Vallière

commune française du département de la Creuse
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Vallière
Vallière
Le bourg de Vallière.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Grand Sud
Maire
Mandat
Valérie Bertin
2020-2026
Code postal 23120
Code commune 23257
Démographie
Gentilé Valliérois, Valliéroises
Population
municipale
714 hab. (2021 en diminution de 3,9 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 54′ 25″ nord, 2° 02′ 06″ est
Altitude Min. 488 m
Max. 708 m
Superficie 48,42 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Aubusson
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Felletin
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Vallière
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Vallière
Liens
Site web www.mairie-valliere.fr

Vallière est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Jusqu'en 1996, son nom était orthographié Vallières.

Géographie modifier

Généralités modifier

 
La Banize au pont de la RD 16.

Dans la moitié sud du département de la Creuse, dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin, la commune de Vallière s'étend sur 48,42 km2. Elle est arrosée par la Beauze et par le Taurion et son affluent la Banize.

L'altitude minimale 488 mètres se trouve dans l'ouest, au sud-ouest du lieu-dit Confolent, là où le Taurion quitte la commune et entre dans celle de Banize. L'altitude maximale avec 708 mètres est située dans le sud-est, au lieu-dit la Rode[1].

À l'intersection des routes départementales (RD) 7, 10, 16 et 36, le bourg de Vallière est situé, en distances orthodromiques, à onze kilomètres à l'ouest-sud-ouest d'Aubusson.

Le territoire communal est également desservi par les RD 37 et 59.

Le GR 46 traverse le territoire communal dans l'ouest sur environ quatre kilomètres, passant au lieu-dit Lavaud Hugier.

Communes limitrophes modifier

Vallière est limitrophe de sept autres communes.

Vers l'ouest, son territoire est distant d'une cinquantaine de mètres de celui de Chavanat et vers le nord-est, de moins de 500 mètres de celui de Blessac.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 202 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Felletin à 11,02 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 969,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vallière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubusson, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,9 %), prairies (36,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %), zones urbanisées (0,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Vallière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vallière.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 40,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 616 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 158 sont en aléa moyen ou fort, soit 26 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Lavaud-Gelade, un ouvrage sur le Taurion de classe A[Note 3] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 17,4 millions de mètres cubes[20]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[21].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Vallière est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Toponymie modifier

 
Panneau routier avec l'ancienne orthographe.

Le nom de la commune est modifié par décret en 1996 : Vallières devient Vallière[23].

Histoire modifier

À l’époque moderne, Vallières (ancienne orthographe) est situé sur la route de Limoges à Lyon, ce qui assure une certaine prospérité. Au XVIIIe siècle, les tapisseries d’Aubusson détournent le flux commercial ce qui provoque l’abandon de l’itinéraire ancien[24].

Louise du Pouget de Nadaillac, fille de François IV du Pouge, marquis de Nadaillac et de Françoise de Douhet, baronne de Saint-Pardoux, épouse de Joseph de La Roche-Aymon, seigneur de la Farge, est enterrée dans l'église de Vallière le .

Dans les premières années de la Révolution, la commune de Vallières absorbe quatre autres communes : Essarteau, Montoursy, Pimpérigeas et La Vau d'Ugier[25]. En 1814, son territoire s'agrandit encore avec la fusion de Saint-Séverin[25].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1981 ? Maurice Juillet    
mars 2001 mars 2008 Yves Chamfreau RPR puis UMP Professeur agrégé
Conseiller général du canton de Felletin (1994-2015)
mars 2008
(réélue en mai 2020)
En cours Valérie Bertin[26] UMP-LR Salariée du secteur médical
Présidente de la communauté de communes Creuse Grand Sud depuis 2020

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 714 habitants[Note 4], en diminution de 3,9 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9981 7642 1832 4282 4612 3802 3242 2502 375
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2312 1762 2102 2122 2662 2512 4142 6912 610
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5482 5482 2951 8541 7231 4811 4531 3801 215
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 126994940885814774752772729
2021 - - - - - - - -
714--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Martin des XIIIe et XVe siècles est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1942[30]. L'église possède une cuve de bénitier d'époque romane inscrite au titre des monuments historiques[31] et un orgue de tribune du XIXe siècle classé en 1981[32],[33]. Sur les clefs de voûte figurent les armes de la famille des d'Aubusson : une rose stylisée, symbole de la Vierge et un agneau représentant le Christ immolé. À l'extérieur, de chaque côté du portail, sont exposés un lion sculpté en granit — classé en 1964 au titre des monuments historiques[34] — et un sarcophage. Le lion en granit se situait autrefois à l'entrée du cimetière.
  • Le château de Ganne.
  • Le château du Plat, ancien centre de vacances.
  • Le château de Sourliavou.
  • Le château de la Villeneuve.
  • La fontaine de Pierre d'Aubusson, érigée devant l'église en 1868.
  • Le pont des poupées est un ancien petit pont se situant au nord de Vallière près du bois Boucher. Un parcours aménagé par la commune permet d'y accéder et d'y pique-niquer.
  • La Farge, ancienne baronnie dont le château était déjà entièrement ruiné à la fin du XVIIe siècle[35].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Antonin Desfarges (1851-1941) est mort à Vallières. Il commence sa carrière professionnelle comme maçon de la Creuse, puis petit entrepreneur. Il milite dans les organisations ouvrières entre 1867 et 1871. En 1871, il est arrêté pour sa participation à la Commune de Paris. Il réussit à s'évader. En 1882, il est conseiller des Prud'hommes de Paris, il y représente la corporation des maçons, enfin il sera le président du Conseil du bâtiment. En 1889, il se désiste aux élections législatives en faveur de Martin Nadaud. Puis il sera député de la Creuse pendant 17 ans de 1893 à 1910[36].
  • Pierre Juillet (1921-1999), conseiller du président de la République Georges Pompidou, est né et décédé à Puy-Judeau, lieu-dit de la commune de Vallière.
  • Nathalie Baye y posséda une maison qu'elle a souvent habitée avec Johnny Halliday entre 1982 et 1986[réf. nécessaire].

Photothèque modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

  • Zénon Toumieux, « La Baronnie de La Farge », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. XII,‎ , p. 647-699, lire en ligne sur Gallica

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « 708 » sur Géoportail (consulté le 16 juillet 2018)..
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Vallière et Felletin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Felletin » (commune de Felletin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Felletin » (commune de Felletin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Vallière », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vallière », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. Article R214-112 du code de l’environnement
  20. « barrage de Vassiviere », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. Décret no 96-706 du 7 août 1996 publié au Journal officiel no 186 du 10 août 1996, pages 12182
  24. Abel Chatelain, « La formation de la population lyonnaise : l'apport d'origine montagnarde (XVIIIe – XXe siècles) », Revue de géographie de Lyon. Vol. 29 n°2, 1954. p. 94.
  25. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Eglise Saint-Martin », notice no PA00100215, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 juillet 2018.
  31. « cuve de bénitier », notice no PM23000938, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 juillet 2018.
  32. « orgue de tribune », notice no PM23001070, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 juillet 2018.
  33. « orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue », notice no PM23000203, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 juillet 2018.
  34. « statue (petite nature) : Lion », notice no PM23000202, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 juillet 2018.
  35. Zénon Toumieux, « La Baronnie de La Farge (suite) », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. XIII,‎ , p. 25-82, lire en ligne sur Gallica.
  36. Assemblée Nationale