible ? Photos prises avec un téléphone portable, désolé de la qualité...--Serged/ 26 avril 2010 à 10:48 (CEST)[répondre]

Bah, ça peut être soit des greffes, soit un phénomène naturel (de type variégation). Il faudrait vérifier s'il y a des branches à moitié colorées, ce qui exclut la greffe. Par ailleurs, j'ai du mal à imaginer le but d'une telle greffe (mais les horticulteurs ont l'imagination débordante pour créer des trucs monstrueux, comme des fleurs mutantes avec un nombre de pétales invraisemblables, que les gens s'accordent à trouver beaux). Arnaudus (d) 26 avril 2010 à 11:18 (CEST)[répondre]
Au vu des photos, c'est bien les mêmes fleurs des 2 côtés, mais ça ne fait pas avancer le schimilibi euh… vous voyez quoi… Min's - ᨅᨗᨌᨑ 26 avril 2010 à 13:35 (CEST)[répondre]
Je n'y connais rien mais je ne crois pas à la greffe : j'ai vu, moi aussi 2-3 arbres très similaires (peut-être de la même espèce) blancs et roses parmi une rangée de qq dizaines le long d'une route. Je pencherais donc pour un phénomène naturel, car pourquoi greffer un arbre sur 10 ? Aussi je n'ai pas vu de traces de greffons mais je n'y connais pas grand chose ;-) --Epsilon0 ε0 26 avril 2010 à 13:44 (CEST)[répondre]
A vu de nez, je dirais qu'il s'agit d'un cerisier classique (fleurs blanches) sur lequel on aurait greffé un cerisier à fleur, couramment planté dans nos jardins. Rien de bien méchant en somme. --Yelkrokoyade (d) 26 avril 2010 à 13:46 (CEST)[répondre]
Ce seraient des chimères ? --Serged/ 28 avril 2010 à 10:18 (CEST)[répondre]

  Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.

e-folie modifier

Bonjour à tous,

Depuis hier je traine sur pas mal de blogs traitant de référencement (pour un projet perso et pour améliorer un peu l'article dédié).

Je vois souvent le terme de e-commerçant pour définir une société (ou personne) présente sur le web et proposant ses produits en ligne (e-commerce) - jusqu'à la aucun problème ! Le soucis vient de son équivalent dans le e-business ! Doit-on dire e-businesseur ? où e-businessman ? A votre connaissance existe t'il un équivalent ? une recherche google ne m'a rien apporter de neuf !

Merci d'avance aux pythies  

GwenofGwened [SAV] 26 avril 2010 à 12:10 (CEST)[répondre]

Non, non, on dit e-commerçant, e-entrepreneur, e-affairiste, e-homme d'affaire,... ; tiens, l'article en:Businessman n'a pas d'équivalent français. ;-) -- Xofc [me contacter] 26 avril 2010 à 14:22 (CEST)[répondre]

Colochirus robustus modifier

Bonjour, Quelqu'un connait-il quelque chose qui ressemble à Colochirus robustus, mais qui serait vert? Merci --Domingue (d) 26 avril 2010 à 14:13 (CEST)[répondre]

Ici !? --MIKEREAD (d) 26 avril 2010 à 14:31 (CEST)[répondre]
Si vous ne trouvez pas de réponse ici, comme il semble s'agir d'une holothurie ([1]), peut-être proposer la question sur Projet:Zoologie/Quel est cet animal ? -(ou, peut-être y-a-t-il un bistro orienté biologie ou monde maritime?) -- Xofc [me contacter] 26 avril 2010 à 14:39 (CEST)[répondre]
Merci, ça ne m'aide pas beaucoup mais l'article est intéressant. Pour l'identification, il faudrait que je récupère une photo, c'est ce qui est demandé sur la page de demande identification.
En fait, l'holothurie est non seulement verte, mais les papilles dorsales et les tentacules buccaux sont orange. --Domingue (d) 28 avril 2010 à 18:47 (CEST)[répondre]
Ce pourrait-être C. quadrangularis. éventuellement. --Domingue (d) 28 avril 2010 à 19:24 (CEST)[répondre]

Volaillerie modifier

B'jour n'à tous,

… pour l'article Filet (mets) que je reprends actuellement, j'ai très naturellement utilisé le mot « volaillerie » (en plus en titre de paragraphe) pour parler du magasin du volailler (boucher -> boucherie, charcutier -> charcuterie, poissonnier -> poissonnerie… ). « On » m'a fait remarqué que « volaillerie » n'est pas dans le dictionnaire. Avec 32 600 entrées sur Google, plusieurs fois cités dans « certains » dictionnaires, est-ce que ce néologisme peut être employé dans un article sans soulever des discussions ubuesques comme celle sur la nationalité de Chopin ? — Hautbois [canqueter] 26 avril 2010 à 14:33 (CEST)[répondre]

Je pense qu'il est naturel d'utiliser une périphrase ("vendeur de volaille"?), que le mot soit dans le dictionnaire ou non. Pourquoi mettre un mot compliqué qui risque de gêner le lecteur (pensez aux non-natifs qui vont chercher ce mot dans les dictionnaires bilingues!) quand finalement il est très facile de faire autrement? Arnaudus (d) 26 avril 2010 à 17:27 (CEST)[répondre]
contente-toi plutôt de volailler ! Si personne n'a jugé bon d'inventer ou de diffuser le néologisme, c'est pas à nous de le faire. gem (d) 26 avril 2010 à 17:58 (CEST)[répondre]
Je confirme : volailler = producteur et/ou marchand de volaille. Dis donc, Hautbois, connais-tu l’existence de ceci ? Il me semble que tu es tout désigné d’office pour t’y inscrire !   --Égoïté (d) 26 avril 2010 à 18:15 (CEST)[répondre]
 , remplacé par « marchand de volaille ». Merci. — Hautbois [canqueter] 27 avril 2010 à 12:33 (CEST) (Oula ! moi m'inscrire dans une petite boîte très étroite faite en ticky-tacky…   )[répondre]

Arabe et parenthèses modifier

Salutations Ô Râcles…

J'ai une colle pour vous qui me lisez.

Je cherche à copier/coller dans OOo (dans word, ça déconne encore plus, inversant carrément les mots, voire les lettres au sin d'un mot…) le Coran. J'ai donc les sourates divisées en versets et après chaque verset, le numéro de ce verset.

ex. 1ère sourate :

بِسْمِ اللَّهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِيمِ(١)

الْحَمْدُ لِلَّهِ رَبِّ الْعَالَمِينَ (٢) الرَّحْمَنِ الرَّحِيمِ (٣) مَالِكِ يَوْمِ الدِّينِ (٤) إِيَّاكَ نَعْبُدُ وَإِيَّاكَ نَسْتَعِينُ (٥) اهْدِنَا الصِّرَاطَ الْمُسْتَقِيمَ (٦) صِرَاطَ الَّذِينَ أَنْعَمْتَ عَلَيْهِمْ غَيْرِ الْمَغْضُوبِ عَلَيْهِمْ وَلَا الضَّالِّينَ (٧)

Or les parenthèses se retrouvent régulièrement en fin de ligne (Si vous regardez la source ici, vous verrez peut-être la ) du dernier verset en bout de ligne alors que le rendu est bon. J'ai le même problème avec OOo.

Auriez vous une idée pour mettre les () aux bonnes places ? شكراً ;)

Je pense que tu bloques sur un problème d'indexation du texte que tu prends comme source, qui doit avoir un système de balisage un peu particulier. Es-tu sûr que tu ne peux pas trouver en ligne un autre texte du Coran qui soit plus facile à copier-coller ? Sinon, tu pars pour des heures et des heures à remettre les numéros de versets à la bonne place "à la petite cuillère"... Cherche une autre source. Amicalement Aluminium (d) 28 avril 2010 à 02:58 (CEST)[répondre]

Culs de bouteilles modifier

Bonjour, quelqu'un saurait-il me dire quelle est le nom et la fonction du renfoncement interne plus ou moins prononcé des culs de bouteilles de vin ? — Droop [blabla] 26 avril 2010 à 14:39 (CEST)[répondre]

Ça sert par exempe (mais je ne sais pas si c'était le but d'origine) au rangement (la bouteille est tenu par le col et repose sur une pièce pointue). Peut-être aussi à faire croire qu'il y a un volume plus important ?   Agrafian (me parler) 26 avril 2010 à 14:48 (CEST)[répondre]
Euh, je ne pense pas, les bouteilles de vin çà se conserve à l'horizontal il me semble ! — Droop [blabla] 26 avril 2010 à 14:49 (CEST)[répondre]
Je sais pour ma part qu'en ce qui concerne le Champagne, les renforcements permettent à des machines/robots de les tourner d'un quart de tour tous les j'sais pas combien (durant leur phase de maturation) afin d'empêcher des dépôts près du goulot. Bon, celà-dit, je pense que ce furent les machines adaptées aux culs des bouteilles et non l'inverse mais bon... --Floflo (d) 26 avril 2010 à 14:55 (CEST)[répondre]
Moi, c'est là que je mets le pouce pour servir d'une seule main… :) Min's - ᨅᨗᨌᨑ 26 avril 2010 à 14:56 (CEST)[répondre]
Pour une meilleure saisie : "Le dessous est encore plus invisible pour le consommateur de vin, à l’exception de sa profondeur qui permet de glisser le pouce pour une meilleure saisie."--Bonjourc (d) 26 avril 2010 à 14:57 (CEST)[répondre]
Je viens aussi de trouver ceci : Cet enfoncement, que les professionnels nomment piqûre, assure la stabilité de la bouteille afin qu'elle n'oscille pas quand elle est debout. Il serait difficile de fabriquer un fond rigoureusement plat. En appuyant la bouteille en fusion sur une forme en relief, on obtient un culot concave aux bords parfaitement plats. Cette technique, inventée au IVe siècle, s'est généralisée à tous les types de bouteilles. A une exception près : celle du champagne Roederer, cuvée Cristal. Son fond plat est une exigence du tsar Alexandre II (1855) qui craignait que l'on cache une charge explosive dans le culot. [2] Min's - ᨅᨗᨌᨑ
Cette dernière explication me parait effectivement la plus convaincante (je pense qu'on a inventé ensuite la technique de servir avec le pouce et non l'inverse), je vous remercie tous ! — Droop [blabla] 26 avril 2010 à 15:02 (CEST)[répondre]
Au fait, par rapport à ta remarque « le vin est conservé à l'horizontale » pour le champagne il est placé en oblique sur des pupitres à champagne, comme on peut le voir sur ce site. --Floflo (d) 26 avril 2010 à 15:05 (CEST)[répondre]
Oui mais la tête en bas. J'ai souvenir de bouteille de vin rangées à l'oblique et tête en haut (le but étant de reconnaître facilement une bouteille). Agrafian (me parler) 26 avril 2010 à 15:11 (CEST)[répondre]
Il y a aussi une histoire de meilleure résistance à la pression du verre de forme concave.--Cyrilb1881 (d) 26 avril 2010 à 15:49 (CEST)[répondre]

un lien utile; il ne correspond pas vraiment au sujet, mais pourra surement aider un jour ceux qui y ont participer.--Bonjourc (d) 26 avril 2010 à 15:24 (CEST)[répondre]

J’ai aussi lu que cela intervenait dans le dépôt qui se formait au fond de la bouteille… À propos de ce cul, regarder cette page et chercher le mot « voleuses ». Vous en verrez un beau ! Amclt, --Égoïté (d) 26 avril 2010 à 18:23 (CEST)[répondre]

salut bnj j'aimerai kelke renseignment sur picasso merci d'avance

Voir Picasso alors. --Floflo (d) 26 avril 2010 à 15:10 (CEST)[répondre]
Pis Picasso (homonymie) sait-on jamais. --Epsilon0 ε0 26 avril 2010 à 15:18 (CEST)[répondre]
  Merci de rédiger votre question en un langage compréhensible : le langage SMS n'étant pas encore au programme, l'Oracle ne comprend que le français.

