Villiers-Saint-Orien
Villiers-Saint-Orien | |||||
L'église Sainte-Christine. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Châteaudun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bonnevalais | ||||
Maire Mandat |
Dominique Imbault 2020-2026 |
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Code postal | 28800 | ||||
Code commune | 28418 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
162 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 08′ 03″ nord, 1° 29′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 112 m Max. 144 m |
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Superficie | 15,11 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Châteaudun (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Châteaudun | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Villiers-Saint-Orien est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Géographie modifier
Situation modifier
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Villiers-Saint-Orien dans son arrondissement.
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Carte de la commune de Villiers-Saint-Orien.
Communes limitrophes modifier
Villages et hameaux de la commune modifier
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Villiers-Saint-Orien.
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Godonville.
-
Le Mesnil.
Climat modifier
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 636 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pré-Saint-Évroult à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 592,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme modifier
Typologie modifier
Villiers-Saint-Orien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
La commune de Villiers-Saint-Orien, outre le village éponyme, est composée des lieux-dits et hameaux : Le Larry, Fleuvarville, Le Mesnil, Godonville et Jumainville.
Occupation des sols modifier
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,5 %), forêts (5,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs modifier
Le territoire de la commune de Villiers-Saint-Orien est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].
Risques naturels modifier
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Conie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[15],[13].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[16]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 22,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 121 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 49 sont en aléa moyen ou fort, soit 40 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].
Risques technologiques modifier
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].
Toponymie modifier
La paroisse est mentionnée en 1119 sous le nom de Viller Sancti Orgencii[20].
- Villiers provient du bas latin villare « domaine rural », avec attraction du suffixe -arius qui devient -ier, et avec ajout d'un -s adventice[21] ;
- Saint-Orien est un hagiotoponyme qui fait référence à Orens d'Auch, confesseur du Ve siècle, très honoré en Gascogne au Moyen Âge. On trouve aussi sa trace dans une autre commune d'Eure-et-Loir, à Meslay-le-Grenet, dont il a été le patron paroissial, d'où le nom de l'église Saint-Orien-et-Saint-Blaise[22].
Histoire modifier
Villers-Saint-Orien a été occupé dès la Préhistoire et ses habitants ont laissé des monuments mégalithiques : un dolmen et des polissoirs.
Politique et administration modifier
Liste des maires modifier
Politique environnementale modifier
Population et société modifier
Démographie modifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2021, la commune comptait 162 habitants[Note 3], en diminution de 2,41 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement modifier
Manifestations culturelles et festivités modifier
Économie modifier
Culture locale et patrimoine modifier
Lieux et monuments modifier
Église Sainte-Christine modifier
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Entrée nord-ouest et caquetoire.
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Porte en arc brisé.
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Porte en anse de panier.
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Chevet et vitrail XIXe siècle.
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Vue générale.
Autres lieux et monuments modifier
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Mairie.
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Monument aux morts.
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Plaque, détail du Monument aux morts.
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La plaine de Beauce.
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Arbre mémorial.
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Arbre mémorial, plaque.
Les monuments les plus anciens de la commune sont des mégalithes préhistoriques : un dolmen et des polissoirs sont signalés.
