Une (ou des) fluctuation quantique (c'est de l'énergie) ont pu engendrer ce qu'il est convenu d'appeler le « Big Bang ». C'est une réponse à la question ː d'où vient le « Big Bang » ? Cette réponse implique que notre Univers pourrait être né tout seul dans un vide pré-existant mais où il y aurait eu de l'énergie. Mais il n'y a pas de preuves à ce jour qu'avant le « Big Bang » il n'y avait que du vide. Une autre théorie stipule que notre Univers a le même comportement qu'un ballon de baudruche qui se gonflerait et se retrécirait alternativement. Cette théorie ne résout pas la question de l'origine du premier gonflement. D'autres parlent de plusieurs univers identiques et parallèles que l'on pourrait rejoindre par des déviations espace-temps. L'être humain a besoin de savoir, c'est l'une de ses principales spécificités. Tout naît et meurt dans notre Univers donc nous pourrions penser qu'il en va de même de l'Univers mais nous pouvons également penser que ce que nous appelons le « Big Bang » n'est que le développement ou la manifestation physique d'une réalité qui n'a pas eu besoin d'être créée.

Qui sommes-nous dans l'immensité de l'Univers et face à son énergie que notre intelligence humaine ne peut même pas imaginer ? Une énergie tellement grande qu'elle n'a pas de limites ni même de poids. Nous ne comprenons pas pourquoi l'Univers existe mais nous pouvons le voir, c'est un vrai privilège. Chaque heure nous faisons plus de 2 millions de kilomètres dans cet Univers remplit de trous noirs qui se trouvent au centre de chaque galaxie mais les distances sont si grandes qu'à l'échelle humaine c'est insignifiant. Notre planète ne sera plus habitable longtemps avant l'extinction de notre soleil car même lui meurt. Finalement l'énergie est mortelle mais la mort ne veut rien dire pour des objets sans conscience. Nous sommes les seuls à voir cet Univers, à avoir conscience de notre environnement et à constater que tout naît et tout meurt. Cet Univers dans lequel nous vivons n'est donc pas éternel. Le « Big Bang » s'éteindra donc. Et après ? Plus rien ou un nouveau « Big Bang » ? Mais si rien n'est éternel alors ce sera plus rien un jour mais de toute façon notre Univers n'ayant pas conscience de lui-même éternel ou pas ne veut rien dire. C'est seulement est ou n'est pas. Il n'y a que nous qui pouvons raisonner et regarder consciemment cet Univers. Tout ce que nous pouvons penser n'a donc aucune valeur dans notre Univers sans conscience de lui-même. C'est la complexité incroyable de notre constitution chimique qui nous donne le pouvoir d'avoir conscience de nous et de notre environnement, de pouvoir raisonner, chercher à comprendre. Et quand nous voyons cet Univers qui nous entoure il ne vit pas comme nous, aucune force supérieure à nous se manifeste pour nous parler, nous rencontrer. Cette énergie qui fait marcher cet Univers n'a pas une apparence humaine, elle ne nous parle pas, elle n'a pas de sentiments et sensations comme nous. Elle ne nous dit pas d'où elle vient, comment elle est née et si elle a une finalité. C'est comme s'il n'y avait rien à comprendre ce qui terrifie notre complexité chimique qui a besoin de donner un sens à l'inexplicable qui ne peut en donner car notre complexité chimique est seule.

C'est le « Big Bang » qui a engendré le temps, l'espace, la matière et toutes les lois physiques que nous connaissons.

Il est parfaitement possible que nous soyons seuls dans l'Univers, c'est romantique et fascinant de penser cela. Même si d'autres formes de vie, éventuellement intelligentes, peuvent exister ailleurs mais différentes de nous car issues d'évolutions divergentes. Personnellement je n'aimerais pas du tout les rencontrer. Oui il n'y a que nous comme nous.

La Terre a connu plusieurs extinctions massives. Une nouvelle grande sélection naturelle débute désormais, elle sera peut-être fatale pour notre espèce car nous n'avons plus le temps nécessaire pour trouver puis accéder à une autre planète vivable selon nos normes existentielles.

Des êtres humains et des animaux meurent déjà de chaud.

Les enjeux économiques et financiers sont tels sur ce sujet que le déni est encore puissant.

La sélection naturelle se met déjà en place, les migrations humaines du sud vers le nord, ainsi que celles des végétaux et des animaux, en témoignent. Les humains fuiront les villes qui deviendront invivables. À la fin de ce siècle les principales agglomérations françaises seront fuies par tous ceux qui le pourront. Les autres y mourront de chaud. Paris est déjà un îlot de chaleur. Les gens voudront vivre au bord de la mer, à la montagne, à la campagne, où ils devront trouver d'autres métiers pour vivre. Il faudra s'entraider, troquer, cultiver son jardin et, surtout, avoir accès à l'eau qui sera le bien le plus précieux (ce qui est déjà le cas pour beaucoup d'humains et même en France le stress hydrique monte chaque année un peu plus). Chacun pour soi avec ses propres ressources, mais il y aura des conflits armés incessants et meurtriers pour l'accès à l'eau et à la nourriture ou ce qu'il en restera. Tous ceux qui ont des maladies chroniques mourront les premiers. Tout le monde voudra vivre dans les mêmes endroits, ce qui rendra ces derniers eux aussi invivables. Soit dit en passant il y a déjà des endroits sur Terre qui sont devenus inhabitables, là où l'humidité est totalement absorbée par la chaleur (en quelques heures c'est la mort assurée).

