Valérie Trierweiler

journaliste française
(Redirigé depuis Valérie Trieweiler)

Valérie Trierweiler
Valérie Trierweiler en 2012.
Valérie Trierweiler en 2012.
Compagne du président de la République française
 – 
(1 an, 8 mois et 10 jours)
Président François Hollande
Prédécesseur Carla Bruni-Sarkozy (épouse)
Successeur Brigitte Macron (épouse)
Biographie
Nom de naissance Valérie Massonneau
Date de naissance (59 ans)
Lieu de naissance Angers, Maine-et-Loire
France
Nationalité Française
Conjoint Frank Thurieau
(1989-1992)
Denis Trierweiler
(1995-2010)
François Hollande
(2005-2014)
Université Université Panthéon-Sorbonne
Profession Journaliste politique, animatrice de télévision
Signature de Valérie Trierweiler

Valérie Trierweiler, née Valérie Massonneau le à Angers, est une journaliste et animatrice de télévision française. Anciennement membre de la rédaction de Paris Match, elle présente entre 2005 et 2011, des émissions politiques sur la chaîne de télévision Direct 8.

Entre 2005 et 2014, elle partage sa vie avec François Hollande, élu président de la République française en 2012.

Biographie modifier

Enfance, famille et études modifier

Née à Angers[1], dans le quartier de la Roseraie[2], Valérie Massonneau, issue d'une famille modeste, est la cinquième d'une famille de six enfants[3].

Après avoir vécu dans la tour Chaptal de la cité du quartier du Grand-Pigeon[4], la famille Massonneau s'installe rue de Champagne en 1969, dans un lotissement pavillonnaire HLM proche du quartier de Monplaisir[5]. Son père, Jean-Noël Massonneau, invalide civil de guerre après avoir perdu une jambe à cause d’un éclat d’obus en 1944 à l'âge de 12 ans[6],[7], meurt quand elle a 21 ans[8]. Banquiers, son grand-père et son arrière-grand-père ont été des associés de la banque angevine J. Bordier Fils, Massonneau et Cie, vendue en 1950 au Crédit de l'Ouest[5]. Elle dit ne pas en avoir hérité de fortune[6] et déclare avoir découvert cette partie de son histoire familiale seulement en 2012, pendant la campagne présidentielle, grâce aux investigations du quotidien Ouest-France[9],[Note 1]. Après la mort de son père, sa mère travaille comme hôtesse d'accueil à la patinoire d'Angers[3].

Valérie Massonneau suit sa scolarité successivement à l'école Paul-Valéry, au collège Jean Lurçat et au lycée Joachim-du-Bellay d'Angers, où elle obtient un baccalauréat littéraire en 1983, avant de poursuivre ses études à l'université de Nanterre[10], en région parisienne, puis à l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne[5] où elle suit des cours d'histoire[3] puis de sciences politiques. Elle obtient le DESS de communication politique et sociale de l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne en 1988[1].

Après avoir divorcé de Frank Thurieau, un ami de jeunesse qu'elle avait épousé en 1989, Valérie Massonneau épouse Denis Trierweiler[11] en 1995. Celui-ci est secrétaire de rédaction à Paris Match[12], auteur, universitaire, traducteur, germaniste et spécialiste du philosophe Hans Blumenberg[13],[14]. Ils auront trois fils, Anatole, né en 1992, Lorrain, né en 1995 et Léonard, né en 1997[15]. Une procédure de divorce est engagée en 2007[16]. Elle garde l'usage du nom de son mari après leur divorce[17],[18],[19] prononcé en 2010[16].

À partir d'[20],[21],[22],[23],[Note 2], elle entretient une relation avec François Hollande qu'elle a rencontré dans un contexte professionnel lors des élections législatives de 1988. Hollande envisage de se présenter à l'élection présidentielle de 2007, mais y renonce[24]. En , il rend publique leur liaison pour la première fois[25].

Carrière journalistique modifier

Après l'obtention de son DESS en 1988, Valérie Trierweiler collabore à la revue Profession politique, pour laquelle travaille aussi le journaliste de TF1 Gérard Carreyrou. En 1989[5], Roger Thérond l'engage à Paris Match[7], où elle couvre des sujets politiques et suit notamment le Parti socialiste[26]. En 2005, Paris Match l'écarte de la rubrique politique en la nommant grand reporter, un titre « fictif »[27] car la rédaction lui demande de se consacrer uniquement à la critique littéraire.