Personnalités liées à la commune[29] modifier
- ALEXANDRE François-Henri (1805 - 1865), curé
- BEAUSSIER Louis Charles ( - ), maître d'école
- BELNOUE Marcel (1887 - 1977), maire
- BILLARD Firmin Chrisostome (1864 - ), instituteur
- BILLAULT Léon Louis ( - ), maire
- BIRE Adrien Marie Pierre (1841 - ), instituteur
- BLOT Jacques ( - ), maire
- BORDIER Edouard Ernest (1865 - ), instituteur
- BRETHEAU Guillaume ( - ), notaire
- BRIOT Robert ( - ), notaire
- CHARDONNEREAU Jacques (1624 - 1704), prêtre curé
- CHARPENTIER Jean ( - ), notaire
- CHARRON Jean ( - ), notaire
- CHARRON Thomas (1654 - 1717), notaire
- CHARRON Thomas (1654 - 1717), notaire
- CHASSANE Isidore Barthelemy (1866 - ), instituteur
- CHASSANE Isidore Barthelemy (1866 - ), instituteur adjoint
- CHAUSSIDIER Louis ( - ), maître d'école
- CHENET Jacques (1730 - 1786), curé
- CHEVREL Jehan ( - ), prêtre vicaire
- CORDAN Jean ( - ), curé
- COURTIN Raymond ( - ), maire
- de MESSI Simon ( - ), curé
- de RIANTZ de VILLERAY Claude ( - ), seigneur de Villiers Saint Orien
- DUBOIS Jean ( - ), curé
- FAINGT André (1596 - 1659), prêtre curé
- GOUGET Eugène Médéric (1843 - 1879), curé
- GRILLON Denis Prosper (1811 - 1887), instituteur
- GRIN Jean ( - ), curé
- GUERRY Pierre Denis (1812 - 1883), curé
- GUILLAUMIN Mary Joseph Moïse (1891 - ), maire
- HETTE François Désiré (1831 - ), instituteur
- IMBAULT Dominique (1953 - ), maire
- LAYE Maurice ( - ), maire
- LE BACLE Louis (1651 - 1727), curé
- LE BACLE Louis (1651 - 1727), Prêtre habitué
- LECHARPENTIER Pierre François (1757 - 1815), curé
- LEJEUNE Albert Auguste (1867 - ), instituteur
- LEMAISTRE Marin ( - ), notaire
- LHUILLERY Jean (1931 - ), maire
- LINEATTE Charles Louis Joseph (1758 - 1829), curé
- LUCAS Jean ( - ), notaire
- LUCAS Jean (1733 - 1788), notaire
- MALHERBE Michel ( - ), curé
- MARAIS Jean (1697 - 1750), curé
- MARAIS Michel (1703 - 1759), notaire
- MAUGER Raymond (1908 - 1990), maire
- MORIZE Pierre Augustin ( - ), maire
- NEVEU Julien Théophile ( - 1928), curé
- PASQUES Pierre ( - 1763), curé
- PAVEE Etienne ( - ), notaire
- PAVEE Jehan (1588 - 1658), notaire
- PAVEE Michel ( - ), notaire
- PAVEE Thomas (1637 - 1687), notaire
- PHILIPPE Aignan Pierre Henri Etienne (1806 - 1863), curé
- PICOT Jean Charles (1787 - ), instituteur
- PREVOST Pierre Laurent (1805 - 1873), curé
- RICOUR Pierre Joseph Alexandre (1828 - ), instituteur
- RIME Pierre ( - ), notaire
- TESSIER Louis Pascal ( - ), instituteur
- TRUBERT Jehan (1569 - 1634), prêtre curé
Voir aussi modifier
Articles connexes modifier
Liens externes modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références modifier
Notes et cartes modifier
Notes modifier
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes modifier
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références modifier
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villiers-Saint-Orien et Pré-Saint-Évroult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pré-Saint-Évroult », sur la commune de Pré-Saint-Évroult - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pré-Saint-Évroult », sur la commune de Pré-Saint-Évroult - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Villiers-Saint-Orien », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Villiers-Saint-Orien », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Guy Villette, Les noms des communes et des anciennes communes d'Eure et Loir, polycopié, Chartres, 1986, p. 418.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35000 noms de lieux, Genève : Droz, 1990-1998, vol. I : Formations préceltiques, celtiques, romanes, 1990, p. 371, notice 5808.
- Rémy Verdo, « L’anthroponyme Orens dans l’onomastique française et espagnole », dans Circulations linguistiques dans les noms propres : onomastique occitane - onomastica occitana [actes du XVIIIe colloque d'onomastique organisé par la société française d’onomastique, Toulouse, 17-19 janvier 2018], dir. Michel Tamine, Paris : L’Harmattan, 2020, p. 433-454.
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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