Vecoux

commune française du département des Vosges

Vecoux
Vecoux
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département 3e circonscription des Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité CC de la Porte des Vosges Méridionales
Maire
Mandat
Jean-Paul Miclo
2020-2026
Code postal 88200
Code commune 88498
Démographie
Gentilé Picosé(e)s
Population
municipale
856 hab. (2021 en diminution de 2,51 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 58′ 47″ nord, 6° 38′ 12″ est
Altitude 408 m
Min. 398 m
Max. 871 m
Superficie 13,6 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Remiremont
(banlieue)
Aire d'attraction Remiremont
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Thillot
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Vecoux
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Vecoux
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Vecoux
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Vecoux
Liens
Site web https://vecoux.fr/fr/

Vecoux est une commune française de moyenne montagne située dans le département des Vosges, en région Grand Est. Elle marque la limite Sud de l'aire urbaine de Remiremont dont elle fait partie.

Ses habitants sont appelés les Picosés. Ce gentilé est partagé avec les voisins de Dommartin-lès-Remiremont.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Vue générale.

La commune française de Vecoux fait partie du Massif des Vosges et occupe le début de la vallée de la Haute Moselle.

Vecoux se trouve une distance de 3 km de Dommartin-lès-Remiremont, 7 de Rupt-sur-Moselle et 11 de Remiremont[1].

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Rupt-sur-Moselle, Dommartin-lès-Remiremont, Thiéfosse et Vagney.

Géologie et relief modifier

La plus grande partie du territoire communal est constituée par la vallée encaissée du Reherrey et les deux massifs forestiers qui l'encadrent[2]. À l'extrême est, le col de Xiard (766 m), ouvrant sur Thiéfosse, n'est pas carrossable.

Le site du Massif vosgien, inscrit au titre de la loi du , regroupe 14 Schémas de cohérence territoriale (SCOT) qui ont tout ou partie de leur territoire sur le périmètre du massif des Vosges[3].

Sismicité modifier

Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée[4].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Vecoux.

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse.

Elle est drainée :

par la Moselle,
le ruisseau de Reherey[5],
le ruisseau de Chaudefontaine[6],
le ruisseau du Thibieu[7]
et le ruisseau le Ravage[8],[9],[Carte 1].

La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[10].

La source thermale de Chaudefontaine émerge à proximité du ruisseau de Chaudefontaine avec une eau à 21 °C[11].

Le Syndicat intercommunal d'assainissement du Haut-des-Rangs couvre un territoire de cinq communes des Vosges : Rupt-sur-Moselle, Vecoux, Dommartin-lès-Remiremont, Saint-Amé, Le Syndicat.

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 726 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 11,3 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vagney », sur la commune de Vagney à 7 km à vol d'oiseau[14], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 472,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,4 °C, atteinte le [Note 1],[15],[16].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[17]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vecoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Remiremont, une agglomération intra-départementale regroupant six communes[22] et 21 248 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Remiremont dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe douze communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,6 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), zones urbanisées (4,2 %), prairies (3,6 %)[27].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Planification de l'aménagement modifier

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[28].

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 471, alors qu'il était de 458 en 2013 et de 450 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 6,8 % des résidences secondaires et 7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 74,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 25 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vecoux en 2018 en comparaison avec celle des Vosges et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,8 %) inférieure à celle du département (9,7 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76 % en 2013), contre 64,2 % pour les Vosges et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Vecoux en 2018.
Typologie Vecoux[I 1] Vosges[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 86,2 79 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,8 9,7 9,7
Logements vacants (en %) 7 11,3 8,2

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

 
Place des Martyrs de la Résistance devant la gare de Remiremont.

Les communes limitrophes de Vecoux sont principalement Dommartin-lès-Remiremont au nord et à l'ouest, et Rupt-sur-Moselle au sud ; à l'est, Vagney et Thiéfosse partagent chacune quelque 500 m avec elle. Le village est bâti selon deux axes, la D 35 dans le sens nord-sud et la D 35A qui le relie à la nationale 66 en 2×2 voies à un kilomètre à l'ouest.

Transports en commun modifier

La commune est desservie par le réseau régional de transports en commun "Fluo Grand Est"[29].

La station de chemin de fer la plus proche est la Gare de Remiremont, où se trouve également une gare routière[30].

La voie verte des Hautes-Vosges emprunte le parcours de la voie déclassée de la ligne SNCF Remiremont-Bussang.

Risques naturels et technologiques modifier

Commune située dans une zone de sismicité modérée[31].

Toponymie modifier

Le nom du village, Vescouz, est attesté dès 1296[32].

Les habitants sont appelés les Picosés comme leurs voisins de Dommartin (cependant le nom complet des habitants de Vecoux est Picosés Sauvages ce qui les différencie de ceux de Dommartin) car il est dit que, pendant la guerre de Trente Ans, les paroissiens affamés de Dommartin se sont nourris d'oseille qu'ils allaient cueillir à Celles, sur la commune de Saint-Amé. Ils reçurent alors le surnom de « Pic'oseille » qui a subi quelques modifications jusqu'à nos jours[33].