À partir de 2005, au lancement de la chaîne Direct 8 par le groupe Bolloré, elle présente l'émission hebdomadaire en direct Le Grand 8, première émission politique de Direct 8 — initialement en compagnie de Dominique Souchier[1] puis seule —, qui propose des rendez-vous politiques, notamment sous forme d'entretiens.

À partir de , elle coanime, avec Mikaël Guedj, l'émission politique hebdomadaire de Direct 8, intitulée Politiquement parlant[réf. nécessaire].

Après avoir animé, de mars à , 2012, Portrait de campagne[28],[29], elle présente l'émission Itinéraires d'interview de personnalités du show business, à compter du [30]. Ce nouveau magazine connaît des débuts difficiles, en termes d'audience[31] mais réussit ensuite de belles performances[32]. Elle a respecté la « jurisprudence Anne Sinclair » lors de l'entrée en campagne de François Hollande en 2011, par déontologie, et s'est mise en retrait pour éviter les conflits d'intérêts.

Lors de la saison 2019-2020 d'On n'est pas couché sur France 2, elle est, au cours de six soirées, chroniqueuse de l'émission.

En , elle est licenciée de Paris Match[33]. Elle est ensuite embauchée par RTL pour être chroniqueuse dans l'émission de Thomas Sotto RTL soir[34].

En janvier 2024, elle est de retour à la présentation d'un programme politique en présentant Hexagone sur Hémicycle TV[35].

Compagne du président de la République modifier

 
Valérie Trierweiler lors de l'investiture du président de la République française François Hollande, le , dans la cour du palais de l'Élysée.

Depuis le milieu des années 2000[20],[21],[22],[23], elle partage sa vie avec François Hollande. Lors de la campagne présidentielle 2012, Valérie Trierweiler dispose d'un bureau au siège de campagne du candidat du PS, avenue de Ségur (Paris), notamment pour répondre au courrier qui lui est adressé[36] ; elle prend également l'initiative d'installer dans le grand escalier une exposition de photographies[37]. À partir du , lorsque François Hollande est investi comme le 24e président de la République française, elle est présentée comme la « Première dame de France »[38],[39] bien qu'elle ne soit pas mariée au chef de l'État et qu'elle refuse le terme. Ainsi, à la suite de la victoire de François Hollande, elle déclare, concernant ce « rôle » : « Il n'y a pas de définition précise, j'ai besoin de réfléchir. […] Ce sera plus facile une fois l'investiture passée, une fois que j'aurai vraiment réalisé, que tout cela deviendra concret y compris de façon pratique et que j'aurai notamment un agenda, un bureau »[40]. En raison de la situation matrimoniale particulière du couple, les médias américains l'ont baptisée la « first girlfriend » à l'occasion du premier voyage présidentiel de aux États-Unis[41],[42].

Elle assiste à l'investiture de François Hollande, où pour la première fois une « passation de témoin » entre Premières dames a lieu[43], et participe au programme organisé pour les Premières dames par Michelle Obama, lors du sommet du G8. Au sein du palais de l'Élysée, elle dispose d'un cabinet composé d’une chargée de mission, de deux secrétaires[44], plus un chauffeur, dirigé par l'ancien journaliste Patrice Biancone, dispositif plus réduit que celui de Carla Bruni-Sarkozy, la taille de l'équipe n'étant pas légalement fixée[45]. Lors d'une visite d'une école en marge du sommet de l'OTAN à Chicago, elle déclare avoir l'ambition de devenir « ambassadrice de l'égalité des chances »[46].

Elle publie François Hollande président. 400 jours dans les coulisses d'une victoire, un album de photos légendées, mais les ventes s'avèrent très décevantes[47].

Selon le livre-enquête L’Élysée (et les oligarques) contre l’info publié en 2022 par Jean-Baptiste Rivoire, François Hollande s’est très vite intéressé, grâce à Valérie Trierweiler, aux patrons de presse et a ainsi pu « approcher Vincent Bolloré et ensuite Martin Bouygues, avec lequel il a signé un armistice qui lui a été clairement bénéfique »[48],[49].

