Utilisateur:TED/Aegitotos caudatus

Toto de Haute-Savoie, Tupinet de Haute-Savoie, Toto à grande queue

Ceci est un article sur un taxon fictif.
Aegitotos caudatus
T.-E.D., 1991
Description de cette image, également commentée ci-après
Classification
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Classe Aves
Ordre Passeriformes
Famille Aegithalidae
Genre Aegitotos
Espèce A. caudatus

Synonymes

Encart publicitaire

Ouais, cet article dépend de l'ornithologie,
mais y'a aussi tout le reste de la biologie
qui est super intéressant,
regardez là-dessous tous les trucs sympa
que vous pouvez explorer :

une molécule d'ADN
un papillon
une bactérie
un panda
un trèfle à quatre feuilles
une poule entourée par des épis de blés, des épis de maïs, une pomme et une écrevisse
des pommes de terre de diverses variétés
une rose rose

Le Toto de Haute-Savoie (Aegitotos caudatus), aussi appelé Tupinet de Haute-savoie ou encore Toto à grande queue, est une espèce d'oiseau moqueur de la famille des Aegithalidae. C'est le seul représentant connu du genre Aegitotos. Il s'agit d'une espèce endémique de l'île de Biologie, sur le lac d'Annecy. Mais il a conquis de nombreux autres milieux.

Description modifier

Ce petit animal attendrissant à l'oeil vif et moqueur et à la queue frétillante n'a guère le poil frisé[réf. nécessaire], ce qui permet même aux non-spécialistes de le distinguer relativement facilement d'un caniche toy.

Le pelage d'été, à poils ras, permet de le distinguer du caniche toy, mais le pelage d'hiver, à poils plus plus longs et ayant une tendance à friser, fait qu'on le confond parfois avec Charlemagne, le roi au chef fleuri (et surtout à l'Épiphanie, s'il a la fève).

Le pelage est habituellement brun, parfois lavé de roux selon la luminosité ou l'éclairage.

Les papattes du Tupinet de Haute-Savoie ne sont pas homodactyles[note 2]. On[Qui ?] a longtemps cru qu’Aegitotos caudatus avait les pattes anysodatyles[1] voire zygodactyles, mais les analyses plus récentes[2] ont permis de démontrer que les papattes sont purement hétérodactyles[note 2]. Cette disposition est particulièrement importante pour la capture des pépitos car elle lui permet de grimper aux pépitiers sauvages de l’Île de Biologie[note 3],[note 4].

Les études restent néanmoins parcellaires[3].

Taxinomie modifier

Le nom valide est Aegitotos caudatus T.-E.D., 1991. D'autres études plus tardives ont donné d'autres noms à cette espèce, chaque étude étant centrée sur un aspect différent de la physiologie de l'espèce : Andrimulgus climacurus Citr., 2008 (étude basique sur la parade amoureuse proche de celle de Caprimulgus climacurus) ; Aegitotos pepitovorus V.T., 2011 (étude basique sur la capture de nourriture) ; Aegitotos daucisuccumbibens Sal., 2011 (étude basique sur la beuverie).

D'autres noms furent proposés (tous les noms de la terre, et encore d'autres bien moins courants), mais sont invalides en raison de diagnoses incomplètes : Totodusoixantequatorzus megadigitalis Givet, 2012[4] ; Totodusoixantequatorzus bigbrotherus Givet, 2012[5]; Toto septuagintaquattuoris Goodshort, 2012[6].

Le nom normalisé proposé par la Commission internationale des noms français des oiseaux est « Jaloux à petite queue ».

Le Tupinet de Haute-Savoie étant quelqu'un de très abordable, il ne me formalise pas si on oublie sa particule[7].

L'établissement de la première diagnose complète de l'espèce par T.-E.D. fut laborieuse. En effet, T.-E.D. découvrit l'espèce un beau jour (ou peut-être une nuit ?) près d'un lac, au moment même où le spécimen sortait d'un lac de jus de carotte. Prenant le Toto de Haute-Savoie pour une algue du genre Macrocystis, avec sa longue lanière et ses deux gros flotteurs, il s'écria : « Ah bin tiens, v'là ot' chose !! ». Ce fut là sa première diagnose, mais il s'aperçut bien vite de son erreur : le Toto ne pouvait pas être une espèce du genre Macrocystis, car il n'y avait pas de crampons sous ses adidas. Et, comme il le témoignera plus tard : « Il s'est levé à mon approche. Debout, il était plus petit ». Il le plaça donc dans la classe des Aves César, morituri te salutant, comme ça, juste pour le fun[8].