Histoire modifier

Par décret du , les deux sections de Vecoux et de Reherrey sont, sur leur demande et en raison de leur éloignement du centre du village, érigées en commune sous le nom de Vecoux[34].

La commune est issue du Ban de Longchamp dont la seigneurie était au chapitre de Remiremont qui englobait toutes les communautés de la vallée de la Moselle. À la suite d'une décision prise par l'assemblée provinciale de Lorraine, réunie à Nancy en 1787, on mit en place, en 1788, les municipalités rurales. On créa ainsi au ban de Longchamp, la commune de Dommartin, regroupant les quatre communes de Franould, la Poirie, Vecoux et Reherrey. Au spirituel, la commune dépendait de l’église de Dommartin, doyenné de Remiremont[35].

Le village de Vecoux est axé sur le ruisseau de Reherrey, affluent de la rive droite de la Moselle.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Épinal du département des Vosges.

Elle faisait partie depuis sa création en 1858 du canton de Remiremont[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Thillot

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription des Vosges.

Intercommunalité modifier

Vecoux était membre de la communauté de communes de la Porte des Hautes-Vosges, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes de la Porte des Vosges Méridionales, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1880 1884 Auguste Antoine   Industriel en textile
         
août 1942[36]   Henri Andreux[37]   Président des anciens combattants de 14-18
Président de la délégation spéciale instituée par le Gouvernement de Vichy
         
1963 1981 René Antoine   Agriculteur (Gendarme retraité)
mars 1983 juin 1995 Marc Defranoux SE  
juin 1995 mars 2008 Danièle Hossenlopp (né en 1950)   Secrétaire de direction
Mars 2008 Juillet 2020 Martial Mange   Agent SNCF en retraite
juillet 2020[38],[37] En cours
(au 26 septembre 2023)
Jean-Paul Miclo SE Agriculteur en retraite, petit-fils de Henri Andreux

Finances communales modifier

Budget et fiscalité 2022 modifier

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[39] : Pour 895 habitants.

  • Total des produits de fonctionnement : 678 000 , soit 771  par habitant
  • Total des charges de fonctionnement : 668 000 , soit 760  par habitant
  • Total des ressources d'investissement : 250 000 , soit 284  par habitant
  • Total des emplois d'investissement : 147 000 , soit 167  par habitant
  • Endettement : 465 000 , soit 529  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 12,13 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 42,14 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 34,48 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 650 [40].

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

Établissements d'enseignements[41] :

  • école maternelle ;
  • école primaire ;
  • collèges à Rupt-sur-Moselle, Vagney, Remiremont ;
  • lycées à Remiremont.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[42] :

  • médecins à Dommartin-lès-Remiremont, Remiremont, Saint-Étienne-lès-Remiremont ;
  • pharmacies à Dommartin-lès-Remiremont, Remiremont, Saint-Étienne-lès-Remiremont ;
  • centre hospitalier de Remiremont.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1856. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].

En 2021, la commune comptait 856 habitants[Note 4], en diminution de 2,51 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
8899438048638908729941 1051 155
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 2671 1239531 0141 004879855912743
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
6796798791 0301 0971 0131 001914870
2021 - - - - - - - -
856--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes modifier

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

De l’agriculture d’autrefois ne subsistent que deux exploitations, dont une biologique, préservant la ruralité du village.

