Val-de-la-Haye

commune française du département de la Seine-Maritime

Val-de-la-Haye
Val-de-la-Haye
La Colonne Napoléon.
Blason de Val-de-la-Haye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Pascal Delaporte
2020-2026
Code postal 76380
Code commune 76717
Démographie
Population
municipale
708 hab. (2021 en augmentation de 1,29 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 43″ nord, 1° 00′ 10″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 119 m
Superficie 10,16 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Canteleu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web valdelahaye.fr

Val-de-la-Haye est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie modifier

Situation modifier

Le village est situé sur la rive droite de la Seine, au sud de la forêt de Roumare.

Jusqu'en 2015, la commune faisait partie du canton de Grand-Couronne. Elle fait maintenant partie du canton de Canteleu.

Communes limitrophes modifier

Voies de communication et transports modifier

Un bac permet de traverser la Seine et de rejoindre Petit-Couronne.

Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont, en amont, le pont Gustave-Flaubert à Rouen et, en aval, le pont de Brotonne entre Caudebec-en-Caux et Saint-Nicolas-de-Bliquetuit.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 780 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Val-de-la-Haye est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[11] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (81,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %), zones urbanisées (4,1 %), eaux continentales[Note 3] (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Vallem de la Haia en 1203, Vallis Haie vers 1240, Vallis Haie en 1246, Sanctus Johanes de Valle Haye en 1282, Saint Johan du Val de la Haie en 1403[17], Vau de la Haye en 1403, Paroisse Saint Jehan du Val de la Haye en 1405[18], et en 1465, Saint Jean du Vau de la haie en 1489[19], Saint Jehan du Val de la Haie en 1431, Saint Jean Baptiste du Val de la Haye en 1717 [20], Val de la Haye en 1715 et en 1757 (Cassini)[21],

Le village est situé dans la vallée[Note 4] de la Seine au pied de la forêt de Roumare, le mot haye ayant eu jadis le sens de « lisière de bois »[22].

Histoire modifier

Il reste une grange dîmière qui daterait de la fondation de Sainte-Vaubourg soit du XIIe siècle.

Histoire moderne

Le , la dépouille de Napoléon Bonaparte de retour de Sainte-Hélène est transbordée du navire la Normandie vers le vapeur la Dorade 3, en présence du prince de Joinville, du préfet Henri Dupont-Delporte, du général Teste et du maire de Rouen, Henry Barbet.

Les Templiers et les Hospitaliers modifier

Jouxtant Val-de-la-Haye (également orthographié à cette époque « Val de la Haie »), la Maison du Temple de Sainte-Vaubourg, située à Val-de-la-Haye, à deux lieues de Rouen, devait sa fondation à Henri II roi d'Angleterre, duc de Normandie et d'Aquitaine, comte d'Anjou. Ce souverain, par ses lettres qui paraissent avoir été rédigées vers l'année 1173, et dont il demeure une copie aux archives de la bibliothèque nationale, fait savoir à l'archevêque de Rouen, aux évêques, abbés, comtes, barons, vicomte et autres officiers, ainsi qu'à tous ses sujets de Normandie, qu'il a donné en pure aumône aux frères du Temple la maison de Sainte-Vaubourg, « domum Sancte Vaburge », qui lui provenait du roi Henri, son aïeul, avec la terre et le bois en dépendant, et cela du consentement et avec l'approbation de l'abbé et des religieux du couvent du Bec.

Les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem possédaient, au commencement du XIIIe siècle, un domaine près de Sainte-Vaubourg et de Val-de-la-Haye. Ce domaine leur provenait de nobles damoiselles Gillette et Marsillie de Godoceles qui, par leurs lettres du mois de , dont il nous reste un vidimus, avaient déclaré donner à la maison de l'Hôpital de Jérusalem leur ville de Godocèles, savoir : l'assise de la dite ville, « sessionem predicte ville », depuis le jardin de Thomas de Coupigny, jusqu'à la terre du Val-de-la-Haye, « usque ad terram del Val de La Haye », et la moitié de la dîme de la même ville, pour laquelle Hugo de Cagny, dans le fief duquel elle se trouvait, avait reçu des Hospitaliers soixante sols, un cheval et deux vaches.

