Vrécourt

commune française du département des Vosges

Vrécourt
Vrécourt
Le pont vers 1900.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes Terre d'Eau
Maire
Mandat
Éric Valtot
2020-2026
Code postal 88140
Code commune 88524
Démographie
Gentilé Vrécurciens, Vrécourciennes
Population
municipale
350 hab. (2021 en diminution de 6,67 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 10′ 31″ nord, 5° 42′ 15″ est
Altitude 342 m
Min. 317 m
Max. 385 m
Superficie 12,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vittel - Contrexéville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vittel
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Vrécourt
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Vrécourt
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Vrécourt
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Vrécourt

Vrécourt est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Vrécurciens.

Géographie modifier

La commune est traversée par le Mouzon.

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Mouzon, le ruisseau de Grandru, le ruisseau de Sauville et le ruisseau de l'Ecuelle[Carte 1].

Le Mouzon, d’une longueur de 63,3 kilomètres, prend sa source sur le territoire de Serocourt, s’oriente vers l'ouest puis vers le nord peu après avoir quitté les localités de Rocourt et Tollaincourt, jusqu'aux abords de son confluent avec la Meuse[1].

 
Réseaux hydrographique et routier de Vrécourt.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[2].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 956 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 2],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vrécourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (70,2 %), forêts (17,6 %), terres arables (7,5 %), zones urbanisées (4,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Vreheri curtis (1105) ; Vulferticurtis (1173) ; Vrehecort, Vrehecurt (1224) ; Vreecourt (1276); Verricicuria (1333) ; Verrécourt; Verécourt; Vrécour (à partir de 1691) ; Vrécourt(1789)

Histoire modifier

Au Moyen Âge, la seigneurie de Vrécourt a appartenu à la famille de Choiseul. Au début du XIIe siècle, le seigneur de Vrécourt est ainsi Barthélemy de Choiseul, fils de Foulques II de Choiseul et d'Alix de Vignory. Cette branche cadette des Choiseul ne semble pas durer très longtemps, car dès 1292 Jean Ier de Choiseul, seigneur de Choiseul, agit en qualité de seigneur de Vrécourt[16].

Politique et administration modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mars 2008 Alain Lecler    
mars 2008 mars 2014 René Gaudez    
mars 2014 En cours Henri Pierrot    

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

En 2021, la commune comptait 350 habitants[Note 5], en diminution de 6,67 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
8478659128579311 0111 0461 038783
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
772793798740710644640581610
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
591503473454428403396399398
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
367334334330354364351370351
2021 - - - - - - - -
350--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 181 hommes pour 180 femmes, soit un taux de 50,14 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,69 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,6 
7,4 
75-89 ans
10,3 
14,2 
60-74 ans
14,3 
18,8 
45-59 ans
18,9 
19,9 
30-44 ans
20,6 
20,5 
15-29 ans
14,3 
18,8 
0-14 ans
21,1 
Pyramide des âges du département des Vosges en 2020 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,2 
75-89 ans
11,5 
20,2 
60-74 ans
20,6 
21,4 
45-59 ans
20,5 
16,9 
30-44 ans
16,2 
15,9 
15-29 ans
13,8 
16,8 
0-14 ans
15,2 

Culture modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église, la place du Marché et le site du château.
 
