Vismes

commune française du département de la Somme
(Redirigé depuis Wiammeville)

Vismes
Vismes
La mairie-école.
Blason de Vismes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC interégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Nicolas Plé
2020-2026
Code postal 80140
Code commune 80809
Démographie
Gentilé Vismois
Population
municipale
476 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 00′ 46″ nord, 1° 40′ 24″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 124 m
Superficie 13,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Friville-Escarbotin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gamaches
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
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Vismes

Vismes est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France. Vismes est appelée localement « Vismes-au-Val » ou « Vismes au mont » (à cause de la présence d'un château à motte).

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Description modifier

Vismes est un village agricole picard du Vimeu situé à 22 km à l'est du Tréport et de la Manche, 17 km au sud-ouest d'Abbeville et à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest d'Amiens.

Le village en lui-même se divise en deux parties Vismes d'en haut ou Vismes-au-Mont (du fait de la présence de l'enceinte médiévale) et Vismes d'en bas ou Vismes-au-Val. Vismes est un village tourné vers l'agriculture et l'élevage. Au hameau du Plouy, un château a été élevé au XVIIIe siècle, par les derniers seigneurs du fief, les Le Blond du Plouy.

Vismes est traversé à l'est de son territoire par l'autoroute A 28 et est limité au sud par l'ex-RN 336 (actuelle RD 936).

En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 21 (Vismes - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, les jours du marché d'Abbeville, le mercredi et le samedi[1].

Hydrographie modifier

Vismes est construit sur la Vimeuse anciennement la Vîmes. Cette petite rivière du Vimeu est un affluent du fleuve côtier la Bresle.

Hameaux et écarts modifier

La commune comprend plusieurs hameaux comme le Plouy et Morival.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vismes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), prairies (7,9 %), zones urbanisées (2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Vismes-mont (1673) ; Vuezemont (1690) ; Visme haut (1699) ; Vimemont (1733) ; Vismemont (1757) ; Mont-Vis (1766) ; Vismes-au-Mont (1766) ; Visme-au-Mont (1763) ; Visme-haut (1781)[14].

Le nom du village représente la fixation du nom de la rivière la Vimeuse, autrefois appelée Vimina (696) ; Vinlena-Vinglena (843) ; Vima (1184) ; Aqua de Merdenchon (1225) ; Visma (1577) ou encore La Vismes (1777)[15], il remonte au gaulois Vimina, basé sur un radical minio- / meno- « doux »[16], qualificatif souvent attribué aux rivières. Homonymie avec la Wümme [vymə] affluent de la Weser (Allemagne)[17].

Histoire modifier

Le cimetière laténien (entre environ 450 et 25 av. J.-C.), situé au lieu-dit les Dix-sept atteste d'une présence ancienne[18].

Le château à motte de Vismes[Note 3] fut érigé en 1066 par un certain Theobald Fretel de Vismes[19]. Une motte naturelle est surélevée et entourée d'un fossé. La terre ainsi extraite sert à remblayer la butte, qui atteint environ 20 mètres de large et à la base de laquelle on édifie une palissade en bois. Pour la défense du village on délimite une surface d'environ six hectares pour, en cas de danger, accueillir tous les villageois et leurs animaux. Le seigneur de Vismes occupe le donjon de bois de deux étages bâti sur la motte ; ainsi le seigneur et ses hommes peuvent observer les alentours et voir approcher l'ennemi[20].

La seigneurie de Vismes-au-Mont citée à partir du XIVe siècle possédait un château à deux mottes auprès desquelles furent inhumés des gentilshommes picards tués à la bataille de Crécy[21]. Vismes fut érigé en baronnie en 1320. Le château fut détruit en 1372 par Jean de Gand (1340-1399), comte de Lancastre.

