Vaulx (Pas-de-Calais)

commune française du département du Pas-de-Calais

Vaulx
Vaulx (Pas-de-Calais)
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Claude Bruhier
2020-2026
Code postal 62390
Code commune 62838
Démographie
Population
municipale
90 hab. (2021 en diminution de 2,17 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 06″ nord, 2° 05′ 52″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 131 m
Superficie 4,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives Première circonscription
Localisation
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Vaulx
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Vaulx
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Vaulx
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Vaulx

Vaulx est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 4,92 km2 ; son altitude varie de 35 à 131 mètres[1].

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Paysages modifier

La commune s'inscrit dans le milieu du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[3].

Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70 % en culture[4].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 839 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 16 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie. Cette ZNIEFF de la moyenne vallée de l’Authie comprend une organisation paysagère régulière avec le fond de vallée humide, des versants calcaires, pentes boisées et hauteurs cultivées[11].

 
Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vaulx est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,3 %), prairies (35,3 %), zones urbanisées (5,4 %), forêts (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Valles en 830 ; Vaus en 1137 ; Vals en 1142 ; Waux en 1179 ; Vuals au XIIe siècle ; Waus en 1345 ; Waulx au XVIIIe siècle[18].

Variante de vaux, pluriel de val, vallée étroite, espace de terre resserré entre deux coteaux.

Histoire modifier

Le village faisait partie au Moyen Âge des « enclaves de France en Artois » disposait à ce titre en 1627 de son propre droit coutumier et n'était pas soumis aux impôts de l'Artois. Ce privilège cessa en 1743, à la suite d'un arrêt du Conseil concernant les enclaves d'Artois et de Picardie.

Rattaché alors à la province d'Artois, le village relevait du bailliage et de la coutume d'Hesdin, tout en relevant directement, comme enclave de France en Artois, du Conseil de cette province[19].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune faisait partie de la petite communauté de communes de l'Auxillois créée fin 1998.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], le préfet du Pas-de-Calais a publié le un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[21]. À l'initiative des intercommunalités concernées[22], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le un amendement à ce projet, proposant la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[23] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants ;
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants.

Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [24],[25] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [26].

Circonscriptions administratives modifier

La commune fait partie depuis 1793 du canton d'Auxi-le-Château[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui intègre toujours la commune, s'accroit et passe de 26 à 84 communes.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, La commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1995 Rémi Delabroye    
juin 1995 En cours
(au 8 avril 2022)
Claude Bruhier   Retraité de l’Éducation nationale
Réélu pour le mandat 2014-2020[28],[29],[30]
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 90 habitants[Note 4], en diminution de 2,17 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
315283299340374380372391400
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
365349374365347269246247223
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
201201204198188178165167168
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1481291181038383899282
2014 2019 2021 - - - - - -
939090------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 46 hommes pour 44 femmes, soit un taux de 51,11 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,3 
17,4 
75-89 ans
9,1 
23,9 
60-74 ans
20,5 
15,2 
45-59 ans
20,5 
10,9 
30-44 ans
20,5 
13,0 
15-29 ans
6,8 
19,6 
0-14 ans
20,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie modifier

En 2016, le village conserve six exploitations agricoles en activité[27].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Le monument aux morts.

Monument historique modifier

La commune dispose d'un monument historique sur son territoire : La chapelle Saint-Roch ou chapelle du cimetière, du XVIIe siècle, sur la RD 121 : inscription aux monuments historiques par arrêté du [38], ce qui permit la restauration complète de l'édifice. La chapelle est précédée par un large porche en bois, qui abrite la dalle funéraire de Joseph Puchelle, ancien curé de Vaulx, né à Marconne le , est mort dans le village le .

Lors de la Révolution française, la chapelle fut vendue en 1793 comme bien national à Placide Bulté, qui devait la démolir, mais en fut empêché par les femmes du village avec à leur tête Devisme dite Mijuin[39].

Autres lieux et monuments modifier

Patrimoine culturel modifier

Le village est labellisé « village patrimoine » en 2016 par le Pays d'Artois, ainsi que Bullecourt, Étrun, Hermaville, Mont-Saint-Éloi, Pas-en-Artois, Savy-Berlette et Thélus[41].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de Vaulx se blasonnent ainsi :
d'or à la bande d'azur.

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

Article connexe modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Vaulx et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013733 - La moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 380.
  19. « Un peu d'histoire… », L'Abeille de la Ternoise, no 8584,‎ , p. 27.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  22. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  23. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  24. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  25. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  26. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  27. a et b Julien Leveque, « Claude Bruhier : un enfant du village », L'Abeille de la Ternoise, no 8584,‎ , p. 27.
  28. « Au bilan de Claude Bruhier, à Vaulx, « l’église et son clocher réparés » : Claude Bruhier est entré au conseil municipal de cette commune de 85 habitants en 1989 avant d’en être élu maire six ans plus tard. Retraité de l’Éducation nationale, il ne sait pas encore s’il se représentera : « Tout dépendra de ce qui peut se passer d’ici mars 2014. » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  30. « Vaulx-lès-Auxi – 10 % d’habitants en plus mais 10 % de ressources en moins : Claude Bruhier entame son quatrième mandat. Depuis sa réélection, les travaux de renforcement de la voirie se poursuivent dans le village : une nécessité. Le point avec lui sur les perspectives communales. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vaulx (62838) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  38. « Chapelle Saint-Roch ou chapelle du cimetière », notice no PA00108436, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. a et b J.L., « La chapelle Saint-Roch », L'Abeille de la Ternoise, no 8584,‎ , p. 27.
  40. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  41. « Artois : huit villages labellisés « village patrimoine », L'Abeille de la Ternoise, no 8581,‎ , p. 9.