Tout fout l'camp (Mitch)2 26 avril 2010 à 15:32 (CEST)[répondre]

Il est mort, je crois. Félix Potuit (d) 27 avril 2010 à 08:00 (CEST)[répondre]

Bravo Wikipédia de défendre la langue française !!! Althiphika (d) 28 avril 2010 à 13:07 (CEST)[répondre]

Codex de la pharmacopée française ? modifier

Bonjour aux Pythies,

Dans le cadre de la rédaction d'un article sur la radioactivité, je suis tombé sur un texte qui parlait d'une « circulaire datant de 1937 » apparue dans le « Codex », visant à restreindre l'usage des composés radioactifs dans les médicaments et cosmétiques en les plaçant dans le « Tableau A des substances vénéneuses » (sans plus de précisions). J'ai retrouvé le texte dont il est question (pages 614 à 617), du moins ça ressemble à la description qui en est faite. Mais qu'est-ce que le Codex ? Quelle est son origine et quel a été son rôle dans l'histoire de la pharmacie en France ? Bien cordialement, Tachymètre (me parler) 26 avril 2010 à 16:09 (CEST)[répondre]

Bonjour [3] donne quelques indicationsBb98 (d) 26 avril 2010 à 17:06 (CEST)[répondre]
Ça mériterait un éclaircissement dans l'article Codex qui n'indique que les livres anciens... Non ? Les potards au boulot ! --Serged/ 27 avril 2010 à 08:41 (CEST)[répondre]
Ahhh super Bb98, ton lien m'aide un peu plus ! Je viens de trouver ce site (pages 1 et 2) et [PDF] ce mémoire en complément. Le Codex était un recueil des noms de tous les médicaments de l'époque, de quelques formulations pour préparations médicinales et homéopathiques ; il contenait une liste de plantes à caractère thérapeutiques, stupéfiantes (tableau C) ou toxiques (tableau A). Il comprenait également l'ensemble des décrets institutionnels en matière de santé. Faisant autorité à l'époque (obligatoire dans toutes les pharmacies sous peine d'amende), il subsite toujours à l'heure actuelle, mais sous une forme tout à fait différente (il ne contient plus que les décrets français, auxquels s'ajoutent les décrets européens). Pharmacopée est bleu, mais pas Pharmacopée française... Je ferai peut-être une ébauche d'ici là, dès que je trouverai le temps de lire le mémoire. Tachymètre (me parler) 27 avril 2010 à 09:21 (CEST)[répondre]

Nomination au Conseil d'État : comment ? Par qui ? modifier

Bonjour Oracle juridique... Comment peut-on être nommé Conseiller d'État ? Outre le voie de l'ENA et la nomination au tour extérieur, selon le site du Conseil d'État où il est écrit:1 ) Quatre à six postes d’auditeurs sont proposés chaque année aux élèves qui achèvent leur scolarité à l’Ecole nationale d’administration. Ils sont généralement choisis par les élèves classés parmi les premiers au concours. Recrutés par concours, les auditeurs deviennent, par avancement, maîtres des requêtes après environ trois ans de carrière, puis conseillers d’État environ douze ans plus tard. 2 ) Par le tour extérieur: Au recrutement par concours s’ajoute le tour extérieur : un maître des requêtes sur quatre et un conseiller d’État sur trois sont nommés par le Gouvernement (après avis du Vice-président du Conseil d’État) tandis qu’une partie des nominations au tour extérieur est réservée aux membres des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel sur proposition du Vice-président du Conseil d’État. En outre, le Conseil d’État compte des conseillers d’État en service extraordinaire nommés pour quatre ans et ne siégeant que dans les sections administratives. Tour extérieur et service extraordinaire enrichissent le Conseil d’État d’une précieuse diversité d’expériences et de compétences." Y a t-il d'autres voies pour être nommé Conseiller d'État. Autrement dit: Quiconque peut-il être nommé au Conseil d'État ? Par qui ? Selon quels critères ? Merci.

Pas nombreux les Oracles du Juridique... jbdepradines (d) 28 avril 2010 à 17:11 (CEST)[répondre]
J'y connais rien, mais je pense que tout est dit sur le site et que je ne vois pas pourquoi il y aurait d'autres méthodes de nomination. Tiraden (d) 28 avril 2010 à 19:20 (CEST)[répondre]
Parce que j'aimerais savoir comment un journaliste, licencié en droit public a pu être nommé au tour extérieur au Conseil d'État en 1991 par François Mitterrand. Ainsi selon le JO, : ' Le Président de la République, Sur le rapport du Premier ministre et du garde des sceaux, ministre de la justice, Vu l'article 13 de la Constitution; Vu l'ordonnance no 45-1708 du 31 juillet 1945 modifiée sur le Conseil d'Etat; Vu le décret no 63-766 du 30 juillet 1963 portant règlement d'administration publique pour l'application de l'ordonnance no 45-1708 du 31 juillet 1945 susvisée et relatif à l'organisation et au fonctionnement du Conseil d'Etat, modifié;Vu le décret no 63-767 du 30 juillet 1963 modifié relatif au statut des membres du Conseil d'Etat, notamment en son article 7; Le conseil des ministres entendu, Décrète: Art. 1er. - M. XX, journaliste, est nommé conseiller d'Etat en service ordinaire (tour extérieur)." Cela signifie t-il qu'au tour extérieur le gouvernement peut nommer conseiller d'État qui il veut. ?? jbdepradines (d) 28 avril 2010 à 23:12 (CEST)[répondre]
oui. L'avis sur la question de la "convention pour une 6ieme république", quoi que grossièrement partisan (ne cite que des exemple "de droite"...) est intéressant, voir chercher "tour extérieur" gem (d) 29 avril 2010 à 12:28 (CEST)[répondre]
Merci pour cette indication. J'ai lu le texte et j'ai ajouté mon commentaire, ou plutôt, donné les précisions sur le cas cité en exemple ici sous la présidence de François Mitterrand. jbdepradines (d) 29 avril 2010 à 14:23 (CEST)[répondre]

Bertrand Du Guesclin modifier

 
blason de Bertrand du Guesclin

Bonjour oracle,

Vous devez sans doute connaître Bertrand du Guesclin. Je vous le situe, il est  ! Et voici son blason. Ce que je voulais savoir c'est pourquoi son blason est comme ça : "D'argent, à l'aigle éployée de sable, becquée et membrée de gueules, à la cotice de gueules, brochant sur le tout". Ce que j'aimerais avoir c'est quelque chose sur ce blason qui l'explique. Par exemple, l'article sur les armoiries de Navarre, au paragraphe "légende et histoire" explique le blason de Navarre. J'aimerai, s'il vous plaît la même chose mais pour celui de Du Guesclin.

Merci.

--90.44.97.61 (d) 26 avril 2010 à 19:19 (CEST)Althipika[répondre]

Ce serait intéressant de chercher, je ferais regarderais ça en détail demain à la bibliothèque.
La cotice (étrange de parler de cotice d’ailleurs pour une bande) de gueules est probablement une pièce honorable acquise par Du Guesclin ou un des ses ancêtres.
Apparemment, les Duguesclin sont un des deux seules familles de France à avoir une aigle bicéphale (avec les La Laurencie), ce qui est étonnant (ma curiosité est attisée, je vais donc creuser ça).
Cdlt, Vigneron * discut. 26 avril 2010 à 19:40 (CEST)[répondre]

Que voulez-vous dire par "une pièce honorable acquise"? Devait-on gagner des pièces pour les mettre sur son blason?

--Althiphika (d) 26 avril 2010 à 19:54 (CEST)Althiphika[répondre]

Pièce honorable : Voir l'article expliquant les pièces d'un blason. La terminologie de l'héraldique m'étonnera toujours.... Dhatier jasons-z-en 26 avril 2010 à 20:09 (CEST)[répondre]

Voir aussi le Projet:Blasons, sa page de discussion est assez active. -- Xofc [me contacter] 27 avril 2010 à 06:51 (CEST)[répondre]

Bonjour. D'après Pierre Joubert dans le Nouveau guide de l'héraldique (éditions ouest france), une pièce honorable est une partition (donc une division géométrique de l'écu) dont l'origine, contrairement aux partitions classiques, serait les "ferrures rapportées et peintes des premiers boucliers". Cela signifie donc que leur origine remonte en général à des faits d'armes (puisque les ferrures d'un bouclier sont obviously dûes à des coups d'épée...) ; dans le cas du blason de Bertrand du Guesclin (c'est un noble, donc la particule ne porte pas de majuscule et est séparée du nom), la Cotice pourrait effectivement être une pièce honorable - même si sur l'image c'est en effet une Bande qui est représentée, une Cotice étant beaucoup plus fine et traversant l'écu dans l'oblique opposée.
Pour ce qui est du blason de Navarre, si il est expliqué aussi clairement, c'est parce qu'il s'agit d'un exemple très connu, voire légendaire. J'ignore si celui des Guesclin (un nom propre au pluriel perd sa particule, ce n'est évidemment valable que si elle est détachée) possède une telle explication, mais la plupart des blasons ne sont explicables que par la devise de leur famille, et encore !
Je viens de regarder la page "liste des pièces héraldique", et il semble qu'elle fasse erreur en affirmant que la Cotice est une Bande fine (alors que, d'après Pierre Joubert dans le même ouvrage, la Cotice suit la diagonale de la Barre, opposée à celle de la Bande). Une Bande fine serait appelée une Traverse. Néanmoins, P. Joubert se trompe peut-être. Je ne suis qu'un anonyme de passage sur l'Oracle, est-ce que quelqu'un pourrait créer une discussion sur la page appropriée ?
Veyrin Forrer et Pastoureau confirment qu'une cotice est bien une bande plus fine, et qu'une traverse est une barre fine.
Il est rare de pouvoir remonter à l'origine des armes. Parfois, c'est un jeu de mots sur le nom (armes parlantes), mais souvent, il ne semble pas y avoir de raison particulière, plutôt des réutilisations de motifs. Les aigles et les lions sont des meubles extrêmement répandus, mais l'aigle bicéphale, selon Pastoureau, est très peu présente au Moyen Âge, et pourrait dériver des motifs de textiles orientaux. En tout cas, il est certain qu'elle est très présente dans le monde islamique (tissus, céramiques, ornements architecturaux) bien avant. Calame (d) 27 avril 2010 à 14:05 (CEST)[répondre]

Après des recherches, regardez ce que j'ai trouvé et qui expliquerait la présence d'un aigle bicéphale (très courant en Islam d'après Calame).

--Althiphika (d) 27 avril 2010 à 20:18 (CEST)[répondre]

Attention, les élucubrations d'afrocentristes ne justifient nullement l'usage d'un motif possiblement dérivé des arts de l'Islam et d'origine turque. (D'ailleurs, l'islam ne se répand en Afrique subsaharienne que plus tard). Ces motifs circulent énormément via le commerce, notamment des tissus ; les aigles bicéphales sont rares, mais pas non plus absentes de l'héraldique et des arts médiévaux. L'usage du terme "noir" peut se rapporter à sa pilosité ou être employé de manière uniquement symbolique, comme image d'une certaine sauvagerie. La conception des couleurs au moyen âge est très éloignée de la nôtre ; par exemple, une forêt est noire, car elle appartient au monde sauvage. (cf. ouvrages de M. Pastoureau à ce sujet). Les aigles bicéphales sont employées par Du Guesclin, mais pas seulement. Par exemple, dans l'armorial de Gelre, où on trouve les armes de Du Guesclin (f° 47 r.), l'aigle bicéphale est employée au moins quatre fois pour des membres de familles différentes. (cf. [4]), notamment pour Boucicaut (même folio).
Chercher les origines précises du choix d'armoiries revient souvent à poursuivre des chimères.
Calame (d) 28 avril 2010 à 17:16 (CEST)[répondre]


Pour l'aigle je ne sais pas, mais un vieux film sur lui que je regardais petit (un noir et blanc des années 50 je pense) faisait remonter la bande de gueule à un tournoi où le jeune Bertrand se serait montré particulièrement vaillant et où, en récompense, le Duc de Bretagne (?) aurait marqué ses armes d'une bande de sang. Pour ce que ça vaut... Puce Survitaminée (d) 28 avril 2010 à 01:27 (CEST)[répondre]

Pour le duc de Bretagne de l'époque, ce doit être Jean III de Bretagne.

Althiphika (d) 28 avril 2010 à 12:44 (CEST)[répondre]

Chéri-Marian modifier

Bonjour,

Je viens de tomber sur un livre de Chéri-Marian, mais impossible de trouver la moindre information sur cette personne (probablement un pseudonyme mais de qui ?). Selon la BnF elle (il ?) aurait écrit trois livres dans les années 1860.

Cdlt, Vigneron * discut. 26 avril 2010 à 19:40 (CEST)[répondre]

Tu peux toujours lire "Les maléfices du diable" sur Google book... --Serged/ 27 avril 2010 à 08:58 (CEST)[répondre]

Exportation de Capitaux modifier

Bonsoir, Comment peut-on estimer le montant des capitaux annuels qui sont transférés par les ressortissants étrangers vivants en France, en direction de leurs familles restées au pays ? Je précise :

1.- Je ne vote pas Front National (Je vois déjà certains commentaires des pythies)

2.- Il s'agit d'une simple curiosité pour avoir une idée des capitaux qui sont ainsi investis directement à l'étranger, sans passer par des gouvernements qui quelques fois peuvent se servir lorsqu'il s'agit d'aide officielle.

Merci d'avance.

Bonsoir,
Le terme technique est envois de fonds, ou en anglais, remittance. Vous pouvez trouver des cartes sur la dépendance de certaines économies nationales par rapport aux envois de fonds ici et ici. Quant à votre question sur les méthodes d'évaluation, si vous lisez l'anglais et que vous avez une bonne provision d'aspirine, vous pouvez aller voir ici sur le site de la Banque Mondiale, qui suit la question...
En consultant l'article envois de fonds, on peut d'ailleurs s'apercevoir que la France reçoit beaucoup de tels fonds, en valeur absolue (12 milliards sur un total mondial de 167 milliards). Évidemment, par contre, en valeur relative, ce n'est pas en France que ces fonds sont les plus importants mais dans des pays tels que la Moldavie.--Alþykkr [appel gratuit depuis un poste fixe] 27 avril 2010 à 04:57 (CEST)[répondre]
Ces chiffres sont bien sûr à prendre avec un certain recul, car ils ne représentent que les transferts officiellement comptabilisés. La Banque Mondiale elle-même estime que les montants réels représentent au moins le double des chiffres officiels, mais ce n'est qu'une vague évaluation. En outre, pour les pays à forte vocation touristique comme la Tunisie ou la Grèce, les sommes importées sont beaucoup plus importantes. D'autres facteurs contribuent encore à fausser l'estimation des flux de capitaux sortant d'un pays, le plus important étant l'argent de la drogue et, dans une moindre mesure, celui des réseaux de prostitution. Combien de milliards sortent chaque année de France vers les pays producteurs de cannabis, cocaïne ou héroïne ? --Hul Trasson (d) 27 avril 2010 à 08:27 (CEST)[répondre]

Remerciements à tous les deux. Mais ma question portait plus sur le tranfert familial ... Quoique, avec la drogue, vous avez peut être raison aussi.

