Un souvenir, c'est bien dommage...

Né en 1956 à Poitiers, Mr. X est un économiste, essayiste, puis journaliste à Forum Gestion, avant que de publier un récit préfacé par Pierre Salinger "Il n'y a pas qu'un seul chemin".

Dans ce premier parcours, il courre le monde en faisant plus de cinq tours de l'Amérique du Nord d'où il rapportera ce livre dont le préfacier en rappelle le lien avec "De la démocratie en Amérique", mais aussi la République Populaire de Chine en 1988, alors interdite aux étrangers sous ses deux monnaies (FEC et monnaie du peuple). Membre du comité de rédaction de Forum Gestion à Paris (mensuel tourné vers le monde des entreprises), il travaille avec Pierre Beaudeux au "Salaires des Cadres" dans le journal l'Expansion dirigé par Jean-Louis Servan-Schreiber. Participant à deux reprises à "Apostrophes" de Bernard Pivot, il travaille également durant ses études parisiennes comme journaliste professionnel pour la société Antar division "Marine", ainsi que pour le magazine Time et la revue de l'Ambassade des Etats Unis.

Puis prenant une année de recul à Bordeaux, après être diplômé de la quatrième école de gestion d'alors, il suit des cours de Droit à Grenoble et de Lettres Modernes à Talence. Il poursuit ensuite ses enseignements à Poitiers comme disciple du Professeur Philippe Rémy (celui même qui fit l'apologie du code civil, pour en célébrer le bicentenaire devant la Cour de Cassation). Il continue toujours de travailler dans la presse comme chef de centre de l'OFUP (Office Universitaire de Presse) pour l'Académie de Poitiers. Maître en Droit des Affaires, il fait ses humanités à Poitiers avant que de rejoindre le cabinet Baker & McKenzie à Paris où il devient cadre juriste international. Nommé Conseil Juridique et Fiscal par le Procureur de la République de Paris, spécialisé en Droit Fiscal, il complète son approche par un certificat en Droit des Sociétés.

Ayant fondé un cabinet à Paris, il travaille pour la première imprimerie d'Espagne et intervient en Anglais qu'il souligne ne pas être une langue étrangère, mais "une langue de travail".

Il écrit de nombreux articles professionnels dans des revues locales, puis nationales et internationales, entretenant des liens serrés avec la République du Pérou, comme le Royaume d'Espagne et plus particulièrement les provinces de Navarre et de Catalogne.

Aujourd'hui il continue d'exercer son art avec des modèles sui generis : Steve Jobs, Paul Lombard, Vergès... c'est-à-dire comme un avocat d'affaires international qui souhaite être dans la minorité, en appréhendant les causes des matières qu'ils dispensent, des dossiers qu'il traite, pour en faire ressortir l'essence à la source de l'histoire mondiale (création de l'EIRL au Pérou en 1997 et après 2000 en France, révolution industrielle en Angleterre en 1860 grâce à la naissance de la S.A. etc...)

Il travaille sur de nouveaux livres professionnels et romanesques et observe 2012 comme une grande transition dans l'histoire contemporaine. Ainsi, ayant activement supporté la campagne de Barack Obama en 2008, au point d'en faire la une de la presse locale et une émission sur Radio France, il n'entend pas entrer dans le débat politique français actuel, sauf à se risquer sur des analyses économiques de projections à cinq années, mais hors de tout parti pris. Sa vision de l'entreprise : un lieu où l'on apporte la réponse à un besoin par une offre adaptée et où tous les collaborateurs y trouvent leur compte, c'est-à-dire leur équilibre, n'a de correspondance que ses publications en Espagne, Italie, Etats-Unis et Pérou.

L'avenir ? Ce n'est que comprendre ce présent fort de l'expérience sur les crêtes du passé. C'est pourquoi, il souligne que le monde des affaires, de l'économie et du droit, ne peuvent se dissocier de celui de l'équilibre de l'Etre. D'où ses amitiés avec le grand professeur de médecine Pierre Kamina, mais aussi du spécialiste de la médecine chinoise adaptée à l'Occident : Gérard Edde; avec lesquels il entretient des relations permanentes. L'approche d'une question ne peut se faire que dans la connaissance universelle du monde, de la cité ; mais en tenant compte de l'unicité de la personne qui doit prendre ou ne pas prendre une décision qui peut changer notre propre civilisation.

Mr. X n'a pas de credo en soi, mais une conviction profonde; c'est qu'après avoir lu Raymond Aron, Albert Camus, Platon, Warren Buffet, Mill, Jacques Attali, Shopenhauer, Nietzsche bien sûr, les grands textes religieux et politiques, comme ceux de Bolivar ou bien de John Reed dans le "Mexique Insurgé" on peut mieux apprenhender notre époque et en faire le meilleur en dehors de toutes conviction de principe. Car il apprécie de rappeler la phrase de Lao Tseu : "Personne ne peut rivaliser avec moi, puisque je ne rivalise avec personne". Peut-être avec lui, une nouvelle génération d'activistes pour un mieux être qui va du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest.

Bientôt sa biographie et ses interventions sur le Web. Il pense que les codes papiers sont morts. Vive les iCodes et les iConsultations !


FEDER pour déplacement http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:F%C3%A9d%C3%A9ration_des_enfants_de_la_R%C3%A9publique/Suppression

La Fédération des enfants de la République (FEDER) est une organisation étudiante antiraciste créée fin 2003 qui a obtenu quelques élus dans différents CROUS et Conseils Centraux.

Histoire modifier

La FEDER a été créée informellement fin 2003, par des élus étudiants, proches des comités SOS Racisme et les élus des différentes sections UEJF. Elle s'est présentée aux élections Crous de 2004, soutenue par l'UEJF, SOS Racisme et Ni putes ni soumises et avait obtenu quelques élus. Ses statuts ont été finalement déposés en mars 2004. Elle s'est représentée aux élections CROUS de 2006, ainsi qu'à des élections locales dans les universités de France. Devant l'échec relatif des listes CROUS 2006, s'en est ensuivi un certain essoufflement.


Idéologie modifier

Ses objectifs principaux sont de défendre les valeurs républicaines à l'université, de lutter contre le communautarisme, le racisme, l'antisémitisme et les discriminations, et de soulever des débats de fonds dans les universités. À côté d'une forte rhétorique anti-raciste, la FEDER a également développé une thématique plus générale, davantage axée sur les besoins concrets des étudiants.