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testRien ne prouve que c'est un test[réf. nécessaire]

Crédit d'auteurs : Texte supprimé, issu de Pandémie de maladie à coronavirus de 2019-2020 En mars 2020, lors de la pandémie de covid-19, la plupart des banques centrales des zones monétaires dont les pays du G20 relèvent, ont d'une part rapidement décidé une forte baisse des taux directeursErreur de référence : Balise fermante </ref> manquante pour la balise <ref> dont la note attribuée par les agences de notations est comprise entre le AAA et le BBB. Ces achats ont pour but de faire baisser les taux longs pratiqués pour les emprunts d'état et les emprunts immobiliers. Cette politique non-conventionnelle se fait en conformité avec les statuts des banques centrales ou les textes fondateurs, les lois et le règlements nationaux ou enfin les traités internationaux. Ces opérations sont appelées quantitative easing[1], elles consistent en l'acceptations de prendre en pension, dans le bilan de la banque centrale, des actifs divers et variés en collatéraux (garanties) de prêts consentis par lesdites banques centrales[2]. L'argent ainsi prêté est créé par l'augmentation de l'agrégat M0 (appelé monnaie de base). Le risque final est pris par la banque centrale qui ne peut pas faire faillite mais qui peut se alors se retrouver avec un bilan négatif en cas de dépréciation de la valeur nominale des obligations ayant servi à garantir le prêt. Dans ce cas son bilan est ré-équilibré par son actionnaire principal, l'Etat, qui lève l'impôt. Si ce phénomène ce produisait en zone Euro, la BCE serait d'abord re-capitalisée par les banques centrales nationales (BdF, Buba, ... ) qui se retrouveraient elles aussi avec un bilan négatif et qui seraient re-capitalisée à leurs tours par les gouvernements de leurs pays respectifs. Ces achats massifs et impressionnants d'obligations souveraines (et d'obligations corporates notées BBB) ont eu lieu et auront lieu sur le marché primaire pour la Fed[3] et sur le marché secondaire pour la BCE. En zone Euro, les obligations émises par les Etats et par les entreprises ne peuvent pas être achetées par la banque centrale dès leur émission : elles sont d'abord achetées par des entreprises financières prestataires de services bancaires (banques de dépôts) qui pour cela créent de la monnaie scripturale. Ensuite, les banques de dépôts se re-financent auprès de la BCE avec constitution de garanties : cet « argent neuf » (monnaie de base) nouvellement créé (et échangé contre des obligations) par la banque centrale permet aux banques de second rang de renforcer leurs fonds propres. Ce renforcement de fonds propres leur permet alors de créer une quantité limitée de monnaie scripturale afin de faire de nouveaux prêts aux ménages et aux entreprises (pour relancer la consommation et la production). En cas de non remboursement des prêts par les ménages et les entreprises, la banque de second rang (banque de dépôts ou banques commerciales) peut être mise en liquidation judiciaire (faillite) par le tribunal de commerce qui ordonnera l'adjudication de ce qui reste à l'actif du bilan afin d'indemniser les créanciers. Les entreprises financières prestataires de services d'investissements (banques d'affaires) ne sont pas, contrairement à leur dénomination, de vraies banques : elles n'ont pas accès au guichet de la BCE. La nécessité de rembourser tôt ou tard cette montagne de dette, fera peser, selon certains économistes, un risque d'augmentation, pour la décennie à venir, de le pression fiscale supportée par les ménages et les entreprises[3]. Pour d'autres économistes, la dette, contractée par les états du G20, devrait être résorbée par l'inflation[4] [3](voir par l'hyperinflation) et non par des augmentations d'impôts.

Le cumul mondial des mesures budgétaires et monétaires annoncées par les gouvernements et par les banques centrales, pendant le mois de mars 2020, sont phénoménales. Elles sont comprises, selon les analystes, entre 6 000 milliards et 8 000 milliard de dollars. Le cumul mondial des seules mesures monétaires des banques centrales (création de monnaie centrale appelée monnaie de base ou agrégat M0) se situerait entre 3 000 milliards et 4 000 milliards de dollars : c'est nettement supérieur aux montants affichés pour atténuer les effets de la crise financière de 2007-2008 (crise des subprimes et faillite de la banque Lehman Brothers).