Le transfet familial peut lui aussi être difficile à estimer dans la mesure où une partie est transféré lors des retours plus ou moins réguliers des ressortissants étrangers (particulièrement pour les pays proches où le retour pour des vacances est envisageable). Puce Survitaminée (d) 28 avril 2010 à 01:30 (CEST)[répondre]

A propos de l'orgasme modifier

Bonjour.

Je suis navré de devoir poser ma question ici, mais le "café des sexologues" ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion_Projet:Sexualité_%26_Sexologie ), sur le portail wikipedia de la sexologie, indique clairement que les questions à propos du sexe doivent être posées à l'Oracle. J'espère donc que ma question et son sujet y sont autorisés, malgré l'accès libre de cette page aux mineurs (toutefois je n'ai vu aucune restriction à ce sujet dans les règles exposées en haut de page). Mes éventuels lecteurs soient donc avertis du sujet sur lequel porte mon message.

Voici ma question : l'orgasme que permet la masturbation (masculine) est-il aussi fort que celui (potentiellement) obtenu lors d'un coït ? La masturbation (masculine) procure-t'elle (potentiellement) moins ou autant de plaisir physique que l'amour à deux ? Je l'avoue, je pose cette question car mon expérience personnelle ne me permet pas de comparer, et que je souhaite aller au devant d'une éventuelle déception.

Merci à l'Oracle pour son dévouement et à Tirésias pour les réponses qu'il daignera lui transmettre !

Déja à la base, ce sont 2 plaisirs tout à fait différents. Je suppose que ca dépend des personnes, l'un des deux peut être plus agréable. Le/la partenaire y joue un rôle important... (Mitch)2 27 avril 2010 à 10:16 (CEST)[répondre]
Il y a une notion de partage et d'intimité dans l'un que l'on ne retrouve pas dans le second. Après, il faut définir ce qu'est l'orgasme, et les liens qui lient les ressentis physique au mental. De quelle type de deception tu parles? --Bonjourc (d) 27 avril 2010 à 10:37 (CEST)[répondre]
Comme disait Confucius[réf. souhaitée] : « Branlette bien menée, vaut mieux que coït interrompu » --Serged/ 27 avril 2010 à 10:51 (CEST)[répondre]
La déception dont je parle est la suivante : je trouve peu de plaisir dans la masturbation, malgré le fait que j'en use couramment pour apaiser mes besoins. Je crains donc que l'orgasme peu satisfaisant que j'en tire soit le même que celui obtenu lors d'une relation à deux ; si tel est le cas, le sexe n'est pas si divin que la société veut nous le faire croire. J'appréhende le jour où j'aurai l'occasion de faire l'amour pour la première fois, car j'ai peur que le plaisir que j'en tire soit décevant, aussi faible que ce que je connais déjà. J'aimerais que l'orgasme que permet la masturbation ne soit qu'une pâle copie de celui obtenu par le coït, mais j'ai peur qu'il s'agisse d'un faux espoir ; d'où ma question. Je préfère dès maintenant en avoir le cœur net.
En revanche je suis bien conscient que l'amour à deux contient une autre dimension, celle de la tendresse, mais il s'agit d'un plaisir plus mental ou émotionnel que physique.
L’amour à deux peut apporter, outre la satisfaction mentale et émotionnelle de partage, un plaisir purement physique qui découle du contact de chairs différentes, de la chaleur ou de la fraicheur de l’autre, de la caresse reçue et de celle donnée ; que ce plaisir conduise à amplifier l’orgasme est possible mais pas forcément indispensable pour tout le monde. Il serait préférable d’accepter l’idée que le plaisir à deux ne donne pas forcément une réussite dès la première fois et qu’il se construit plutôt patiemment, dans une certaine durée ; cela réduirait votre appréhension   Ceci dit, je trouve amusant que le portail sexologie renvoie prudemment aux pythies… --Égoïté (d) 27 avril 2010 à 11:44 (CEST)[répondre]
rhaaaaa, c'est bien Égoïté, mais faut leur expliquer, sortir des sentiers battus à la papa-maman : le mouchoir à carreaux du commisaire, le train sifflera trois fois, sur les sentiers de Katmandou, attendez que je finisse mon ragout, tous les chemins mènent à Rome ...   MIKEREAD (d) 27 avril 2010 à 14:34 (CEST)[répondre]
Merci à Égoïté pour sa réponse satisfaisante, ainsi qu'aux autres pour leur participation ^^

le sexe n'est pas si divin. "Le sexe sans amour est une expérience vide. - - Oui, mais parmi les expériences vides, c'est une des meilleures!"(Woody Allen).

Le sexe en lui même ne peut prétendre t'apporter le bonheur. Il est vanté dans la société, mais nous sommes dans une société de consommation, et ca perverti un peu les idées.Bonjourc (d)

Certes, et ce n'est pas une idée que je rejète, bien au contraire. L'amour a pour moi a une importance cent fois supérieure à celle du sexe, mais posséder cette certitude ne suffisait pas à me libérer de mon angoisse, car je demeure un être de chair.
Prenons une image : si tu manges un gâteau au chocolat, ou si tu manges un gâteau d'anniversaire. Dans un cas, tu feras attention au goût de ce que tu manges, et dans l'autre c'est le fait d'être ensemble qui devient important. Tu peux faire attention au goût, mais un gâteau d'anniversaire tout seul, c'est glauque. L'amour c'est pareil : tu fais attention à l'autre, tu prends ton plaisir dans l'interaction et le renouvellement, et la tendresse apporte beaucoup à l'acte. Par contre à peu près tout le monde te dira que les premières fois sont ratées, cette tendresse se construit dans la confiance ("Ca fait toujours ça la première fois"). Sur l'orgasme proprement dit, nous sommes sur l'oracle et il faudrait te répondre de façon encyclopédique que la production d'endorphines est similaire, mais mon expérience personnelle d'homme marié me dit que si l'orgasme n'est pas plus violent, le contexte fait tout. Bertrouf 28 avril 2010 à 05:29 (CEST)[répondre]
Les rapports Kinsey mentionnent que, si la masturbation solitaire est pratiquée chez l'homme célibataire, elle disparait des statistiques lorsque les individus se mettent en couple. On en conclut que la pratique sexuelle avec partenaire est plus satisfaisante, au point que lorsque les deux comportements sont possibles, la pratique avec partenaire est systématiquement préférée. — Jérôme 28 avril 2010 à 11:23 (CEST)[répondre]
Conclusion hative, habituel avec Kinsey. Déjà parce qu'un homme en couple aura moins l'occasion d'être seul (ce qui est généralement nécessaire pour se masturber), ensuite parce que celui-ci devant remplir ses devoirs conjugaux, il n'aura normalement pas besoin de se satisfaire seul en plus. Agrafian (me parler) 28 avril 2010 à 11:37 (CEST)[répondre]

Physiquement parlant il n'y a aucune différence. Mais le plaisir n'est pas une affaire de seule physique: il dépend aussi du désir, du temps mis à exécuter l'opération, d'autres parties du corps éventuellement excitées, etc... En règle général, il semble assez logique de penser qu'on aura beaucoup plus de plaisir avec un partenaire que tout seul. Mais ça n'empêche pas les exceptions: il m'est arrivé des masturbations mémorables - surtout dans l'enfance à vrai dire, la découverte de la chose ajoutant peut-être au plaisir - et des relations sexuelles avec un partenaire où je n'arrivais pas à prendre du plaisir malgré toute ma bonne volonté - même si généralement c'est plutôt l'inverse. Tout ceci est très dépendant des conditions du moment. .: Guil :. causer 29 avril 2010 à 13:44 (CEST)[répondre]

Date de mort de Jean Desbouvrie modifier

Bonjour, je ne trouve pas la date de la mort de Jean Desbouvrie. Pas très connu de son vivant (à la limite des critères d'admissibilité, mais admissible), sa mort n'a absolument pas eu d'écho. Si quelqu'un trouve, par exemple du côté de Roubaix et que c'est plus que 70 ans, ça permettrai de mettre les illustrations de en:Jean Desbouvrie sur commons. Merci l'oracle. Bertrouf 27 avril 2010 à 10:24 (CEST)[répondre]

M'est avis que tu peux y aller les yeux fermés : en 1889 ça faisait « près de quarante ans que M. Desbouvrie s'(occupait) de dresser et d'apprivoiser les hirondelles », ce qui suppose une naissance vers 1840, et à supposer qu'il soit mort autour de 100 ans, soit en 1940, les 70 ans sont atteints. Skippy le Grand Gourou (d) 28 avril 2010 à 13:15 (CEST)[répondre]
Les yeux fermés, mais le proxy fermé aussi  . Le pare-feu de la Chine m'empêche de voir les images. Avec le logiciel de contournement je peux les voir éventuellement, mais c'est trop dur de les transférer. Tu veux bien le faire à ma place stp (plus une autre, pour un autre article). Merci d'avance. Bertrouf 29 avril 2010 à 04:25 (CEST)[répondre]
 
Skippy le Grand Gourou (d) 29 avril 2010 à 11:47 (CEST)[répondre]
Merci, ces articles sont présentés au wikiconcours mars 2010. Bertrouf 30 avril 2010 à 05:56 (CEST)[répondre]

Matricule tatoué ? modifier

CONNECT,

Je me demandais à quoi pouvait bien correspondre le tatouage sur le bras de Paul Schäfer (cf photo). C'est un ancien SS qui a fui au Chili, donc on pourrait penser à un faux matricule lui ayant permis de passer pour une victime à la fin de la guerre, mais ça n'était qu'un vulgaire caporal, pas un officier ou quelqu'un de haut placé. Quelqu'un a une idée ?

Merci.

QUIT

Skippy le Grand Gourou (d) 27 avril 2010 à 11:44 (CEST)[répondre]

Il y a bien "Par ailleurs, les soldats de la Waffen-SS étaient aussi tatoués (Blutgruppentätowierung - tatouage de groupe sanguin). Il recevaient leur groupe sanguin sur la face intérieure du biceps du bras gauche" dans Tatouage#Tatouages contraints, mais il ne comportait qu'une lettre... Et il semble être sur la mauvaise face du bras.--83.145.89.123 (d) 27 avril 2010 à 12:42 (CEST)[répondre]
Merci pour la piste. Effectivement, ça ne semble pas correspondre. Plus bizarre encore, dans la source que tu cites, on lit également « Contrairement à la légende, aucune autre inscription, matricule ou unité militaire n'étaient tatoués. » Skippy le Grand Gourou (d) 27 avril 2010 à 13:26 (CEST)[répondre]
Me demande bien pourquoi on s'obstine à l'appeler Schaffer s'il s'appelle Schäfer. Schaefer, à la rigueur, bon, mais Schaffer ??? Félix Potuit (d) 27 avril 2010 à 13:21 (CEST)[répondre]
Tant qu'on l'appelle pas Schaepaffer…   Skippy le Grand Gourou (d) 27 avril 2010 à 13:26 (CEST)[répondre]
C'est clairement une imitation d'un tatouage de détenu de camp de concentration. La question n'est pas d'éviter d'être arrêté comme un grand responsable du nazisme, de la shoah, mais d'éviter les ennuis immédiats. Comment un type avec un fort accent allemand se fait-il accepter là où il arrive dans les années qui suivent 1945 ? Et bien il attend qu'on lui pose des questions, et puis, d'un air mystérieux et triste, il découvre son avant-bras... où se trouve un numéro assez crédible pour un homme, juif, emprisonné tardivement dans les camps allemands. Bizarrement mis plutôt sur la face externe de l'avant-bras, alors que les authentiques (pour autant que je sache, les manières ont beaucoup varié selon les camps et l'époque), sont sur la face interne (pas côté poils). Mais tout SS qu'il était, il n'avait peut-être jamais vu ça en vrai. Je me demande s'il s'était aussi circoncis "sur un coin de table"... Amicalement Aluminium (d) 28 avril 2010 à 02:45 (CEST)[répondre]
Tu as sans doute raison, merci. Dommage que ça ne soit pas sourçable… :-( Skippy le Grand Gourou (d) 28 avril 2010 à 13:33 (CEST)[répondre]

Perdrix ? modifier

Bonjour Oracle
Le chien aboie, le renard glappit ... mais que fait la perdrix ? Merci de vos réponses --MIKEREAD (d) 27 avril 2010 à 11:53 (CEST)[répondre]

Elle cacabe ou glousse. Bien à toi, --Égoïté (d) 27 avril 2010 à 12:05 (CEST)[répondre]
Et le renard glapit, jappe ou trompette… --Égoïté (d) 27 avril 2010 à 12:06 (CEST)[répondre]
Merci Égoïté   --MIKEREAD (d) 27 avril 2010 à 12:13 (CEST)[répondre]
Et la caravane passe. Morburre (d) 27 avril 2010 à 12:27 (CEST)[répondre]
Et que fait la police ? Félix Potuit (d) 27 avril 2010 à 13:20 (CEST)[répondre]
… la police occulte. — Hautbois [canqueter] 27 avril 2010 à 13:39 (CEST) [répondre]
… et les perdreaux ? Ils madairent ?  Hautbois [canqueter] 29 avril 2010 à 23:09 (CEST) [répondre]
Oui, et la fourmi crohonde. Bon, ça c'est fait... Félix Potuit (d) 30 avril 2010 à 15:34 (CEST) [répondre]