Affirmant cependant son indépendance, Valérie Trierweiler poursuit sa chronique littéraire hebdomadaire dans Paris Match[50]. Le , dans l'entre-deux tours des élections législatives de 2012, quelques heures après que Ségolène Royal a annoncé sur sa profession de foi électorale avoir reçu le soutien de son ancien compagnon François Hollande, les encouragements adressés sur son compte Twitter par Valérie Trierweiler à Olivier Falorni[51], candidat socialiste dissident dans la première circonscription de la Charente-Maritime face à l'ancienne compagne du président de la République, posent la question de sa place dans le paysage politique français, et celle de la frontière entre vie privée et sphère publique[52],[53]. Cet événement a reçu le nom de « Tweetgate » ou « Trierweilergate »[54] dans les médias, en référence au fameux scandale du Watergate, car il provoqua des tensions entre certains membres du Parti socialiste et la compagne de François Hollande[55], et aussi au sein de la famille du président de la République, son fils Thomas estimant un mois plus tard que ce tweet avait détruit l'« image normale » que son père avait construite[56]. En septembre de la même année, elle déclare que « c'était une erreur » et qu’elle « le regrette »[57].

 
Valérie Trierweiler et Michelle Obama dans les cuisines d'un restaurant de Chicago.

Elle continue par la suite de participer à plusieurs cérémonies officielles, où elle apparaît néanmoins plus en retrait. Lors de l’interview qui suit le défilé du 14 juillet, où sa compagne était présente dans la tribune présidentielle, François Hollande déclare : « Valérie veut garder son activité professionnelle. Je le comprends. Elle sera présente à mes côtés lorsque le protocole l’exigera, et ce n’est pas très fréquent »[58].

Le conseiller spécial du président, Aquilino Morelle précise : « Les temps ont changé. Aujourd'hui, nous avons une Première dame qui travaille. Il faut s’adapter. Ne soyons pas plus royaliste que le roi. On peut être journaliste culturel et ne pas interférer avec la politique »[44]. En septembre, elle devient ambassadrice de la fondation Danielle-Mitterrand[59]. Elle annonce par la suite renoncer à animer une émission de télévision sur D8, où elle était pressentie[60].

Le , lors d’un déplacement pour la fondation Danielle Mitterrand à Chambly (Oise), elle déclare assumer le rôle de « Première dame », reconnaissant avoir auparavant « tâtonné » : « On ne devient pas comme ça Première dame du jour au lendemain, mais j'éprouve maintenant une grande joie à faire ce genre de choses et je continuerai »[61]. Alors qu’elle visite une école française à l’occasion du voyage diplomatique de François Hollande en Algérie, elle déclare à des enfants à propos de son rôle : « Ça fait très peur, au début. On ne sait pas ce qu’il faut faire. Ensuite, on apprend, comme vous à l’école »[62]. En , elle déclare à l'occasion d'un déplacement à Cabourg avec des enfants défavorisés : « Je crois qu'aujourd'hui je me sens bien dans mon rôle »[63].

Le , à l'invitation de l'épouse du président du Mali Dioncounda Traoré, elle effectue son premier déplacement officiel en l’absence de François Hollande, afin « d'aborder la question du soutien aux enfants, aux femmes, mais aussi aux populations déplacées du fait de la guerre »[64]. Lors d'un voyage dans un hôpital de Bukavu, à l'est de la République démocratique du Congo en juillet de la même année, elle s'engage en tant qu'ambassadrice de la fondation Danielle Mitterrand à défendre les femmes victimes de violences sexuelles dans ces régions marquées par les conflits ; elle déclare ainsi : « il n'y a plus de doute, il faut s'engager, il faut briser le silence »[65].

Début , un compte Twitter officiel est créé, avec la présentation : « compte officiel du bureau de la Première dame de France » ; il est géré par le chef de cabinet de Valérie Trierweiler et a pour but de relayer son actualité[63]. Le , elle donne au journaliste Arnaud Wajdzik, du quotidien Ouest-France, sa première interview officielle depuis l'affaire du tweet. « C'est une erreur que je regrette. Je n'avais pas réalisé que je n'étais plus une simple citoyenne. » estime alors la compagne du chef de l'État[66].

Le , lors d'un discours pour la fondation Danielle Mitterrand, elle s'est référée à l'ancienne « Première dame » en déclarant ne plus « se taire » : « Elle n'avait pas peur de porter haut les valeurs de gauche. Elle ne se laissait pas bâillonner »[67]. Un mois auparavant, lors de l'« affaire Leonarda », elle s'était publiquement indignée de la façon dont la collégienne avait été arrêtée[68].