[5] +monnaie hélicoptaire https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-la-bce-ouvre-t-elle-la-voie-a-la-monnaie-helicoptere-1188199

Amériques : Belem do Pará

violencia de Género en el Ecuador.] ( Objetivo 1 del Plan Nacional de Desarrollo 2017-2021 establece “Garantizar una vida digna con iguales oportunidades para todas las personas” e incluye la política 1.10 “Erradicar toda forma de discriminación y violencia por razones económicas, sociales, culturales, religiosas, etnia, edad, discapacidad y movilidad humana, con énfasis en la violencia de género y sus distintas manifestaciones”; y, entre sus metas contempla: “Reducir la tasa de femicidios de 0,85 a 0,82 por cada 100.000 mujeres”.) "Desde la promulgación del Código Orgánico Integral Penal (COIP) en agosto de2014, se incluye al femicidio y otras formas de violencia contra las mujeres como delitos penales. "

Bac à sable modifier

=Données Europe entière modifier

Évolution des principaux indicateurs démographiques[6]
Année Population (en milliers d'habitants)[7] Naissances annuelles sélection Décès annuels sélection Solde naturel annuel sélection Taux de natalité moyen sur les 5 dernières années (‰)[8] Taux de mortalité moyen sur les 5 dernières années(‰)[9] Solde naturel (‰)sélection Indice de fécondité [10] Age médian de la population[11]
1960 605 407*** 634 783 4 406 579 5 088 682 20,9 10,2 10,8 2,66 30,3
1965 634 783 8 602 781 4 666 770 3 936 011 19,1 9,7 7,9 2,57 30,9
1970 656 919 8 202 009 5 097 456 3 104 553 16,8 9,9 6,0 2,37 31,7
1975 676 895 7 806 960 5 471 774 2 335 186 15,6 10,2 4,4 2,17 32,1
1980 693 567 7 849 556 5 793 550 2 056 006 14,8 10,5 3,7 1,98 32,6
1985 705 584 7 719 036 6 006 415 1 712 621 14,3 10,8 3,1 1,88 33,5
1990 720 858 7 135 726 6 011 059 1 124 667 13,7 10,6 2,0 1,81 34,6
1995 726 994 5 843 174 6 752 958 -909 784 11,5 11,2 -1,6 1,57 36,1
2000 725 558 5 632 895 6 646 448 -1 013 553 10,3 11,5 -1,4 1,43 37,7
2005 729 288 5 868 443 6 727 424 -858 931 10,1 11,6 -1,5 1,43 39,1
2010 736 413 6 430 894 6 429 681 1 213 10,9 11,3 0 1,56 40,3
2015 743 059 6 257 490 6 483 529 -226 039 10,9 11,1 -0,4 1,60 41,4
2020 747 636 6 6 -2 10,4 1 -0 1,61 42,5


La chronologie de la place des femmes dans le monde scientifique en France à partir du XIXe siècle s'établit de la manière suivante.

XIXe siècle modifier

XXe siècle modifier

  • 1903Marie Skłodowska-Curie (1867-1934) est la première femme à recevoir le Prix Nobel (Physique). Elle deviendra également en 1911 la première femme à recevoir un second Prix Nobel (Chimie) et l'une des deux seules personnes à l'avoir reçu dans plus d'une discipline [14]; Première femme à réussir le concours d'internat des asiles psychiatriques : Madeleine Pelletier.
  • 1906 — Après la mort accidentelle de Pierre Curie, Marie le remplace à son poste de professeur à la Sorbonne en tant que chargée de cours et devient ainsi la première femme à ce poste.
  • 1907 — Création de la première école d'infirmières à l'Hôpital de la Salpêtrière ; première agrégée de sciences naturelles.
  • 1908 — Première femme titulaire d'une chaire à la Sorbonne, Marie Curie est nommée professeur titulaire dans sa chaire de physique générale puis physique générale et radioactivité.
  • 1910 — Élise Deroche (1882-1919) se voit décerner par l'Aéro-Club de France le brevet de pilote no  36 et devient la première femme pilote brevetée au monde (Histoire de l'aviation).
  • 1912Edmée Chandon (1885-1944) fut en France la première femme nommée astronome professionnelle.
  • 1913 — Première agrégée de sciences physiques.
  • 1919Yvonne Pouzin, première femme médecin des hopitaux[12]
  • 1922 — Première femme élue à l'Académie de médecine : Marie Curie.
  • 1923 — Première femme agrégée de médecine.
  • 1924 — Les programmes de l'enseignement secondaires deviennent identiques pour les filles et les garçons. Création de l'école polytechnique féminine par Marie-Louise Paris[14].
  • 1929Lucie Randoin (1885-1960), directrice du laboratoire de physiologie à l'Institut national de la recherche agronomique, est la première femme à enseigner à la faculté de médecine de Paris.
  • 1930 — Interne des hôpitaux de Paris de 1922 à 1926, Thérèse Bertrand-Fontaine (1895-1987) est devenue en 1930 la 1re femme à être Médecin des hôpitaux de Paris[12].
  • 1934Jeanne Lévy est la première femme agrégée de médecine à Paris ; Jacqueline Ferrand devient lauréate du premier prix du concours général de mathématiques[15]
  • 1936 — Fernande Flous devient docteur ès sciences. Jacqueline Ferrand est admise à l’École normale supérieure de garçons comme étudiante[15]
  • 1937 — Jeanne Miquel est la première femme de nationalité française diplômée vétérinaire[16].
  • 1939 — Jacqueline Ferrand est reçue première à l'agrégation de mathématiques[15]
  • 1943Marie-Louise Dubreil-Jacotin devient professeur d'université en mathématiques[15]
  • Années 1950-1960 — Les femmes s'investissent fortement (40 % des effectifs) dans l'informatique, « secteur était mal connu et peu prestigieux »[14].
  • 1953Paulette Libermann présente sa thèse de géométrie différentielle contenait des résultats dont beaucoup seront redécouverts plus tard[15].
  • 1959 — Première femme titulaire d'une chaire à la faculté de médecine de Paris : Jeanne Lévy.
  • 1962Marguerite Perey devient la première femme correspondante de l'Académie des sciences.
  • 1969Thérèse Bertrand-Fontaine a été élue Membre titulaire de l'Académie de médecine, première femme ayant ce poste.
  • 1973 — L'École Polytechnique ouvre son concours aux femmes[12] et accueille ses 4 premières étudiantes.
  • '1975Christiane Desroches Noblecourt reçoit la médaille d'or du CNRS en 1975[15] pour ses travaux en archéologie[15].
  • 1979Yvonne Choquet-Bruhat (1923-) est la première femme à être élue à l'Académie des Sciences[12] ; Première femme membre de l'Académie Vétérinaire : Mme Dhennin-Balsa ; Première femme Médecin Général : Valérie André.
  • Années 1980 — Les métiers de l’informatique gagnent en prestige et la part des femmes y diminue[14].
  • 1980 — Première femme agrégée de mécanique.
  • 1985Claudie Haigneré, rhumatologue, est sélectionnée par le CNES pour devenir astronome[15].
  • 1995 — Les cendres de Marie Curie sont transférées au Panthéon de Paris. Elle est alors la seule femme honorée au Panthéon pour son travail.
  • 1997Anne Bargès (1960- ) est la première femme docteur en médecine à obtenir une thèse de doctorat en anthropologie sociale[réf. nécessaire].
  • 2002Christine Petit devenue professeur au Collège de France, continue de développer ses travaux sur la surdité héréditaire en dirigeant la chaire « Génétique et Physiologie cellulaire »[15].
  • 2009Isabelle Adenot, docteur en pharmacie, président du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens.
  • 2009Monique Adolphe, biologiste, première femme présidente de l'Académie nationale de pharmacie.