Dates obscures modifier

 

Chères Pythies,

L'article Numération romaine m'a déjà aidé plusieurs fois à comprendre des écritures numériques compliquées, mais cette fois-ci, il ne suffit plus et il me faut faire appel à vos lumières. Dans l'image ci-contre, quelle date lisez-vous ? Comment interprèteriez-vous les petits symboles au-dessus de l'année ? Il ne semble pas s'agir des traditionnels exposants. L'article Collégiale Saint-Florent de Niederhaslach indique 1274 comme date de fondation, ce qui semble être plus ou moins cohérent avec cette inscription mais qui ne l'explique pas. Par ailleurs, quid de ce "conbis" final qui ne semble pas très latin ? --Pethrus (d) 27 avril 2010 à 13:49 (CEST)[répondre]

Qu'on se mette d'accord, moi je lis : Ṁ.ĊC.LẊX.VII.IIII. J'ai mis des ., mais ca représente les exposants.
Si on les ignore, ca fait encore : 1000 + 200 + 70 + 7 (+4?) soit 1277 (1283)... Pour le 'conbis, je pense qu'il s'agit plutôt de conbu, mais pour traduire?? (Mitch)2 27 avril 2010 à 15:02 (CEST)[répondre]
Je lis comme toi (même si le "L" est un peu étrange) , mais pourquoi séparer ce IIII ? Serait-ce le jour, sachant que le mois (IVNII / juin) est précisé ? Et pourquoi ces exposants qui semblent être redondants par rapport aux chiffres ?
Pour le "CONBU"/"CONBIS", s'il s'agit de "CONBU", pourquoi ne pas avoir écrit le "V" conventionnel ? Par ailleurs, en latin, il existe très peu de mots (un seul dans le Gaffiot) avec la racine "CON" puisqu'on lui préfère généralement "COM" ... --Pethrus (d) 27 avril 2010 à 15:18 (CEST)[répondre]
Et ce (?)ONAS ? Seraient-ce les nones, 5e jour du mois (de juin), avec un n initial plus ou moins inversé ? La forme arrondie du L chiffre est aussi normale que celle des M (onciales) par opposition aux capitales romaines (droites) du texte. Morburre (d) 27 avril 2010 à 16:40 (CEST)[répondre]
Anno domini ??, Les symboles, je lis respectivement M, C et X, c'est à dire la marque de quoi on parle (les milliers, les centaines et les dizaines). Le 4 correspond peut-être à la durée des travaux : commencée 1277, il se termineraient officiellement en juin 1283 (monas : ->monate en allemand -> mois ). conbu, je ne sais pas. gem (d) 27 avril 2010 à 16:48 (CEST)[répondre]
(conflit d’Édith) Chouette de la paléographie !
ANNO·DÑI c’est évidemment Anno Domini, le tilde indique l’omission.
Étrange ces exposants. Je lis MM·CcC·LXxX·VII soit 1277. Je dirais que les exposants sont uniquement des indications de milliers, centaines et dizaines et fait doublon avec le point médian.
Après, je comprends : IIII·NONAS·IVNII, 4e nones de juin. Pour la date, ce seront donc le 2 (?) juin 1277 (j’ai un doute pour le 2, je suppose que c’est l’ancien calendrier romain qui est utilisé).
Donc pour CONBIſ (avec un s long) soit ce n’est pas un mot latin (ou latin tardif mais je n’y crois pas trop, aucun résultat sur la Wikipédia latin ou sur Vicifons), soit c’est un nom propre. Dans ce document [5], p VIII, on parle d’un guigone de conbis, en français Guigue des Combes.
Au passage, ta collégiale est un MH classé : Notice no PA00084831, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture qui contient 27 « mobiliers » inventoriés.
Cdlt, Vigneron * discut. 27 avril 2010 à 17:03 (CEST)[répondre]
Je me demandais le pourquoi de cet accusatif. Il s’agirait du 4e jour avant les nones de juin. Et aux nones de juin de 1287, v’la-t’y pas qu’il y a le feu [6] ? Petit détail, je ne crois pas qu’un S final puisse être un s long, c’est seulement une ligature IS. Co(m)bis serait alors le lieu : dans les vallées ? Bof. Morburre (d) 27 avril 2010 à 17:21 (CEST)[répondre]
Raisonnement impressionant, Vigneron ;-). Le lien de Morburre tend à confirmer cela :
Le 2 juin 1287, un incendie détruisit cette nouvelle construction dont seul le chœur resta intact. Une inscription sur l'un des contre-piliers du chœur rappelle cet incendie : "En l'an 1287, aux nones de juin, l'église fut détruite par les flammes".
Ne s'agirait-il pas de cette inscription justement sur cette photographie ? Est-ce trop capilo-tracté que de supposer que le "conbis" fait référence à une forme de "comburo" ou autre ? --Pethrus (d) 27 avril 2010 à 17:38 (CEST)[répondre]
(re-conflit, je suis décidément trop lent) Étrange que la date gravée soit celle du feu. A priori, j’aurais dit que la date gravée était celle de la pose de la pierre, et cela m’étonnait que la pierre ait été posée lors de l’incendie. Question : elle est situé où par rapport au bâtiment cette pierre ? Visible genre ex-voto ou bien dans un coin ? si elle « commémore » l’incendie, la première position serait plus logique.
Non, effectivement, en lettre final, il y a effectivement peu de chance que ce soit un s long, ceci dit la forme ressemble.
Je pense plutôt que Conbis est un nom de famille, peut-être le donateur bienfaiteur. Ou plutôt, je sais pas si sur cette pierre cela signifie la famille de conbis mais on trouve sur internet plusieurs mentions de membres de ladite famille (sans que je trouve cependant un lien avec Niederhaslach). Mais cela peut vouloir dire complètement autre chose (je vais chercher dans d’autres dictionnaire.
@Pethrus, du coup en conflictant, je capitalise ce que disent les autres. Cdlt, Vigneron * discut. 27 avril 2010 à 17:43 (CEST)[répondre]
Si un X a disparu à droite, on a bien 1287 et conbu peut être une forme abrégée : combu(stus est) ou un truc dans le genre. On peut aussi se demander pourquoi l’inscription n’aurait pas été complète puisqu’il y avait la place. Ouvriers, fainéants ! Morburre (d) 27 avril 2010 à 17:55 (CEST)[répondre]
On voit le bord des deux pierres, donc à moins de retaille, ce qui serait étrange, je pense que l’on a tout.
Le Gaffiot et le Du Cange ne connaissent ni conbis, ni combis (le Du Cange connait Combis mais comme nom propre), ni combus. Donc peut-être une troncation mais étrange, la pierre semble « propre ». Et on aurait un signe (tilde ou exposant) pour indiqué la troncation, non ? (ou alors, c’était vraiment des fainéants, hypothèse que l’on ne peut pas écarter).
Cdlt, Vigneron * discut. 27 avril 2010 à 18:17 (CEST)[répondre]

Selon Melanges D'Histoire Alsatique de Louis Spach (sur Google books), l’incendie entraîne une « restauration presqu’à partir de ses fondements », il faudrait vérifier mais si c’est vrai il ne doit donc rien rester d’avant 1287. Donc soit la pierre est un genre d’ex-voto (mais pourquoi 1277 et non 1287 ?), soit elle date d’après (et on lit mal la date bis). Cdlt, Vigneron * discut. 27 avril 2010 à 18:42 (CEST)[répondre]

Je doute en effet qu'il manque quoi que ce soit : la pierre fait toute la largeur du contrefort – une retaille est impensable – et elle est dans son intégralité sur la photo. Vigneron, la pierre est environ à hauteur d'homme, sur l'un des contreforts de l'abside (sur ce schéma en troisième position en partant du bas de l'abside), contrefort qui est bien visible (on peut faire tout le tour de la collégiale).
A propos de cet étrange "conbis", une faute d'orthographe n'est pas à exclure, surtout à cette époque. --Pethrus (d) 27 avril 2010 à 18:52 (CEST)[répondre]
Et moi je ne suis pas sûr qu’une pierre posée il y a sept ou huit cents ans soit rigoureusement dans sa position et son état initiaux. La moindre des choses même pour un ouvrier fainéant est de graver son texte en laissant une marge, je penche donc toujours pour une retaille (mais certes sans preuve). Morburre (d) 27 avril 2010 à 19:08 (CEST)[répondre]
Le moyen le plus sûr serait d'essayer de trouver une source fiable indiquant la date de l'incendie. Je viens de noter que l'article wp précise à propos de l'incendie "précision apportée par une inscription inachevée gravée sur l’un des contreforts du chevet" --Pethrus (d) 27 avril 2010 à 19:37 (CEST)[répondre]
Il s'agirait alors de "combustus" non terminé ? René Dinkel (d · c · b) qui a complété l'article pourra peut-être nous éclairer à ce propos. --Pethrus (d) 27 avril 2010 à 19:48 (CEST)[répondre]
Oui,"combustus" ; les abréviations étaient fréquentes dans les formules lapidaires (d'où leur qualificatif ?). Et je vois que vous n'avez pas oublié le "petit X" au-dessus des deux autres qui fait 1287. --Mistig (d) 28 avril 2010 à 00:34 (CEST)[répondre]
Trois choses : d'une part, plonger dans le Gaffiot pour des inscriptions en latin du moyen-âge, c'est se tourner vers une source que les gens de l'époque, même instruits, n'avaient pas, c'est-à-dire un recueil raisonné, systématique (c'est-à-dire voulant affirmer la langue latine comme un système stable), issu des efforts lexicographiques du XIXe siècle, notamment. Les médiévaux massacrent le latin sans même s'en rendre compte parce que cette langue est pour eux une pratique, mais que la rigueur grammaticale et orthographique ne fait pas partie de leurs préoccupations et ce sera pareil pour les langues vernaculaires (allemand, français) pendant des siècles encore après la rédaction de cette pierre. Les textes médiévaux sont pleins d'erreurs si on se réfère au latin classique de l'antiquité, le latin du moyen-âge est un bricolage permanent. C'est le pied pour les gens qui, comme moi, n'ont pas vraiment accroché sur les subtilités de la grammaire latine : j'ai constamment affaire à des gens qui "improvisent" autant que moi.
D'autre part, le s final de combis n'est pas un s à mon avis : une ligne au-dessus, le graveur a fait un s et il le fait tout autrement. Je pense qu'il s'agit d'un tilde destiné à signaler une abréviation, et ce d'autant plus que l'auteur semble déjà être "au bout de son latin", vu qu'il a mis un i qui est déjà une faute... alors comme il a vachement mal à la main et qu'il ne sait pas comment se termine le mot au juste, et qu'il a peut-être demandé à un ou deux potes mais qu'ils s'engueulent sur la terminaison, il décide de mettre un tilde. Mais il n'a pas la place de le faire horizontal au-dessus de ce qu'il a déjà écrit, alors il le fait vertical. De toute façon, personne ne sait quoi mettre, et tout le monde sait ce que ça veut dire puisque tout le monde (quand il fait ça) sait bien que le bâtiment a brûlé !
Enfin, les exposants sur les chiffres montrent bien que les gars de l'époque s'embrouillent eux aussi avec les chiffres romains. Amicalement Aluminium (d) 28 avril 2010 à 02:15 (CEST)[répondre]
Serait-il extravagant de conclure que le graveur était incompétent et/ou qu'il n'a pas eu le temps de finir correctement son boulot, ou bien qu'il n'a pas été payé et que pour se venger, il a refilé au commanditaire une plaque pourrie que celui-ci, dans son ignorance, a installé en bonne place alors que le graveur était mort de rire ? Félix Potuit (d) 28 avril 2010 à 08:36 (CEST)[répondre]
Si ça se trouve, c'est lui qui a mis le feu. À part ça, le Gaffiot est assez riche pour démontrer abondamment que le latin n'est pas que la belle langue classique de Cicéron. Je crois que cette inscription, une fois franchies les premières difficultés, est assez cohérente et reflète sans doute son époque, avec un mot inachevé plutôt qu'abrégé qui fait qu'on peut toujours spéculer sur l'orthographe, le mélange entre un reste de capitale romaine et l'onciale : je penche pour un u de type onciale dessiné à l'envers (la courbe à droite au lieu d'être à gauche), comme le premier n de nonas, dans un mot moins courant que IVNII qui lui a conservé son V romain. Mais bon j'en sais rien. Morburre (d) 28 avril 2010 à 09:01 (CEST)[répondre]
Oui, je pensais la même chose à propos du U/N, Morburre. J'ai par ailleurs parcouru tous les dictionnaires de la rubrique "latin médiéval / renaissance" sur Lexilogos sans trouver plus d'indices. J'avais également pensé comme Mistig que le petit X compétait ses deux collègues plus grands, mais cela poserait un problème de cohérence par rapport aux autres exposants – on serait alors en droit de supposer qu'il est écrit 2387 – qui n'est toutefois probablement pas très gênant pour l'époque.
Et pour aller dans le sens de Félix, je pense que l'abbé du coin a surpris un inconnu en train de graver un graffiti sur les ruines encore chaudes de sa collégiale et que, furieux, il ne lui a pas donné le temps de finir ses méfaits et l'a proprement expédié au cimetière voisin. --Pethrus (d) 28 avril 2010 à 09:17 (CEST)[répondre]
Article mis à jour avec une référence, grâce à René Dinkel (d · c · b). Notre décryptage était juste, au "X" près qu'apparamment il faut interprêter en "ajout" et non en marque de comptage ;-). --Pethrus (d) 24 mai 2010 à 16:34 (CEST)[répondre]

goulotte de reservoir de voiture modifier

à quoi ça sert, merci.