Le genre étant proche par certains aspects des genres Picathartes, Picaglasses et Pellathartes, ainsi que de différentes espèces de la sous-famille des Patatarthinae (en particulier Nutella), il a aussi été proposé de le rapprocher du genre Picassiethe dont il adopte le même comportement vis-à-vis de la nourriture[9] ou des serviettes de plages.

En 2013, des analyses moléculaires, ainsi que des analyses neurologiques menées par Citr., ont mis en évidence plusieurs sous-espèces appartenant à ce taxon [10]:

  • Aegitotos caudatus administratus Citr., 2013 caractérisée par la possession d'un balai,
  • Aegitotos caudatus majusculum Citr., 2013 caractérisée par son amour pour les majuscules,
  • Aegitotos caudatus concourus Citr., 2013, sous-espèce issue d'une selection artificielle après de nombreux concours

D'autres sous-espèces sont en cours de description, mais ça prend du temps.

Les différents synonymes cités ci-dessus pourraient ainsi être en réalité[évasif] des sous-espèces (ou de simples variétés, races, formes ou sous-formes ?) :

  • Andrimulgus climacurus Citr., 2008 serait Aegitotos caudatus climacurus (Citr., 2008),
  • Aegitotos pepitovorus V.T., 2011 serait Aegitotos caudatus pepitovorus (V.T., 2011),
  • Aegitotos daucisuccumbibens Sal., 2011 serait Aegitotos caudatus daucisuccumbibens (Sal., 2011),
  • Totodusoixantequatorzus megadigitalis Givet, 2012[4] serait Aegitotos caudatus megadigitalis (Givet, 2012),
  • Totodusoixantequatorzus bigbrotherus Givet, 2012[5] serait Aegitotos caudatus bigbrotherus (Givet, 2012),
  • Toto septuagintaquattuoris Goodshort, 2012[6] serait l’autonyme Aegitotos caudatus caudatus.

L’analyse des résultats est trèèèèès looooongue et les conclusions demandent à être confirmées, en raison de probables phénomènes d’attraction des longues branches et le faible nombre de spécimens différents présent dans la faune et la flore de Haute-Savoie[note 5].

Répartition modifier

 
Carte de répartition d’Aegitotos caudatus.
  • endémique
 
Ce spécimen d’Aegitotos caudatus, chassé de son milieu naturel d'origine Salix lacrymosaridens par les glires, est en quête d'un nouvel arbre à coloniser.

Originaire des plus hautes branches du Salix lacrymosaridens où il aime à se percher, Aegitotos caudatus a été contraint de quitter son milieu naturel face aux invasions de glires dans les branches de son arbre fétiche.

Un spécimen aurait été décrit à Genève, soit à un peu plus de 30 km de son aire d'origine. Cette observation reste cependant à confirmer, car le Toto de Haute-Savoie est connu pour son mode de vie casanier, et il serait fort étonnant qu'un spécimen s'éloigne autant de son habitat.

Des observations sur l'île de Gaudeloupe d'un spécimen buveur, appelé localement Toto bwa, restent à confirmer. On ignore encore s'il s'agit de la même espèce ou d'une espèce proche.

Un spécimen aurait été aperçu en Corse.[réf. nécessaire]

Un spécimen åuræit été décrit en Nørvège[11].

Fossiles modifier

Des fossiles authentiques auraient été trouvés[réf. souhaitée] à Bassano del Grappa ainsi que des fémurs dans les Catacombes de Paris (mais on n'a pas le droit de le dire car c'était dans une zone dont l'accès est théoriquement interdit). Il s'agirait d'une espèce proche aujourd'hui éteinte : Aegitotos longicaudatus. La pression évolutive semble avoir abouti à un raccourcissement de la queue : l'espèce actuelle a une plus petite queue.

Les études stratigraphiques en cours montrent que l'espèce serait apparue vers la fin de l'ère secondaire[note 6].

Un fossile découvert dans les carrières de gypse de Montmartre est nommé Palaegitotos cuvieri, nom d'espèce dédié à Georges Cuvier, dont les recherches ont rendu célèbre le gisement de Montmartre.

Phylogénie modifier

Des études en cours[réf. souhaitée] montreraient un lien entre Aegitotos caudatus et Jonah Falcon, mais les résultats demandent à être confirmés : il pourrait y avoir un phénomène d'attraction des longues branches.