Le , après l'annonce dans Closer de la liaison cachée de François Hollande avec l'actrice Julie Gayet, Valérie Trierweiler est hospitalisée dans un hôpital parisien, pour « un gros coup de blues »[69]. Le , après une semaine d'hospitalisation, elle part se reposer à la résidence présidentielle de La Lanterne.

Deux semaines après l'annonce dans Closer, le , François Hollande annonce leur rupture à l'AFP[70].

Après l'Élysée modifier

Valérie Trierweiler publie le un livre intitulé Merci pour ce moment dans lequel elle raconte les neuf années de sa relation avec François Hollande, et notamment les dix-huit mois qu'elle a passés à l’Élysée[71],[72],[73],[74]. Ce livre a été tiré initialement à 200 000 exemplaires[75],[76] par les éditions Les Arènes, et a connu un vif succès sans avoir « besoin d’aucune campagne de promotion, ni de publicité pour se vendre », « les articles de presse et le bruit autour de l’ouvrage sur l’ensemble des médias et des réseaux sociaux » ayant joué ce rôle[77]. En seize jours de commercialisation, l'ouvrage se serait vendu à 442 000 exemplaires[76]. En 2017, Saïda Jawad annonce qu'il n'y aura pas d'adaptation cinématographique du livre autobiographique de Valérie Trierweiler[78].

Elle est actuellement engagée aux côtés de quatre associations : le Secours populaire français, Fondation Danielle-Mitterrand - France Libertés, Action contre la faim et Association européenne contre les leucodystrophies[79].

Elle poursuit également son activité de journaliste à Paris Match.

Le , elle gifle Mohamed Rizki, candidat UMP aux municipales de 2014 et qui lui avait demandé des nouvelles de François Hollande, son ex-compagnon, dans un café du XVe arrondissement de Paris[80]. La journaliste est ensuite visée par une plainte pour « coups et blessures » de la part du jeune homme, qui exige des excuses publiques et la décrit comme étant « très hystérique »[81],[82]. Pour sa part, Valérie Trierweiler accuse Mohamed Rizki d'avoir eu une attitude déplacée[81],[83]. Finalement, la plainte sera classée sans suite, Valérie Trierweiler ayant eu un rappel à la loi[84],[85].

Le , elle devient sociétaire des Grosses Têtes, l'émission de divertissement de Laurent Ruquier sur RTL (également diffusée sur France 2 et Paris Première).

En 2022, elle est candidate, en duo avec sa meilleure amie Karine, au jeu d'aventures Pékin Express sur M6 (dans une saison spéciale célébrités intitulée Duos de choc).

Procès modifier

Le , elle porte plainte contre X pour « collecte et traitement illicite de données personnelles » auprès du parquet de Paris, à la suite de la parution le , du magazine L'Express affirmant dans un article qu'au début 2011, elle aurait fait l'objet d'une enquête sur son passé et son entourage de la part d'une section de la Direction du Renseignement de la préfecture de police de Paris[86],[87]. Chargée par le parquet de Paris de mener des investigations, l'inspection générale de la Police nationale met en évidence que la fiche de Valérie Trierweiler est un faux mais clôt le dossier, sans chercher l'auteur du délit. Après avoir classé l'affaire[88], le parquet de Paris confie à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) des investigations complémentaires réclamées par le préfet de police, Michel Gaudin[89].

Le , le tribunal de grande instance de Paris condamne les auteurs et la maison d'édition du livre La Frondeuse, biographie non autorisée de Valérie Trierweiler, à verser à celle-ci 10 000 euros de dommages et intérêts pour violation de la vie privée ; le magazine Point de vue est en outre condamné à lui verser, ainsi qu'à l’un des auteurs de l’ouvrage, 3 000 euros. Valérie Trierweiler choisit de reverser ces sommes à des œuvres caritatives[90]. Le livre lui prêtait une relation avec l'homme politique Patrick Devedjian[91].

Filmographie modifier

Dans le film Présidents (2021) d'Anne Fontaine, le personnage interprété par Pascale Arbillot est directement inspiré de Valérie Trierweiler.