C' est un mot valise qui désigne une goule boulotte pressée d'engloutir 25 litres au sang ! S.M. | D.S.M. 27 avril 2010 à 16:50 (CEST)[répondre]
La goulotte c'est un organe du système de circulation du carburant dans le moteur. Il se trouve au dessus du reservoir et possède un flotteurs pour pouvoir asspirer le carburant à tout les niveau dessence, c'est le lien entre le reservoir et les conduits d'essence. Par compte sur les GPL on trouve des electro-vannes pour extraire le GPL du reservoir. J'espère vous avoir bien repondu.

Petit chapeau modifier

La forme conjuguée "faites" du verbe "faire" admet-elle une variante avec un accent circonflexe comme ici ? Apokrif (d) 27 avril 2010 à 22:50 (CEST)[répondre]

Non. Avec l'accent c'est le mot qui veut dire sommet. --87.88.130.184 (d) 27 avril 2010 à 23:20 (CEST)[répondre]
J’ai demandé la correction à un administrateur. --Égoïté (d) 28 avril 2010 à 07:39 (CEST)[répondre]

Bleu blanc rouge modifier

Votre historique fait référence surtout à 2010. Né en 1957 j'ai eu volontairement l'honneur de servir dès l'ages de 17 ans dans l'armée francaise pendant 7 ans en unité de combat sous les ordres d'officiers et sous officiers qui pour les plus anciens ont connus 3 guerres: ww2, indochine(vietnam), algerie et pour d'autes une 4ème la corée. Parmis ces hommes et pendant ma carrière j'ai eu "également" l'honneur d'etre sous les ordres mais aussi de commander des hommes du 7ème RTA "Régiment de Tirailleur Algérien". Ces hommes dont je viens de parler toutes confessions religieuses confendus et qui ont vus tant de sang versé pour notre drapeau m'ont appris ceci: le Bleu c'est la république, le Blanc c'est la royauté, le Rouge c'est la révolution. Pour porter le drapeau au mat des couleurs la procédure règlementaire était la suivante: le Bleu(la Rébublique) dessus et apparrant, dessous le Blanc et ensuite le Rouge. Il était toléré que du Blanc apparaisse mais pas de Rouge. La sanction était immédiate par manque de respect à la République "le BLEU". C'est pourquoi je répond à toutes les différentes et lassantes explications données sur ce sujet sur votre site, politiques, philosophiques, scientifiques pour ne pas dire absurdes, entre Charlemagne ou d'autres roy et Jeanne d'Arc qui sont aussi loin de la révolution et de la République que le l'esprit de ceux qui pondent de tels absurditées. Quoi qu'il en soit merci d'etre aussi ouvert et de nous permettre de vous donner notre avis.Vous respectez la démocratie je vous en remercie.Mais c'est à vous de juger. Encore Merci.

Votre historique fait référence surtout à 1957. Amicalement Aluminium (d) 28 avril 2010 à 02:20 (CEST)[répondre]
Blanc sur rouge, rien ne bouge ; rouge sur blanc, tout fout l'camp. Félix Potuit (d) 28 avril 2010 à 08:39 (CEST)[répondre]
"Bleu, blanc, rouge, je suis François le Français..." Cobra Bubbles Dire et médire 28 avril 2010 à 11:34 (CEST)[répondre]
Mais qu'est ce que c'est que cette histoire de religieuses con fendu confendues ? Félix Potuit (d) 28 avril 2010 à 13:12 (CEST) [répondre]

"Je préfère le méchant à l'imbécile, parce que l'imbécile ne se repose jamais." modifier

Quelle est la source de cette citation de Dumas fils ? Je la retrouve sous différentes formes :

  • "J'aime mieux les méchants que les imbéciles, parce qu'ils se reposent."
  • "Je préfère le méchant à l'imbécile, parce que l'imbécile ne se repose jamais."
  • "Si je devais faire un choix, entre les méchants et les imbéciles, ce serait les méchants, parce qu'ils se reposent."

De quel livre est-il cité?

(I hope this question is comprehensible, I wrote it using my tiny, tiny knowledge of French and the help of Google Translate. I also asked on English Wikipedia.)

Merci! - David Gerard (d) 28 avril 2010 à 13:56 (CEST)[répondre]

La formulation la plus courante semble être la seconde, "Je préfère le méchant à l'imbécile, parce que l'imbécile ne se repose jamais". Après quelque recherche, je doute qu'elle provienne d'une de ses oeuvres. --Pethrus (d) 28 avril 2010 à 14:43 (CEST)[répondre]
J'ai, dans un ancien recueil(1962), la formule "J'aime mieux les méchants que les imbéciles, parce qu'ils se reposent.", de Dumas fils, bien sûr. Mais la difficulté est que cette phrase n'est pas forcément issue de son œuvre. --Mistig (d) 28 avril 2010 à 15:19 (CEST)[répondre]
On m'a dit qu'il l'a dit, il n'a pas l'écrire (Léo Claretie: Histoire de la littérature française (900-1900): Le dix-neuvième siècle). - David Gerard (d) 28 avril 2010 à 15:47 (CEST)[répondre]
et merci! - David Gerard (d) 28 avril 2010 à 21:05 (CEST)[répondre]

Négation modifier

Bonjour! Le français n'est pas ma langue maternelle, donc j'ai une question à propos de la négation. Je pense que je connais l'usage de la négation avec ne...pas, mais il y a des phrases avec ne...plus/jamais où je ne suis pas tout à fait sûr s'il faut utiliser de ou des. Par exemple: "Je ne fais jamais de/des (?) bêtises." - "Je ne donne plus de/des (?) cadeaux à mes parents. Merci d'avance. --87.123.247.62 (d) 28 avril 2010 à 14:27 (CEST)[répondre]

cela dépend seulement du nom considéré .Si le nom est au pluriel, le "des" employé à la forme affirmative devient "de" à la forme négative :
Je fais des bêtises, je ne fais pas de bêtises. Je fais souvent des bêtises, je ne fais jamais de bêtises. Cobra Bubbles Dire et médire 28 avril 2010 à 14:43 (CEST)[répondre]
Ah, peut-être ma question n'était pas très bien formulée. Alors on ne fait pas de bêtises, cela me semblait toujours clair, et c'est la même règle pour plus/jamais, on ne fait plus de bêtises et jamais de bêtises, n'est-ce pas? Merci. --87.123.247.62 (d) 28 avril 2010 à 14:54 (CEST)[répondre]
C'est ça, la formulation est toujours la même : « on ne fait pas/plus/jamais de bêtises ». Agrafian (me parler) 28 avril 2010 à 14:59 (CEST)[répondre]
La maison vous propose deux très jolis articles, Négation en français et Négation (linguistique). Je ne me lasse pas de les relire.   Félix Potuit (d) 28 avril 2010 à 17:40 (CEST)[répondre]
Bonsoir.

La différence entre "de" et "des" n'est pas tellement en rapport avec la négation, en fait. Pour commencer, "des" est l'équivalent de "de+les", c'est à dire un article partitif (de - une sélection de l'ensemble précédemment défini) s'appliquant à un article défini pluriel (les - l'intégralité de la sélection définie par le discours).

  • Quand on dit "je fais des bêtises", ça signifie que l'on considère "les bêtises" (toutes, donc un article défini pluriel), et que dans cet ensemble, on en sélectionne une partie (de+les bêtises, donc une partie de toutes les bêtises). De même, "Je donne des cadeaux" signifie que dans l'ensemble des cadeaux possibles, on en donne une partie (choisie d'une manière ou d'une autre - c'est mon choix!).
  • Quand on dit "je fais les bêtises", ça signifie que de toutes les bêtises qu'il y a à faire, on les fait toutes (!). De même, "Je donne les cadeaux" signifie que l'on donne tous les cadeaux identifiables dans le contexte considéré.

Mais :

  • Quand on dit "je ne fais pas les bêtises", ça veut dire que si on considère l'ensemble des bêtises faisables (ou du moins, celles qui sont envisageables d'après le contexte), je n'en fais pas (donc, aucune - de celles-là). "Je ne donne pas les cadeaux" signifie que le contexte évoquait un ensemble de cadeaux, et que l'on ne donne pas cet ensemble (et plus probablement, aucun cadeau - mais ce n'est pas 100% sûr).
  • Quand on dit "je ne fais pas des bêtises", ça signifie que de toutes les bêtises faisables ("les bêtises"), si on en prend un sous-ensemble quelconque ("de+les bêtises") on n'en fait aucune de ce tirage particulier, quel qu'il soit. "Je ne donne pas des cadeaux" indique que de tous les cadeaux envisageables ("les cadeaux" que l'on pourrait donner), on n'en donne aucun.
  • Quand on dit "je ne fais pas de bêtises", ça signifie que de tout l'ensemble des bêtises, on n'en fait aucun sous-ensemble ("de bêtise"). De même, "je ne donne pas de cadeaux" signifie que l'on ne donne rien du tout.

Logiquement, donc, c'est la même chose. Et grammaticalement aussi: c'est la même chose! Mais en matière de style, la règle veut que s'il y a une différence (même légère) d'expression, ça doit correspondre à une différence (même subtile) de sens. De fait, il y a une petite différence de contexte.

  • "Je ne fais pas de bêtise" signifie que je fais quelque chose (probablement, au moins une activité), mais que ce que je fais n'est pas une bêtise. En revanche, "je ne fais pas des bêtises" signifie que je fais peut-être de nombreuses activités, mais que dans ces activités, il n'y a rien qui ressemble à une bêtise. La différence est donc que dans le premier cas on ne considère qu'une seule activité (je ne fais pas de bêtise en accomplissant cette activité), alors que dans le second cas on considère potentiellement plusieurs activités (je ne fais pas des bêtises parmi ces activités).
  • De même, "je ne donne plus des cadeaux" évoque plusieurs rencontres, où je n'ai pas donné de cadeaux (alternativement : une rencontre où j'aurais pu donner plusieurs cadeaux) versus "je ne donne plus de cadeaux" (pour une rencontre donnée, il n'y a à présent pas de cadeau avec moi - que "la norme" soit un ou plusieurs).

Cordialement, Biem (d) 28 avril 2010 à 22:20 (CEST)[répondre]

ou comment faire compliqué quand on peut faire simple... Cobra Bubbles Dire et médire 29 avril 2010 à 19:35 (CEST)[répondre]

Poséidon modifier

 
Fais tes devoirs Ulysse, ou tu vas tâter de mon trident!

Quelle est la profession du dieu Poséidon ?

Quel sont les syboles du dieu Poséidon ?

Quel rôle poséidon a t-il joué dans les aventures d'Ulysse ?

Comment le représente-t-on ?

Et si vous commenciez par lire l'article qui lui est consacré ? Agrafian (me parler) 28 avril 2010 à 14:44 (CEST)[répondre]
un coup de main : Poséidon. Cobra Bubbles Dire et médire 28 avril 2010 à 14:46 (CEST)[répondre]
Profession = dieu
Sybole = néant
Rôle = personnage accessoire de l’Odyssée
Représentation = voir image
Information complémentaire super importante : lire ceci et cela
Bien à vous, --Égoïté (d) 28 avril 2010 à 15:00 (CEST)[répondre]
  Même pendant les vacances, le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Un petit tour à la plage ?