Alimentation modifier

Compétition pour la capture de nourriture modifier

 
Disposition des caches à pépitos d'Aegitotos caudatus

Aegitotos caudatus est pépitovore. En milieu naturel, il creuse des caches en milieu forestier où il enterre des pépitos par dizaines, participant de fait à la disséminations des pépitiers sauvages. Ces caches sont disposées selon un schéma immuable, décrit dans l'image ci-contre. En captivité, il les dissimule avec beaucoup d'à-propos dans les rouages internes de Salebot[12],[13].

Plusieurs autres animaux de la faune de l'île de Biologie se nourrissent de pépitos, créant une compétition âpre pour la capture des pépitos.

Le tupinet n'aime pas les haricots[14].

Comportement face à la prise de boisson modifier

Aegitotos caudatus se désaltère uniquement de jus de carotte.

En Guadeloupe, une espèce proche (ou identique ?), connue sous le nom de Toto bwa, ne consomme que le petit ver au fond de la bouteille de tequila, contrairement au Toto de Haute-Savoie, qui ferait plutôt l'inverse[15].

Locomotion modifier

Aegitotos caudatus chevauche un balai. Il a les papattes sensibles, et il lui arrive de laisser des bouts de viande au-toto-misées au fond des lacs barbares qu'il croise parfois au cours de ses rares migrations[16].

La grande queue du Toto de Haute-Savoie le gène dans ses déplacements, car il ne sait pas bien s'en servir. Il se pourrait que ce soit la cause de la disparition de l'espèce fossile Aegitotos longicaudatus, les individus n'étant plus assez rapides pour la capture des pépitos sauvages.

Aegitotos caudatus est un mauvais nageur[17].

Reproduction modifier

 

Comme son nom l'indique, le Toto à grande queue est caractérisé par la taille impressionnante[réf. nécessaire] de son truc en plume.

La stratégie de reproduction du Tupinet de Haute-Savoie a fait l'objet de nombreuses études[18].

Parade nuptiale et comportement reproducteur (la lecture de cette section est déconseillée aux âmes sensibles et interdite aux mineurs) modifier

La parade nuptiale du Toto à grande queue est pleine de poésie et d'amour tendre[19].

Aegitotos caudatus et le nudisme modifier

Le Toto à grande queue ne manque pas une occasion de montrer son dard d’amour, en particulier quand il est question de femmes enceintes[20].

Pourquoi pas ? modifier

« Pourquoi pas, alors, des sections Longueur, Effectif, Statut UICN ? »[21]

Publication originale modifier

Longueur modifier

La taille est très importante chez le Tupinet de Haute-Savoie[22], et elle fait l’objet de tous les fantasmes.

Effectif modifier

Statut UICN modifier

Comportement (a-)social modifier

Aegitotos caudatus est un oiseau moqueur capable de camouflage sonore, comme le Moqueur polyglotte Mimus polyglottos. En effet, il n'est pas rare que le Toto de Haute-Savoie se camoufle en Dodo de Haute-Savoie, mimant le Dronte de Maurice, dans les discussions qu'il entretient avec ses petits camarades de l'Île de Biologie.

L'animal est aussi connu pour son comportement de coucou qui parasite le nid d'autres oiseaux : il n'hésite pas à usurper la serviette d'autrui au bord du lac d'Annecy.

Animaux de compagnie modifier

 
Blobfish

La faune commensale du Toto de Haute-Savoie est incommensurable :

Ennemis modifier

Divers animaux sont réputés être des ennemis du Toto de Haute-Savoie :

Aegitotos caudatus et l'homme modifier

 
Queue de tupinet

Contrairement à certaines affirmations[23], Tommy Brandt (alias « Toto the killer ») n'a rien à voir[réf. nécessaire] avec l'espèce décrite ici. Il s'agirait d'une confusion entre le mannequin à longue queue, et le Manakin à longue queue.

La renommée de cet oiseau d'augure incertaine[non neutre] fut si grande que plus d'un siècle avant sa découverte, la communauté scientifique lui rendait hommage[réf. nécessaire] via le nom d'espèce Schefflera toto.

Une célèbre comptine mentionne le tupinet :

Prom'nons-nous en Savoie,
Pour voir si l'Toto y est pas ;
Si l'Toto y est,
C'est un tupinet !