Ouvrages modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Dans Merci pour ce moment, elle écrit : « Moi, dont la rumeur m'attribue une fortune colossale, héritée d'un grand-père banquier, mort avant ma naissance, comme s'il était impossible en France de traverser les strates sociales à contresens. Ma mère aurait-elle été caissière si nous avions possédé cette fortune ? Un enfant de cinq ans comprendrait que cela ne tient pas, mais la rumeur perdure encore et s'affiche toujours sur Wikipédia » ; Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment, Les Arènes, septembre 2014, page 231.
  2. Dans Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler parle du et du « baiser de Limoges » comme du point de départ de son histoire d'amour avec François Hollande.

Références modifier

  1. a b et c « Valérie Trierweiler, la femme discrète », sur lepoint.fr, 24 février 2011.
  2. Fabienne Beranger, « Valerie Trierweiler, la 1ère dame est née à Angers », sur pays-de-la-loire.france3.fr, France 3 Pays de la Loire, (consulté le ).
  3. a b et c Marion Van Renterghem, « Valérie Trierweiler sort de l'ombre » sur lemonde.fr, 20 octobre 2011.
  4. Jean-François Martin et Arnaud Wajdzik, « L'histoire angevine de la première dame de France », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
  5. a b c et d Jean-François Martin, « Valérie, du quartier Monplaisir au palais de l'Élysée ? », angers.maville.com,‎ (lire en ligne).
  6. a et b Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment, Paris, Les Arènes, , 320 p. (ISBN 978-2-35204-385-0)
  7. a et b Marie Guichoux, « De l'ombre à la lumière », Le Nouvel Observateur, no 2450,‎ , p. 68-69.
  8. Bruno Dive, « Valérie Trierweiler a traversé le miroir », sur sudouest.fr, Sud Ouest, (consulté le ).
  9. Jean-François Martin et Arnaud Wajdzik, « Valérie Trierweiler. La terre d'Anjou colle à ses escarpins. », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
  10. Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment, Les Arènes, septembre 2014, page 109.
  11. Biographie sur LCI.
  12. Serge Raffy, « François, Ségolène et Valérie », Le Nouvel Observateur,‎ (lire en ligne).
  13. Jean-Luc Évard, Signes et insignes de la catastrophe : de la swastika à la Shoah, Éditions de l'éclat, , 230 p. (lire en ligne), p. 68, note 79.
  14. Marion Schumm, « À propos de Hans Blumenberg. Entretien avec Denis Trierweiler », Cahiers philosophiques, no 123,‎ , p. 101 (lire en ligne)
  15. « Valérie Trierweiler, la dame de pique par Alain BOURMAUD,Nadia LE BRUN »
  16. a et b Paul Larouturou, « Jean-Marie Le Pen attaque François Hollande sur son couple qu'il juge “sulfureux” », sur europe1.fr, Europe 1, (consulté le )
  17. Mounia Van de Casteele et François Coulon, « Valérie Trierweiler, future Première dame », sur europe1.fr, Europe 1, (consulté le )
  18. Patrick Vignal, « Première dame, un "second rôle" pour Valérie Trierweiler », sur franceinter.fr, France Inter, (consulté le )
  19. Bénédicte Lutaud, « Qui est Valérie Trierweiler, la femme qui ne veut pas jouer les seconds rôles ? », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le )
  20. a et b Charlotte Chaffanjon, « Valérie fait une obsession sur Ségolène… », sur lepoint.fr, Le Point, (consulté le )
  21. a et b Sylvain Courage, « Sept questions sur l'affaire Trierweiler », sur nouvelobs.com, Le Nouvel Observateur, 13 et 14 juin 2012 (consulté le )
  22. a et b « Trierweiler - Royal : une relation sous haute tension », sur nouvelobs.com, Le Nouvel Observateur, 12 et 13 juin 2012 (consulté le ).
  23. a et b Marie Guichoux, « De l'ombre à la lumière », Le Nouvel Observateur, no 2450,‎ 20-26 octobre 2011, p. 68-69.
  24. Entretien par Arnaud Wajdzik, « Valérie Trierweiler entend rester journaliste », sur ouest-france.fr, Ouest-France, .
  25. Valérie est la femme de ma vie, Gala, n905, 2010, p. 35 par Constance Vergara.
  26. Laura Raim, « Première dame, un « second rôle » pour Valérie Trierweiler », sur elections.lefigaro.fr, Le Figaro, (consulté le ).