Le village avait une charte communale au Moyen Âge[21]. La seigneurie passa des de Vismes[22] aux Cayeux au XIVe siècle, puis aux de Monchy en 1436. Finalement, le fief est racheté par Paul Le Blond du Plouy, après la mort d'André de Monchy en 1785. Après la Révolution française, Vismes absorbe les hameaux du Plouy, Morival, Vimemont et d'autres…

La seigneurie de Plouy en Vimeu à Vismes bailliage d’Abbeville, une maison seigneuriale avec terres, appartenait en 1377 à Pierre Becquet, écuyer ; en 1400 à Edmond Becquet, écuyer et à Jean Becquet avant 1500. Antoinette Becquet, dame du Plouy épouse Pierre d’Acheux vers 1483 (cette seigneurie resta dans la descendance d’Acheu jusqu’en 1700)[23],[24].

Le Plouy passa à Catherine d’Acheu, dame du Plouy, et à son époux Claude Le Roy, seigneur de Valanglart ; ceux-ci le vendirent le à Claude le Blond. Mentionnée dans l’acte avec 10 journaux d’enclos et 137 de terres labourables, la maison seigneuriale devait être en fort mauvais état car l’année suivante, Claude le Blond obtint de la sénéchaussée de Ponthieu l’autorisation nécessaire aux réparations, pour éviter et prévenir une plus grande ruine.

Seconde Guerre mondiale modifier

Le , un Boeing B-17 Flying Fortress, une « forteresse volante », bombardier américain, s'écrase dans un champ du hameau de Wiammeville, abattu par l'artillerie allemande. Sur les dix soldats à bord, trois survivront, sept trouvent la mort. L'opération visait la base de lancement de V1 du bois de Coquerel[25],[26].

Le , c'est un Consolidated B-24 Liberator qui s'abat entre Le Translay et Vismes avec une dizaine de soldats à bord[26].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1791 1794 Charles Lottin    
1794 1800 Antoine Guillot    
1800 1808 Pierre Verlent    
1808 1814 Louis Maclaire    
1814 1827 Paul Leblond du Plouy    
1827 1831 Polycarpe Routier    
1831 1844 Liévin Verlant    
1844 1849 Pierre François Poultier    
1849 1870 Prosper Ansbert Leblond du Plouy    
1871 1872 Arsène Bacquet    
1873 1873 Ambroise Depoix    
1874 1881 Prosper Ansbert Leblond du Plouy    
1882 1890 César Armand Leblond du Plouy    
1891 1905 Jules Salies    
1906 1925 Nicolas Maillet    
1926 1929 Léon Salies    
1930 1933 Paul Verlant    
1934 1937 Henri Dhier    
1937 1938 Ambroise Depoix    
1939 1965 Marcel Decayeux    
1965 1983 Serge Bouvet    
1983 2001 Guy Defacque    
mars 2001 En cours
(au 8 octobre 2020)
Nicolas Plé LR Réélu pour le mandat 2014-2020[27],[28]

Politique de développement durable modifier

Un ensemble de cinq éoliennes a été mis en service en 2016 au Buquet, comprenant chacune un rotor de 92 mètres de diamètre sur un mat de 85 mètres, et ayant une capacité globale de production de 28,8 GWh[29]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 476 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
399546571498581553554615610
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
608601587564560563580566529
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
513535498441451454418390419
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
412395367326314306323326414
2014 2019 2021 - - - - - -
466477476------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

 
L'école.

L'école à deux classes compte 45 élèves pour la rentrée de l'année scolaire 2017-2018. Pour les vacances scolaires, elle est placée en zone B, dans l'académie d'Amiens[34].

Cet établissement fait partie du regroupement pédagogique intercommunal de la Vimeuse comprenant également les écoles de Maisnières, Tilloy-Floriville et Frettemeule[35].