Citons encore la coiffure nommée « queue de tupinet ».

Aegitotos caudatus et les femmes modifier

Voir ci-dessus Reproduction.

Le Tupinet de Haute-Savoie a inspiré de nombreuses femmes. En particulier, en souvenir du premier contact avec Aegitotos caudatus (Cf. ci-dessus), Barbara composera L'Aigle noir, et Magali Noël chantera Fais-moi mal, Johnny (sur un texte de Boris Vian et une musique d'Alain Goraguer).

Enfant, il aurait été le premier amour de Mireille Mathieu, qui lui dédia une chanson.

Aegitotos caudatus reconnaît une femelle à la forme de ses pédipalpes[24].

Aegitotos caudatus et la religion modifier

Le Tupinet à longue queue a trouvé son Dieu dans le chanteur du tube Just Standing Here (with My Incredibly Long Penis)[25] et s’est écrié en voyant la vidéo : « OH MON DIEU… ».

Biologie moléculaire du Tupinet modifier

Une récente découverte montre qu’Aegitotos caudatus possède une enzyme de transcription unique au monde permettant de transcrire le brin non-codant de l'ADN en ARN messager codant[26].

Aegitotos caudatus et le coryza félin modifier

Droit de réponse exercé suite à cette révocation, un peu abrupte, il faut dire :

Le tupinet possède une science extrémement poussée des rétrovirus à ARN dont il parle dans son article du coryza, ainsi que de la science de l'immunité de part son doctorat en biologie moléculaire obtenue à l'académie des sciences de Paris[réf. nécessaire]. Ses compétences en félinotechnie, il sait les défendre, ainsi méfiez vous si vous n'avez qu'un simple doctorat en médecine vétérinaire et un DU en immunologie, car cet énergumène est capable d'effacer les vérités scientifiques que vous pourriez vouloir répandre sur les sujets sur lesquels on vous considère comme étant spécialiste (au passage : lire Aide:Conseils aux spécialistes). Ne vous faites aucune illusion, ce n'est pas parce que vous êtes rémunérés 80 000 € annuels pour résoudres des problèmes de santé publiques qu'un tupinet n'effacera pas ce que vous voulez faire passer comme message. C'est la vindicte du prolétariat passionné inconscient de tout ce qui touche à son environnement cosmique, souhaitons lui une bonne angine à streptocoques encapsulés ainsi qu'une banale staphylococcie avec endocardite pyogène.

Notes modifier

  1. Cette image est sous licence libre car un singe appuyant aléatoirement sur un bouton aurait très bien pu la faire : la preuve en est le cadrage fabuleusement artistique.
  2. a et b Voir #Aegitotos caudatus et les femmes
  3. Voir #Compétition pour la capture de nourriture
  4. Voir Utilisateur:VonTasha/Pepitos
  5. Et ce, malgré l’existence du fôné Laflhor.
  6. Vraisemblablement, une coquille a été perpétrée dans le rapport préliminaire et a conduit à une mauvaise interprétation. Il fallait évidemment lire : « vers la fin du 2e millénaire », et non « vers la fin du 2e ère. »

