Utilisateur:Nonopoly/Brouillon Voies de Lyon (travail en cours)
Cette liste synthétise les éléments bibliographiques et historiques relatifs aux voies de Lyon, en France. Elle comprend tous types de voies, notamment pour les plus courantes : rues, avenues, boulevards, places, impasses, etc. Elle accepte également des types de voies moins spécifiques, notamment « square » ou « pré », quand ces voies ont à une période donnée porté un type plus spécifique comme place, cours, boulevard, rue, chemin, etc.). Par exemple, le square Janmot a porté le nom de place Janmot et mérite de figurer dans cette présente liste.
Les éléments sont classés en quatre colonnes pour les chiffres de 1 à 9 puis pour chacune des 26 lettres de l'alphabet. Par respect des conventions typographiques des odonymes, cette liste prend le parti délibéré de respecter strictement la graphie avec trait d'unions dans les noms composés, y compris avec des chiffres. Par exemple, la graphie « rue Paul-Bert » est préférée à « rue Paul Bert », ainsi que « place du 8-mai-1945 » préférée à « place du 8 mai 1945 ». Par convention pour ce seul article, l'italique sera utilisé pour les les anciennes dénominations et noms disparus, indiquées avec les date ou période sous lesquelles ils sont attestés.
- La première colonne recense les noms actuels par ordre alphabétique et soulignés, qu'il soient :
- ceux qui ont été attribués comme tels par une délibération municipale ou du Consulat ou l'autorité en place dont l'usage est majoritaire
- ceux en usage sans être officiels mais apparaissant comme tels sur les plans, plaques de rues ou dans la bibliographie, privilégiés au nom attribué « officiellement » mais dont la fréquence est moindre dans les sources précitées.
- Exemple : la place Abbé-Larue sous laquelle cette place est la plus connue (bibliographie, plaques de rues, openstreetmap, etc.) sera rangée à cette entrée, mais figurera également aux noms sous lesquels elle apparaît dans l'ensemble des sources, notamment « place Larue », et également à ses noms plus ou moins complets de « place de l'Abbé-Larue » ou encore « place de l'Abbé-François-Larue », avec renvois dans tels cas au nom usuel de « place Abbé-Larue ».
- La deuxième colonne permet de ranger les odonymes selon l'ordre alphabétique de leurs composants, outre le premier. Ainsi, le nom de « montée du Lieutenant-Allouche » sera raisonnablement et logiquement rangée dans la première colonne de la lettre L, pour « lieutenant », mais également dans la deuxième colonne de la lettre A pour « Allouche ». Cette classification, qui ne comporte aucun élément supplémentaire (sans historique, par exemple), permet de trouver les odonymes se référant par exemple aux porteurs d'un même patronyme. A titre indicatif, les odonymes « rue Benoît-Bernard », « quai Claude-Bernard » et « rue Jean-Marc-Bernard », seront rangés dans la première colonne des lettres respectives B pour « Benoît », C pour « Claude » et J pour « Jean-Marc » mais apparaîtront également ensemble dans cette deuxième colonne à la lettre B pour Bernard ; ainsi que dans cette même deuxième colonne à la lettre M pour « Marc » dans ce dernier nom.
- La troisième colonne présente un classement alphabétique des odonymes disparus, avec le nom actuel si la voie n'a pas purement disparue, auquel dernier cas cette précision est indiquée entre parenthèses. Si la voie est connue actuellement sous un autre nom, le lien cliquable pointe vers la notice concernée et l'indication de son nom actuel suit l'ancien nom.
- La quatrième colonne présente un classement alphabétique des odonymes disparus, selon l'ordre alphabétique de leurs composants, outre le premier, à l'image de la deuxième colonne. Par exemple, la rue de la Belle-Allemande, aujourd'hui rue d'Ypres comportera un lien principal à Y dans la première colonne, pour « Ypres » nom sous lequel elle existe actuellement, mais également dans la troisième colonne de la lettre B pour « Belle », et la quatrième colonne de la lettre A pour « Allemande ». Les fonctions de recherche que comportent les appareils de lecture actuels ne rendent pas ce classement obsolète dans le sens où il permet le regroupement de noms ayant un lien commun par leur origine ou leur attribution. À ce titre, le lecteur cherchant les odonymes disparus comportant la notion d'« impérial » trouvera dans les troisième et quatrième colonnes de la lettre I, les odonymes disparus suivants : rue de l'Impératrice, rue Impériale, quai du Prince-Impérial. Le lecteur peut observer que le mot cul, connoté, et comme un grand nombre d'odonymes connotés remplacés par les pouvoirs en place, notamment par le maire Jean-François Terme pour cette seule raison au sujet de la rue de l'Enfant-qui-Pisse devenue « tout bêtement rue Lanterne », selon l'auteur Félix Benoît[1], se retrouve dans deux montées de la colline de Fourvière : la montée de Gratte-Cul, devenue montée Nicolas-de-Lange, et la montée de Tire-Cul, devenue montée des Chazeaux, et cette observation n'est permise que par un classement commun dans cette dernière colonne.
Globalement, il faut noter :
- Quand les sources principales sont concordantes, une seule est indiquée, dans le cas contraire, elles sont spécifiées.
- L'orthographe des sources, outre les règles de typographie en vigueur notamment dans le cas de noms composés, est respectée :
- l'hapax « rue Abraham-Block » avec un k cité par Maurice Vanario correspond de fait à la rue Abraham-Bloch avec un h, attribuée en l'honneur d'Abraham Bloch, et n'est connue que sous cette dernière graphie dans toutes les autres sources avec un h et non un k, mais au motif qu'elle est citée comme telle par l'une des principales sources utilisées pour la rédaction de cette liste, elle mérite d'y apparaître.
- la place Meissonnier (avec deux n), fautive du point de vue de son orthographe en référence au peintre Ernest Meissonier (avec un seul n), est orthographiée comme telle sur les plaques de rues et dans trois des quatre sources principales et se trouvera à cette entrée avec deux n.
- À la suite d'un odonyme, plusieurs indications peuvent être trouvées pour compiler ses principaux éléments remarquables comme :
- « voie nouvelle », « place nouvelle », etc. Exemple : Place Alfred-Vanderpol (place nouvelle ; attribution le [2])
- ouverture, inauguration, achèvement. Exemple : Place Abbé-Pierre (place nouvelle ; ouverture en 2010[3] ; inauguration le [4] ; achèvement en 2017[3])
- attribution. Exemple : Avenue Adolphe-Max (attribution le [5])
- débaptisation. Exemple : Rue d'Alger (attribution le , débaptisation le [6]) : rue Claudius-Collonge
- voie privée. Exemple : Impasse de la Maladière (voie privée[7])
- « attesté-e en » ou « depuis » (suivi de la date). Exemple : Voûte d'Ainay (attestée en 1867[8])
- fragment, portion, tronçon, etc., avec indication du point cardinal indicatif ou de la partie concernée comme « extrémité sud », « partie médiane », « à partir des numéro 191 et suivants », etc. Exemple : Rue Alexander-Fleming - Avenue Jules-Carteret (portion)[9]
Chiffres de 1 à 9Modifier
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Plaque de la rue Étienne-Richerand, avec la mention « chemin vicinal ordinaire no 10 », en .
Plaque de la rue du 3-septembre-1944, date de libération de Lyon.
Plaque de la rue du 24-mars-1852, date du rattachement de l'ancienne commune de Vaise à Lyon.
Plaque de l'avenue du 25e-Régiment-de-Tirailleurs-Sénégalais.
AModifier
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BModifier
CModifier
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Plaques à l'angle des rues Calas et de Cuire, en .
Plaque de la rue Camille-Roy en .
Plaque du boulevard des Canuts en .
Plaque de la rue du Capitaine-Robert-Cluzan, en l'honneur du martyr de la résistance, Robert Cluzan dit « Fabrice », vue en .
La « montée de Fourvière » est devenue la montée du Cardinal-Decourtray.
La montée du Cardo, en l'honneur du cardo maximus, l'une des voies principales de la ville à l'époque romaine.
Plaque de la montée des Carmes-Déchaussées en .
Plaque du boulevard des Castors, en .
Plaque neuve, passage Cazenove, en .
Plaque de l'allée du Champ-de-Colle, en .
Plaque de la place Charles-Dufraine, en .
Plaque de la rue Charles-Richard avec la mention « chemin vicinal no 178 ».
Plaque en relief du cours Charlemagne, en .
Plaque du chemin Vert, en .
Plaque de la rue de la Cité avec mention « chemin vicinal ordinaire no 57 », en .
Plaque de l'impasse Claude-Jourdan avec mention « voie privée », en .
Plaque de la rue Claudius-Pionchon, en .
Plaque de la rue Clos-Suiphon, en .
Plaque de la rue du Colombier, en .
Plaque de la rue du Commandant-Caroline-Aigle, honorant Caroline Aigle (1974-2007), « première femme de l'armée de l'air pilote de chasse ».
Plaque de la rue du Commandant-Fuzier, en .
Plaque de la rue de Condé, dite ici « rue Condé », en .
Plaque de la rue Confort, en .
Plaque de la rue de la Corderie, recouvertes de graphitis et d'auto-collants, en .
Entré de la rue Couverte avec plaque de rue, depuis le quai Saint-Vincent, en .
Plaque de la rue de Créqui, dite ici « rue Créqui », en .
Indication en relief sur façade de la rue Creuzet, en .
Odonyme sculpté en façade d'un immeuble du boulevard de la Croix-Rousse, en .
Ancienne et nouvelle plaques de la rue de Constradt, en .
Limite intercommunale entre Lyon et Caluire-et-Cuire à la rencontre des rues de Cuire et Pierre-Brunier, en .
Plaque de la rue Curie, en .
DModifier
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Plaque de la rue Danton, en .
Plaque de la rue du Dauphiné avec mention « chemin de grande communication no 29 », en .
Plaque de la rue David avec un tag « ♡ Bowie » et un graphiti au-dessus à l'effigie du chanteur David Bowie (1947-2016), sans lien avec la rue, vue en . Une rue David-Bowie existe à Paris.
Plaque de la rue Denfert-Rocherau, en .
Plaque de la rue Désirée, avec l'orthographe fautive sans « e », vue en . L'orthographe correcte est bien avec la terminaison « -ée », la rue étant « vivement désirée par le public » [76].
Plaque de la rue des Deux-Places, en .
Plaque de la rue Docteur-Amant-Gélibert, en .
Plaque de la rue du Docteur-Bonhomme, en .
Plaque de la rue du Docteur-Rebatel, ici « rue Docteur Rebatel », vue en .
Plaque de la rue du Docteur-Victor-Despeignes, en .
Plaque de la rue Dominique-Perfetti, en .
Plaque de la rue Donnée, couvertue d'auto-collants, en .
Plaque de la rue Dugas-Montbel, en .
Indication de la rue Duguesclin, en .
Plaque de la rue Dumenge, en .
Plaque de la rue Dumont-d'Urville, en .
Indication en relief de la rue Duquesne, avec lettres manquantes, vue en .
EModifier
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Plaque de la rue Edison, en .
Plaque de la rue Édouard-Millaud, en .
Plaque de la rue Édouard-Nieuport, en .
Plaque de la rue Édouard-Rochet, en .
Plaque de la rue Élie-Paris, en juin.
Plaque de la rue Élie-Rochette, en .
Plaque de la rue des Émeraudes, en .
Plaque de la rue Émile-Combes, en .
Plaque de la rue de l'Épée, en .
Plaque de la rue de l'Espérance, en .
Plaque du boulevard des États-Unis, en .
Plaque de la rue Étienne-Richerand, avec la mention « chemin vicinal ordinaire no 10 », en .
Plaque du boulevard Eugène-Deruelle, en .
Plaque de la rue Eugène-Pons, en .
Plaque du cours Eugénie, avec mention « chemin vicinal no 153 », en .
L'ancienne rue Marceau est devenue rue Eugénie-Brazier, vue en .
FModifier
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Plaque de la rue des Fantasques et autres panneaux indicatifs d'itinéraires touristiques, en .
Plaque de la rue de Fargues, tronquée à gauche, en .
Plaques à l'angle du passage Faugier et de la rue Pierre-Semard, en .
Plaque de la rue de la Favorite, avec mention « ch[em]in vicinal no 13 de la Favorite », en .
Plaque de la rue Félissent, en .
Plaque de la rue Félix-Brun, en .
Plaque de l'avenue Félix-Faure, en .
Plaque de la rue Ferdinand-Buisson, abimée par le temps, en .
Deux plaques de rue : la montée des Carmélites, maintenue dans ses parties médiane et haute, est devenue rue Fernand-Rey dans sa partie basse, vue en .
Plaque de la petite rue des Feuillants, en .
Plaque de la rue Fiol, en .
Plaque de la passerelle Florence-Arthaud, en .
Plaque de la rue Fournet, fendue, en .
Plaque de la rue François-Dauphin, en .
Plaque de la rue François-Villon, en .
Plaque du cours Franklin-Roosevelt, en .
Plaque de l'avenue du Frêne, en .
Plaque de l'avenue des Frères-Lumière, en .
Plaque de la rue de la Fromagerie, en .
GModifier
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Plaque de la rue Gadagne, en .
Deux plaques superposées au nom du cours Gambetta, en .
Plaque de l'impasse Gantz, en .
Plaque du quai de la Gare-d'Eau, qui n'est plus un quai, en .
Plaque de la rue de la Garenne, en .
Plaque de la rue Garibaldi, en .
Indication en relief de la rue Gasparin, en .
Plaque de l'impasse Gazagnon, en .
Plaque de la montée des Génovéfains, en .
Plaque de l'impasse Gentil, en .
Plaque de la rue de la Gerbe avec œuvre artistique (collage représentant une femme à tête de chat vomissant des tiges fleuries, faites en crochet, vue en . Le nom de « gerbe », attesté depuis au moins 1550, évoque une enseigne disparue en forme de gerbe de blés, et n'a pas de rapport avec le mot « gerbe », synonyme argotique de « vomi ».)
Plaque de la rue Germain avec mention « chemin vicinal ordinaire no 141 », en .
Plaque de la rue Gilibert, en .
La « petite rue Pizay » est devenue rue Giuseppe-Verdi.
Plaque du passage Gonin, en .
Inscription en relief de l'avenue de Grande-Bretagne, en .
Plaque de la rue Grataloup, la barre du p manquante donne la lecture Gpataloup, vue en .
Plaque de la rue Grôlée, orthographiée correctement avec ses accents, en .
Fausse plaque au nom d'une fictive « rue du Partage » en plexiglas punaisé sur un bac à compost, grande rue de la Guillotière, en .
Plaque de l'impasse du Général-de-Luzy, en .
Plaque de la rue du Général-Miribel, ici « rue Général-Miribel », en .
HModifier
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Liste générale des noms | Liste des noms composés | Liste des anciens noms et noms disparus | Liste des anciens noms composés et noms composés disparus |
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Plaque de l'allée Hannah-Arendt, en 2017.
Plaque de la rue de l'Harmonie, atteinte par la rouille, en .
Plaque de la rue Hector-Berlioz, en .
Plaque de la rue Hector-Malot, taguée, en .
Plaque de la rue Henri-Germain en .
Plaque de la rue Henri-IV, en .
Plaque de la montée Hoche, en .
Ancienne plaque de la « rue de l'Hospice-des-Vieillards » devenue rue Claude-Boyer, vue en .
Plaque de la rue Hrant-Dink avec la mention « journaliste assassiné », en .
Plaque de la rue Hugues-Guérin, avec trace de l'ancienne plaque, en .
Plaque de la rue de l'Humilité, en .
IModifier
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Liste générale des noms | Liste des noms composés | Liste des anciens noms et noms disparus | Liste des anciens noms composés et noms composés disparus |
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Plaque de la rue Imbert-Colomès, en .
Plaque de l'allée d'Italie, en .
Plaque de la rue d'Ivry à l'angle avec la rue Louis-Thévenet, en .
JModifier
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Plaque de la rue Jangot, en .
Plaque de la rue Jacques-Moyron, avec coulures de peintures, en .
La rue Stella, ainsi connue par la bibliographie et les usages, sur une plaque de rue sous le nom de « rue Jacques-Stella ».
Plaque de la rue Jarente, en .
Plaque de la rue Jean-Bart, en .
Plaque de la rue Jean-Carriès avec une ancienne plaque en pierre au nom de la « rue de la Pioniere », vue en .
Plaque de la rue Jean-Fabre, vandalisée, en .
Plaque de l'avenue Jean-Jaurès, en .
Plaque du quai Jean-Moulin avec mention « créateur des mouvement unis de la Résistance fondateur et président du conseil de la Résistance arrêté et torturé à mort par Gestapo », en .
Plaque de la rue Jean-de-Tournes, en .
Plaque de l'impasse Jean-Ladous, avec une autre plaque « Impasse privée réservée aux résidents », en .
Plaque du boulevard Jean-XXIII, en .
Plaque de l'impasse Jeanne-d'Arc, en .
Plaque de la rue Jeanne-d'Arc avec mention « chemin vicinal no 135 de Jeanne d'Arc », en .
Plaque de la rue Jeanne-Hachette, en .
Plaque de la rue Joannès-Carret, en .
Plaque de la rue Jonas-Salk, en .
Plaque de la rue Joseph-Chapelle, en .
La « rue Lafont » est devenue rue Joseph-Serlin, vue en .
Plaque de la rue Joséphine-Baker, en .
Plaque du boulevard Jules-Favre, en .
Plaque de la rue Jussieu, dans sa version « rue de Jussieu », en .
KModifier
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Liste générale des noms | Liste des noms composés | Liste des anciens noms et noms disparus | Liste des anciens noms composés et noms composés disparus |
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Plaque de la rue Kimmerling, en .
LModifier
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Plaque de l'avenue Lacassagne avec mention « chemin vicinal no 17 », en .
Plaque du cours Lafayette, située en fait passage Coste qui y aboutit.
Plaque du passage Lamure, avec mention de la date de 1837, attesté plus tardivement sous ce nom en 1847[141], vue en .
Plaque de la rue Lanterne, en .
La rue de la Duchère est devenue rue Laure-Diébold en 1970.
Plaque de la rue Le Royer, en .
Une portion de la rue Laënnec est devenue promenade Léa-et-Napoléon-Bullukian en 1989, vue des deux plaques superposées en .
Plaque de l'avenue Leclerc, à propremenet parler, un des quais du Rhône, vue en .
Plaque de la rue Lemot, sur un mur recouvert d'un graffiti, vue en . Les pentes de la Croix-Rousse sont un haut-lieu de l'art urbain.
Plaque de la rue de Lilas, en .
Plaque de la rue Longue vue en sous son ancien nom de « grand rue Longue », qui malgré son nom, est courte. Il existait une « petite rue Longue » perpendiculaire, devenue une partie de la rue Pléney.
Plaque rouillée de la rue Louis-Thévenet, en .
Plaque de la rue Louise, avec mention « chemin vicinal no 177 », en .
Plaque d l'impasse du Lutin, en .
MModifier
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Plaque en céramique vernissée de la rue des Macchabées, en .
Rue Major-Martin avec mention de deux anciens noms, rue de la Tunisie et rue Luizerne.
Plaque de la rue du Mail, en .
Plaque superposées au nom de la rue Malesherbes, en .
Plaque de la rue du Manège, disparue (?)
La rue Marceau, devenue rue Eugénie-Brazier en 2000, plaques superposées vues en .
La rue de l'Hôpital est devenue rue Marcel-Gabriel-Rivière en 1979, double plaques vues en .
Plaque de la rue Marie-Henriette, en .
Plaque de l'allée Marie-Louis-Rochebillard, en .
Plaque de la rue des Marronniers, en .
Plaque de la rue de Marseille, avec lettres manquantes, en
Deux plaques, la première une plaque de la rue Maurice-Flandin avec mention « chemin vicinal no 54 », la seconde plaque est un hommage à la personne de Maurice Flandin, éponyme de la rue, héros de la Résistance, en .
Plaque de la rue Mazagran, en .
Plaque du passage Mermet, en .
Plaque de la rue de la Métallurgie, en .
Plaque de la rue de la Meuse, abimée par le temps, en .
Plaque de la rue de la Mignonne.
Plaque manquante, rue du Milieu, en . Les lettres sont encore visibles en léger relief.
La rue des Prêtres est devenue rue Monseigneur-Lavarenne en 1950, vue des plaques superposées en .
La rue Saint-Louis est devenue rue Montcharmont en 1946, ici orthographiée « rue Moncharmont », plaque de rue vue en , comporant la mention de l'ancien nom de la rue. La rue honore le directeur du théâtre des Célestins voisin, Charles Montcharmont (1870-1941).
Plaque de l'impasse Morel avec une autre plaque mentionnant le caractère privé de la voie, vues en .
La rue Pissetruie, Pisse-Truie ou Pisse-Truye (attestée en 1680) est devenue rue Saint-Pierre-le-Vieux, et enfin rue Mourguet, plaque en pierre avec l'ancien nom Pissetruie en .
Plaque de l'impasse des Mûres, en .
NModifier
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Liste générale des noms | Liste des noms composés | Liste des anciens noms et noms disparus | Liste des anciens noms composés et noms composés disparus |
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Plaque de la rue de Narvik, ici « rue Narvick » avec un c supplémentaire fautif et sans préposition, du nom de la ville de Narvik en Norvège, vue en .
Plaque de la rue de la Navigation, en .
Plaque de la rue de Nazareth, ici « rue Nazareth », en .
Plaque de la montée Neyret, en .
Plaque de la rue Nipece avec un panneau mentionnant le cheminement piétonnier pour accéder à la rue d'Ypres, en .
Plaque de la rue Notre-Dame, avec un accent circonflexe fautif sur le o et mention « chemin vicinal ordinaire no 139 », en .
Plaque de la rue des Nouvelles-Maisons, en .
Plaque de la rue Nungesser-et-Coli, en .
Plaque de la rue Nérard, en .
OModifier
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Liste générale des noms | Liste des noms composés | Liste des anciens noms et noms disparus | Liste des anciens noms composés et noms composés disparus |
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Plaque de la rue Octavio-Mey, en .
Plaque de la rue de l'Oiselière, en .
Plaque de la rue Omer-Louis, en .
Plaque de la rue d'Oran, en .
Plaque de l'impasse de l'Ordre, en .
Plaque de la rue Ornano, en .
Plaque de la rue Ozanam, en .
PModifier
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Plaque de la rue du Palais-de-Justice, en .
Plaque du passage Panama en .
La place Pandaleix, devenue place de la Baleine, vue de l'inscription gravée en .
Plaque de l'impasse Paquet-Mérel, avec une plaque mentionnant le caractère privée de l'impasse, en .
Plaque du boulevard du Parc-d'Artillerie, en .
Plaque de la rue Parmentier, en .
Plaque de la rue Paul-Borel, en .
Plaque de l'impasse Paul-Cazeneuve, en .
La rue du Vivier tenant son nom du château du Vivier détruit en 1924[173], est devenue rue Paul-Duvivier en 1964, vue des plaques superposées en .
Plaque de la rue de Pazzi, ici « rue Pazzi », en .
Plaque du quai de la Pêcherie, en .
Plaque du cours Perrache, devenu chaussée Perrache en 1837 et quai Perrache en 1890, vue en .
Plaque de la rue Pierre-Bonnaud, en .
Plaque de la rue Pierre-Corneille, en .
Plaque de l'avenue Pierre-Millon, en .
Plaques à l'angle de la rue Pierre-Semard et du passage Faugier, en .
Plaque de la rue des Pierres-Plantées, en .
Plaque de l'impasse des Pins, en .
Plaque de la rue Pizay, en .
Plaque de la rue de la Platière, en .
Plaque de la rue des Pommières, en .
Plaque de la rue du Pont-Cotton, en .
Plaque de la rue Port-du-Temple, en .
Plaque de la rue de la Poulaillerie, en .
Plaque de la rue du Premier-Film, en .
Plaque de la rue du Président-Édouard-Herriot, en .
Plaque de la rue du Professeur-Florence, et plaque ancienne au nom du « chemin de Montchat » avec mention « chemin vicinal ordinaire no 59 », vues en .
Plaque de la rue du Professeur-Grignard, en .
Plaque de la rue du Professeur-Paul-Sisley, avec mention « chemin vicinal no 18 » et plaque avec l'ancien nom de rue des Tournelles, avec mention différente « chemin vicinal oridinaire no 18 », vues en .
Plaque de la rue de Provence, en .
QModifier
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Liste générale des noms | Liste des noms composés | Liste des anciens noms et noms disparus | Liste des anciens noms composés et noms composés disparus |
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Indication en relief de la rue des Quatre-Chapeaux sous le nom « rue Quatre Chapeaux », en .
Plaque de la rue Quivogne.
RModifier
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Plaque de la rue Rabelais, en .
Plaque de la rue Rachais, en .
Le quai Rambaud s'est vu attribué le nom de cours Rambaud, en 1830 sans suite et de 1837 à 1890[66], plaque vue en .
Plaque de la rue des Rancy, en .
Plaque de la rue Raoul-Servant, en .
Plaque de la rue Rast-Maupas, recouverte de graffitis, en .
Plaque de la montée Rater, en .
Plaque de la rue Raymond, en .
Plaque de la rue des Remparts-d'Ainay, en .
Plaque de la rue Renan, en .
Plaque de la rue du Repos, en .
Plaque de la rue de la République, principale artère piétonne du centre de la ville.
Plaque de la rue Riboud, en .
Plaque de cocher avec mention « Ch[em]in v[icin]al de g[ran]de C[ommunicati]on no 29 de la Guillotière à Crémieux », située cours Richard-Vitton, en .
Plaque de la rue de la Rize, en .
Plaque de la rue Roger-Radisson, en .
Tandis que la rue du Dauphiné dans le 3e arrondissement est attestée depuis 1905, l'ancienne rue Dauphine, attestée avant 1810, également attestéee sous le même nom de « rue du Dauphiné » homonyme dite ici rue Dauphine, est devenue rue Roger-Violi en 1946, plaques de rue superposées vues en .
Plaque de la rue Roposte, en .
Plaque de la rue Rosa-Bonheur, en .
Plaque de la rue de Rossan, en .
Plaque de la rue de la Ruche, en .
SModifier
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Plaque de la rue Sabine-et-Miron-Zlatin, fondateurs de la colonie des enfants d'Izieu, en .