Les écoliers poursuivent leur scolarité au collège de Gamaches.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Le château du Plouy[36],[37], construit en 1711 par la famille Le Blond du Plouy, en briques : corps de logis rectangulaire à avant-corps central surmonté d'un fronton triangulaire, prolongé par deux ailes basses saillantes sur les deux faces en lits alternés de brique et de pierre dont l'une abrite l'ancienne chapelle. L'ensemble souffre d'un abandon chronique et n'a bénéficié d'aucune restauration depuis la mort d'Hélène le Blond du Plouy en 1931.
    Occupé par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, il est aujourd'hui dans un état critique. Le château est acquis par la commune en [38] afin d'engager sa réhabilitation[39].
  • Le château d'Hantecourt[40].
  • L'église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge, très restaurée après 1945 : nef XIIe siècle, collatéraux et chœur XVe siècle, clocher-porche XIIIe siècle ; fonts baptismaux XVe siècle en plomb reposant sur des colonnettes XIIIe siècle ; mobilier : maître-autel avec retable à colonnes torses et décor sculpté XVIIe siècle, autel latéral avec retable et sa toile XVIIe/XVIIIe ; statues : saint Nicolas XVIe, Vierge à l'Enfant XVIIe, trois statues et un Christ datant du XVIIIe siècle ; banc du XVIIIe siècle, bannière XIXe siècle plaque commémorative sur cuivre 1661[21].
  • L'enceinte médiévale construite aux alentours de l'an mil par le premier seigneur de Vismes, Theobald.
  • La chapelle Sainte-Agathe à Morival. Primitivement en torchis, elle est restaurée avec de la brique[41].
 
La ligne Longpré-les-Corps-Saints - Gamaches.

Personnalités liées à la commune modifier

Généalogie des premiers seigneurs de Vismes[46]
  • Orland de Vimeu (il reçut le fief vers 950) ;
  • Théobald de Vismes (avant 1066-1084) ;
  • Roger de Vismes (1084-1100) ;
  • Pierre cité dans une charte de donation à l'église de Thérouanne en 1105 avec son frère Adolphe ;
  • Barthélémy de Vismes (1130-1155) ;
  • Pierre II (1155-1162) ;
  • Richard de Vismes (1162-1200) ;
  • Barthélémy II de Vismes (1200-1229) ; en 1217, Guillaume de Vismes participe à la cinquième croisade. Son nom figure dans la cinquième salle des croisades du château de Versailles.
  • Enguerrand de Vismes (1229-1261) ;
  • Jean de Vismes (1261-(1273) ;
  • Robert de Vismes (1273-1302) ;
  • Jean II de Vismes (1302-1330) ;
  • Jeanne de Vismes (1330-13??).

Héraldique modifier

 
Blason de Vismes.
Blason des de Vismes depuis le XIIIe siècle.
D'argent, au chevron de gueules, accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant du même[47].