Références modifier

  1. Totodu74, « Les pattes », sur Wikipédia, éditions Bal & Pat, (consulté le Date invalide (11 novembre 2017 à 15:00:01)) : « N'importe quoi, les sittelles (et les grimpereaux aussi, au passage) sont anisodactyles. »
  2. Des pattes ? Oui, mais… 2017. Lu & Stu Cru. Les Éditions de Les Cumoirs.
  3. Contrôle antidopage ? La réponse d'El Toto, Cahiers de Biologie ornithologique, 2012.
  4. a et b Givet, « OK, on va ajouter une espèce Totodusoixantequatorzus megadigitalis ? », sur Wikipédia, Chez Toto, bar tabac, (consulté le Date invalide (28 février 2012 à 21:58))
  5. a et b Givet, « J'ai oublié de te dire que T. megadigitalis est en fait synonyme de T. bigbrotherus », sur Wikipédia, Chez Toto, bar tabac, (consulté le Date invalide (28 février 2012 à 21:58))
  6. a et b Goodshort, « Parce que je m'ennuyais au boulot et que ça me faisait marrer (en plus, j'ai respecté les consignes en mettant un gros smiley) », sur Wikipédia, Chez Toto, bar tabac, (consulté le Date invalide (28 février 2012 à 21:58))
  7. Totodu74, « Plus besoin de DEFAULTSORT pour les lettres accentuées », Série basmati, sur Wikipédia, Le café des biolgistes, (ISBN à la fraise[à vérifier : ISBN invalide], consulté le ) : « Merci pour cet exemple, mais je suis quelqu'un de très abordable, je ne me formalise pas si on oublie ma particule. Totodu74 (devesar…) 13 octobre 2013 à 10:58 (CEST) »
  8. T.-E.D., Une nouvelle espèce d'algue de truc, une nouvelle espèce, quoi… (1991), Éditions Linnéné Ludivine enfant
  9. Eveha (2012) Qui a volé tout le vol-au-vent de mère-grand ? Éditions du bruit-qui-court, entre Annemasse et Cranves-Sales.
  10. Citr., Il y avait des sous-espèces d'Aegitotos caudatus et personne ne l'a vu ! (2013), Éditions Gallimard
  11. Kollektivet, « Music Video: ÆØÅ (Size Matters) », sur Youtube, (consulté le )
  12. VonTasha (2011) El Toto, ail, pépito, éditions "Les Gastronomes exotiques en sombrero"
  13. VonTasha, Encyclopédie de la nature wikipédienne, 2008, Golio Editions
  14. Totodu74, « Goûts de Salix et de Toto : Haricots et Pépitos », sur Wikipédia, Chez Salix, éditions, (consulté le )
  15. Citron, Citron, petit patapon, "Un ptit ver pour la route ?" (2012), éditeur Bwa sans-soif
  16. Erdrokan, Toto existe, je l'ai rencontré, (2011), Éditions Duragot
  17. Totodu74, « WCC septembre 2013 - équipe 19 », Série Zotto, sur Wikipédia, Équipe 19, (consulté le ) : « j'ai cette impression familière d'être une moule essayant désespérément de courser un pétoncle à la nage ! »
  18. Toto du 74, « Stratégies de reproduction et processus évolutifs chez les oiseaux parasites », Annales étudiantines genevoises, vol. 74, no 74,‎ , p. 74
  19. Totothekiller, « ‎Nettoyage de bot », Série X, sur Wikipédia, Le Bistro du 17 mars 2013, (consulté le ) : « Crois moi ou pas, c'est en sortant de mon cours de parasito mercredi (où l'on a parlé de Giardia) que j'ai ajouté récemment à ma liste un nouvel article plein de poésie et d'amour tendre. », p. 1
  20. Totodu74, Cymbella et al., « Tous à poils ! », Série Nocéros à grande corne, sur Le Bistro de Wikipédia, Wikipédia, (consulté le ) : « Tous à poil ! », page du Bistro du 8 novembre 2013
  21. Totodu74, « Publication originale », série dhibitoire, sur Wikipédia, Projet:Zoologie, (ISBN à la vanille[à vérifier : ISBN invalide], consulté le ) : « Il faut se demander quel rôle on donne aux Sections, non ? Pour moi, c'est ce qui apparaît dans le Sommaire, qui donne le plan du contenu présenté. Si on met un titre (Publication originale) pour un unique élément ou une liste d'éléments, c'est qu'on se prend pour Wikidata. Pourquoi pas, alors, des sections Longueur, Effectif, Statut UICN ? J'utilise donc la Bibliographie pour donner les publis originales, mais ce n'est jamais que mon point de vue perso :P Totodu74 (devesar…) 12 octobre 2013 à 16:38 (CEST) »
  22. Totodu74, « Discussion Portail:Ornithologie : Différence entre versions », Série Squé, sur Wikipédia, Projet:Ornithologie, (consulté le ) : « big big big »
  23. Citron, Quoi? vous ne connaissez pas Tommy Brandt? Presses universitaires de Seynod, 2010
  24. Salix, Totodu74 et al., « Discussion Projet:Entomologie/Quel est cet insecte ? », sur Wikipédia, Projet:Entomologie, (consulté le ) : « ce sont la forme des pédipalpes qui le disent ».
  25. (en) Kollektivet, « Just Standing Here (with My Incredibly Long Penis) », TV2, (consulté le ).
  26. Toto du74, « Traductions compliquées : les mutations silencieuses, faux-sens et non-sens expliquées à Tsaag Valren », Archives of LCB, vol. 1 d'eau pour 5 de pastis, no on ne sait pas compter sauf s'il s'agit de verres de jus de carotte,‎ , plusieurs (lire en ligne)