(yen a qui en ont encore non?) (Mitch)2 28 avril 2010 à 16:07 (CEST)[répondre]

 
Rare : Photo de Poséidon au travail (à droite). Il était donc moissonneur! (Mitch)2 28 avril 2010 à 22:05 (CEST)[répondre]
yep, la zone C (les parigots et les Bordeluches) Cobra Bubbles Dire et médire 28 avril 2010 à 17:07 (CEST)[répondre]
La profession du dieu Poséidon était : marchand de loukoums sur la plage de La Grande-Motte. Comme il transpirait, lourdement chargé, sous le cagnard, on lui disait souvent : "Mais posez donc ça un moment, mon ami", et le nom lui est resté. En fait, il s'appelait Mohammed, comme vous et moi. Félix Potuit (d) 28 avril 2010 à 17:45 (CEST)[répondre]
Ah, c'étaient les touristes dauphino-toulousains, c'est ça ? Ceux qui disent « Mais posez-y don’ ça » ? Agrafian (me parler) 28 avril 2010 à 17:50 (CEST)[répondre]
Dauphino-toulousains ? C’est de moi qu’on cause ? J’ai jamais dit ça, moi ! Morburre (d) 29 avril 2010 à 08:06 (CEST)[répondre]
Marchand de loukoums, c'est la version pour les enfants, en fait c'était le chef d'une bande de racketeurs de la plage, sa devise personnelle était pot, séides, don, roi de la mer, traduit par un impératif, adressé à l'estivant, visant le portefeuille d'icelui en montant le fameux pot : "posez y donc votre obole". gem (d) 29 avril 2010 à 10:48 (CEST)[répondre]

ordre en cuisine modifier

… toujours pour l'article Filet (mets), je me demande s'il existe un « ordre » habituel ou conventionnel de présenter les quatre catégories Boucherie, Charcuterie, Marchand de volaille, Poissonnerie. Par exemple en musique classique (bien que cela soit bien-sûr décrié par certains), il est d'usage de toujours présenter les familles d'instruments Cordes, Bois, Cuivres, Percussions. J'ai l'impression que l'ordre dans mes dictionnaires et encyclopédies est le plus souvent Poissonnerie, Marchand de volaille, Charcuterie, Boucherie. À vous lire — Hautbois [canqueter] 28 avril 2010 à 19:21 (CEST) (Merci également d'une relecture de Tournedos (viande) et Filet (mets), j'ai bien du laisser quelques coquilles… )[répondre]

Relecture de tournedos  , mais qu’est-ce que « tende de tranche » ?   --Égoïté (d) 29 avril 2010 à 07:14 (CEST)[répondre]
En tout cas, on dit Beurre, œuf, fromage. Félix Potuit (d) 29 avril 2010 à 07:39 (CEST) @Égoïté : voir ici (numéro 10). Félix Potuit (d) 29 avril 2010 à 07:42 (CEST)[répondre]
À Félix : on a besoin d’un vétérinaire-boucher en urgence ! Ton lien dit que la tenche = 6 muscles et situe assez haut, et le CNRTL dit « Tende de tranche, subst., bouch. ,,Muscles cruraux internes, à la face interne de la cuisse détachée du quartier postérieur du bœuf`` (Alim. animale, 1973 ds Clé Mots). » Pas très précis tout ça   --Égoïté (d) 29 avril 2010 à 08:52 (CEST)[répondre]
… ah la la ! faut être copain avec votre boucher !!! « La tranche se divise en « tende de tranche» et « tranche grasse », tous deux situés à la partie interne de la cuisse de l'animal… C'est dans le tende de tranche (à ne pas confondre avec le « plat de tranche » et le « rond de tranche ») que l'on trouve certains morceaux du boucher, comme la « boule de tende », appelée plus familièrement « poire ». ici ». Pour steak, pavé, fondue… et « façon tournedos » ! — Hautbois [canqueter] 29 avril 2010 à 09:04 (CEST) Heu… merci pour la relecture  .[répondre]
… je cherchais une confirmation, dans cette partie, quelques morceaux de choix, poire, merlan et, juste en-dessous, le summum en bifteck : l'araignée. — Hautbois [canqueter] 29 avril 2010 à 09:30 (CEST)[répondre]

Pour info, j’ai demandé un schéma de la découpe à Wikipédia:Atelier graphique/Images à améliorer#découpe du bœuf. Si quelqu’un veut appuyer ou suivre… --Égoïté (d) 29 avril 2010 à 16:27 (CEST)[répondre]

spécialiste de droit administratif et de décence modifier

Bonsoir, Dans son commentaire de l'arrêt Commune de Morsang-sur-Orges, le Conseil d'Etat indique que la notion d'ordre public peut s'étendre aux "aspects de la moralité publique". Et d'indiquer en référence l'arrêt Dame Veuve Moulis (Ass. 4 février 1949) à propos du "caractère décent des inscriptions portées sur les monuments funéraires".

Est-ce que quelqu'un sait ce que cette Dame Veuve Moulis voulait voir (ou ne pas voir) inscrit sur un monument funéraire ? J'ai cherché sur google, et je n'ai rien trouvé.

Merci d'avance Marcellus55 (d) 28 avril 2010 à 21:14 (CEST)[répondre]

Vu n'est pas dans les archives en ligne du conseil d'état, mais qu'il évoque lui-même l'arrêt, le mieux c'est sans doute de lui demander via leur rubrique "contact" ; ou diffusion-jurisprudence@conseil-etat.fr
gem (d) 29 avril 2010 à 11:55 (CEST)[répondre]
Merci, je n'avais pas pensé à cette solution ! J'ai donc envoyé un mail, et j'ai eu une réponse très rapide: il faut juste que j'indique mon adresse postale par retour de mail, pour recevoir l'arrêt en format papier avec la facture de 5 € qui accompagne chaque copie d'arrêt... Je resterai donc dans mon ignorance... Marcellus55 (d) 29 avril 2010 à 16:20 (CEST)[répondre]
Ne te fait pas avoir, ils t'ont fait la réponse "papier", demande leur LEUR version électronique : ça doit être gratuit.
article 34 (voir aussi la loi, article 1 et 6 : une décision du conseil d'état EST concerné par le décret)
la reproduction électronique est déjà faite, donc aucun des éléments mentionner à l'article 35 ne coute rien. Si, par extraordinaire, ils n'ont pas de version électronique, ils doivent te la faire et dans ce cas ils ne peuvent te facturer que l'amortissement du matériel de scan, ce qui fait tellement peanuts ...
gem (d) 30 avril 2010 à 11:18 (CEST)[répondre]
Merci ! Je ne sais pas ce que je ferais sans toi ! Demande envoyée, j'attends maintenant mon arrêt, en espérant que je vais savoir ce qui s'est passé avec cette pauvre madame Moulis Marcellus55 (d) 30 avril 2010 à 14:46 (CEST)[répondre]

Logo français (années 1970? - 1995?): Un Eléphant galoppant modifier

Satut! (et mes excuses: je suis germanophone)
Nous sommes à la recherche d'un Logo (dessiné, stilisé) qu'on trouvait sur les autoroutes français entre 1970? - 1995? Un éléphant (en profil) qui galoppait comme un cheval (tronc en haut ?). Logo pour essence? Station d'essance? Camions? Déménageurs? ?? A exclure

Est-ce qu'il y a des autres suggestions? Cordialement 213.169.161.126 (d) 29 avril 2010 à 09:14 (CEST)[répondre]
L'enseigne des hypermarchés Mammouth (hypermarché) (1969-1996) ? — Jérôme 29 avril 2010 à 14:57 (CEST)[répondre]
Est-ce que c'est un éléphant qui "souffle" (on voit de l'air sortir de sa trompe) ? Ce n'est pas pour la pression des pneus, pour inviter les conducteurs à la vérifier régulièrement ? Je n'en suis pas certain toutefois Marcellus55 (d) 29 avril 2010 à 14:59 (CEST)[répondre]
Ce n’était pas une affiche : il n’y a pas d’affiches sur les autoroutes françaises. C’est agaçant parce que j’ai l’impression de l’avoir vu. Un logo de transporteur ou de déménageur, sur des camions ? En tout cas Mammouth c’était un mammouth, pas un éléphant galopant. Morburre (d) 29 avril 2010 à 15:16 (CEST) Il y avait les affiches du papier à cigarettes Nil, un éléphant courant, mais c’était bien avant.[répondre]
Non, pas Mammout - ça ne galoppait pas. Mais je vais poursuivre le truc avec les stations de pression. Ni le Rhino de Trans-Grues (?). Ca m'énerve, cette question! Merci de toute façon! 213.169.161.126 (d) 29 avril 2010 à 17:34 (CEST)[répondre]
À part, le logo pour les stations de lavage (Éléphant bleu, créé en 1984), je ne vois pas. --Mistig (d) 29 avril 2010 à 17:44 (CEST)[répondre]
c'est, je crois, le logo d'un automobile club allemand ou d'un truc de remorquage-dépannage agréé (éléphant bleu sur fond orange). --Cobra Bubbles Dire et médire 29 avril 2010 à 19:37 (CEST)[répondre]

Les origines communes de Sabine et Didier Haudepin modifier

Bonjour,

Je pense que les parents des acteurs Sabine et Didier Haudepin sont célèbres dans le monde du théatre, cinéma ou spectacle. Connaissez-vous leurs noms?

Merci de l'aide que vous pourrez m'apporter.

Ils sont les enfants d'un couple de professeurs. ViZiT (d) 30 avril 2010 à 09:19 (CEST)[répondre]

question modifier

Que veut- dire biblia ?

85 réponses sur Wikipédia et 18 300 000 réponses sur Google.
Vous ne pensez pas que sans un mot de politesse on va les éplucher pour vous, quand même ? Au revoir, --Égoïté (d) 29 avril 2010 à 17:40 (CEST)[répondre]
Attention, sur Google, la bonne réponse est la 18.299.999e. Félix Potuit (d) 30 avril 2010 à 08:29 (CEST)[répondre]
… c'n'est pas grave, je lis très vite. — Hautbois [canqueter] 30 avril 2010 à 09:23 (CEST) Pas du tout, c'est la 9 354 782e (tu comptes vite, aussi ?) Morburre (d) 30 avril 2010 à 09:25 (CEST)[répondre]

villa Doria Pamphilj modifier

Bonjour grand Oracle

Je vois à l article Villa Doria Pamphilj que la terminaison de Pamphilj est un J mais dans d autres articles sur cette famille italienne le nom se termine par un I ce qui me semble plus correspondre à un nom italien le J se prononcant I OU Y corespondant plus à une langue slave. Quelle est la bonne orthographe? Merci de m éclairer sur ce mystere--117.47.147.9 (d) 29 avril 2010 à 17:50 (CEST)[répondre]

Comme l'article italien (it:Villa Doria Pamphilj) utilise cette aussi orthographe, j'imagine que c'est correct. Ils ont aussi un redirect it:Villa Doria-Pamphili utilisé dans la moitié des inclusions. Sinon, le 'ph' est aussi un peu étrange. -- Xofc [me contacter] 29 avril 2010 à 18:27 (CEST)[répondre]
Voir aussi l'article italien sur la famille Pamphili ou Pamphilj. Dhatier jasons-z-en 29 avril 2010 à 18:39 (CEST)[répondre]
Il faut aussi savoir que pendant longtemps (et ce pouvait encore être le cas au 17ème, je pense, quand la villa a été bâtie) on ne faisait pas de distinction entre le i et le j (en tout cas, en français et en latin, et je parierais qu'il en allait de même pour l'italien). Le j était juste utilisé comme une graphie alternative du i ; par exemple, pour écrire (à la main) le chiffre trois en chiffres romains, on écrivait souvent iij (au lieu du III auquel nous sommes habitués). J'imagine que le j final devait servir à mieux distinguer chaque caractère, et peut-être à signaler que le chiffre s'arrêtait là. Il est donc possible que la graphie Pamphilj n'ait supposé aucune différence phonétique d'avec Pamphili, mais soit héritée d'une source de l'époque qui pratiquait cette variation graphique. --Alþykkr [appel gratuit depuis un poste fixe] 30 avril 2010 à 12:59 (CEST)[répondre]

Touraine modifier

 
Blason de Touraine: D'azur semé de fleurs de lys d’or à la bordure componée d’argent et de gueules

Bonjour oracle,

Pourquoi le blason de Touraine que voici a une bordure componée d’argent et de gueules? Je sais qu'il a des fleur de lys car c'est une branche de la famille royale. Mais pour la bordure...

Merci

Althiphika (d) 29 avril 2010 à 19:46 (CEST)[répondre]

… déjà, si ce n'est déjà fait, lire Champ composé, les spécialistes en Héraldique arrivent ! — Hautbois [canqueter] 29 avril 2010 à 19:58 (CEST)[répondre]
Componée, pas composée  
Dans ce cas, c'est une brisure. En gros, un cadet reprend les armes (si possible prestigieuses) de sa famille mais leur adjoint un élément pour les différencier des armes de l'aîné.
La bordure est un des moyens de briser les armes. Le lambel, la cotice, la bande... en sont d'autres. Les branches cadettes de la maison de France utilisent diverses brisures de ce type : la maison d'Orléans utilise un lambel d'argent, les Bourbons une bande ou un bâton péri de gueules, les Anjou une bordure de gueules...
La région Touraine a repris le blason de Philippe le Hardi, pour lequel elle avait été érigée en duché-pairie. Mais la bordure componée de gueules et d'argent est ensuite passée à la maison de Bourgogne-Valois, fondée par Philippe le Hardi.
cf. armorial des Capétiens (très utile pour comprendre l'usage de la brisure, aussi)
Calame (d) 29 avril 2010 à 21:02 (CEST)[répondre]

Merci pour l'info--Althiphika (d) 30 avril 2010 à 12:31 (CEST)[répondre]

Le componé est bien une sorte de champ composé, une formule de répétition, comme l'indique l'article. La brisure "bordure componée d'argent et de gueules" évoque peut-être un "parti d'argent et de gueules" ou deux armes l'une à champ d'argent et l'autre de gueules dans les ancêtres à l'origine de la brisure? Biem (d) 1 mai 2010 à 11:34 (CEST)[répondre]

Suivre des pages dans plusieurs langues modifier

Salut, Je viens de m'inscrire avec l'ambition d'aider a la traduction et la redaction des pages concernant les chiens de races hongroises en francais et hongrois (plus l'ajout des infos de la version anglaise que je lis mais ne maitrise pas). J'ai ajouter dans ma liste de suivi les pages existantes en francais mais quand j'ajoute une page magyar ou english elle n'apparait pas dans la liste, meme en mode brute. J'ai bien sur parcouru l'aide avant de poser ma question, mais rien ne parle de mon cas. Comment faire ?