  27. Une qualification considérée comme fictive par Valérie Trierweiler elle-même, car elle ne réalise pas de reportages « de terrain » à l'instar des reporters de guerre. Extrait : « Elle peste quand la direction de Paris Match l'écarte de la rubrique politique pour lui confier un poste de grand reporter assez fictif. La journaliste se voit surtout confier la rédaction de critiques de livres. » « Valérie Trierweiler, la femme de l'ombre », Le Point,‎ (lire en ligne).
  28. « Valérie Trierweiler bat la campagne », .
  29. Éric Nunès, « Valérie Trierweiler, compagne de Hollande, arrête son émission politique », .
  30. « Reprise d'antenne », Téléobs, no 2463,‎ , p. 43.
  31. « Mise en échec, l'émission de Valérie Trierweiler change d'horaire », toutelatele.com.
  32. « Audience record pour Itinéraires le magazine culturel de Valérie Trierweiler sur Direct 8 », sur jeanmarcmorandini.com, (consulté le ).
  33. « Valérie Trierweiler a été licenciée de « Paris Match » », sur 20minutes.fr (consulté le )
  34. « Valérie Trierweiler devient chroniqueuse sur RTL », sur 20minutes.fr (consulté le )
  35. Romain Rosso, « Hexagone, la nouvelle émission de L’Hémicycle, reçoit Alain Juppé », sur L'Hémicycle, (consulté le ).
  36. Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn, La Frondeuse, éditions du Moment, 2012, pages 49-50.
  37. Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn, La Frondeuse, éditions du Moment, 2012, page 59.
  38. « Valérie Trierweiler, portrait de la nouvelle Première dame de France », sur rtl.fr, RTL, (consulté le ).
  39. Jean-Frédéric Tronche, « Valérie Trierweiler : ses premiers pas en Première dame », sur obsession.nouvelobs.com, Le Nouvel Observateur, (consulté le ).
  40. Anne Fulda, « Valérie Trierweiler, Première dame », Le Figaro, 11 mai 2012, p. 18.
  41. « G8 : Valérie Trierweiler a déjeuné à la Maison Blanche » Le Parisien, 19 mai 2012
  42. S. C., « USA : Valérie Trierweiler surnommée la « first girlfriend » », ELLE, 18 mai 2012.
  43. Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn, La Frondeuse, éditions du Moment, 2012, page 11.
  44. a et b Ian Langsdon, « Valérie Trierweiler, le calme après la tempête », in Paris Match no 3296, du 19 au 25 juillet 2012, p. 42-47.
  45. Une première dame vraiment pas comme les autres, Challenge, 12/6/2012
  46. S. C., « Valérie Trierweiler, ambassadrice de l'égalité des chances ? », ELLE.fr, 22 mai 2012.
  47. Jérôme Depuis, « Le livre légendé par Valérie Trierweiler fait un flop », L'Express, 8 août 2012.
  48. Jean-Baptiste Rivoire, L'Élysée (et les oligarques) contre l'info, Les Liens qui libèrent, , 399 p. (ISBN 979-10-209-1081-3)
  49. « La concentration des médias est un risque pour la démocratie » dans le quotidien L'Union, le 16 janvier 2022, par Samuel Ribot [1]
  50. Pascale Nivelle, « Trierweiler persiste et signe », Libération.fr, 7 juin 2012.
  51. « Pour Trierweiler, "parler de jalousie est idiot" », Le JDD, 13 juin 2012.
  52. « Le tweet de Trierweiler suscite l'embarras à gauche et l'ironie de la droite », Le Monde, 12 juin 2012.
  53. Nicolas Barotte, « Hollande, entre affaire privée et dilemme politique », lefigaro.fr, 13 juin 2012.
  54. Rétro politique 2012: vous souvenez-vous du Trierweilergate ?
  55. « Tweetgate : Trierweiler admet "avoir commis une faute" et fait son mea culpa », L'Express, 20 juin 2012.
  56. « Thomas Hollande : "Ça m'a fait de la peine pour mon père" », Le Point, 11 juillet 2012.
  57. « Valérie Trierweiler fait son mea culpa après l'affaire du tweet », in liberation.fr, 3 octobre 2012.
  58. Ivan Valerio, « François Hollande : "pas de statut spécial pour la Première dame" », lelab.europe1.fr, 14 juillet 2012.
  59. « Valérie Trierweiler ambassadrice de la fondation Danielle Mitterrand », sur liberation.fr, Libération, (consulté le )
  60. Interview d’Arnaud Wajdzik, « Valérie Trierweiler : Je ne vais pas m’installer en Bretagne », ouest-france.fr, 3 octobre 2012.