À g., le grand commun du château et la place des Trois-Bourdons.
  • Église Saint-Martin[23] : Clocher du XIIe siècle classé monument historique par arrêté du , le reste étant du XVIIe siècle et XVIIIe siècle est inscrit monument historique par arrêté du [24]. L'orgue a été réalisé en 1894 par Jacquot-Jeanpierre & Cie[25].
  • Vestiges du château des Lavaulx : une maison forte médiévale des Choiseul existait au bout du pont sur la rive est du Mouzon. Il n'en reste rien. Dans la deuxième moitié du XVIe siècle, les Lavaulx font construire une maison-forte rectangulaire, probablement flanquée de quatre tourelles d'angle et percées de fenêtres rectangulaires barreaudées au rez-de-chaussée. Elle était précédée d'une cour devant la rivière. Le bâtiment était orienté vers le Mouzon et au sud s'ouvre toujours une grande basse-cour fermée par une très vaste grange seigneuriale du XVIe siècle. Le château a été au XVIIe siècle le quartier général des troupes françaises assiégeant la Mothe, sous le commandement de Jacques Nompar de Caumont la Force, maréchal de France. Ce château a été probablement rasé à la fin du XVIIe siècle lors des travaux du second château de Vrécourt, dus à Claude-François Labbé de Beauffremont et à sa femme Anne-Charlotte de Lavaulx. Il de la maison-forte des Lavaulx principalement la cave et des manteaux de cheminées déposés chez un particulier.
  • Vestiges du château de Claude-François Labbé de Beauffremont et de sa femme Anne-Charlotte de Lavaulx : sur le même site, son bâti, très ambitieux, s'étendait en forme de L entre la grange seigneuriale déjà citée et la Petite Orangerie, au-delà de la place principale du village. Le corps de logis comprenait un pavillon d'honneur à dôme, face à la rivière, conduisant par un vaste escalier intérieur à l'aile de la chapelle et du grand salon, qui donnait sur le parterre, à l'est. En perpendiculaire, deux ailes d'habitation, orientées parallèlement au Mouzon sur un rez-de-chaussée surélevé, entouraient le pavillon à dôme : l'aile des maîtres de maison vers l'église, avec la bibliothèque et l'aile méridionale, comprenant les cuisines, le logis du concierge et à l'étage, deux appartements. Le château était précédé vers la rivière par une cour entourée de grilles. Vers la place principale du village, une petite cour et l'Appartement Neuf permettaient la liaison entre l'aile des maîtres et un très long commun bordant la place. Ce dernier bâtiment se terminait par la Grande Orangerie, elle-même suivie de la Petite Orangerie, pavillon d'invités, situé un peu plus à l'est. Le château était bordé du côté oriental par un très important parterre, accessible du grand salon par une terrasse ornée de bustes en pierre puis par un escalier. Elle était située entre l'aile du salon et l'Appartement Neuf. Le parterre était pourvu d'un bassin d'une chaumière rustique, d'une pagode chinoise et d'une vingtaine de statues de dieux de la fable, ainsi que de vases Médicis en grès local. Le fond du parterre comportait une autre terrasse et une glacière. La basse-cour avait été complété d'un fruitier, d'une bergerie, d'une étable, d'une écurie et d'une remise pour voitures à cheval. Un potager orné de bustes en grès sculptés se situait entre le parterre et la basse-cour. L'ensemble de la propriété a été loti en 1792 après l'émigration de la comtesse de Neuilly, sa propriétaire. Le château a entièrement brûlé par accident après 1805, alors qu'il était occupé par de nombreuses familles. Le parc et ses statues avait été vandalisé. Il reste de toute cela la Petite Orangerie, une partie du grand commun sur la place, la basse-cour et les caves du château (ailes nord et sud), ainsi que quelques débris de sculptures et vases chez des particuliers à Vrécourt et ailleurs.
  • École et presbytère de 1764.
 
Le camp français et le village de Vrécourt par Abraham Bosse (1634).

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

  • Vrécourt dans les Souvenirs du Comte de Neuilly, p. 23 et suivantes.
  • ''Vrécourt, pages d'histoire'', abbé A.-L. Fontaine, imprimerie de Balan à Sedan, 1922.
  • ''Relation des sièges et du blocus de la Mothe'', N. du Boys de Riocour, présenté par J. Simonnet, Charles Cavaniol, Chaumont, 1861.
  • ''Cahiers de la Mothe n°7'', ''Le château de Vrécourt, quartier général des troupes françaises sous la Mothe'', Antoine de Lavaulx, pp 19 et suivantes.
  • ''Dictionnaire des châteaux de France, Lorraine'', abbé Jacques Choux, Berger-Levrault, 1979, p 242.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Vrécourt » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Sandre, « le Mouzon »
  2. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Vrécourt et Saint-Ouen-lès-Parey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « St Ouen-lès-Parey_sapc », sur la commune de Saint-Ouen-lès-Parey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Henri de Faget de Casteljau, Recherches sur la Maison de Choiseul, 1970.
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vrécourt (88524) », (consulté le ).
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Vosges (88) », (consulté le ).
  23. « Vrécourt (88) - Eglise Saint-Martin (XIIe – XVIIIe siècles) ».
  24. « Eglise Saint-Martin », notice no PA00135702, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 636 à 637
    Présentation des orgues de l'église Saint-Martin à Vrécourt
    .