Je ne crois pas qu'il soit possible depuis un comte sur Wikipédia en français de suivre des pages d'autres Wikipédias. Il y a en fait une séparation assez marquée entre ces différents projets. Pour suivre des pages d'autres Wikipédias, il vous faut créer un comte sur chaque autre Wikipédia. Vous serez alors certainement intéressée par la possibilité d'un compte unifié. --Pethrus (d) 30 avril 2010 à 11:11 (CEST)[répondre]
Vous pouvez utiliser gWatch (global watch, liste de suivi globale). Pour suivre les idées et les projets pour mieux intégrer cette fonctionnalité au logiciel, voyez en:Wikipedia:Integrated watchlists. — Jérôme 30 avril 2010 à 12:32 (CEST)[répondre]

Autres navigateurs MAC modifier

Bonjour

Je viens de m'inscrire sur Wikipedia. Comment puis-je communiquer sur la page consacrée aux navigateurs pour Mac,un lien où un passionné du mac réunit une liste de près de 176 navigateurs ou de la même famille (flux rss)? Je peux vous signaler que ce site est en Anglais et l'auteur pour nom : [u]Darrel E.Knutson[/u] — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Marc dender (discuter), le 30 avril 2010

Croix dans le dos sur les "uniformes" de certains déportés. modifier

 
Prisonières à Ravensbrück.

Bonjour,

Je reviens d'un pélerinage au camp de concentration de Sachsenhausen et, sur un dessin/une peinture (?) du mémorial du Kommando de Klinker Speer, certains prisonniers portent une croix dans le dos de leur "uniforme". J'ai retrouvé ce même genre de marque sur l'article concernant Ravensbrück. Quelqu'un a-t-il une idée de la signification de ce signe ?

Merci par avance des bienfaits de l'Oracle!--Tri.Ni.Ty (d) 30 avril 2010 à 16:37 (CEST)[répondre]

D'après la légende de l'image, il s'agirait de marques faites à la craie pour une sélection pour un transport par le Croix-Rouge suédoise. Voir ici : Female prisoners in Ravensbrück, the white chalk sign shows they have been selected for transport (Mitch)2 30 avril 2010 à 16:40 (CEST)[répondre]
Sur l'esquisse de Klinker il ne semblait pas que le Kommando est reçu une quelconque visite de la croix rouge mais pourquoi pas, c'est une piste. En revanche je viens de voir la légende de la photo présentant des baraquements de Ravensbrück. Lors de la visite du camp, la guide nous a dit que les bâtiments du côté ( ceux pris en photo) sont des bâtisses construites par les Russes après la libération du camp, et que seul le bâtiment du fond (qui serait à droite au fond et donc hors champ de la photo ) subsistait du temps où le camp était utilisé par les nazis. Une confirmation avant une éventuelle modification ?

contenant-contenu modifier

Bonjour. SOS car je suis à la bourre : Quand on dit : pour le repas, j’ai acheté une boite de conserve, c’est bien une métonymie ? La boite de conserve représentant le contenu (les petits pois par exemple ou du cassoulet si vous préférez) et non l’objet métallique vide… Quelle métonymie, SVP ? Merci déjà --Égoïté (d) 30 avril 2010 à 17:10 (CEST)[répondre]

Mon humble avis est que métonymie est largement suffisant pour nommer la figure de style. Au lycée, on m'a appris que synecdoque = métonymie désignant une partie pour le tout (ce qui peut être le cas si tu considères l'ensemble {{conserve}} ∪ {{petits pois}}), il y a aussi une article Synecdoque et métonymie qui me semble présenter toutes les caractéristiques du TI. S.M. | D.S.M. 30 avril 2010 à 17:33 (CEST)[répondre]
Des exemples ad hoc dans l'article : Métonymie. Un verre, ça va, trois verres, bonjour les dégâts ! Félix Potuit (d) 30 avril 2010 à 17:57 (CEST)[répondre]
  • « Pour le repas, j'ai mangé une boite de conserve » est une métonymie : tu ne manges pas la boite métallique, mais seulement son contenu.
  • « Pour le repas, j'ai acheté une boite de conserve » est une ellipse. 1) Il n'y a pas vraiment de métonymie : tu as réellement saisi une boite métallique et tu l'as achetée (en supposant que son contenu conviendrait à ton repas). 2) Pour l'ellipse, elle réside dans l'oubli des étapes entre l'achat et le repas. « Pour le repas, j'ai acheté une boite de conserve, puis je l'ai ouverte et j'en ai mangé le contenu. » (ÀMHA). — Jérôme 30 avril 2010 à 18:02 (CEST)[répondre]
N'allons pas si loin, la métonymie est basée sur une ellipse. Mais l'ellipse qui sert dans d'autres figures, n'est pas à proprement parler une figure de style mais plutôt un fait de langage. --Mistig (d) 30 avril 2010 à 19:16 (CEST)[répondre]
Vous l’avez bien mérité, voici une superbe métonymie àmha : « Quelle est la valeur nutritive (nutriments, minéraux, vitamines) d'une boite de conserve après plusieurs années de conservation au delà de la date limite de péremption ? »   --Égoïté (d) 30 avril 2010 à 18:04 (CEST) Et je source évidemment ![répondre]
Pour répondre sérieusement, on lit à l'article Boîte de conserve : « des conserves appertisées [ont] révélé que les denrées étaient encore bonnes des dizaines d’années après la mise en boite ». Le rédacteur de l'article parle intelligemment de denrées « appertisées », c'est-à-dire dans des bocaux en verre, bien moins susceptibles de se dégrader que les boites en métal. Si la boite est en bon état (non bosselée), alors le contenu est très possiblement comestible. Après, la durée réelle de conservation dépend du contenu. Par exemple pour des fruits au sirop, l'acidité des fruits finira par attaquer le métal et rendre la nourriture impropre à la consommation. Mais des grains de riz devraient rester consommables pendant des milliers d'années. Quant aux vitamines, sous forme de poudre cristallisée, au sec et à l'abri des rayonnements, elles devraient se conserver jusqu'aux cataclysmes précédant la fin des temps. — Jérôme 30 avril 2010 à 18:45 (CEST)[répondre]
D’abord merci Jérôme, pour l’explication de tout à l’heure. Ensuite merci pour le « intelligemment »   mais où est le rapport avec la métonymie ? --Égoïté (d) 30 avril 2010 à 19:00 (CEST)[répondre]
Il y a un mot pour l'obsession des boîtes de conserves ?   Skippy le Grand Gourou (d) 30 avril 2010 à 20:26 (CEST)[répondre]
Bien entendu ! WCC… wagon-citerne conservé --Égoïté (d) 30 avril 2010 à 22:46 (CEST)[répondre]

Histoire des Etats-Unis dans les années 1930 modifier

Bonjour à tous

Je viens de revoir le dernier film de M. Moore (Capitalism, a love story), où il parle de grève et d'occupation d'usine ayant failli tourner à l'émeute à cause de la mafia et de la Police, mais finalement sauvée par le Président Roosevelt. Votre Article Histoire des Etats-Unis de 1918 à 1945 n'en fait pas mention. J'aurais souhaité avoir plus d'information sur cet évenement.

Merci --Ainolan [Nute diret] 30 avril 2010 à 19:22 (CEST)[répondre]

Bonsoir. Je n’ai pas vu ce film mais suppose un rapport les faits qui furent à la base de La Jungle de Upton Sinclair dont je ne peux que recommander la lecture. Capitalisme, mafia, police, grève y étaient (dans la réalité) et y sont (dans le livre) réunis et Sinclair fut reçu par Roosevelt qui prit ensuite de sérieuses mesures. Bien à vous, --Égoïté (d) 30 avril 2010 à 22:54 (CEST)[répondre]
Ha oui, mais alors, de quel président Roosevelt s'agit-il... "Teddy" (Theodore Roosevelt) ou le plus célèbre Franklin D. Roosevelt ? Ce n'est pas la même période (Teddy, et Upton Sinclair, c'est avant 1918). EDIT : plus précisément, Teddy fut président de 1901 à 1909 et La Jungle fut publiée en 1905. Franklin Delano fut président de 1933 à 1945.--Alþykkr [appel gratuit depuis un poste fixe] 30 avril 2010 à 23:44 (CEST)[répondre]
Ben oui justement comme je n’ai pas vu le film, je ne peux savoir si la période évoquée est correcte… Mais comme pour moi toute occasion est bonne pour parler de La Jungle (un monument !)…   --Égoïté (d) 1 mai 2010 à 00:23 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas bien d'utiliser l'Oracle pour faire du prosélytisme ;)
Je crois avoir trouvé le passage dont il est question, et je crains que ton coeur ne saigne, car il s'agit de l'industrie automobile en 1937 et de la naissance du syndicat United Auto Workers, sous les auspices de Franklin Delano... Nous n'aurons donc pas droit aux saucisses de chair humaine vendues par la mafia. :p
cf ce blog : "For Moore, the formation of the UAW was a key historical step forward, an insight that naturally would come to somebody growing up in Flint. He reveals that his uncle was a sit-down striker in 1937, one of the biggest labor struggles of the 1930s. For Moore, a key element in winning union recognition was FDR’s deployment of the National Guard to Flint. Supposedly, FDR—unlike other presidents past and future—saw the National Guard as a pro-working class force. In February 1937, for the first time in history, the Guard protected strikers from the Flint police on FDR’s instructions and the battle for union recognition was won."
En gros, hein, si jamais l'OP ne lit pas l'anglais : Roosevelt aurait déployé la Garde Nationale pour protéger cette grève des travailleurs de l'industrie automobile, parce qu'il considérait que la Garde Nationale était favorable aux travailleurs. Du coup, et sur les ordres de Roosevelt, la Garde Nationale aurait protégé les grévistes de la police de Flint !
Sur la Wikipédia française, il est un peu question de cet épisode sur l'article UAW. La Wikipédia anglaise a un article dédié à cette grève précise : the Flint Sit-Down Strike. Eventuel candidat à une traduction ?
En espérant que ça réponde à la question (et en offrant une saucisse de chair humaine à Egoïté pour le consoler :p) --Alþykkr [appel gratuit depuis un poste fixe] 1 mai 2010 à 01:14 (CEST)[répondre]
Merci pour ces infos Albykkr. À titre d’anecdote, quant à la saucisse de chair humaine : il existe en Wallonie un village du nom de Humain et le boucher du patelin arborait fièrement une pancarte « viande d’humain » (que le musée de la Gourmandise aurait bien voulu récupérer…) ; cet artisan fabriquant aussi de la saucisse, on peut dire qu’il y a eu de la saucisse d’Humain qui ne risquait pas de bousculer le tabou anthropophagique…   --Égoïté (d) 1 mai 2010 à 08:22 (CEST)[répondre]


Merci à tous ; en effet, j'ai oublié de le précisé, il s'agissait bien de Théodore Roosevelt, le plus connu. --Ainolan [Nute diret] 1 mai 2010 à 17:40 (CEST)[répondre]

Euh... Vous êtes sûr que ce n'est pas Franklin Delano, plutôt ? C'est lui le plus connu. --Alþykkr [appel gratuit depuis un poste fixe] 1 mai 2010 à 19:08 (CEST)[répondre]

Prison avec sursis modifier

bonjour

La condamnation à de la prison avec sursis est-elle purement symbolique ?

Actualité, quand tu nous tiens.
Non, pas forcément. Comme son nom l'indique elle signifie qu'en cas de nouvelle condamnation, le suris risque de se transformer en prison ferme. En gros c'est un moyen qu'a la justice de dire "attention mon coco, la prochaine fois c'est la cellule". De plus, le sursis peut être assorti de mesures véritablement contraignantes et effectives immédiatement, dans le cadre de ce que l'on appelle le contrôle judiciaire. Par exemple, la personne condamnée peut se voir interdire tout contact avec ses complices, ou se voir intimer l'ordre de trouver un travail... Et, souvent, de "pointer" toutes les semaines ou tous les mois au commissariat du coin. Là encore, le non-respect de ce contrôle judiciaire peut mener à de la prison ferme.
Enfin, n'oubliez pas qu'une telle condamnation est portée au casier judiciaire, ce qui n'est pas sans conséquences (notamment si l'on recherche un emploi...).
Mais dans le cas qui, j'imagine, motive votre question, oui, l'on peut dire que c'est largement symbolique, car le sursis a fort peu de chances de se transformer en prison ferme. Cependant, dans bien d'autres cas, c'est ce qui arrive. --Alþykkr [appel gratuit depuis un poste fixe] 1 mai 2010 à 02:01 (CEST)[répondre]

Merci !