Ceux qui résisteront le plus longtemps seront les communautés déjà habituées à vivre avec peu ou presque rien. Très vraisemblablement ceux aussi vivant dans l'Himalaya, dans les forêts de Nouvelle-Guinée et du continent sud-américain, sur les îles du nord de l'Europe, au Groenland qui sera devenu une terre fertile (4 fois la superficie de la France) mais également et bien évidemment tout le long de la côte nord de la Russie. L'actuel pouvoir russe est en train de sacrifier une génération entière d'hommes russes, c'est la même chose que pour les français en 1914. D'ici quelques decennies la Russie sera un pays qui aura besoin d'une importante et durable immigration pour se repeupler. Toutefois ces régions seront aussi envahies par tous ceux qui voudront sauver leur peau. Il faudra quitter la France et l'Europe continentale, trop exposées, trop peuplées, trop urbanisées. Les littoraux seront gagnés par les mers. La sélection naturelle sera implacable et cela n'arrêtera pas l'exploitation des ressources terrestres jusqu'à leur épuisement. La chaleur, c'est pour tout le monde, riche ou pauvre. Les gens mourront de chaud, de soif, de faim.

Notre actuelle civilisation a pu se développer car le climat a connu une remarquable stabilité depuis 10 à 12.000 ans, mais l'ère industrielle a changé la donne. C'est le climat qui fait les civilisations et la nôtre est déjà dans un processus incontrôlable. Des personnes contestent encore tout ceci ou font comme si de rien n'était. L'américain Elon Musk parle d'un futur surhomme et d'une société d'abondance grâce à l'intelligence artificielle ... Faut-il en rire ou en pleurer ... ? Tous ces gens vivent dans le déni, c'est surréaliste. Chaque année des records de température tombent (vagues et dômes de chaleur, canicules, moyennes journalières de température explosées), et cela va bien plus vite que les innovations technologiques. Même si l'on arrêtait tout maintenant, il faudrait des centaines d'années pour revenir aux températures antérieures à l'ère industrielle, et plus l'on continue plus les températures montent vite, c'est le principe d'inertie, la force d'inertie du climat.

Alors que dire de plus, quand des modèles climatiques prévoient +6 à +7 degrés à la fin du siècle ? Ne retenons toutefois que +3 à +4 en moyenne, mais ce sera bien plus au siècle prochain et encore d’avantage après, et toujours plus vite (effet d'inertie), et il faudra y ajouter des degrés supplémentaires avec la fonte du pergélisol. Voilà, l'être humain aura vécu et cédera sa place à une autre forme de vie. La Terre, elle, tournera toujours autour de son astre solaire et les couchers de soleil seront toujours aussi beaux. En attendant que notre galaxie finisse sa course effrénée (2,3 millions de kms/heure), repoussée par le grand vide, vers l'immense amas de matière que l'on distingue bien sur notre continent céleste Laniakea.

Rien ne dure toujours.

Vanitas vanitatum et omnia vanitas.

Le vent emportera toujours l'orgueil des hommes.

Le paradis sur notre Terre fut au temps de la Préhistoire. Néanderthal dut être heureux, il vivait en petites communautés isolées, chasseur exceptionnel il mangeait vraisemblablement à sa faim. Il pouvait ne croiser les autres y compris Sapiens que quelquefois ou le plus souvent jamais. Les hommes vivaient moins longtemps mais libres et plus heureux. Bien avant le Néolithique où l'agriculture, la sédentarité et le développement de petites cités dues à l'accroissement démographique a engendré les maux de notre société moderne : rivalités, guerres, etc.

Je contribue essentiellement sur la noblesse française qui est l'élite française la plus prestigieuse, la plus ancienne et la plus intéressante. La noblesse n'a rien à voir avec les mondanités et de nos jours également avec le train de vie. Ingelger, fils de Tertulle ancien garde forestier, montre comment est née la noblesse française. Ça nous change des théories de certains qui s'imaginent que la noblesse féodale descend uniquement de chefs militaires d'origine franque ou encore plus prestigieux de préfets gallo-romains.

Être sur Wikipédia n'est pas toujours une preuve de notoriété.

Certaines familles ont des histoires qui pourraient faire l'objet de films au cinéma ou à la télévision. L'histoire ne retient que les familles notoires et il y en a peu.

J'ai débuté sur cette encyclopédie en 2004.

Récompense Lauriers Wikipédia (Histoire)
J'ai l'honneur de te décerner Iyy cette récompense. Pour fêter ta 42 000eme contribution
et pour tes contributions sur les grandes familles et sur l'Histoire. Toutes mes félicitations! Émoticône Aymeric [discussion] 21 août 2019 à 18:21 (CEST)
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--Éric Messel (Déposer un message) 11 décembre 2015 à 08:29 (CET)