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes modifier

  • « Vismes », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le nom de Vismes s'écrit indifféremment avec ou sans le s final.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Vismes et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 403 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 402 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  16. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, éditions Errance, , p. 226-227.
  17. Xavier Delamarre, op. cit.
  18. Les tombes de Vismes-au-Val (Somme) dans le contexte du Belgium, Pierre Barbet, Didier Bayardlien, Revue archéologique de Picardie, 1996, Volume 3, Numéro 3-4, pp. 177-188, consulté sur Persée.fr.
  19. Aux confins de la Picardie de Lucien Groué, éd. 1992 et Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française de Philippe Dayre de Mailhol (2001), page 778, (ISBN 3487112450).
  20. Pages 296 et suivantes dans Mémoires de la Société des antiquaires de Picardie (1859)
  21. a b et c Quid
  22. Aux confins de la Picardie de Lucien Groué, éd. 1992 ; (en) John Palmer : De Vismes, a noble French family (1986) et Rolande Delguste de Vismes : De Vismes, neuf cents ans d'histoire d'un nom, 1987, éd. R. Ibrahim, (ISBN 2950186300).
  23. Voir René de Belleval, 'Les fiefs et les seigneuries du Ponthieu et du Vimeu. Essai sur leur transmission depuis l'an 1000 jusqu'en 1789', éditions Monfort, Brionne, notice le Plouy, p.259.
  24. Philippe Seydoux, Gentilhommières en Picardie. Ponthieu et Vimeu, éditions de la Morande, 2002, notice Le Plouy à Vismes, p. 119-120.
  25. Le Courrier picard, « Sur les traces de soldats disparus », édition Picardie maritime, p. 2, 6 septembre 2017.
  26. a et b Florence Merlen, Le Courrier picard, « Le Pentagone recherche ses soldats disparus », édition Picardie maritime, p. 8, 6 septembre 2017.
  27. Réélu pour le mandat 2020-2026 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 12 avril 2014, p. 15.
  28. Blandine Thoreux, « Un quatrième mandat de maire pour Nicolas Plé dans la Somme : Un quatrième mandat de maire pour Nicolas Plé dans la Somme », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Blandine Thoreux, « Inauguration du parc éolien du Buquet dans le Vimeu : Évoqué depuis quatorze ans, le parc éolien du Buquet à Vismes-au-Val, dans le Vimeu, est désormais opérationnel. À une époque où le désengagement financier de l'État inquiète, cette installation garantit une rentrée d'argent non négligeable pour la commune », L’Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. L'école sur le site de l'éducation nationale.
  35. Courrier picard, « Ces projets scolaires qui prennent du plomb dans l'aile », édition Picardie maritime, p. 9, .
  36. René de Belleval, Les fiefs et les seigneuries du Ponthieu et du Vimeu : Essai sur leur transmission depuis l'an 1000 jusqu'en 1789, Brionne, Monfort, notice le Plouy, page 259.
  37. Philippe Seydoux, Gentilhommières en Picardie. Ponthieu et Vimeu, La Morande, , notice Le Plouy à Vismes, pages 119-120.
  38. Courrier picard, édition Picardie maritime, Vismes, la commune devient propriétaire du château du Plouy, , p. 15.
  39. Blandine Thoreux, « Vimeu : un projet pour le château du Plouy : Propriété de la commune de Vismes-au-Val depuis décembre 2017, le domaine du château du Plouy devrait entamer une phase de rénovation. Des travaux sont prévus dès cette année 2019 », L’Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Ses origines en ligne.
  41. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, éditeur :Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 67 (ASIN B000WR15W8).
  42. Source:Fcvnet
  43. « Eugène VERLANT (1867-1958) », sur annales.org (consulté le ).
  44. Xavier Togni, Karine Lapostolle, « La commune de Vismes honore la mémoire d’Eugène Verlant, enfant du pays, à l’origine du feu tricolore : Une plaque a été dévoilée samedi 11 novembre 2023, en présence de nombreux membres de sa famille. Le « Code Verlant » avait été mis au point par cet ingénieur polytechnicien pour les chemins de fer, puis adapté pour la route », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Le site de l'Informateur.
  46. Généalogie donnée par :
    • Lucien Groué, Aux confins de la Picardie et de la Normandie, 1992, page 181.
    • René de Belleval, Nobiliaire du Ponthieu et du Vimeu, volume 2, p. 294, 1876.
    -Le Ponthieu aux croisades - par M. René de Belleval – 1867
    • de Philippe Dayre de Mailhol : Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française Page 778 (2001)
    • de André François Joseph Borel d'Hauterive, Georges de Morant, Albert Révérend, Howard Horace Angerville : Annuaire de la noblesse de France et d'Europe (1865 et 1883)
    • d'Ernest Prarond : Cartulaire du comté de Ponthieu (France, 1897)
    • H. Lamant : Armorial général et nobiliaire français. (à partir de 1975) Page, tome, etc : 5, 154-8 Cote B.n.F. : 8° Lm1. 270
    • Tisseron : - Annales historiques, nobiliaires et biographiques. Paris, 1867-1908, série in-fol., t. 41-54 Page, tome, etc : 3 [G. 1145 Cote B.n.F. : G. 1143-1148 (19)
    • Mémoires de la Société des antiquaires de Picardie, Page 299 (Publié en 1858)Imprimerie Lemer aîné
  47. Armorial de Rietstap