Cette donation comprenait en outre la terre nécessaire pour l'habitation de cinquante hôtes, à raison de huit journaux pour chacun d'eux, avec un jardin et le fonds de leur maison qui devait avoir 40 pieds de longueur sur autant de largeur ; chaque maison devant être chargée d'une redevance de douze beauvoisis, de deux pains, de deux chapons, et de deux mines d'avoine à remettre a l'Hôpital chaque année aux termes de la Saint-Remi et de la Noël.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1840   Lefèvre Flacardoux    
1864 1875 Raoul Fizeaux de La Martel    
1902   Rioult    
1926   Louis Michon    
1930 1944 Henri Chivé   Entrepreneur de TP
1956   Max Lemercier    
    Maurice Chéron    
1967   Fernand Séligman    
    Claude Adam    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Maurice Seminel[23] dvd Directeur d’usine à la retraite
Vice-président de l'Agglomération de Rouen (2001 → 2008)
mars 2008] juillet 2020[24] Étienne Hébert   Employé
juillet 2020[25],[26] En cours
(au 10 août 2020)
Pascal Delaporte   Directeur commercial

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 708 habitants[Note 5], en augmentation de 1,29 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
775700707595602601552519519
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
497478468385384393417382367
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
359331372397370437434582765
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
729754669715805789751746716
2017 2021 - - - - - - -
710708-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Parti : au 1er mi-parti de gueules à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'azur à la barque au naturel mouvant du flanc, sur une mer fascée-ondée de huit pièces d'argent et d'azur, amarrée par une corde d'argent en barre mouvant de la partition, et surmontée d'une aigle impériale française d'or empiétant un foudre d'argent ; le tout enclos dans une filière d'or ; à l'épée d'argent garnie au naturel, la garde pommetée d'or chargée d'un carré en losange d'argent surchargé d'un tourteau inscrit de gueules à la croix de Malte d'argent, brochant sur la partition[36].



Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Albert Tougard, Quelques notes sur la chapelle et la commanderie de Sainte-Vaubourg, au Val-de-la-Haye, près Rouen, Rouen, E. Cagniard, 1873.
  • Dominique Bussillet et Fabien Persil, Seine du passé : promenade littéraire et picturale au fil de la Seine de Rouen au Val de La Haye, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, , 115 p. (ISBN 978-2-85480-689-2 et 2854806891, OCLC 45591057)
  • B.-L. Delouvier, « Sainte-Vaubourg par la grâce du duc de Normandie », Itinéraires de Normandie, no 9,‎ (ISSN 1950-9324)
  • Frédéric Épaud, De la charpente romane à la charpente gothique en Normandie, CRAHM, 2007 (ISBN 978-2-902685-39-4) p. 553-563
  • Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe siècle au début du XVIe siècle, Paris, éditions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).
  • Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen : De Maromme à Ymare, vol. 2, Rouen, Éd. des Falaises, , 512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9), p. 488-497.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Un Val est une forme de relief au sens plus restreint que celui de la vallée.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Val-de-la-Haye et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267.
  18. Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen. Reg. 11 f. 48.
  19. Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen.
  20. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 741.
  21. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 1012.
  22. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, 1979, p. 158.
  23. « L’association Le Mesnil-Esnard 2020 se positionne en vue des prochaines municipales : La liste qui émane de l’association Le Mesnil-Esnard 2020, s’étoffe petit à petit. Ses deux meneurs rêvent de redonner à leur commune son standing », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le second, directeur d’usine à la retraite, fut maire du Val-de-la-Haye jusqu’en 2008 ainsi que vice-président en charge des petites communes à l’Agglo de Rouen ».
  24. « Étienne Hébert, maire de Val-de-la-Haye, ne se représentera pas en 2020 : Étienne Hébert, élu en mars 2008, a annoncé qu’il ne briguerait pas un troisième mandat en 2020 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Municipales à Val-de-la-Haye : Pascal Delaporte mène la liste « Val Horizons » », Paris-Normandie,‎ (Pascal Delaporte, 56 ans, mène une liste « Val Horizons » pour insuffler des projets valorisant les atouts du village, consulté le ).
  26. « Municipales 2020. Pascal Delaporte élu maire de Val-de-la-Haye : L’ancien maire Étienne Hébert a remis les clés de la mairie à son successeur lors du conseil municipal à Val-de-la-Haye », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Ancienne commanderie de Sainte-Vaubourg », notice no PA00101073, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Notice no IA00021572, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Notice no IA00021561, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Notice no IA00021562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Sirot 2007, p. 71.
  36. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).