Bonjour. En France, il est rarissime que les condamnations pénales (en dehors des assises) soient directement du « ferme », quelqu'un au casier vierge s'en tirera pratiquement toujours « avec sursis » la première fois (de même que la « norme » du jugement est généralement le 2/3 de ce que le procureur requiert). Donc, dans ce sens, c'est la pratique normale : la condamnation n'est pas symbolique (on a bien reconnu la culpabilité), c'est l'application de la peine qui pour une première condamnation reste systématiquement suspendue (sauf circonstances exceptionnelles). Cordialement, Biem (d) 1 mai 2010 à 08:49 (CEST)[répondre]

Expo universelle - batiments modifier

Bonjour,

Les pays participants financent un bâtiment, soit, mais à qui appartient-il à la fin de l'expo? Le pays hôte le récupère (si oui, il l'achète ou il est donné à titre gracieux) ou le pays participant se retrouve avec un machin (au sens gaullien du terme) sur les bras? Merci d'avance pour vos lumières. Skiff (d) 1 mai 2010 à 07:34 (CEST)[répondre]

Bonjour. Il n'y a pas de raison que pour une exposition universelle, la loi sur l'immobilier soit radicalement différence de ce qu'elle est pour des constructions classiques, non? Au départ, en tout cas, les pays exposants ne sont certainement pas propriétaires du terrain. L'organisation de l'exposition de ce point de vue s'apparente probablement à celle d'une opération immobilière, où les organisateurs commencent par racheter le terrain avec des emprunts financiers avant de lancer les constructions puis les "ventes par appartements" - simplement pour des raisons pratiques, on voit mal des pays étrangers négocier au cas par cas avec les anciens propriétaires des lieux, avec le risque qu'ils ne concluent pas la vente et laissent un trou de jardin privatif dans l'expo! Donc, quand l'exposition commence à s'organiser, la contractualisation de la construction se fait nécessairement entre les pays étrangers et le comité d'organisation, suivant une formule coordonnée pour tout le monde. Là, les organisateurs font ce qu'ils veulent - liberté contractuelle oblige - mais une solution intelligente est effectivement que le propriétaire des lieux garde la propriété du sol et récupère in fine celle du construit - ne serait-ce que pour pouvoir détruire ce qui ne mérite pas d'être conservé, et restaurer un plan d'urbanisme cohérent après la bataille. Ceci étant, le montage contractuel se fait au cas par cas, donc chaque exposition (voire chaque pavillon) peut être un cas particulier. Cordialement, Biem (d) 1 mai 2010 à 08:38 (CEST)[répondre]
En clair, ca retourne au pays organisateur, qui probablement le bazardera. C'est donc un bel exemple de gestion des deniers publics et de gestion durable. Skiff (d) 1 mai 2010 à 14:28 (CEST)[répondre]
Le pays organisateur ne « bazardera » pas forcément tout. En passant (d) 3 mai 2010 à 10:38 (CEST)[répondre]

bonjour modifier

laurent melanjoie

  Chère visiteuse, cher visiteur, nous regrettons, mais nous n'avons pas compris votre question. Sachez tout de même que la réponse ultime est 42. Si cela ne répond pas à votre question, nous vous invitons à reformuler celle-ci de manière claire et néanmoins courtoise, afin que nous puissions tenter d'y répondre.

Merci de poser votre question , --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 1 mai 2010 à 11:03 (CEST)[répondre]

Bonjour,

J'ai un exercice à faire en français et voici la question posée :

"A partir de la racine caballus, cherchez trois mots issus de la formation savante et trois mots issus de la formation populaire. Utilisez chacun d'eux dans une phrase de votre composition".

D'avance je vous en remercie,

Cordialement

En dactylographiant caballus dans la case de la colonne de gauche et en cliquant sur « rechercher », on arrive à ceci. Vos réponse s’y trouvent. Amicalement, --Égoïté (d) 1 mai 2010 à 12:06 (CEST)[répondre]
Il n'y a pas de caballus. S.M. | D.S.M. 1 mai 2010 à 12:18 (CEST)[répondre]


Belle plante modifier

 
Oh! Un tas de petits trucs à l'air cotonneux en attente d'envol

Bonjour . J'ai cherché dans la liste des fleurs et autres plantes pour essayer de me rappeler du nom de la fleur que je recherche, mais en vain, je n'arrive pas à mettre le doigt dessus, pourriez-vous m'aider? Il s'agit d'une fleur à longue tige avec une boule légèrement blanche au sommet, on souffle dessus et un tas de petits trucs à l'air cotonneux s'envolent alors. J'espère avoir été clair. Je vous remercie d'avance pour les réponse que vous m'apporterez, cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 1 mai 2010 à 13:51 (CEST)[répondre]

Voir pissenlit ? S.M. | D.S.M. 1 mai 2010 à 13:59 (CEST)[répondre]
 Ah ben ça alors! C'est ça, merci. Dans mon esprit ça s'appelait autrement, bizarre...--Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 1 mai 2010 à 14:05 (CEST)[répondre]
Attention, il faut essayer autant que possible de ne pas les manger par la racine!!! Cobra Bubbles Dire et médire 1 mai 2010 à 14:48 (CEST)[répondre]
Sauf quand s’appelle Larousse… OK; je sors. Mais avant je signale que les feuilles se mangent en salade et qu’on fait des confitures et du vin avec les fleurs. Amicalement, --Égoïté (d) 1 mai 2010 à 15:26 (CEST)[répondre]
ma tortue qui sort de 4 mois de profond sommeil se régale des fleurs (elle raffole aussi des boutons d'or). Cobra Bubbles Dire et médire 1 mai 2010 à 17:45 (CEST)[répondre]
Suivant les régions le nom peut être différent : dent-de-lion par exemple ou baraban... --Serged/ 2 mai 2010 à 09:49 (CEST)[répondre]
Les bourgeons de fleurs de pissenlits, les fleurs en bouton quoi, sont délicieux en salade... Quant aux "boutons d'or" , petites fleurs plates, fines et très jolies, qui sont des [[renoncules], on m'a toujours dit que c'était du poison pour l'homme. Je vois d'ailleurs sur Wikipedia que les renoncules sont effectivement des plantes toxiques - même pour les animaux... jbdepradines (d) 3 mai 2010 à 09:39 (CEST)[répondre]

Question portant sur la ponctuation modifier

bonjour, Je me pose la question de savoir si, après la ponctuation :, une majuscule s'impose ? ex : Article 2 : Entre les adhérents ou Article 2 : entre les adhérents

un grand merci de me conseiller - je rédige les statuts d'une association et ce petit point de détail m'interpelle, bonne journée et merci encore

Je dirais (mais j'ai la paresse d'ouvrir mon Grevisse) qu'on ne met pas de majuscule après un double-point, sauf quand il introduit un discours rapporté. Mais il semble que l'usage sur Légifrance (exemple) soit de mettre une majuscule après le double-point quant icelui introduit un titre proprement dit.
S.M. | D.S.M. 1 mai 2010 à 15:24 (CEST)[répondre]
Il est effectivement assez courant de voir les textes légaux mettre des majuscules après deux-points ou un point-virgule, lorsque, comme dit, une disposition nouvelle commence à cet endroit. Mais le langage légal est une langue à part, ce n'est pas vraiment du français. :p --Alþykkr [appel gratuit depuis un poste fixe] 1 mai 2010 à 19:11 (CEST)[répondre]
Je serais même formel en disant qu'on ne met jamais de majuscule après des doubles points, parce qu'on me l'a rabaché au collège et dans mon cas, ça remonte à pas si loin (pis c'est tant-mieux parce que de toute façon je trouve pas ça beau[non neutre]) Seulement là c'est pas tellement une phrase mais plutôt une liste.. Alors je sais pas si ça s'applique. Enfin bon cordialement Floflo (d) 1 mai 2010 à 22:47 (CEST)[répondre]
Le deux points n'appelle pas une majuscule. Si elles y sont dans l'exemple que vous donnez, c'est parce qu'il s'agit d'un titre (rien à voir avec le fait qu'il s'agisse d'un texte juridique).
On retrouverait la même chose dans n'importe quel livre : « Chapitre 2 : Une ballade au parc ». Agrafian (me parler) 2 mai 2010 à 18:33 (CEST)[répondre]

Publier des images SVG sous licence creative commons modifier

Bonjour à tous,

je souhaiterais publier des images, dont je suis l'auteur, images que j'ai réalisé au format vectoriel SVG. Je souhaiterais les publier sous licence CC-BY-NC-SA.

Je recherche donc un site permettant d'héberger des images sous licences creative commons, et prenant en charge le format SVG. Wikimedia commons et les autres projets de la wikimedia foundation n'acceptent pas les CC NC et/ou ND, c'est pourquoi je recherche un site permettant de choisir plus sa licence de manière plus souple.

Merci d'avance.

HackChirHack (d) 1 mai 2010 à 15:46 (CEST)[répondre]

Bonjour,
Le site Flickr.com a l'air de correspondre à vos besoins. — Carlotto 1 mai 2010 à 16:22 (CEST)[répondre]
EDIT :
Au temps pour moi, Flickr n'accepte pas le format SVG, il n'accepte que les formats JPEG, GIF et PNG. Le site petaIMG accepte ce format, mais il est actuellement suspendu ; MediaFire a l'air d'accepter tout type de fichier. Tout dépend aussi de ce que vous entendez par « héberger » : si vous souhaitez simplement un endroit pour les stocker, mes deux dernières propositions conviennent très bien ; pour les mettre à disposition du public facilement, il vous faut plutôt un site du type Flickr. — Carlotto 1 mai 2010 à 16:28 (CEST)[répondre]

PS : et en fait je n'ai pas vérifié comment sont gérées les licences chez MediaFire, je ne suis pas sûr que cela vous convienne… pas facile tout ça. — Carlotto 1 mai 2010 à 16:32 (CEST)[répondre]

On trouve pourtant ceci sur commons. --Domingue (d) 1 mai 2010 à 17:41 (CEST)[répondre]
C'est un cas de figure autorisé : tu peux importer une image en CC-BY-NC à partir du moment où ton œuvre est en licence double avec un contrat qui autorise l'utilisation commerciale. En L'occurrence, ces images sont en licence double avec la CC-BY-SA et la GFDL. Tu peux donc choisir entre 1) une licence commerciale et virale et 2) une licence non commerciale et non virale. Dans le cas 2), tu as l'avantage de pouvoir publier une œuvre dérivée avec la licence de ton choix, tant qu'elle respecte au moins la paternité et l'interdit commercial. Tachymètre (me parler) 1 mai 2010 à 18:44 (CEST)[répondre]

Géographie... modifier

Bonjour,
Je voudrias savoir si quelqu'un d'autre vous connait l'Écolombuède. J'ai trouvé un document et je ne sais pas où se trouve ce pays.
Merci,
--Anas1712 (d) 1 mai 2010 à 20:36 (CEST)[répondre]
P.S.: Ce est peut-être une ficition

Canular probable, propose ton document aux PàS ! S.M. | D.S.M. 1 mai 2010 à 20:54 (CEST)[répondre]

La recherche d'une page créée modifier

Bonjour enfin bonsoir plutôt, J'ai un léger problème: j'ai créé une page "Diouc Koma" et lorsque je fais une "recherche" de ce nom et bien il n'apparaît pas directement. Je dois rentrer dans une autre page avec ce nom à l'intérieur pour enfin pouvoir y accéder. Si vous pouvez me dire ce que je dois faire pour qu'on puisse y accéder directement, ce serait merveilleux.

Merci à vous. -- — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Diouc Koma (discuter), le 1 mai 2010 à 23:57 (CEST)[répondre]

Ah bon, pour ma part dès que je recherche ce nom ce tombe directement sur cette page. Est-ce la bonne? --Floflo (d) 2 mai 2010 à 00:05 (CEST)[répondre]
Il y a aussi la page utilisateur:Diouc Koma... --Serged/ 2 mai 2010 à 09:45 (CEST)[répondre]

Recherche modifier

2 mai. Bonjour. Début 1900, le Baron et la Baronne Albert de L'Espée possédaient de nombreuses demeures (châteaux, villas, etc). Pourriez-vous m'indiquer les communes intéressées par ces demeures ? Dans le Morbihan, il existe un château à Saint-Avé et un à Belle-isle en mer. Dans l'espoir , accepter mes cordiales salutations. Télémaque 56

Désolée.. non, nous ne sommes pas là pour ça, mais pour répondre (ou tenter de répondre) aux questions potentiellement encylopédiques..Anja. (d) 2 mai 2010 à 12:06 (CEST)[répondre]
Je reformule la question qui me semble avoir un certain intérêt : Albert de L'Espée possédait plusieurs domaines en France, dans quelles communes se trouvaient-ils?
Oups  ... en fait, j'avais (très) mal compris la question ... .Anja. (d) 2 mai 2010 à 18:02 (CEST)[répondre]

Bonjour chers Oracles, je souhaiterais savoir si il serait judicieux de proposer un article concernant l'artiste Daniel Firman, sa page étant peu étoffée. Je suis une nouvelle recrue, il s'agirait de mon premier article. Merci beaucoup, passez une bonne journée !

Cela pourrait être intéressant en effet, mais il faudrait préalablement s'assurer qu'il rentre dans les critères d'admissibilités des artistes. --Pethrus (d) 2 mai 2010 à 13:38 (CEST)[répondre]

Un héros insulaire modifier

Bonsoir, j'ai en tête une légende grecque où un héros serait resté longtemps sur une île de plaisirs et en serait aussi (peut-être) parti. Mais son nom m'échappe et j'ai beau chercher, je ne trouve pas. Je sais que mes informations sont un peu vagues, mais si un(e) helleniste passe dans les environs, je serais heureuse de pouvoir replacer un nom sur cette bien belle histoire. Merci. Celette (d) 2 mai 2010 à 23:10 (CEST)[répondre]

Tout simplement Ulysse chez Calypso, peut-être ? --Aadri (d) 2 mai 2010 à 23:17 (CEST)[répondre]
J'y ai pensé, mais Ulysse ne veut pas rester. Le héros dont je parle s'y plaisait bien. Celette (d) 3 mai 2010 à 00:45 (CEST)[répondre]
s'y plaire et vouloir quand même partir, ce n'est pas contradictoire et c'est assez commun. Enée aussi se plaisait bien avec Didon, ça ne l'empêche pas de se barrer.
Ulysse est le grand héros de la ruse et de la diplomatie, le fait qu'il se barre est le signe qu'il pouvait le faire, le fait que ça lui prenne autant de temps montre qu'il fallait le temps que son désir de partir surmonte autre chose
gem (d) 3 mai 2010 à 12:20 (CEST)[répondre]
Alors c'est peut-être ça... Il faudra que je me replonge dans l'Odyssée mais j'avais l'impression qu'il ne s'agissait pas d'Ulysse. Cordialement, Celette (d) 3 mai 2010 à 20:54 (CEST)[répondre]