Tourisme modifier

Commerces et services modifier

  • Des entreprises petites et moyennes et de nombreux artisans constituent le tissu économique. La plus grande entreprise est une fabrique d'emballages plastiques[53].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Étienne Augustin Vadet[62],[63], né à Arcis-sur-Aube le et mort à Vecoux le . Monté de Arcis-sur-Aube à Paris début 1792 avec Danton dont il était apparenté pour un poste au ministère de la justice, il s'engage au 16ème régiment de chasseurs à cheval[64]. Il devient chef d'escadron, chevalier de la légion d'honneur, chevalier puis baron de l'Empire[65]. Il est obligé de renoncer à la carrière des armes le à Essling, après avoir reçu une balle autrichienne qui n'a pas pu être enlevée. Il reçoit de l'empereur, en guise de retraite, une place dans l'administration des tabacs à Epinal, tandis que son frère reçoit la même charge à Remiremont[64].
  • Son frère Pierre Germain Vadet, gendre de Jean-Charles Pellerin et beau-frère de Nicolas Pellerin, imagiers d'Épinal, sous-officier dans le même régiment, a la jambe droite emportée le sur le même champ de bataille.
  • Un troisième frère, Augustin Vadet, fonde à Vecoux, en 1827, un tissage à bras qui emploiera jusqu'à 110 personnes sur les communes du Syndicat, Dommartin et Vecoux, dans des petits ateliers et dans les fermes. Augustin et Étienne Augustin Vadet reposent au cimetière du village.
  • Gisèle Laheurte, née le 21 mai 1918 à Vecoux : grande figure de la Résistance au sein du réseau Alliance pendant la seconde guerre mondiale[66]. Elle s'installe à Essert dans le Territoire de Belfort après son mariage avec Jacques Décamps où elle meurt à cent ans le [67],[68]. Après des obsèques religieuses à Essert, elle est enterrée au cimetière de Couthenans[69] dans la Haute-Saône, village de son enfance. Elle est la mère de Christian Décamps et de Francis Décamps, fondateurs du groupe de rock progressif français Ange.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Vecoux » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022)..
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. Itinéraires.
  2. Présentation physique et géographique de Vecoux.
  3. Le schéma interrégional du massif des Vosges à l'horizon 2020 : un projet de développement durable, une ambition pour le massif.
  4. Informations sur les risques naturels et technologiques
  5. Ruisseau de Reherey.
  6. Ruisseau de Chaudefontaine.
  7. Ruisseau du Thibieu.
  8. Ruisseau le Ravage.
  9. « Fiche communale de Vecoux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  10. Sandre, « la Moselle ».
  11. Caractéristiques de quelques sources thermales secondaires des Vosges : Source de Chaude Fontaine, p. 2 et 3.
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Vecoux et Vagney », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Vagney », sur la commune de Vagney - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Vagney », sur la commune de Vagney - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Unité urbaine 2020 de Remiremont », sur insee.fr (consulté le ).
  23. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Remiremont », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. Plan local d'urbanisme, sur Géoportail de l'urbanisme
  29. Fluo Grand Est
  30. Gare routière de Remiremont
  31. Accueil > Politiques publiques : Informations des acquéreurs et locataires (IAL); Liste des communes couvertes par un (PPR) ou classées en zone sismique, radon ou SIS
  32. La première mention de « Vecoux » apparaît "VESCOUZ" en 1296
  33. Au pays de la randonnée, les Picosés
  34. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Archives communales de Vecoux (1609-1992)
  36. « Conseils municipaux - délégations spéciales », Journal officiel de l’État français, no 188,‎ , p. 2715 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  37. a et b « Vecoux – Jean-Paul Miclo élu maire avec trois adjoints », RemiremontVallées.com,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Paul Miclo succède à Martial Mange, maire depuis 2008, qui ne se représentait pas ».
  38. « Jean-Paul Miclo emmène l’équipe de « Construisons l’avenir de Vecoux » », Vosges Matin,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il ne voulait pas laisser Vecoux sans maire. Alors Jean-Paul Miclo, agriculteur à la retraite de 65 ans a réuni des villageois pour monter une équipe et briguer la mairie ».
  39. Les comptes de la commune
  40. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  41. Établissements d'enseignements.
  42. Professionnels et établissements de santé.
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Paroisse Saint-Amé des 3 vallées
  47. Sentiers de randonnées
  48. Association
  49. Gîtes ruraux
  50. Chambres d'hôtes
  51. Restaurant
  52. Restaurants à Vecoux
  53. Vie économique
  54. Église Saint-Louis de Vecoux : Inauguration de l’orgue reconstruit par Jean-Christian Guerrier
  55. Vecoux, Inventaire de l'orgue de l'église Saint Louis
  56. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 622 à 624
    Présentation des orgues de l’église Saint-Louis de Vecoux
    .
  57. De 1923 à 1944, L'organiste de La Bresse, Camille Amet vint à Thiéfosse après la déportation. Son fils Marc, élève de l'École Niedermeyer de Paris, fut victime de la guerre
  58. Vitrail patriotique
  59. Monument aux morts
  60. Plaque commémorative
  61. Sentier de la Mémoire. Stèles et lieux à Gérardmer
  62. Source : Albert Ronsin (dir.), Les Vosgiens célèbres, Ed. G. Louis, 1990
  63. Jean-Marie Thiébaud, Les corps francs de 1814 et 1815 : la double agonie de l'empire, les combattants de l'impossible, Paris, L'Harmattan, 713 p. (ISBN 978-2-901952-82-4, lire en ligne).
  64. a et b « La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne] », sur Gallica, (consulté le ).
  65. Armoiries : D'azur au cor de chasse d'or, traversé en pal d'une épée haute du même, et accompagné de six molettes d'argent, trois à dextre, trois à sénestre, l'une sur l'autre ; champagne de gueules du tiers de l'écu, au signe des chevaliers.
    Source
    « BB/29/972 page 110. », Titre de chevalier accordé à Étienne, Augustin Vadet, à la suite du décret du le nommant membre de la Légion d'honneur. Trianon (). État civil du bénéficiaire Né le à Arcis-sur-Aube., sur chan.archivesnationales.culture.gouv.fr, Centre historique des Archives nationales (France) (consulté le )
    Chevalier de l'Empire - Lettres patentes 03.08.1810,
    Baron de l'Empire - Lettres patentes 10.08.1812.
  66. Le massacre du réseau Alliance (01 et 02 septembre 1944)
  67. « Haute-Saône - Anniversaire. Gisèle Decamps, résistante et centenaire », sur estrepublicain.fr (consulté le ).
  68. « matchID - Moteur de recherche des personnes décédées », sur deces.matchid.io (consulté le ).
  69. « Espace de Recueillement de Madame Gisèle DECAMPS », sur libramemoria.com (consulté le ).