Frise chronologique modifier

Marie CurieYvonne Choquet-BruhatThérèse Bertrand-FontaineAugusta Dejerine-KlumpkeMadeleine Brès


Notes et références modifier

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées zombi
  2. https://www.agefi.fr/asset-management/actualites/article/20200315/grandes-banques-centrales-lancent-action-295418
  3. a b et c https://www.lopinion.fr/edition/economie/coronavirus-face-cachee-soutien-illimite-a-l-economie-215039 25 mars 2020
  4. https://www.capital.fr/entreprises-marches/bce-fed-les-banques-centrales-sont-prises-a-leur-propre-piege-1364582
  5. https://news-24.fr/les-gouvernements-et-les-banques-centrales-doivent-redoubler-defforts-pour-aider-les-economies-a-faire-face-a-la-crise-le-chef-de-la-bri/
  6. World Population Prospects: The 2010 Revision
  7. United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2019). World Population Prospects 2019, custom data acquired via website : Europe, Total Population by sex (thousands) (years)
  8. United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2019). World Population Prospects 2019, custom data acquired via website : Europe, Crude birth rate (births per 1,000 population) (years)
  9. United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2019). World Population Prospects 2019, custom data acquired via website : Europe, Crude death rate (deaths per 1,000 population) (years)
  10. United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2019). World Population Prospects 2019, custom data acquired via website : Europe, Median age of the total population (years), moyenne des 5 dernières années
  11. United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2019). World Population Prospects 2019, custom data acquired via website : Europe, Median age of the total population (years)
  12. a b c d e f et g Rose Agnès Jacquesy et Odile Eisenstein, « Les femmes et les sciences en France : quelques dates, quelques faits, quelques chiffres… ou Les femmes en science, en a-t-on vraiment besoin ? », L'actualité chimique, no 385,‎ (lire en ligne)
  13. Julien Pierre, « Les premières femmes diplômées de pharmacie dans une quarantaine de pays : Rosa C. d'Alessio de Carnevale Bonino, La mujer y la farmacia en el mundo, in Bol. Soc. Esp. Hist. Farm., 1968 », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 58, no 206,‎ , p. 208-209 (lire en ligne, consulté le )
  14. a b c d e et f Céline Calvez et Stéphane Viry, « Rapport d'information sur les femmes et les sciences », sur assemblee-nationale.fr,
  15. a b c d e f g h et i « 40 femmes scientifiques remarquables du XVIIIème siècle à nos jours », sur femmesetsciences.fr, , p. 52
  16. « 250 ans d'histoire de la profession vétérinaire... mais seulement 77 ans pour les femmes françaises. » [PDF], p. 4

Sources bibliographiques modifier