  61. « Valérie Trierweiler dans l'Oise en Première dame engagée dans l'humanitaire », in liberation.fr, 18 octobre 2012.
  62. Nicolas Barotte, « Valérie Trierweiler fêtée par les bambins de l'école française », in Le Figaro, jeudi 20 décembre 2012, p. 3.
  63. a et b « Valérie Trierweiler a son compte Twitter de Première dame », in lepoint.fr, 1er septembre 2013.
  64. « Valérie Trierweiler attendue mercredi au Mali », in lefigaro.fr, mardi 14 mai 2013.
  65. Mélany Gouby, « Valérie Trierweiler au chevet des femmes violées au Congo-Kinshasa », in Le Figaro, jeudi 11 juillet 2013, p. 14.
  66. « Valérie Trierweiler : « Le tweet a été une erreur que je regrette » », sur Ouest-France.fr (consulté le )
  67. « Valérie Trierweiler ne se "taira plus" », in Le Figaro, samedi 23 / dimanche 24 novembre 2013, page 4.
  68. « Valérie Trierweiler sur Leonarda : "On ne franchit pas la porte de l'école" », in lejdd.fr, 18 octobre 2013.
  69. Le Monde, Valérie Trierweiler hospitalisée, 12 janvier 2014
  70. Le Point - AFP séparation officielle
  71. « Trierweiler publie un livre où se mêlent l'intime et la politique », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  72. Catherine Schwaab, « Valérie Trierweiler, "Ma vie avec François" », Paris Match,‎ (lire en ligne)
  73. « Valérie Trierweiler publie un livre sur sa vie à l'Elysée », Libération,‎ (lire en ligne)
  74. « Valérie Trierweiler règle ses comptes dans un livre déjà en tête des ventes », RTS Info, Radio télévision suisse « 19:30 le journal »,‎ (lire en ligne [[vidéo]])
    Présentation par Darius Rochebin : « Le livre est dévastateur pour François Hollande à qui on prête des plaisanteries condescendantes sur les pauvres. »
  75. 000 « Merci pour ce moment » en une semaine, article sur le site lemonde.fr, daté du 9 septembre 2014.
  76. a et b « Valérie Trierweiler devient millionnaire grâce à son livre choc », Le Figaro,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  77. Non merci », la fronde de libraires contre le livre de Valérie Trierweiler, article sur le site lemonde.fr, daté du 8 septembre 2014.
  78. Prisma Média, « Valérie Trierweiler annule « Merci pour ce moment », le film - Gala », Gala.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  79. Delphine Perez, « Humanitaire : Valérie Trierweiler, une marraine qui irrite les associations », leparisien.fr, 19 novembre 2014.
  80. Claire Courbet, « Valérie Trierweiler a giflé un client dans un café parisien », sur Le Figaro, (consulté le ).
  81. a et b « Valérie Trierweiler - Affaire de la gifle : Elle était très, très hystérique », sur Pure People, (consulté le ).
  82. Marie-Pierre Haddad, « Valérie Trierweiler : giflé par l'ex-première dame, il demande "des excuses publiques" », sur RTL, (consulté le ).
  83. « Accusée d'avoir giflé un homme, Valérie Trierweiler parle de "muflerie" », sur Le Point, (consulté le ).
  84. « Valérie Trierweiler, affaire de la gifle : La journaliste échappe à la justice ! », sur Pure People, (consulté le ).
  85. « Gifle de Valérie Trierweiler: la plainte classée après un rappel à la loi », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  86. Éric Pelletier, Anne Vidalie et Marcelo Wesfreid, « La police soupçonnée d'enquêter sur la compagne de François Hollande » sur lexpress.fr, 4 octobre 2011.
  87. AFP, « Ciblée par une enquête, Trierweiler porte plainte » sur lexpress.fr, 20 octobre 2011.
  88. « Les relents d'une police politique », Le Nouvel Observateur, no 2463,‎ .
  89. Olivier Toscer, « L'affaire Trierweiler relancée », Le Nouvel Observateur, no 2466,‎ , p. 28.
  90. AFP, « La Frondeuse : Trierweiler obtient 10 000 euros de dommages et intérêt », sur liberation.fr, Libération, .
  91. La Rédaction, « Valérie Trierweiler : de Devedjian à Sarkozy, des révélations et un procès », sur www.linternaute.com, (consulté le )

Annexes modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :