Utilisatrice:Guallendra/Brouillon

Opération Calice modifier

Operatie Kelk

Références modifier

Affaire Andrea Contin modifier

Historique modifier

[1].

Références modifier

  1. Jérôme Gautheret, « De Padoue au Cap d’Agde, la vie secrète du curé proxénète », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )

Sources modifier

Lien note modifier

  • Yves Koechlin

Affaire Andrew Geddes ou Andrew Geddes (tennis) modifier

L'affaire Andrew Geddes

Historique modifier

En mai 2014, Andrew Geddes est mis en examen pour «viols et agressions sexuelles» sur trois de ses anciennes élèves de Sarcelles, âgées de 12 à 17 ans au moments des faits[1].

Références modifier

  1. Thomas Samson, « Qui est Andrew Geddes, l'entraîneur de tennis de Levallois accusé de viols? », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le )

Source modifier

  • 2014

Affaire Gilbert Hubermont modifier

Source modifier

Inscription de l'interruption volontaire de grossesse dans la Constitution française modifier

L'inscription de l'IVG dans le texte de la Constitution française est d'abord portée au cours de la XVe législature en par une proposition de loi communiste[1] au Sénat, puis en juillet 2018 à l'Assemblée nationale par plusieurs amendements des groupes PS[2],[3], UDI, Agir et Indépendants[4], LFI[5]et GDR[6] au projet de loi constitutionnelle pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace. Ces amendements sont rejetés par la majorité ou non examinés à cause de l'abandon de l'examen du texte à la suite de l'affaire Benalla. En 2019, une proposition de loi visant à protéger le droit à l’interruption volontaire de grossesse est portée par les députés des groupes PS, LFI et GDR[7]. Elle n'est pas mise à l'ordre du jour par la majorité[8].

À la suite de l'arrêt Dobbs v. Jackson Women's Health Organization de la Cour suprême américaine[9], qui a propagé une onde de choc dans le monde, plusieurs parlementaires annoncent leur intention de faire entrer l'IVG dans la Constitution française. Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance, dépose le une proposition de loi constitutionnelle visant à garantir le droit à l'IVG[10]. Les députés des groupes de la NUPES en déposent une le [11] avec comme premiers signataires les présidents de ces groupes, Mathilde Panot, Julien Bayou, André Chassaigne, Cyrielle Chatelain et Boris Vallaud. Au Sénat, la sénatrice écologiste Mélanie Vogel dépose également une proposition de loi constitutionnelle transpartisane[12] formulée en ces termes : « Nul ne peut porter atteinte au droit à l'interruption volontaire de grossesse et à la contraception. La loi garantit à toute personne qui en fait la demande l'accès libre et effectif à ces droits. »[13]. Elle est rejetée par le Sénat lors de la niche parlementaire des écologistes le [14].

Après ce revers au Sénat, les présidents et députés des groupes de la Nupes déposent une nouvelle version de la proposition de loi, intégrant également la contraception, le 7 octobre 2022[15]. Elle est le premier texte inscrit à l'ordre du jour de la niche parlementaire de la France insoumise le 24 novembre 2022. Dans un souci de consensus, Aurore Bergé retire sa proposition de loi, votée le en commission des Lois et qui devait être présentée le 28 novembre dans l'hémicycle[16], et se rallie à celle de la gauche[17]. À la suite d'un amendement modifiant sa rédaction, le texte dispose finalement dans la version soumise au vote : « La loi garantit l'effectivité et l'égal accès au droit à l'interruption volontaire de grossesse »[18]. Il est adopté en première lecture à 337 voix contre 32[19].

Le 13 novembre 2022, Marine Le Pen fait savoir son opposition à ce projet de loi[20]. L'analyse du scrutin la mentionne pourtant comme ayant voté en faveur du projet[21]. Marine Le Pen étant absente, un autre député RN se serait « trompé de place » et a voté « pour »[22]. Mediapart comme le journal Libération mentionnent le « double discours de Marine Le Pen » qui n’a pas « cessé de louvoyer sur cette question »[23].

Le texte est ensuite examiné au Sénat lors de la niche parlementaire des sénateurs socialistes, début février 2023[24]. Le texte est amendé par la droite sénatoriale afin d'éviter une adoption en des termes identiques, qui provoquerait un référendum sur la proposition, et d'inscrire une formulation différente : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme de mettre fin à sa grossesse. » puis adopté[25].

L'introduction de la notion de « liberté de mettre fin à la grossesse » face à celle de « droit à l'IVG » défendue par la gauche génère un doute sur la différence entre les conséquences juridiques des deux termes. De même, le passage de « personne » à « femme » laisse à penser que pourraient être exclus les hommes transgenres.

Emmanuel Macron reprend à son compte ces propositions, en annonçant, le 8 mars 2023, que l'inscription dans la Constitution du droit à l'avortement fera partie des mesures se trouvant dans un projet de loi constitutionnelle à venir[26]. En l'absence d'éléments concrets, La France insoumise annonce remettre la proposition de loi à l'ordre du jour de sa niche parlementaire du , afin de pousser le chef de l’État à proposer un projet de loi constitutionnelle (un projet de loi à l'initiative du gouvernement ne nécessite pas de référendum)[27]. Ce projet reprend une formulation quasiment identique à celle du Sénat : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d'avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ».

Le Conseil d’État, obligatoirement consulté sur les projets de loi, rend son avis le 7 décembre[28], il y dissipe le doute sur la différence entre « liberté de mettre fin à la grossesse » et « droit à l'IVG » : « Au vu de la jurisprudence du Conseil constitutionnel qui ne retient pas, en la matière, une acception différente des termes de droit et de liberté, le Conseil d’Etat considère que la consécration d’un droit à recourir à l’interruption volontaire de grossesse n’aurait pas une portée différente de la proclamation d’une liberté », ainsi que le doute résultant du fait de mentionner « la femme » en précisant que le droit à l'IVG concerne toute personne indépendamment du genre : « Il résulte de l’objet même de cette liberté et conformément à l’intention du Gouvernement qu’elle doit être entendue comme bénéficiant à toute personne ayant débuté une grossesse, sans considération tenant à l’état civil, l’âge, la nationalité et la situation au regard du séjour en France ».

Présenté en Conseil des ministres le , l'examen du projet de loi constitutionnelle débute le à l'Assemblée nationale[29],[30] puis est adopté le à 493 voix pour et 30 contre, dont 15 députés LR, 12 du RN, 2 ex-LR et une ex-RN[31].

Il est examiné en séance publique au Sénat le 28 février, où il est adopté à 267 voix pour et 50 contre[32]. Tous les sénateurs des groupes de gauche ainsi que l'essentiel de ceux des groupes du centre votent pour, tandis que 41 sénateurs du groupe LR votent contre, 13 s'abstiennent et 6 ne participent pas au vote, sur 132 membres.

Le , le Parlement réuni en Congrès adopte le texte à 780 voix pour, dépassant largement les 512 voix requises, et 72 contre[33],[34],[35],[36]. L'intégralité de la gauche vote pour, tandis que les votes contre comprennent 50 parlementaires LR, 13 du RN et de l'extrême-droite, et un ancien ministre d'Emmanuel Macron, Jean-Baptiste Lemoyne. En outre, 18 parlementaires LR et 20 du RN se sont abstenus, et 4 parlementaires LR, 11 du RN et 2 du parti Horizons ne sont pas venus voter.

Références modifier

  1. « Proposition de loi constitutionnelle n°545 visant à inscrire le droit à l'interruption volontaire de grossesse dans la Constitution »
  2. « Amendement n°1059 de première lecture à l'Assemblée nationale au projet de loi constitutionnelle n°911 pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace », sur Assemblée nationale
  3. « Amendement n° 1372 de première lecture à l'Assemblée nationale au projet de loi constitutionnelle n°911 pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace », sur Assemblée nationale.
  4. « Amendement n°426 de première lecture à l'Assemblée nationale au projet de loi constitutionnelle n°911 pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace », sur Assemblée nationale.
  5. « Amendement n°1115 de première lecture à l'Assemblée nationale au projet de loi constitutionnelle n°911 pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace »  , sur Assemblée nationale
  6. « Amendement n°2312 de première lecture à l'Assemblée nationale au projet de loi constitutionnelle n°911 pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace », sur Assemblée nationale.
  7. « Proposition de loi constitutionnelle n°2086 visant à protéger le droit fondamental à l'interruption volontaire de grossesse »  , sur Assemblée nationale.
  8. « Avortement : la majorité présidentielle a-t-elle retoqué par le passé deux texte proposant d'inscrire l'IVG dans la Constitution ? »  
  9. « IVG : la volte-face de la Cour suprême américaine a renforcé le soutien des Français », sur TF1 Info, .
  10. « Proposition de loi constitutionnelle n°8 - 16e législature », sur Assemblée nationale (consulté le )
  11. « Proposition de loi constitutionnelle n°15 - 16e législature », sur Assemblée nationale (consulté le ).
  12. « Droit fondamental à l'IVG et à la contraception », sur Sénat (consulté le ).
  13. « Droit fondamental à l'IVG et à la contraception », sur Sénat (consulté le ).
  14. « Scrutin n°8 - séance du 19 octobre 2022 », sur Sénat (consulté le ).
  15. « Proposition de loi constitutionnelle n°293 - 16e législature », sur Assemblée nationale (consulté le ).
  16. « IVG dans la Constitution : la proposition de loi portée par Renaissance adoptée en commission », sur lcp.fr, (consulté le )
  17. « Droit à l'IVG : les députés votent pour son inscription dans la Constitution », sur tf1info.fr, (consulté le )
  18. « Proposition de loi visant à garantir le droit fondamental à l'interruption de grossesse (version, résultant de la première lecture du texte, à l'Assemblée nationale) »  , sur Assemblée nationale (consulté le ).
  19. « Assemblée nationale : les députés votent en première lecture l'inscription du droit à l'IVG dans la Constitution », sur France Info, (consulté le ).
  20. « Droit à l’IVG : l’illustration du double discours de Marine Le Pen », sur Mediapart, .
  21. « Analyse du scrutin n°629 - Deuxième séance du 24/11/2022 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr.
  22. Chez Pol, « Le Sénat récure le «greenwashing» de la majorité », sur Libération (consulté le ).
  23. Nicolas Massol, « IVG dans la Constitution : La poudre aux yeux de Marine Le Pen », sur liberation.fr, 22 novembre 2022..
  24. « Inscription de l'IVG dans la Constitution : la proposition de loi sera débattue au Sénat en février 2023 », sur France Info, (consulté le ).
  25. Simon Barbarit, « Le Sénat adopte l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution », sur Public Sénat, (consulté le ).
  26. Grégoire Poussiegle, « Emmanuel Macron veut intégrer la liberté de recourir à l'IVG dans la Constitution »  , sur Les Échos, (consulté le ).
  27. « IVG dans la Constitution : du texte de LFI au « souhait » de Macron, un parcours de dix-huit mois au Parlement », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Avis du Conseil d'Etat sur le projet de loi constitutionnelle relatif à la liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse », sur Assemblée nationale
  29. « Liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse », sur Assemblée nationale (consulté le ).
  30. « Liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse », sur Assemblée nationale (consulté le ).
  31. « Analyse du scrutin n° 3289 - Deuxième séance du 30/01/2024 - Assemblée nationale », sur Assemblée nationale (France) (consulté le ).
  32. « Scrutin n°136 - séance du 28 février 2024 », sur Sénat (consulté le ).
  33. « Analyse du scrutin n° 1 Première séance du 04/03/2024 », sur Assemblée nationale.
  34. « Avortement: voici le nouveau texte de la Constitution avec l'inscription de l'IVG », sur BFM TV (consulté le ).
  35. « La France inscrit l'IVG dans sa Constitution, premier pays à le faire », sur France Info, (consulté le ).
  36. « En direct : l’inscription de l’IVG dans la Constitution définitivement adoptée par le Parlement », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Sources modifier

Murielle Laurent modifier

Murielle Laurent est une femme politique française. Maire de Feyzin depuis 2017, elle est élue députée européenne en juin 2024.

Biographie modifier

À la suite de la démission de l'ancien maire Yves Blein, devenu député, Murielle Laurent est élue, en juillet 2017, maire de la commune de Feyzin située dans la métropole de Lyon, en région Auvergne-Rhône-Alpes[1]. Lors des élections municipales de mars 2020, la liste PS menée par Murielle Laurent gagne dès le premier tour avec 61,28% des votes, face à Daniel Thevenet de La France insoumise qui reçoit 38,72% des voix[2].

Références modifier

  1. « Réélu député, Yves Blein quitte la mairie de Feyzin », sur lyonmag.com, .
  2. « Municipales 2020 : Murielle Laurent réélue à Feyzin », sur lyonmag.com, .

Sources modifier

R modifier

  1. Didier Arnaud, «Nous ne nous arrêtons pas aux rumeurs. Là, il y avait des faits», sur Libération, (consulté le )
  2. a et b Jean-Pierre Stroobants, « Rik Devillé, le prêtre belge retraité en croisade contre les abus sexuels dans l’Eglise », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Ambrose Pic, Vivre heureux sans drogue, Editions des Béatitudes, , 164 p. (ISBN 978-2-84024-425-7 et 2-84024-425-X).

Références modifier

Emmanuelle Dancourt modifier

Moyen modifier

Source Primaire modifier

Paul Frochaux modifier

En 2020, l'abbé Paul Frochaux, ancien curé de la cathédrale Saint-Nicolas de Fribourg, démissionne de ses charges ecclésiales à la suite des accusations d'agressions sexuelles par un autre prêtre, l’abbé Nicodème Mekongo. De plus, Paul Frochaux est suspecté d'abus sexuel à l'égard d'un jeune homme âgé de 17 ans, en 1998, dans un chalet à Torgon[1]. En , le diocèse présente les conclusions de l'enquête : le cas d'abus sexuel semble être unique, et les accusations de harcèlement sexuel ne sont pas corroborées[2].

Références modifier

  1. Raphaël Zbinden, « Fribourg: l'abbé Frochaux démissionne », sur cath.ch, (consulté le ).
  2. Maurice Page, « Résultats des enquêtes sur l'affaire Frochaux », sur cath.ch, (consulté le ).

Sources modifier

Autre modifier

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-pretre-pedophile-qui-avait-sevi-en-mayenne-condamne-a-5-mois-de-prison-avec-sursis-1544624986 https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/10/03/pourquoi-la-justice-enquete-sur-la-deputee-lfi-sophia-chikirou_6192142_3224.html https://www.liberation.fr/politique/il-y-a-une-chape-de-plomb-sophia-chikirou-linsoumise-qui-attire-la-tension-20231002_KZU4YUCUWBAONNFG25LUJ7PTBA/

Le Monde selon Xi Jinping modifier

Le monde selon Xi Jinping est un documentaire de Sophie Lepault et Romain Franklin,

Sources modifier

mohammed 6 modifier

https://www.lemonde.fr/idees/article/2012/06/25/la-grande-corruption-regne-en-maitre-au-maroc_1724410_3232.html

Alessandra Montagne modifier

Amal al Malki modifier

Gordon Dominey modifier

Duda Salabert modifier

Église catholique au Nicaragua modifier

L'église catholique au Nicaragua est partie intégrante de l'Église catholique, sous la direction spirituelle du Pape, de la curie à Rome et de la Conférence des évêques nicaraguayens. Le pays est divisé en sept diocèses dont un archidiocèse.

Historique modifier

https://www.liberation.fr/international/amerique/nicaragua-un-pays-sous-la-coupe-du-couple-ortega-murillo-20221201_LAWM6UIQVNHENCH43ZDITPVCKQ/?redirected=1


Le 15 février 2018, le pape François le nomme archevêque titulaire de Trajectum ad Mosam et nonce apostolique au Nicaragua[1]. Il reçoit sa consécration épiscopale des mains du pape François le 19 mars[2]. Le 18 février 2019, Sommertag annonce que le pape François a mis fin à la suspension des fonctions sacerdotales (a divinis) imposée à Ernesto Cardenal en 1984 pour avoir refusé de quitter ses fonctions politiques comme l'avait ordonné le pape Jean-Paul II[3].

Il est expulsé du Nicaragua par les autorités dans un contexte de tensions entre le gouvernement de Daniel Ortega et l'Église catholique du pays[4].

En 2018, des manifestants demandant la démission de Daniel Ortega se réfugient dans des églises. Danièl Ortega accuse alors l’Église catholique de soutenir une tentative de coup d’État organisée par les États-Unis. L’évêque Rolando Álvarez, critique du gouvernement nicaraguayen est arrêté en août 2022 [5].

Il n'accepte pas de quitter le Nicaragua pour s'exiler aux États-Unis avec 222 autres personnes : « prêtres, séminaristes, opposants politiques ou simples critiques du régime ». Aussi un tribunal le condamne à 26 années de prison, le juge de la cour d'appel le qualifiant de «traître à son pays»[6],[7]. Il est déchu de sa nationalité. Par ailleurs, deux autres prêtres ont été arrêtés [8]. À la suite de cette condamnation, le pape François qualifie le régime du président Daniel Ortega de « dictature grossière »[9].

Références modifier

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées bio
  2. (en) Wooden Cindy, « Pope Francis ordains three new Vatican ambassadors as archbishops », sur Crux, Catholic News Service, (consulté le )
  3. (en) Wooden Cindy, « Pope Francis ordains three new Vatican ambassadors as archbishops », sur Crux, Catholic News Service, (consulté le ) : « " ...granted with benevolence the absolution of all canonical censures"" »
  4. Éric Sénanque, « Le Nicaragua expulse le nonce apostolique Waldemar Stanislaw Sommertag », sur rfi.fr, (consulté le )
  5. « Un évêque critique du gouvernement condamné à 26 ans de prison », La Tribune de Genève, (consulté le ).
  6. « Au Nicaragua, Mgr Alvarez condamné à 26 ans de prison », Vatican News, (consulté le ).
  7. « Au Nicaragua, l’évêque Rolando José Álvarez Lagos condamné à vingt-six ans de prison », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. « Au Nicaragua, la répression du régime Ortega-Murillo prend de nouvelles formes », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. « Le Nicaragua menace de suspendre ses relations avec le Vatican », France 24,‎ (lire en ligne, consulté le )

Situation sous le régime sandiniste modifier

En 2023, l'évêque de Matagalpa, Rolando José Álvarez Lagos, refuse d'être expulsé vers les États-Unis en échange de sa liberté, il est alors condamné à vingt-six ans de prison[1] et est déchu de sa nationalité[2].

Références modifier

  1. « Au Nicaragua, l’évêque Rolando José Álvarez Lagos condamné à vingt-six ans de prison », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. « Au Nicaragua, la répression du régime Ortega-Murillo prend de nouvelles formes », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )


Sources modifier

Alix Parmentier modifier

Sources modifier

DO 2016 modifier

Xavier Beauvais modifier

Olivier Rioult modifier

Hmarket modifier

Jean-Michel Salvator modifier

Jean-Michel Salvator

Références modifier

Wikidata modifier

Type modifier

| ordination        = , par
Bernard Tissier de Mallerais

}} : Guillaume de Taouarn

Exemples remarquables modifier

  • Affaire François Lefort
  • François Lefort des Ylouses

ACA modifier

Références modifier

Image modifier

 

Dale Crampton modifier

Abus spirituel modifier

Origine et définitions modifier

L'expression abus spirituel apparait, dans les années 1990, dans les travaux de deux pasteurs évangéliques américains, Jeff VanVonderen (en) et David Johnson[1].

Pour le dominicain Gilles Berceville l’abus spirituel n'est pas un simple abus psychologique dans un cadre religieux[1]. La théologienne Marie-Jo Thiel indique « Les gourous utilisent souvent ce qu’on appelle des distorsions cognitives. Ils se servent d’un morceau de doctrine en dehors de son contexte. Ils considèrent que cela les autorise à faire ce qu’ils font et peuvent ainsi se justifier devant la victime »[1].

Droit modifier

Bibliographie modifier

  • David Johnson et Jeff VanVonderen, Le pouvoir subtil de l'abus spirituel : comment reconnaître la manipulation et la fausse autorité spirituelle dans l'Eglise et comment y échapper, Emeth, , 289 p.
  • Jacques Poujol, Abus spirituels : S'affranchir de l'emprise,
  • Marie-Laure Janssens et Mikael Corre, Le silence de la Vierge, Bayard Adulte, (ISBN 978-2-227-49207-3, lire en ligne)
  • Sophie Ducrey, Étouffée : Récit d'un abus spirituel et sexuel, Tallandier, , 224 p.

Filmographie modifier

Références modifier

  1. a b et c Gaétan Supertino, « L’abus spirituel, une attaque contre « ce qu’il y a de plus profond en nous » », Le Monde, (consulté le ).

Article connexe modifier

Sources modifier

Générale modifier

Evangéliste modifier

Catholique modifier

Constantin de Slizewicz modifier

Jean-Claude Gaudreault modifier

orphelinat de l immaculée conception à chicoutimi modifier

Michèle-France Pesneau modifier

Michèle-France Pesneau est une ancienne religieuse française, victime de violences sexuelles pendant 25 ans par les prêtres et frères biologiques Thomas Philippe et Marie-Dominique Philippe.

Biographie modifier

Marie-Dominique Thoma abuse d’elle, dès 1972, alors qu'il est son accompagnateur et qu'elle est jeune novice : « Il expliquait vouloir me faire sentir l’amour de Jésus et disait en être le petit instrument »[1].

De 1975 à 1989, Michèle-France Pesneau est abusée spirituellement et sexuellement par Thomas Philippe, l'aumônier de l'Arche et mentor de Jean Vanier[2].

En 1975, elle suit les recommandations de Marie-Dominique Thomas et s'installe [3]. Vint ensuite le tour, en 1976, de son frère, Thomas, alors aumônier de l’Arche. L’abbé justifie ses abus sexuels en invoquant de prétendues « grâces mystiques » reçues en contemplant un tableau de la Vierge, à Rome : « Il m’a raconté qu’il avait alors vécu une sorte de nuit de noces avec Marie et qu’il voulait revivre la même chose avec moi ». Je devais effectuer des fellations et adopter des « positions humiliantes » : « Comment ai-je pu accepter tout cela ? Mais dénoncer un prêtre à qui je devais obéissance, c’était rejoindre le camp de Satan »[1].

En 2019, Michèle-France Pesneau témoigne dans le documentaire Religieuses abusées, l'autre scandale de l'Église : « Il pratiquait le cunnilingus, moi des fellations. Ce n’était pas très ragoûtant, il était âgé et ne sentait pas très bon. Mais je prenais ça comme un exercice de pénitence »[4],[1].

Publication modifier

  • Michèle-France Pesneau (préf. Jean de La Selle), L'emprise : vingt années d'emprise spirituelle et sexuelle : un chemin de libération, Golias, , 294 p. (ISBN 978-2354722753)

Références modifier

  1. a b et c Marie-Béatrice Baudet et Cécile Chambraud, « Les noirs secrets de Jean Vanier, le fondateur de l’Arche : « Il a joué avec son corps et a fait mal à des femmes » », Le Monde, (consulté le )
  2. Bernadette Sauvaget, « Affaire de l'Arche : le délire mystico-sexuel de l'aumônier Thomas Philippe. », Libération, (consulté le )
  3. Vilanova 2020, p. 12.
  4. Marie Cailletet, « À voir sur Télérama.fr : “Religieuses abusées, l’autre scandale de l’Église”, une abominable réalité », Télérama, (consulté le )

À voir modifier

Documentaire modifier

Bibliographie modifier

Sources modifier

Mauro Inzoli modifier

Biographie modifier

Amateur de voitures de luxe, Mauro Inzoli est baptisé « Don Mercedes » par les médias.

Références modifier

Jesus Colina modifier

Jesús Colina, né en 1969 à Miranda de Ebro, est un journaliste espagnol qui a travaillé à Rome. Il a dirigé l’agence de presse Zenit et dirige actuellement le Aleteia.

Biographie modifier

Références modifier


Paul Touvier et l'Eglise modifier


René Rémond (dir.), Jean-Pierre Azéma, François Bédarida, Gérard Cholvy, Bernard Comte, Jean Dujardin, Jean-Dominique Durand et Yves-Marie Hilaire, Paul Touvier et l'Église – Rapport de la commission historique instituée par le cardinal Decourtray, Paris, Fayard, coll. « Pour une histoire du XXe siècle », , 417 p. (ISBN 978-2-213-64841-5, lire en ligne).  

  1. Rémond 1992, page 138-139..

Shepherd Bushiri modifier

Shepherd Bushiri, également connu sous le nom de Major 1, est un prédicateur chrétien du Malawi, un prophète autoproclamé, homme d'affaires, conférencier motivateur et auteur.

Biographie modifier

Références modifier

Abus sexuel couvert par l'Église catholique modifier

Historique modifier

Jusqu'à la fin du XXème siècle, l'Église, pour préserver son image, cultivait le secret et se contentait de transférer discrètement les présumés coupables, avec le risque qu'ils poursuivent leurs crimes dans leur nouvelle affectation.

France modifier

Chronologie d'affaires modifier

Documentaires modifier

  • Secrets et péchés de l'Église de Manu Chataigner et Jules Richer, sorti en 2022, montre notamment à travers le cas du prêtre Brian Boucher comment l'Église catholique de Montréal a protégé implicitement les prêtres pédophiles au détriment des victimes[1].

Publications modifier

En 1996, l'ouvrage Les Naufragés de l'esprit critique notamment les évêques de France qui ont couvert des dérives sectaires aboutissant à des « fraternités-terreurs » [2].

Références modifier

Bibliographie modifier

  • Daphné Gastaldi, Mathieu Martinière et Mathieu Périsse, Église, la mécanique du silence, Lattès, , 374 p. (ISBN 978-2-7096-5938-3)  

Mormon modifier

Historique modifier

En 1995, l’Église mormone met en place une assistance téléphonique au États-Unis. Celle-ci permet, dans la pratique de ne pas signaler les affaires auprès des autorités judiciaires [1].

https://www.unadfi.org/non-classe/abus-sexuels-la-hierarchie-mormone-sur-le-banc-des-accuses/ https://www.unadfi.org/actualites/groupes-et-mouvances/abus-sexuels-dissimules-par-les-autorites-chez-les-mormons/

Chronologie modifier

https://www.sudouest.fr/justice/pau-le-pretre-mormon-accuse-d-agressions-sexuelles-a-derape-9752326.php https://www.cath.ch/newsf/canada-une-femme-porte-plainte-contre-les-fondamentalistes-mormons/ https://doharoots.com/fr/un-juge-limite-la-defense-du-privilege-dans-une-affaire-dabus-sexuels-az-mormon/ https://www.leparisien.fr/faits-divers/viols-en-famille-chez-les-mormons-30-06-2003-2004210436.php https://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/une-peine-de-18-ans-requise-contre-le-mormon-qui-abusait-de-ses-belles-filles_1052405.html https://www.parismatch.com/Actu/International/Keith-Brown-pere-des-5-Browns-a-ete-mis-en-examen-pour-le-viol-de-ses-filles-152647

Documentaire modifier

Références modifier

  1. « Abus sexuels: le silence troublant des responsables mormons », sur Journal Chrétien, (consulté le )
  2. Alice Coffin, « Festival de Sundance: Les abus sexuels des fondamentalistes mormons cibles d'un documentaire choc », sur 20 minutes, (consulté le )

Abus sexuels dans l'Église catholique en Irlande modifier

Emilio Lorenzo Stehle modifier

Belgique modifier

Le ,l'évêque André Léonard est condamné « pour avoir fait preuve de passivité » dans une affaire de pédophilie[1].

Pour André Léonard, traduire systématiquement tous les prêtres coupables de faits de pédophilie en justice s'assimile à un acte de vengeance. Selon lui, même les victimes ne le souhaiteraient pas [sic], un jugement des prêtres pédophiles n'est pas nécessairement la réponse évidente et adéquate[2].

Références modifier

  1. La Libre.be, « Monseigneur Léonard condamné pour avoir fait preuve de passivité dans une affaire de pédophilie », sur www.lalibre.be (consulté le )
  2. « Monseigneur Léonard: "Les prêtres pédophiles ne doivent pas forcément être jugés" », sur www.levif.be, (consulté le )

The Meeting House modifier

Bruxy Cavey modifier

Yannis Ezziadi modifier

Sovereign Grace Churches (en) modifier

Daniel Ambash modifier

juif orthodoxe

Source Oblat modifier


https://www.monde-diplomatique.fr/2018/03/LAMBERT/5843

Bernard Peyrous modifier

Biographie modifier

« abbé Peyrous, prêtre de l’Emmanuel, est postulateur depuis 1996 de la Cause de Marthe Robin. Il a pris la suite de l’abbé Ravanel (1923/2011), premier postulateur officiel de la Cause (1986/1996), directeur des Foyers de Charité à la suite de l’abbé Finet (1898/1990), lui-même co-fondateur avec Marthe Robin. »

En octobre 2017, à la suite de « gestes gravement inappropriés de sa part vis-à-vis d’une femme majeure », le cardinal Jean-Pierre Ricard, en lien avec la Communauté de l’Emmanuel, démet de ses fonctions Bernard Peyrous[1].

En septembre 2018, Bernard Peyrous est affecté dans une paroisse du nord de Toulouse[2].

Ouvrages modifier

  • Vie de Marthe Robin, éditeur=Éditions de l'Emmanuel/Éditions Foyer de Charité, année=2006, 368 p. 2006|isbn=978-2-915313-63-5
  • Le vrai visage de Marthe Robin, CLD éditions, 262 p., 2021

Références modifier

  1. « Le père Bernard Peyrous démis de ses fonctions », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. « Imbroglio autour du transfert d’un prêtre accusé de « gestes gravement inappropriés » », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le )

Sources modifier

http://www.paixliturgique.com/aff_lettre.asp?LET_N_ID=3108

David Song Young-chan modifier

David Song Young-chan est un pasteur coréén de l'Église évangélique baptiste de toutes les nation

Biographie modifier

David Song Young-chan est un pasteur coréén de l'Église évangélique baptiste de toutes les nations implantée à Paris.[1].

Références modifier

  1. « Le pasteur d’une église évangélique parisienne mis en examen pour viols. », sur Le Monde, (consulté le ).

Kiosque à journeaux à Paris modifier

puis Kiosque de presse à Paris

Historique modifier

En 2016, la maire de Paris, Anne Hidalgo, propose de les remplacer par de nouveaux modèles plus modernes et fonctionnels[1]. Une pétition demande le maintien des anciens kiosques, estimant qu'ils participent à l'image romantique de Paris[2].

Références modifier

  1. « Nouveaux kiosques parisiens : Hidalgo se défend de vouloir défigurer Paris », sur La Tribune, (consulté le ).
  2. « Les anciens kiosques parisiens seront bien remplacés », sur Libération, (consulté le ).

Article connexe modifier

Abus dans les Églises Évangélistes modifier

France modifier

sources Evangélisme modifier

Abus sexuels au sein des Apprentis d'Auteuil modifier

Les abus sexuels au sein des Apprentis d'Auteuil désignent les sévices sexuels commis au sein de cette institution par certains de ses membres.

Historique modifier

Condamnation d'un éducateur (1988-1989) modifier

Dans les années 1988 -1989, un cas de pédophilie au sein de la fondation des Apprentis d'Auteuil conduit à la condamnation d'un éducateur[1].

Affaire Jacques Daheron modifier

Jacques Daheron est un orphelin élevé chez les Apprentis d'Auteuil, dans les années 1940. Il est ordonné prêtre en 1962 et devient l'aumônier de plusieurs structures de la fondation, en particulier à Meudon, dans la région de Montauban puis à Orly de 1980 à 1995[1].

En avril 2001, Jacques Daheron est interpellé à Paris après la dénonciation d'un jeune homme victime d'agressions sexuelles. Pour parvenir à ses fins, le prêtre approchait des mères élevant seules leurs enfants et couvrait les victimes de « cadeaux de valeur » pour obtenir leur silence. Deux garçons ont dû se livrer à des fellations sur le prêtre et le plus jeune (15 ans en 2003) a été victime d'attouchements[2]. Le prêtre recevait à son domicile parisien[3].

Collège Sainte-Bernadette à Pau (2021) modifier

En septembre 2021, une élève, âgée de 14 ans, du collège Sainte-Bernadette des Apprentis d'Auteuil à Pau indique qu'elle est victime d'agression sexuelle. Un signalement auprès du procureur de la République de Pau est immédiatement effectué. Le surveillant d’internat de l'établissement est accusé, démis de ses fonctions puis licencié. En 2019, le surveillant avait déjà fait l'objet d'une enquête interne pour des faits similaires mais sans aboutir à une mise en cause[4],[5].

Références modifier

  1. a et b « Emoi chez les Orphelins apprentis d'Auteuil. », sur Le Parisien, (consulté le ).
  2. « Pédophilie : 5 ans de prison requis contre le Père Daheron, « prêtre dévoyé ». », sur Le Monde, (consulté le ).
  3. « Un prêtre parisien écroué pour pédophilie. », sur L'Obs, (consulté le ).
  4. « Une affaire d'agression sexuelle au collège Sainte-Bernadette des Apprentis d'Auteuil à Pau. », sur France Bleu, (consulté le ).
  5. « Pau : une plainte pour agression sexuelle au collège Sainte-Bernadette des Apprentis d’Auteuil. », sur La République des Pyrénées, (consulté le ).

Yeshiva Torah Temimah modifier

Historique modifier

Agression sexuelle modifier

Joel Kolko est un professeur et directeur adjoint de la Yeshiva Torah.

En 2006, le média New York détaille certaines agressions sexuelles du rabbin Joel Kolko[1].

Références modifier

  1. (en) « On the Rabbi’s Knee », sur New York (magazine), (consulté le ).

David Cyprys modifier

J. Donald Freeze modifier

Biographie modifier

James Donald Freeze, né le 15 septembre 1932,


James Donald Freeze décède le 10 décembre 2006.

Paul Shanley modifier

Motu Proprio Vos estis lux mundi modifier

Le , dans le Motu Proprio intitulé « Vous êtes la lumière du monde », le pape impose l’obligation pour les prêtres et religieux de signaler, y compris rétroactivement, les soupçons d’agression sexuelle et prévoit la procédure à suivre lorsque le signalement concerne un évêque[1],[2].

Lettres à Nora modifier

Affaire Andreu Soler modifier

Historique modifier

« prédateur sexuel » et un « pédophile » à l'abbaye de Montserrat. Pendant 30 ans, il a abusé de jeunes scouts dont il était le directeur. Une fois ces agressions révélées, il a été déplacé par l'Église espagnole dans un autre monastère[3]. Il est mort en 2008. En 2019, un autre moine bénédictin est cette fois-ci demis de ses fonctions pour pédophilie[4]. Et bien sûr, la hiérarchie était au courant[5].

Références modifier

  1. « Le pape François oblige le clergé à signaler des agressions sexuelles », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. « Le Vatican renforce ses procédures contre les abus sexuels », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  3. https://elpais.com/sociedad/2019/09/06/actualidad/1567764192_764044.html
  4. https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/pedocriminalite-au-sein-de-l-eglise-en-espagne-la-pedophilie-est-un-tabou-absolu_2160983.html
  5. https://cronicaglobal.elespanol.com/vida/montserrat-abusos-abad_224220_102.html

Bernardino Piñera Carvallo modifier

Biographie modifier

Références modifier

Anthony Bongiorno modifier

Références modifier

https://apnews.com/article/aa56b1750b2922f9770cec7b6712c670 modifier

https://www.beliefnet.com/news/2005/02/the-gentle-people.aspx

Abus sexuels dans la communauté bénédictine de New Norcia modifier

Historique modifier

Les centres d'éducation de New Norcia étaient parmi les pires pour les accusations historiques d'abus sexuels sur des enfants de toute institution catholique en Australie. Sur les 53 prêtres qui étaient à New Norcia entre 1950 et 2010, la proportion d'accusés d'avoir abusé sexuellement d'enfants était de 21,5 %. Alors que pour l'ensemble de l'Australie ce chiffre est de 7 %[1].

Les chiffres figuraient dans un rapport publié par la Commission royale sur les réponses institutionnelles aux abus sexuels sur enfants en février 2017

X[2].

Références modifier

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées ci
  2. (en) « The hidden shame of St Benedict’s », The West Australian,‎ (lire en ligne, consulté le )

Affaire David Rapson modifier

Affaire Malka Leifer modifier

Bill Gothard modifier

Abus sexuel dans l'église anabaptiste/mennonite modifier

Les cas d' abus sexuel dans l'église anabaptiste/mennonite sont des cas d'actes commis par des théologiens, des éducateurs, des pasteurs, des aumôniers et des membres du personnel ou des personnes en position de pouvoir dans des églises anabaptistes/mennonites, des institutions ou des organisations affiliées considérées comme une inconduite sexuelle par des organisations religieuses. Certains de ces cas peuvent également être considérés comme des abus sexuels par la loi. Il y a eu un certain nombre de cas d'inconduite sexuelle impliquant des théologiens chrétiens anabaptistes notables et influents de la fin du 20e et du début du 21e siècle en Amérique du Nord, et des études, des reportages dans les médias et des magazines religieux ont révélé qu'il y a eu de nombreux cas d'abus sexuels tout au long de la l'histoire de l'Église anabaptiste/mennonite

Abus sexuels dans la Convention baptiste du Sud modifier

Article créé le 11 novembre 2021, Rajouts possibles ultérieurs ci-après :

Histoire récente modifier

En 2018, plus de 2000 femmes membres de Paige Patterson[1].

Herman Paul Pressler, III (né le 4 juin 1930), est un juge à la retraite de la cour d'appel du 14e circuit du Texas dans sa ville natale de Houston, au Texas. Paul Pressler a été une figure clé de la résurgence conservatrice de la Southern Baptist Convention, qu'il a initiée en 1979. En avril 2018, le Houston Chronicle a rapporté que Herman Paul Pressler III est accusé par Toby Twining et Brooks Schott d'inconduite sexuelle dans des déclarations sous serment distinctes. Les deux hommes ont déclaré que Pressler les avait agressés ou sollicités pour des relations sexuelles. Les accusations ont été déposées dans le cadre d'une action en justice déposée en 2017 par Gareld Duane Rollins Jr. affirmant qu'il était régulièrement violé par le chef conservateur. Rollins a rencontré Pressler au lycée et faisait partie d'une étude biblique dirigée par Pressler. Rollins affirme qu'il a été violé deux à trois fois par mois alors qu'il était chez Pressler. Selon le Chronicle, Pressler a accepté en 2004 de payer 450 000 $ à Rollins pour agression physique. Le président de la Convention baptiste du Sud, Paige Patterson, est également nommé dans le procès, pour avoir aidé Pressler à dissimuler les abus.

Luis Garza modifier

abus sexuels dans la Congrégation du Très Saint Rédempteur modifier

Historique modifier

Références modifier

  1. (en) « Southern Baptist Leader Removed Over Remarks On Rape, Abuse Of Women », National Public Radio,‎ (lire en ligne, consulté le )

Décret 349 modifier

Le décret 349 est une loi cubaine de 2018 imposant aux artistes l'obtention d'une autorisation préalable pour des expositions et des performances publiques et privées. La loi a été proposée pour la première fois le 20 avril 2018 par le président cubain Miguel Díaz-Canel et a été publiée dans la Gaceta de Cuba le 10 juillet.

Présentation modifier

La constitution de 1976 déclare que « la créativité artistique est libre tant que son contenu n'est pas contraire aux principes de la révolution ».

Le décret 349 est publié en juin 2018 dans la « Gazette officielle » de la République de Cuba[1],[2]. Conformément à celui-ci, les artistes doivent soumettre leurs œuvres au autorités cubaines et obtenir leurs accords avant de les interpréter en public ou les vendre[2]. L'objectif du régime cubain est de « protéger la culture » cubaine. Le décret 349 entre en vigueur en décembre 2018[3].

La constitution de 1976 déclare que «la créativité artistique est libre tant que son contenu n'est pas contraire aux principes de la révolution»

Références modifier

  1. (es)Decreto 349 de 2018 de Consejo de Ministros. « Gazette officielle » de la République de Cuba.
  2. a et b « À Cuba, les artistes se révoltent contre une nouvelle législation qui «restreint la créativité» », sur Le Figaro, (consulté le )
  3. « A Cuba, les musiciens craignent de voir leur créativité muselée », sur L'Express, (consulté le )

Taizé modifier

En 2011, la police allemande arrête un prêtre accusé d'avoir abusé sexuellement, pendant quatre ans, de trois garçons. Il s'apprêtait de se déplacer avec des mineurs à Taizé[1].

  1. « German priest arrested on sex abuse charges », sur The Irish Times, (consulté le )

Sources générales prêtre à traiter modifier

affaire Michel Chidaine modifier

Sources modifier

Affaire Henri Le Bras modifier

Références modifier

Sources modifier

GAESA modifier

1 modifier

Tony Anatrella  modifier

À voir modifier

Liens externes modifier

Affaire Dominique Spina modifier

Condamné en 2006 mais source sur une seule année en 2016

Sources modifier

Jacky Hoarau modifier

Régis Peyrard modifier

La Lettre au Peuple de Dieu modifier

La Lettre au Peuple de Dieu est écrite le 20 août 2018 par le Pape François pour appeler le « Peuple de Dieu » à l’aider à combattre le fléaux de la pédophilie dans l'Église.

Affaire Philippe de Morand modifier

Historique modifier

En 2008, le prêtre Philippe de Morand agresse sexuellement un jeune homme majeur. Celui-ci en informe le cardinal Barbarin mais le prêtre n'est pas inquiété. La victime porte alors plainte en justice. En 2010 le prêtre est condamné à 6 mois de prison avec sursis et il doit verser des dommages à la victime. Le prêtre est déplacé vers le diocèse de Nanterre dans la région parisienne dès 2008. La victime reproche au cardinal Barbarin la gestion du dossier et lui demande d'engager des poursuites canoniques à l'égard de son agresseur. En 2016, à la suite d'un article de Mediapart mettant en avant cette affaire, une enquête canonique est ordonnée à Lyon, concluant que Philippe de Morand peut rester prêtre mais en étant « encadré »[1],[2],[3].

Références modifier

Affaire Fabrice Ibrahim modifier

Affaire Fabrice Ibrahim
Fait reproché Pédophilie
Chefs d'accusation Agression sexuelle sur mineur
Pays   France
Ville La Plaine-des-Palmistes (La Réunion)
Date entre 2013 et 2015
Nombre de victimes 2
Jugement
Statut Affaire jugée : condamné à douze ans de prison ferme
Tribunal Cour criminelle de La Réunion
Date du jugement avril 2022
Recours Non

Fabrice Ibrahim

Biographie modifier

Fabrice Ibrahim est né à Saint-Paul à La Réunion. Il est ordonné prêtre en 2002 par l'évêque Gilbert Aubry. Il a travaillé aux Lianes, à Sainte-Rose et en 2010, il rejoint la paroisse de La Plaine-des-Palmistes[1].

Accusé de viols et agressions sexuelles sur un mineur et sa mère, il est arrêté en février 2017 et placé en détention. Lors de sa garde à vue, le prêtre reconnait les faits [2],[3].

Lors du procès en avril 2022, il est reconnu coupable des faits de viols et d'agressions sexuels sur la femme et son fils. Il est condamné à une peine de douze ans de réclusion criminelle. Lors du procès il reconnait des relations sexuelles avec d’autres paroissiennes de la Plaine-des-Palmistes. Par ailleurs, Fabrice Ibrahim indique avoir eu des relations avec le prêtre réunionnais Jacky Hoarau, condamné pour sa part, en 2012, à huit ans de prison pour viols sur mineurs[4].

Références modifier

  1. Jean-Marc Mazue, « Le père Ibrahim jugé pour viol sur une femme et son fils », Le Quotidien de La Réunion,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « La Réunion : un prêtre placé en détention après avoir violé une mère et son fils », TF1 Info,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Gauthier Vaillant, « Pédophilie : un prêtre mis en examen et écroué à La Réunion », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. « La Cour criminelle de La Réunion condamne le père Ibrahim à douze ans de réclusion criminelle », France TV Info La Réunion,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Affaire Jérôme Billioud (1990-2016) modifier

Historique modifier

Mi-février 2016, une plainte pour non-dénonciation d’agressions sexuelles est déposée par Pierre-Henry Brandet, le porte-parole depuis 2011[1],[2] du ministère de l'Intérieur[3],[4]. Au début des années 1990, celui-ci aurait subi à deux reprises des gestes déplacés de la part de l'abbé Jérôme Billioud, à l'âge de 17 puis de 19 ans[5], à Biarritz, à l’occasion de pèlerinages à Lourdes[6]. En 2009, Pierre-Henry Brandet avait rencontré le cardinal, qui l'avait incité à déposer une plainte, classée sans suite par le parquet, les faits allégués étant prescrits[7]. Dans le cadre de cette affaire, une perquisition est effectuée le 30 mars 2016 au matin, à l'évêché de Lyon[8]. Le nom de l'accusateur de l'abbé Billioud n'est pas publié dans la presse française qui, unanimement, respecte son anonymat, le qualifiant de « témoin »[9], mais ne respecte pas celui de l'accusé, contrairement à la déontologie journalistique[10],[11], ni la présomption d'innocence de celui-ci, accolant à son nom le terme de « pédophilie »[12],[13],[14],[15] alors que, même si les faits étaient confirmés, il ne s'agirait pas de pédophilie – comme le souligne Mgr Barbarin[16] - le plaignant ayant dépassé à l'époque la majorité sexuelle fixée à 15 ans en France[17]. En décembre 2016, les accusations « anonymes » ne sont pas confirmées par la justice et le procureur de la République de Lyon classe sans suite la plainte de Pierre-Henry Brandet contre le cardinal[18],[19], en raison d'une « absence d'infraction susceptible d'être caractérisée » à l'encontre du prêtre[20],[21]. La presse nationale n'en parle pas et le cardinal Barbarin reste silencieux, alors qu'en juin 2016 il avait relevé Jérôme Billioud de son ministère, à cause de ces allégations[22],[23],[24], puis demande finalement à l'abbé de rejoindre la paroisse de La Rédemption-Saint Joseph, dans le 6e arrondissement de Lyon, à compter du 1er septembre 2017, et lui confie de nouvelles missions pastorales[25],[26].

Références modifier

  1. « Pierre-Henry Brandet, de France 3 à Guéant », Europe 1, 8 avril 2011.
  2. « Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère », Site du Ministère de l'Intérieur, 5-5-2011
  3. Hendro Munsterman, « Franse premier vraagt om aftreden aartsbisschop vanwege seksueel misbruik », sur Seksueelmisbruik.info, (consulté le )
  4. « AFFAIRE BARBARIN. Le ministère de l’intérieur derrière les dénonciations ? », Lyon People, 24 mars 2017.
  5. Judikael Hirel, « Pédophilie à Lyon : une nouvelle plainte vise le cardinal Barbarin », Le Point,‎ (lire en ligne)
  6. « Le cardinal Barbarin face à un nouveau témoignage mettant en cause un autre prêtre », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  7. C. G., « Pédophilie à Lyon : Le cardinal Barbarin accusé d'avoir couvert les actes d'un autre prêtre », 20 Minutes,‎ (ISSN 1632-1022, lire en ligne).
  8. « Affaire de pédophilie à Lyon : une cinquième plainte formellement déposée », Le Point, 31 mars 2016
  9. « Un témoin met en cause un autre prêtre du diocèse de Lyon », Le Parisien, 15 mars 2016.
  10. « Quand peut-on divulguer une identité ? », Sud-Ouest, 10 septembre 2011
  11. « Panorama des démarches éthiques de la presse : Quel traitement du fait divers ?», alliance-journalistes.net, consulté le 17 décembre 2016.
  12. « Nouvelle affaire de pédophilie à Lyon - Barbarin dans la tourmente », Lyon Capitale, 15 mars 2016.
  13. « Un prêtre lyonnais mis en examen pour pédophilie », France-Info 16 mars 2016.
  14. « Pédophilie : un témoin met en cause un autre prêtre du diocèse de Lyon », Le Parisien, 14 mars 2016.
  15. « Pédophilie : nouveau témoignage accablant contre le cardinal Barbarin », Marianne, 15 mars 2016.
  16. « Mgr Barbarin sur la deuxième affaire de pédophilie à Lyon : "Ça n'est pas une affaire de pédophilie" », itélé, 15 mars 2016.
  17. « Pédophilie à Lyon : les explications confuses du cardinal Barbarin », L'Obs, 15 mars 2016.
  18. « Le cardinal à nouveau blanchi pour la “non-dénonciation” », Le Progrès 31 mars 2017
  19. « Enquête visant Barbarin classée sans suite : les arguments du procureur », Le Progrès 11 juillet 2017
  20. « Non-dénonciation d'agressions sexuelles : une plainte classée sans suite contre Mgr Barbarin », article d'Antoine Pasquier et commentaire de Gilles de Romanet in Famille Chrétienne, 23 mars 2017.
  21. « Pédophilie. L’enquête visant le cardinal Barbarin classée sans suite », ouest-france.fr, 11 juillet 2017.
  22. « Pédophilie : Barbarin écarte quatre prêtres à Lyon », Le Figaro, 1-7-2016
  23. « De l'honneur des prêtres en Croix-Rousse », Xavier Charpe cité par Roland Thévenet sur Solko, 27 octobre 2016.
  24. « L'abbé Jérôme BILLIOUD blanchi par la justice », Lyon People, 14 avril 2017
  25. « Bulletin de la paroisse de La Rédemption-Saint Joseph, Lyon 6 », septembre 2017
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Abus sexuels dans la communauté des Béatitudes modifier

Présentation de la communauté modifier

La Communauté des Béatitudes est une communauté catholique née en France en 1973 et reconnue en 2002 de droit pontifical. Située dans la mouvance du renouveau charismatique, elle est une communauté de type « famille ecclésiale de vie consacrée » approuvée par l'archevêque de Toulouse, Mgr Le Gall, sous l'autorité romaine de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique (CIVC). La communauté rassemble des sœurs et des frères consacrés, dont des prêtres, ainsi que des fidèles laïcs (célibataires, couples et diacres permanents) partageant offices liturgiques, vie fraternelle et mission. En 2019, la communauté compte 763 membres répartis dans 50 maisons et dans 26 pays, sur les cinq continents.

Historique modifier

Sources modifier

Pédophilie, un silence de cathédrale modifier

Sources modifier

Affaire Guy Gérentet de Saluneaux modifier

A reprendre à l'occasion la présentation erroné dans la page Affaire Philippe Barbarin.

Palette culture du Tibet modifier

  Documentation de palette[créer] [purger]

Ceci est la documentation du modèle {{Guallendra/Brouillon}}.

Syntaxe

L’utilisation de cette palette se fait par l’ajout, en fin de page, avant les portails, du code {{Palette|Guallendra/Brouillon}}, ou en l’ajoutant à une ou des palettes existantes sous la forme {{Palette|nom-palette-1|Guallendra/Brouillon}}.

Il est déconseillé d’utiliser la forme {{Guallendra/Brouillon}}, qui ne permet pas, contrairement au modèle {{Palette}}, de séparer correctement la ou les palettes du texte qui précède par de l’espace vide.


Nikolai Shamalov modifier

Nikolaï Terent’yevich Shamalov, Nikolaï Terent’evich Shamalov ou Nikolaï Terentievich Shamalov (russe: Николай Терентьевиш Шамалов; né le 24 janvier 1950) est un dentiste, homme d’affaires et membre fondateur d’Ozero. Son surnom est le professeur Filip Filippovich Preobrazhensky (russe: Прошессор Шилипп Шилипповиш Преобрашенский) ou le « professeur de la Transfiguration », qui était le personnage central qui se transforme d’un chien errant en un nouvel homme soviétique dans le Cœur d’un chien de Boulgakov Mikhaïl Boulgakov.

Biographie modifier

Nikolai Shamalov est né le 24 janvier 1950 à Saint-Pétersbourg[1]. De 1992 à 2008, Nikolai Shamalov est représentant de la société Siemens à Saint-Pétersbourg[2].

Famille modifier

Références modifier

Sources modifier

Restaurant Bodrum modifier

Le restaurant Bodrum est situé rue des Batignolles.

Bodrum est une ville du sud-ouest de la Turquie, située dans la province de Muğla.

Alain Bouc modifier

Sources modifier

enfants sahraouis à Cuba modifier

Chine : les nouveaux dissidents modifier

L’Évangile selon Yong Sheng modifier

Sources modifier

Racisme à Cuba modifier

Le racisme à Cuba fait référence à la discrimination raciale envers les communautés afro-cubaines ou métisses.

Colonie espagnole modifier

En 1521, les premiers esclaves africains sont envoyés à Cuba notamment pour travailler dans les mines d’or. Cuba reçoit des milliers d'esclaves africains, l'esclavage est aboli tardivement en 1886 [1].

Revolution cubaine modifier

Économie modifier

Alors que la population noire et métisse est de l’ordre de 50 % selon les chercheurs Rodrigo Espina et Pablo Rodríguez Ruiz, la proportion de noirs et métis dans l’industrie touristique ne dépasse pas 5 % [2],[3].

Répressions des autorités modifier

Lors du décès d'Orlando Zapata en février 2010 (premier prisonnier politique cubain à mourir à la suite d’une grève de la faim depuis le poète Pedro Luis Boitel, décédé en 1972), le dissident Manuel Cuesta Morúa estime qu'« on s’était acharné contre lui parce qu’il était noir »[4]. Le , alors que, comme en écho aux réactions qui ont suivi le meurtre de George Floyd, un Afro-Américain victime de violences policières, sont organisées à Cuba des manifestations pour protester contre la mort de Hansel Hernandez, un jeune Afro-Cubain, le racisme et les interventions policières brutales, sont arrêtés des dizaines d'artistes comme Tania Bruguera, de journalistes et d'opposants au régime castriste, tel que José Daniel Ferrer[5],[6].

Références modifier

  1. Chronologie Le Monde Diplomatique
  2. (es) El 'efecto Obama' sacude la isla El Pais, 18 novembre 2018
  3. [1]
  4. Fabio Rafael Fiallo, « L’égalité à la Castro », contrepoints.org, 1er décembre 2016.
  5. (en) Sarah Marsh et Tom Brown, Reuters, « Cuba Prevents Protest Over Police Killing of Black Man », The New York Times, (consulté le ).
  6. François-Xavier Gomez Cuba sous le choc de la mort d'un Noir abattu par la police Libération, 2 juillet 2020

Parle moi un peu de Cuba modifier

est un roman de Jesus Diaz.

Sources modifier

Radio et Télévision Martí modifier

KB modifier

Corps sacrifiés, corps sanctifiés.

Sources modifier

Sturgis Motorcycle Rally modifier

est un rallye moto américain organisé chaque année à Sturgis, dans le Dakota du Sud, pendant dix jours, commençant généralement le premier vendredi d'août.

Anna Kingsley modifier

Anna Madgigine Jai Kingsley , née Anta Madjiguene Ndiaye , est une femme africaine de l' Ouest du Sénégal actuel qui fut asservie et vendue à Cuba. Elle est devenue l'épouse du propriétaire de la plantation et du marchand d'esclaves Zephaniah Kingsley , puis une planteuse et propriétaire d'esclaves à part entière en tant que noire libre au début du XIXe siècle en Floride.

José Miró Cardona modifier

Morrocoy National Park modifier

Clare Bronfman modifier

Old American cars in Cuba modifier

Les Caves du potala modifier

Coronation (2020 film) modifier

Trafic humain en Chine modifier

https://www.zonebourse.com/amp/actualite-bourse/Exclusif-La-Chine-developpe-un-programme-de-travail-de-masse-au-Tibet--31336347/

Human trafficking in China en

Hu Xijin modifier

Cuba modifier

https://www.amp.rfi.fr/fr/am%25C3%25A9riques/20200907-venezuela-m%25C3%25A9decins-cubains-pas-%25C3%25A9pargn%25C3%25A9s-ravages-covid-19

T modifier

[5]

Jiang Yefei modifier

Chine : les nouveaux dissidents modifier

L' Âge d'or du Tibet (XVIIe et XVIIe siècles) modifier

Texte modifier

X[1]

Polyandrie au Tibet modifier

la polyandrie est un arrangement matrimonial dans lequel une femme a plusieurs maris. Au Tibet, ces maris sont souvent frères; "polyandrie fraternelle". Souci de savoir quels enfants sont engendrés par quel frère tombe sur la seule femme. Elle peut ou non dire qui est le père parce qu'elle ne souhaite pas créer de conflit dans la famille ou ne sait pas qui est le père biologique. Historiquement, le système social obligeait le mariage au sein d'une classe sociale.

L' Âge d'or du Tibet (XVIIe et XVIIe siècles) modifier

Guallendra/Brouillon
Auteur Katia Buffetrille
Pays   France
Genre essai
Titre L' Âge d'or du Tibet (XVIIe et XVIIe siècles)
Lieu de parution Paris
Date de parution 2019
Nombre de pages 315

Présentation modifier

Accueil critique modifier

Pour la journaliste Heike Schmidt de RFI, Katia Buffetrille évoque avec cet ouvrage une « civilisation d’une incroyable richesse » qui risque de disparaitre étouffée après « l’invasion chinoise » de 1950 [2].

Références modifier

Sources modifier

Constitution cubaine de 1940 modifier

Contexte modifier

Présentation modifier

Références modifier

Sources modifier

Palais Royal modifier

Sources modifier

Claude Cadart modifier

Joies et peines de l’enfant Naktsang modifier

Joies et peines de l’enfant Naktsang (tibétain : Nag tshang zhi lu'i skyid sdug) est un récit autobiographique de Naktsang Nulo (tibétain : Nags tshang Nus blo) paru en 2007. L’auteur évoque son enfance dans les années 1948-1959 en Amdo, une ancienne province tibétaine.

Présentation modifier

Sourcés a exploiter modifier

Les Aquariums de Pyongyang modifier

Les Aquariums de Pyongyang est un livre de Kang Chol-hwan et Pierre Rigoulot, évoquant le camp de concentration de Yodok en Corée du Nord où Kang Chol-hwan a été détenu, à partir de neuf ans, pendant dix ans.

Présentation modifier

[1].

Références modifier

  1. Voyage au bout de l'enfer nord-coréen Les Échos, septembre 2000

Veste Mao modifier

Projet:Les sans pagEs/Articles manquants par nationalité/République populaire de Chine modifier

Infobox modifier

Guallendra/Brouillon
Nationalité Cubaine
Pays de résidence   Cuba.
Autres activités

Grève de la faim et décès modifier

En décembre 2009 (le 2 ou le 3), Zapata entama une grève de la faim pour dénoncer les conditions de sa détention dans la prison Kilo 8, réclamant celles dont Castro avait lui-même bénéficié lors de son incarcération en 1953, à la suite de l’attaque contre la garnison de Moncada (selon les sources officielles, il aurait commencé sa grève de la faim à cause du refus des Autorités d’équiper sa cellule d’un téléviseur, de chauffage et d’un téléphone[1]...).

Durant sa grève de la faim, Zapata refusa de prendre tout autre aliment que ceux que lui procurait sa mère, qui était autorisée à lui rendre visite tous les trimestres.

Selon le Directoire démocratique cubain, le directeur lui rationna alors à l’extrême toute eau durant 18 jours, torture qui eut pour effet de l’affaiblir et lui causa finalement de graves insuffisances rénales.

Zapata poursuivant sa grève de la faim, fut alors interné dans l’Hôpital de Camagüey, où il fut nourri et traité par intraveineuses, contre son gré. Le 16 février 2010, son état s’aggrava tant qu’il fut transféré d’urgence à l’Hôpital Hermanos Ameijeras, à La Havane, où il mourut le 23 février, dans l’après-midi.

Zapata est, selon les informations actuellement disponibles, le premier prisonnier politique cubain à mourir à la suite d’une grève de la faim depuis le poète catholique Pedro Luis Boitel, décédé le 24 mai 1972.

Le lendemain de son décès, le président cubain Raúl Castro a exprimé publiquement des regrets[2], ajoutant que Cuba ne pratiquait plus la torture.

Peu sensible à ce discours, le Parlement Européen a manifesté sa totale réprobation et, constatant qu'aucun progrès n'avait été accompli par les autorités cubaines en matière de respect des droits de l'homme, a voté le 11 mars 2010 une résolution réclamant la libération de tous les prisonniers politiques cubains[3].

Le dissident Manuel Cuesta Morúa estime qu'« on s’était acharné contre lui Zapata Tamayo parce qu’il était noir »[4].

Controverse modifier

Les autorités cubaines ne considèrent pas officiellement O. Zapata comme un activiste politique mais comme un condamné de droit commun.

  • En effet, O. Zapata avait été plusieurs fois condamné pour différents délits, ne relevant pas du politique, entre 1988 et 2000[5].
  • Néanmoins, sa participation à la grève de la faim de 2003, organisée et encadrée par l'Asamblea para Promover la Sociedad Civil en Cuba, organisation notoirement antigouvernementale, les motivations de ladite manifestation ainsi que la condamnation qui s'ensuivit, sont des éléments de nature à le considérer comme un condamné politique cubain de fait.
  • Enfin, l'attitude très négative de la direction de la prison Kilo 8 à l'endroit du prisonnier - attitude et sévices[6] qui ont visiblement amené son décès - a conduit le président Castro à s'exprimer publiquement sur l'affaire, sans convaincre la communauté internationale.

Sources modifier

Références modifier

Sources pertinentes modifier

Sources d'appoint modifier

Accueil critique modifier

{{|Ce travail en fait un ouvrage essentiel régulièrement cité en référence dans les ouvrages et articles sur Cuba.}}[1]

Faiza Zerouala modifier

  1. Par exemple : Serge Raffy : « Castro l’infidèle », Fayard 2006 ; Pierre Rigoulot, « Coucher de soleil sur La Havane - La Cuba de Castro 1959-2007 », Flammarion 2007 ; « Le Livre noir du communisme. Crimes, terreur, répression », ouvrage collectif , Robert Laffont 1997, (ISBN 2-221-08204-4) ; http://www.lemonde.fr/livres/article/2011/07/11/sartre-passions-cubaines-d-alain-amar-et-cuba-un-regime-au-quotidien_1547332_3260.html ; http://www.la-croix.com/Archives/1997-06-09/Livres-Che-Guevara-un-mythe-tenace-Deux-biographies-imposantes-paraissent-sur-le-Che-_NP_-1997-06-09-429658 : Pierre Rigoulot : « Sur la mythologie de la révolution cubaine, l'ouvrage de Jeanine Verdès-Ledoux, La Lune et le Caudillo (Ed. L'Arpenteur), reste incontournable, prenant de front les fausses évidences reçues par la légende, rappelant notamment que Batista, figure honnie par excellence, que Sartre surnommait le "chimpanzé ", fut élu une première fois en juillet 1940 à la présidence de la République avec 60 % des voix et le soutien enthousiaste d'un Parti communiste qui, à la fin de son mandat, déclara " espérer pouvoir collaborer avec lui pour le bien du pays et du peuple... " » ; Cahiers des Amériques latines : Marie-Laure Geoffray et Silvina Testa : « De la révolution à la réforme : Cuba par-delà les polémiques idéologiques » ; http://www.bvoltaire.fr/jacquescarbou/livre-vie-cachee-fidel-castro-axel-gylden-juan-reinaldo-sanchez,67182 ; Dreyer Sylvain, « Vers un engagement critique. El otro Cristobal, film franco-cubain d’Armand Gatti (1963) », dans revue ¿ Interrogations ?, N°9. L’engagement, décembre 2009 [en ligne], http://www.revue-interrogations.org/Vers-un-engagement-critique-El ; Michel Onfray - Conférences sur France Culture, l’été 2014 - 2) Les philosophes au service des dictatures ; INTRODUCTION A LA CONSTITUTION CUBAINE par Emmanuel JOS, Professeur de droit public, Faculté de Droit et d’Économie de Martinique Université des Antilles et de la Guyane (http://www2.univ-ag.fr/CRPLC/IMG/pdf/introduction_a_la_constitution_de_la_republique_de_cuba_presentation_de_e.jos.pdf) ; « L'Île du docteur Castro (La transition confisquée) » de Corinne Cumerlato et Denis Rousseau, 1 décembre 1999, (ISBN 2-234-05244-0) ; etc.

Prison à Cuba modifier

L'écrivain Reinaldo Arenas, emprisonné au sein de la Villa Marista où ses tortionnaires menacent de le supprimer, note la présence d'officiers soviétiques qui semblent commander les geôliers cubains[1].

Références modifier

  1. Raffy 2004, p. 508

Santa et Andres modifier

Cuba No modifier

  • [10] revue Est Ouest

JO modifier

1

Alpha 66 modifier

Bibliotheque modifier

Louis Cornellier   : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article..

Pédophilie Église modifier

Religieuses modifier

B modifier

Henry Bauchau modifier

Marie-Claire Bergère modifier

Lucien Bianco modifier

La Récidive. Révolution russe, révolution chinoise

Sources modifier

Pierre Boncenne modifier

Texte modifier

X[1]

Sylvain Boulouque modifier

Texte modifier

X[2]

Michel Bonnin modifier

Texte modifier

X[3]

Christophe Bourseiller modifier

Texte modifier

X[4]

Claudie et Jacques Broyelle modifier

Texte modifier

X[5]

C modifier

D modifier

Texte modifier

XX[1].

Jean-Louis Debré modifier

Jean-Louis Debré, Dynasties républicaines, Fayard,  

Texte modifier

X[2].

Référence modifier

F modifier

Martha Frayde modifier

Texte modifier

X[1].

Samuel Farber modifier

Samuel Farber, Che Guevara. Ombres et lumières d'un révolutionnaire, Syllepse, , 178 p.  

Ref modifier

Y [2].

G modifier

  • Jacques Guillermaz

H modifier

[3]

    • Céline Hoyeau, La Trahison des pères. Emprise et abus des fondateurs de communautés nouvelles., Bayard, , 352 p. (ISBN 978-2-2274-9870-9)

[4].

L modifier

M modifier

Roderick MacFarquhar modifier

P modifier

Jean Pasqualini modifier

Philippe Paquet modifier

livre modifier

Philippe Paquet, Simon Leys. Navigateur entre les mondes, Gallimard, , 670 p.  

Ref modifier

[5].

R modifier

Serge Raffy modifier

Serge Raffy, Castro, l'infidèle, Fayard, , 672 p. (ISBN 2213612579 et 978-2-213-61257-7)  

Ref modifier

[6].

Pierre Rigoulot 1 modifier

Pierre Rigoulot, Coucher de soleil sur La Havane : La Cuba de Castro 1959-2007, Flammarion, (ISBN 978-2-0806-8407-3)  

Pierre Rigoulot 2 modifier

Pierre Rigoulot, La Véritable histoire d'Ernesto guevara, Larousse, , 176 p. (ISBN 978-2-03-584603-7)  

Ref 1 modifier

[7].

Ref 2 modifier

[8].

Ref en double modifier

[9].

Alain Roux modifier

S modifier

Philip Short modifier

  • Philip Short, Mao Tsé-Toung. Titre original : Mao: a life (1999), traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Colette Lahary-Gautié, Fayard, , 673 p. (ISBN 2-286-01252-0)  

Han Suyin modifier

V modifier

Emmanuel Vincenot modifier

Ref modifier

[10].

Jeannine Verdès-Leroux modifier

Référence modifier

[11].

W modifier

Y modifier

Photos double modifier

Conflit entre Mao et Liu pendant la Révolution culturelle.
Le chef du Parti Mao Zedong (à gauche ) et le Président chinois Liu Shaoqi (à droite)

Flickr2commons modifier

https://tools.wmflabs.org/flickr2commons/index.html#interface_language=fr

Lien vers page en anglais modifier

Samuel Farber

Contact Press Images

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Image externe modifier

Image externe
  La Fille à la fleur sur le site de l'Agence Magnum.

image modifier

|légende = Un photo de Robert Fortet ici}}

Tableaux modifier

Enfant(s) Durée de vie Conjoint(s) Note(s)
Alice Grévy 29 mai 1849 – 29 décembre 1938  

Daniel Wilson
(1840-1919)

Mère de :
  • Marguerite-Coralie-Julie-Henriette-Marie Wilson
  • Jeanne-Alice-Marie Wilson
  • Suzanne-Hélène Wilson

Son mari est à l'origine du scandale des décorations, contraignant Jules Grévy à la démission.


Enfant(s) Durée de vie Conjoint(s) Note(s)
Anne-Marie Fallières 14 juillet 1874 – 1962 Jean Lanes
(1859-1940)
Mère de :
  • un enfant non précisé
André Fallières 30 septembre 1875 – 20 août 1968 n'a pas eu de conjoint A été notamment ministre du Travail et des Affaires sociales dans le quatrième gouvernement Raymond Poincaré.
Semaine Nombre d'entrée Total
11 au 18 octobre 2023 59 266 59 266
18 au 25 octobre 2023 82 582 141 848
25 au 1 novembre 2023 133 984 418 186

Icom modifier

   

Castro modifier

Fabian Noël modifier

Sarah Zouak modifier

Sources principales modifier

Récompense modifier

Sources annexes modifier

Samia Orosemane modifier

Sources Samia Oroseman modifier

[12] modifier

Erreur de référence : La balise ouvrante <ref> est mal formée ou a un mauvais nom..

  1. Frayde 1987
  2. Farber 2017
  3. Hoyeau 2021, p. 105
  4. Hoyeau 2021
  5. Paquet 2016
  6. Raffy 2004
  7. Rigoulot 2007
  8. Rigoulot 2010
  9. Rigoulot 2010, p. 69
  10. Vincenot 2016
  11. Verdès-Leroux 1989
  12. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées X

Bibliographie modifier

Brigitte Duzan modifier

Tour Hyperion modifier

Ai Xia modifier

Zhang Bojun modifier

est un homme politique et intellectuel chinois, et a été purgé à la fin des années 1950 après avoir été déclaré "le numéro un de la Chine à la droite de la Chine", a déclaré Zhang Bojun (chinois simplifié, chinois traditionnel 章伯鈞, pinyin: Zhāng Bójūn, 17 novembre 1895

Li Heping modifier

Li Heping (Chinois: 李和平) est un avocat des droits civils dans la République populaire de Chine et l'un des partenaires de l' Pékin Cabinet d'avocats international , qui a été enlevée le 10 juillet 2015. Il est une figure importante de la Chine Weiquan (droits de la défense) le mouvement, après avoir défendu les Chrétiens dans la clandestinité, les pratiquants de Falun Gong, écrivains dissidents, et les victimes d'expulsions forcées, entre autres.

simon Leys modifier

Ryckmans obtint sans difficulté son visa. Patrick Nothomb propose une explication [1]:


Fabrice Nicolono

Simon Leys est mort et comme écrivait l’autre, tout est dépeuplé. Cette grande personne si chère à mon cœur ne semble avoir aucun rapport avec mes obsessions, qui ne sont finalement qu’une : la crise de la vie sur Terre. Mais comme si souvent, il n’est pas besoin de creuser longtemps pour comprendre à quel point Leys était un allié de première force dans la bataille contre tous les mensonges. Il est donc mort en Australie, où il enseignait, à l’âge un peu jeune de 78 ans (ici).

Avant de vous dire mon sentiment, sachez que je suis loin de chez moi, loin de mes livres et de mes références. Je vous livrerai donc ce que ma mémoire me dicte. Leys – Pierre Rickmans de son nom de naissance – est d’abord, comme certains d’entre vous le savent, un authentique sinologue, grand

=+ Chossudovsky =+ Professor Chossudovsky says research on his website is 'anti-Zionist, ... run by Michel Chossudovsky, a controversial left-leaning economist, and came .... Mr. Chossudovsky, 59, has a reputation for producing radical critiques Ottawa Citizen

[20]

Ma T modifier

Matthew Kapstein Cette fois, il condense, en conservant malgré tout un sens impressionnant du détail et de la nuance,

es bibliothèques de linguistique, d’anthropologie et d’histoire des religions, sans oublier celle de politique contemporaine. Car le but de ce volume, unique en son genre, est de résumer clairement, pour le lecteur ignorant mais de bonne volonté, tout, tout, tout ce qu’on peut savoir des Tibétains – ou presque. Les premiers peuplements, la di

Michea modifier

J'ai lu «Les Habits neufs du président Mao» en 1975, autrement dit au moment précis où je commençais à m’immerger dans les écrits de Guy Debord et de l’Internationale situationniste. On oublie trop souvent, en effet, que cet ouvrage iconoclaste d’ailleurs mieux les conditions morales de cette liberté d’esprit - car il s’agit bien, avant tout, de conditions morales – si on se reporte au célèbre conte d’Andersen, «Les habits neufs de l’Empereur» (c’est, bien sûr, à ce conte - écrit en 1837 - que Simon Leys avait emprunté le titre de son premier livre).

J’en rappelle brièvement l’intrigue. Deux artisans tailleurs proposent à l’Empereur de lui confectionner les habits les plus somptueux qui soient - habits qui auraient, de surcroît, le pouvoir miraculeux de demeurer invisibles aux yeux de quiconque se révèlerait être un mauvais sujet (ou, si on préfère une formulation plus moderne, aux yeux de quiconque manifesterait des tendances «réactionnaires» et «politiquement incorrectes»). Comme on s’en doute, ces deux tailleurs sont, en réalité, de simples charlatans et les magnifiques habits qu’ils font semblant d’avoir tissés sont dépourvus de toute existence réelle.

On connaît la suite. Lors du défilé destiné à présenter au peuple ces magnifiques habits neufs, tous les sujets de l’Empire vont donc se trouver confrontés à une situation à la fois paradoxale et très délicate pour eux. Chacun peut en effet voir par lui-même que le roi est nu, mais - du fait du dispositif idéologique habilement mis en place

Pan Guangdan 1899-1967 modifier

23Né en 1899 dans la province du Jiangsu, district de Baoshan, ville de Luodian. 1912-1922 : études préparatoires à l’école Qinghai de Pékin en vue d’études aux États-Unis. 1922-1926 : étudie aux États-Unis. Étudie d’abord la biologie à l’Université de Dartmouth, New Hampshire, où il obtient une licence, puis étudie la zoologie, la paléontologie et la génétique à l‘Université de Colombia où il obtient une maîtrise. En 1926, il retourne en Chine et exerce comme professeur à l’université de Daxia à Shanghai, à l’Université de Fudan et à l’université de Guanghua. Après 1934, il est professeur à l’université de Tsinghua, doyen, titulaire de la chaire de sociologie. Ensuite, il est professeur et titulaire de la chaire de sociologie de la la Northwestern United University. 1952-1967 : travaille au Collège central des nationalités, titulaire d’une chaire de troisième division. Membre de la deuxième et troisième Conférence politique consultative du peuple chinois. Il est mort le 10 juin 1967


Bandeaux modifier


Robert Elegant envoie directement sur la page en anglais sans passer par le lien rouge

Alain Roux, modifier

« Compte rendu de Michel Bonnin, Génération perdue : le mouvement d’envoi des jeunes instruits à la campagne en Chine…, 2004 », Le Mouvement Social, n° 213 (octobre-décembre 2005), p. 124-127, et en ligne : http://mouvement-social.univ-paris1.fr/document.php?id=598 ==.

Tout comme Mao Zedong, qui en fut l’instigateur, la Révolution Culturelle chinoise est devenue un objet historique. Le livre dont traite cette recension en fournit la démonstration. Le plus âgé des deux auteurs, Roderick Macfarquhar, avait publié auparavant chez Oxford University Press entre 1974 et 1997, une trilogie devenue un classique, The Origins of the Cultural Revolution (1956-1966). Sur ce socle il a bâti avec Michael Schoenhals, plus jeune que lui d’une vingtaine d’années, une solide histoire des dix années qui ont suivi, en bénéficiant de l’aptitude exceptionnelle pour trouver des sources inédites dont a fait preuve ce chercheur, connu notamment pour son recueil de documents China’s Cultural Revolution, 1966-1969: not a Dinner Party, paru chez Sharpe, à Armonk New York) en 1996.

Simon Leys modifier

http://textyles.revues.org/227

Confucius modifier

Dans son « Introduction à Confucius », reprise dans L’Ange et le Cachalot, Simon Leys analyse les effets proprement révolutionnaires du travail de redéfinition des concepts opéré par Confucius : sa conception du politique – « la toute première tâche d’un véritable homme d’État est de rectifier les dénominations », affirmait Confucius – « porta un coup fatal au système féodal ; elle détruisit le pouvoir de la noblesse héréditaire, et assura les fondations du “gouvernement des lettrés”. Durant plus de deux mille ans, l’empire bureaucratique fut dirigé par l’élite intellectuelle. »7 À la proposition de Confucius répond celle d’Evelyn Waugh, citée dans le même essai : « La littérature n’est rien d’autre qu’une façon adéquate d’user du langage. » (p. 121) Ainsi la littérature a-t-elle, aux yeux de Simon Leys, hérité de cette mission politique que Confucius attribuait à l’homme d’État.reuses brimades de ce genre figurent au dossier de Cécile,


http://rue89.nouvelobs.com/2014/08/16/apres-simon-leys-lettre-ouverte-sinologues-defenseurs-droits-humains-254244

Studio modifier

http://www.famillechretienne.fr/livres/litterature/essais/le-studio-de-l-inutilite-31656 http://www.lejdd.fr/Chroniques/Bernard-Pivot/L-inutilite-Tres-utile-La-chronique-de-Bernad-Pivot-501103

Shen (Fu) modifier

http://textyles.revues.org/1574#tocto1n1

Magloire Pélage modifier

, né en 1766 dans la commune du Lamentin en Martinique.

Biographie modifier

Jeune esclave maçon, il est le fils d'un mulâtre le citoyen Leblanc et de la négresse Fanchine. C'est un câpre[N 1].

C'est à l'âge de 27 ans, il s'enrôle dans la milice des gens de couleur, en tant que fusilier dans le 1er bataillon de chasseurs de la Martinique, en avril 1793 il est nommé au grade de sergent[2].

ELAGE était gouverneur de Guadeloupe au moment du débarquement des troupes napoléoniennes. Lors de la scission causée par IGNACE et DELGRES, il prit partie pour le contre-amiral LACROSSE. Au moment de l'expulsion de ce dernier, PELAGE se rangera définitivement aux côtés des esclavagistes. Il organisera les arrestations de ses frères de couleurs. Il en sera d'ailleurs très récompensé puisqu'il terminera sa carrière militaire très zélée au sein de l'armée espagnole.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Un enfant issu d'une union mulâtre-noir est un câpre (câpresse) ou un griffe (griffonne)

Références modifier

liens externes modifier

Administration du Cyberespace Chinois modifier

Hymne modifier

À l'approche du Nouvel An lunaire, le chœur de l’Administration du cyberespace a gagné le concoursles paroles ont été écrites par Wang Pingjiu, auteur de l’hymne olympique des jeux de Pékin[1].

Aillet modifier

Le prêtre était toujours en contact avec des enfants. Ainsi, il anime, le 6 février 2016, une journée diocésaine pour des élèves de 4ème et 3ème. De même en 2012, le prêtre célèbre une messe de rentrée dans un lycée du diocese, en septembre 2015, il accompagne des enfants de 6ème pour un voyage à Lourdes. Or Marc Aillet affirme que Jean-François Sarramagnan n'avait « pas de responsabilité directe auprès des enfants et de jeunes »[1],[2].

Le 15 avril 2016, l'évêque de Bayonne Marc Aillet écrit au procureur de la République pour l'informer de faits de pédophilie par Jean-François Sarramagnan, prêtre au sein du diocèse. Marc Aillet est informé de ce dossier depuis 2009, mais il n'a pas jugé pertinent de le signaler à la justice, la famille n'ayant pas porté plainte. Par ailleurs Marc Aillet affirme que le prêtre incriminé n'était plus en contact avec des enfants. [1],

.

Dieu est rouge modifier

église d'Asie Ursula Gauthier

Immolations au Tibet modifier

CRS SS modifier

Synode de Lviv modifier

1945: Rattachement forcé des Églises grecques-catholiques ukrainienne et ruthène à l'Église orthodoxe russe (en URSS). L'Église continue d'exister dans la diaspora (et clandestinement en Ukraine). L'opération d’annexion de l'Église grecque catholique ukrainienne par l'Église orthodoxe russe en 1945 a été dirigée par Staline[1]. Une lettre de décembre 1945 de Nikita Khrouchtchev à Joseph Staline, récemment découverte, prouve que les dirigeants soviétiques ont été directement impliqués dans la liquidation de l'Église catholique uniate d'Ukraine. « Lorsque j'étais à Moscou, je vous ai informé sur le travail accompli en vue de la destruction de l'Église uniate et sur l'intégration des religieux dans l'Église orthodoxe », écrit Nikita Khrouchtchev, alors chef du PC d'Ukraine, dans cette lettre datée du 17 décembre 1945 et issue des archives du Parti communiste de l'Union soviétique.
Ces écrits confirment les thèses défendues par de nombreux historiens sur le sort subi par l'Église uniate, ou grecque-catholique, implantée principalement dans l'ouest de l'Ukraine.
Les évêques de cette Église, accusés de collaboration avec les forces allemandes pendant l'occupation, avaient été arrêtés simultanément le et condamnés aux travaux forcés.

- En 1946, sous l'impulsion d'un « comité pour la réunification de l'Église grecque-catholique avec l'orthodoxie », le clergé grec-catholique a été intégré de force à l'église orthodoxe du Patriarcat de Moscou., résiliant le lien avec Rome datant de 1596. Le , lors du « Synode de Lvov », 204 prêtres grecs-catholiques abjurèrent « l'hérésie latine », tandis que la hiérarchie ecclésiale et les prêtres refusant la "conversion" obligatoire à l'orthodoxie furent déportés et internés au goulag[2].
L'Eglise grecque-catholique continua sa vie dans la clandestinité. Les prêtres perpétuèrent le culte clandestinement, certains prirent le chemin de l'exil.

Références modifier

Riwal modifier

Gilles Clavreul, modifier

libération centre décembre 2015

33 Révolutions modifier

AV modifier

Yan Baohang, Chen Ziming, Le président Mao va à Anyuan,

Postel modifier

Michel Postel, né le 7 avril 1926 à Belfort est un entrepreneur et collectionneur d’œuvres d’art. Ses collections ont permis la création du musée d’Art Oriental Asiatica de Biarritz[1].

Michel POSTEL
 
Zhu Xintian accompagnée de Michel Postel et Jacques Chirac lors de sa visite du Musée Asiatica
Naissance 7 avril 1926, Belfort

Nationalité Française

Activités Entrepreneur, collectionneur
modifier - modifier le code 

Biographie modifier

Michel Postel est un industriel français, archéologue[Information douteuse] et créateur de musée[2].

Famille et jeunesse modifier

Paul Postel, le père de Michel Postel, est Chirurgien Dentiste à Biarritz, ainsi qu’ancien Combattant de la Première Guerre Mondiale (Médaillé de la Croix de guerre 14-18). Il épouse Renée Delagrange dont il aura trois enfants. Michel Postel est l’aînée de la fratrie. Il fait ses études au Lycée de Biarritz où il obtient son bac de Philosophie. Puis, en compagnie de son père, poursuivi comme résistant, il traverse la frontière espagnole, rejoint avec son père l’Ambassade de la France Libre à Madrid pour ensuite s’engager à Casablanca dans l’Aviation tandis que son père part pour le débarquement dans le Sud de la France avec la Division Leclerc. Son entrainement a lieu aux États-Unis où il recevra les « Ailes » d’Officier Navigateur « Squadron Leader » dans l’U.S. Air Force (le plus jeune « graduate ») en décembre 1945.

À la fin de la guerre, il reprend ses études à l’École Supérieure de Commerce de Paris. Il en sort diplômé en 1948.

Entrepreneur modifier

En 1949, Michel Postel quitte la France pour Bombay et devient représentant pour l’Industrie Pharmaceutique française en Inde.

Quelques années plus tard, il fonde la revue médicale « La Médecine en France, » encore publiée actuellement.

Il crée en 1959 la Franco-Indian Pharmaceuticals Ltd., à Mumbai[3], maintenant dirigée par son fils, Pascal Postel.

Mariage et descendance modifier

D’une première union avec Myrtle Morton né un fils, Pascal Postel, aujourd’hui P.D.G. de la Franco-Indian Pharmaceuticals.

En 1992, il se remarie avec Zhu Xintian, artiste-peintre, photographe, chercheuse, co-fondatrice et conservatrice du Musée Asiatica.

Collectionneur modifier

Parallèlement à ses activités dans l’industrie pharmaceutique, Michel Postel se passionne pour l’art asiatique avec une prédilection pour l’art indien et débute sa vie de collectionneur. Ses nombreux voyages l’amènent à découvrir des régions encore peu étudiées. Il fonde la Franco-Indian Art Research à Mumbaï qui emploie un savant spécialiste de l’art indien, le Dr. Kirit Mankodi. Ainsi, il découvre deux sites archéologiques : le Temple d’Atru ainsi que Le puits de la reine à Patan[réf. nécessaire] classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO.

Michel Postel est dépositaire d'une collection importante, la deuxième de ce type en France après celle du musée Guimet et la cinquième en Europe[4].

Découvertes archéologiques modifier

En bordure de la ville de Patan dans le Gujarat, Michel Postel remarque des fûts de colonnes sortant d’un étang semblant dater du 12ème siècle. L’archéologue assistant de Michel POSTEL, le docteur Kirit Mankodi, convainc l’Archaeological Suvey of India d’entreprendre les fouilles suivies de près par tous deux[réf. nécessaire][Quand ?]. L’opération prendra vingt années pour désensabler et découvrir un puits à escaliers de 70 mètres de long et 40 mètres de profondeur avec plusieurs centaines de très belles sculptures intactes de divinités vishnuites du 12ème siècle, et de nombreuses naïades à leur toilette.[21][22] La découverte est publiée dans un ouvrage de 252 pages, « The Queen’s Stepwell at Patan »[5], puis en chinois par Xintian ZHU POSTEL en 196 pages[6].

Aujourd’hui, ce monument, le Rani-ki-Vav, est classé comme Trésor de l’Humanité par l’UNESCO.

La deuxième découverte de Michel Postel a été le Gadgach temple situé sur un monticule près du village d’Atru[réf. nécessaire] [Quand ?]. Ce temple a le plus grand intérêt pour l’histoire de la sculpture indienne car ses sculptures sont en partie Pratihara et Paramara.

Des vandales avaient réussi à dégager quatre mithuna emportés à New York qui ont été heureusement récupérés grâce aux photographies prises lors des travaux de l’ASI par Xintian ZHU POSTEL.[réf. nécessaire]

Les travaux sur un troisième site, l’ensemble des temples à Badoli ont été entrepris par l’équipe de Michel POSTEL il y a une dizaine d’années avec l’assistance du Dr. MANKODI, du Professeur VASADAVA et de l’ASI[réf. nécessaire]. Pour la première fois, on pourra publier prochainement les photographies de cet ensemble extraordinaire, et de son histoire.

Le Musée Asiatica modifier

En 1999, il crée et fonde, avec sa femme Zhu Xintian, le Musée d’Art Oriental Asiatica [23][24] de Biarritz qui regroupe des œuvres issues de l’Inde, de la Chine, du Tibet ou encore du Népal.

Ce musée est organisé par culture, Inde, Chine, Tibet, Népal, etc…. afin que le visiteur puisse pénétrer dans chaque culture avec la documentation correspondante à sa portée sur les tables triangulaires.

Publications modifier

Lors de ses décennies de recherches, Michel POSTEL publie plusieurs publications :

• Antiquities of Himachal, par M. Postel, A. Neven, K. Mankodi, 327 pages[7]

• Ear Ornaments of Ancient India, par M. Postel, 323 pages[8],[9]

• Bastar Folk Art – Shrines, Figurines and Memorials, par M. Postel, Z. Cooper,[10]

Publications en Collaboration. modifier

- The Queen’s Stepwell (avec le Docteur K. MANKODI)[11].[25]

- Le même en langue chinoise par le Dr. Xintian ZHU POSTEL.[12]

- Avant-propos de The religious imagery at Khajuraho (Dr. Devangana Desai)[13],[14]

- Ganesa, l’Enchanteur des trois mondes en français et en anglais avec M. MARTIN-DUBOST.[15]

Décorations modifier

- Médaille des Évadés de France.

- Médaille des Engagés volontaires.

- Croix de Chevalier de l’Ordre National du Mérite – 1973.

- « Padma Shri » dans les Arts et l’Archéologie – 2016, la plus haute distinction du Gouvernement indien.[26]

- Médaille d’or du Gouvernement Chinois comme « Vétéran de la Guerre contre le fascisme » - 2016.

Liens externes modifier

http://www.musee-asiatica.com/histoire/

http://data.bnf.fr/12413106/michel_postel/

https://szupu.szu.edu.cn/centre-for-indian-studies-shenzhen-university/

http://www.sudouest.fr/2012/10/13/asiatica-a-l-heure-indienne-848850-631.php

http://www.sudouest.fr/2011/07/16/des-hommes-et-des-dieux-a-asiatica-453217-4037.php

http://www.sudouest.fr/2010/05/28/le-musee-asiatica-se-bat-pour-accroitre-sa-notoriete-103183-4037.php

http://www.sudouest.fr/2010/07/13/un-pantheon-hindou-millenaire-a-decouvrir-138612-736.php

Notes et références modifier

  1. Article décrivant le parcours ayant amené à la création du musée dans le magazine indien Outlook, publié le 22 novembre 1999.
  2. Michel Postel Who's Who in France
  3. [2]
  4. Musée Asiatica - Musée d'Art asiatique Michelin voyage
  5. Mankodi, K., The Queen's stepwell at Patan, Project for Indian Cultural Studies, (ISBN 819001840X, OCLC 28801053, lire en ligne)
  6. Zhu, Xin Tian, 1951- ..., Yin du jiao wan shen dian yi shu : yin du wang hou jing tan mi, Franco-Indian research pvt. Ltd, (ISBN 9788190394307, OCLC 762807388, lire en ligne)
  7. (en) Michel Postel, Antiquities of Himachal
  8. (en) Michel Postel, Ear Ornaments of Ancient India, Bombay, Franco-Indian Pharmaceuticals, , 323 p.
  9. Compte-rendu de l'ouvrage par Jean-François Hurpré, dans la revue Arts asiatiques, 1990, volume 45.
  10. Postel, M., Bastar folk art : shrines, figurines and memorials, Franco-Indian Research, (ISBN 8190018450, OCLC 44475758, lire en ligne)
  11. Mankodi, K., The Queen's stepwell at Patan, Project for Indian Cultural Studies, (ISBN 819001840X, OCLC 28801053, lire en ligne)
  12. Zhu, Xin Tian, 1951- ..., Yin du jiao wan shen dian yi shu : yin du wang hou jing tan mi, Franco-Indian research pvt. Ltd, (ISBN 9788190394307, OCLC 762807388, lire en ligne)
  13. Desai, Devangana, 1937-, The religious imagery of Khajuraho, Franco-Indian Research, (ISBN 8190018418, OCLC 36051554, lire en ligne)
  14. Compte-rendu de l'ouvrage par Charlotte Schmid, dans la revue Arts asiatiques, 1997, volume 52.
  15. Martin-Dubost, Paul., Gaṇeśa, the enchanter of the three worlds, Franco-Indian Research, (ISBN 8190018434, OCLC 39756665, lire en ligne)

TR modifier

A History of Horror

Mausolée modifier

Petit boucher modifier

Benoît Rayski http://www.atlantico.fr/decryptage/anne-hidalgo-savez-que-che-guevara-est-aussi-boucher-cabana-benoit-rayski-3267200.html Jean Sévillia http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2010/04/17/01006-20100417ARTMAG00092--le-che-un-mythe-a-deb-oulonner-.php

Santaria modifier

Félix Luís Viera UMAP modifier

Comptes campagne modifier

femme cuba - modifier

https://journals.openedition.org/cal/1309

TR modifier

Sophia Aram -[29]

sixième plier de l’islam

sixième pilier de l’Islam

2 modifier

Le journaliste Ian Hamel rappelle que Tariq Ramadan condamnait les musulmans qui trompent leur femme : « Il faut arrêter tout de suite de tromper sa femme. Il faut demander pardon à Dieu et reprendre une vie de famille saine. » Cette contradiction entre ses prêches et ses pratiques sexuelles, a dégradé sa réputation auprès de ses soutiens[1]

  1. Ian Hamel []

Eric Morain modifier

B modifier

ici

Charles Van Houden modifier

N modifier

Les Maoïstes : La Folle Histoire des gardes rouges français modifier

    • [31] Libération
    • [32] Bertrand Renouvin
    • [33] Guillaume Calafat maître de conférences en histoire moderne à l’Université Paris 1 et membre de l’Institut d’Histoire Moderne et Contemporaine
    • [34] L'Express
    • [35] Jean-Guillaume Lanuque

Hôtel Shangri-La, Bangkok modifier

Campagne pour supprimer les contres révolutionnaires modifier

Zang Hanfu modifier

The Dao County Massacre of 1967

Gang Peng modifier

veste Mao modifier

La Longue Marche de la veste Mao

Wu Jiaxiang modifier

Category:Chinese dissidents modifier

Peng Chun Chang modifier

My number (Japon) modifier

FI modifier

Affaire Mediascop modifier

https://www.amp.rfi.fr/fr/france/20181026-mediascope-sophia-chikirou-lfi-insoumise-contre-attaque-marais-avocat

En décembre 2015, il participe à la création de l’association L’Ère du peuple qui pour objectif de « servir de support technique et logistique à toutes les initiatives prises au service des idées développées par Jean-Luc Mélenchon pour réaliser la révolution citoyenne »<

Campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon : L'Ere du peuple, petite association et grosses factures

Affaire des assistants parlementaires de JLM modifier

Assistants parlementaireS modifier

Compte de campagne modifier

  • [38] Le Figaro, 2021

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Citations modifier

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude. » Aldous Huxley.
« Le seul moyen de délivrer les hommes du mal c'est de les délivrer de la liberté. » Simon Leys

Participations modifier

Prix Panaméricain 2021 :

Prix de la meilleure moyenne.

 
     Médaille d'or 
Tsaag Valren
moyenne 2,54 
 
 Médaille d'argent
Gabon100
moyenne 2,39 
 
Prix Mois Américain
   Médaille de bronze 
Langladure
moyenne 2,11 


Prix LSP du mois américain 2020:

 
     Médaille d'or 
Kertraon
151 points • 28 articles 
 
 Médaille d'argent
Fanfwah
111 points • 3 articles 
 
Prix Mois Américain
   Médaille de bronze 
Langladure
72 points • 5 articles 
 
     
Médaille d'or (1er)
Ambassadeur 2018
 
Pierre André Leclercq
57 articles
 
 
 
Médaille d'argent (2e)
Ambassadrice 2018

Tsaag Valren
45 articles
 
 
Podium
   
Médaille de bronze (3e) 
Langladure
34 articles
 
 
     
Médaille d'or (1er) 
Cbyd
86 articles
 
 
 
Médaille d'argent (2e)
Tsaag Valren
67 articles
 
 
Podium
   
Médaille de bronze (3e) 
Langladure
62 articles
 
  Pour ses articles d'intérêt sur la Gironde et Bordeaux. --J i b i--44 13 décembre 2009 à 12:26 (CET)


  Merci pour tout ce que tu fais sur WP
Perky ♡ 13 janvier 2010 à 09:43 (CET)

Aides modifier

Utilisateur:LectriceDuSoir/Modeles

Prises de décision Mgr modifier

Liens langues modifier

Michael Glennon
John Geoghan

essai modifier

Protestation contre la guerre en 2014 en Russie (en)
Modèle:Interlanguage link
2014 anti-war protests in Russia (en)

Ref modifier

XXX [1]

  1. (en) Jack Julian, Jon Tattrie, « The secret life of « one of the most prolific sexual abusers in Canadian history » », sur CBC News, (consulté le )

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Lennart Lemmens (nl)

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