Utilisateur:Fagmt/Trèves (ancienne page d'homonymes)

Treves


Trèves est un nom propre qui peut désigner des personnalités et des lieux.


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Trèves, Augusta Treverorum, Treverorum Génitif de Treveri modifier

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prononciation française identique au mot trêve modifier

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Treverorum, Treveri, Tres viris, Tres viroy (peutinger omnes viae) modifier

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Prononciation modifier

Trèves


Le nom d'une ville d'Allemagne modifier

 
Bassin versant de la Moselle
 
Emplacement de Trèves en Rhénanie-Palatinat
 
Les bassins hydrographiques d’Europe
  • Trèves [1] [2] [3] [4] est une ville et un arrondissement d'Allemagne, dans le Land de Rhénanie-Palatinat, située sur la Moselle

Histoire de la ville modifier

Plusieurs sources de documents relatifs à la ville de Trèves en Allemagne

Origine antique de la ville modifier

La Geste des Trévires, Récit du Xe au XVIIIe siècle modifier

La Geste des Trévires (en latin « Gesta Treverorum »), «nom d'un recueil des « faits et gestes des Trévires », qui établit l’origine antique de la ville, antérieure à son évangélisation...» :

Récit du Xe siècle

  • Historia Treverorum, «version la plus ancienne»
  • Gesta Treverorum (la Geste des Trévires), «plusieurs versions», «des emprunts à la Historia Treverorum un peu plus ancienne», «documents collectés par les moines bénédictins de l'abbaye Saint-Matthias de Trèves», «la collection débute en 1105 et est poursuivie jusqu'à la fin de la principauté électorale de Trèves en 1794»,
    • Version initiale des Gesta, «antérieure et non conservée», «rédigée par une moine anonyme du Monastère Euchaire de Trèves (1) entre 1072 et 1079», «développée ensuite en trois versions» :
      • une première version «depuis les débuts légendaires de la ville de Trèves 1250 avant la fondation de Rome jusqu'en 1101»
      • une deuxième version «étendue et allant jusqu'en 1132»
      • une troisième version «complétée par des documents divers»

Témoignage du Ie siècle

  • (1) Euchaire de Trèves (Ier ou IIe siècle), «considéré comme le fondateur de l'évêché de Trèves en Gaule du nord»[5],
    • Nominis: «Saint Euchaire, Evêque de Trèves (✝ 250), Evêque de Trèves, il fut le premier évangélisateur de cette importante capitale régionale de l'Empire romain. À Trèves en Gaule Belgique (Allemagne), au IIIe siècle, saint Euchaire, considéré comme le premier évêque de la cité. Martyrologe romain.» [6]
    • «Saint Cyrille de Trèves (2) fit construire deux sarcophages pour Euchaire et Valère que l'on peut admirer à la crypte de l'abbaye Saint-Matthias de Trèves»,
    • «Les moines ... conservent les reliques des deux premiers évêques de Trèves, saint Eucharius et saint Valère dans des sarcophages du IVe siècle»
    • Monastère Euchaire de Trèves

Témoignage du IVe siècle

  • (2) Saint Cyrille de Trèves (IVe siècle), évêque de Trèves : Cyrille 455–457, (voir aussi Saint Cyrille)
    • Cyrille de Trèves (455-457), semble ne pas être répertorié dans le Fichier d'autorité international virtuel VIAF [7]
    • «Saint Cyrille de Trèves fit construire deux sarcophages pour Euchaire et Valère que l'on peut admirer à la crypte de l'abbaye Saint-Matthias de Trèves»,
    • «Les moines ... conservent les reliques des deux premiers évêques de Trèves, saint Eucharius et saint Valère dans des sarcophages du IVe siècle»

Témoignage du VIe siècle

  • (1bis) Monastère de Trèves ?
    • Sainte Modeste de Trèves, abbesse du monastère de Trèves (✝ v. 660) [8] (cf. Modeste)
      • Nominis: «Sainte Modeste de Trèves, abbesse du monastère de Trèves (✝ v. 660), Première abbesse du monastère de Trèves, son culte est attesté au Xe siècle par les litanies des saints dans lesquelles son nom est inséré. Modeste appartenait à une famille de l’aristocratie austrasienne... » [9]
    • Le Cloître St. Simeon, «Le monastère a été construit en 1035 près de la Porta Nigra. Il est nommé d'après le moine grec Siméon.»[10]

Éditions du XIXe siècle

  • Éditions de La Gesta Treverorum :
    • «La Gesta Treverorum est éditée pour la première fois en Allemagne en 1836–1839 par Johann Hugo Wyttenbach (de) en trois volumes».
    • «L'édition de Jacques Paul Migne dans sa Patrologia Latina, volume 154, colonnes 1064-1333, est un peu plus tardive, entre 1844 et 1855.»

La Tunique de Trèves et le reliquaire de Saint Pierre, Témoignages du Ie siècle modifier

La Tunique de Trèves et le reliquaire de Saint Pierre, Témoignages du Ie siècle

  • La Tunique de Trèves «aurait été envoyée par sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin, à saint Agricius, évêque de Trèves...» et Sainte tunique du Christ [11]
    • «La Croix, la Couronne d’Épines et les autres reliques de la Passion du Christ sont restées cachées à Jérusalem pendant les premiers siècles des persécutions. Puis, l’empereur Constantin, converti au christianisme, accorde à l’Église la liberté et la paix. Sa mère, sainte Hélène, sachant que, suivant l’usage juif, les instruments d’un supplice restent près du tombeau du supplicié, découvre ainsi la Croix du Christ en 326. Cette découverte est appelée « l’invention de la Sainte Croix ». Puis sainte Hélène recueille d’autres reliques de la Passion conservées par des familles chrétiennes qui se les étaient transmises.» [12]
  • Férule pétrinienne:
    • cf. Euchaire de Trèves
    • «La tradition indique que c'est l'apôtre Pierre lui-même qui a envoyé ses disciples Euchaire, Valère et Materne évangéliser les Germains et certains territoires de Gaule.» (Témoignage du Ie siècle)
    • «La férule pétrinienne ou férule de saint Pierre (Petrusstab) est un reliquaire conservé au trésor de la cathédrale de Limburg en Allemagne qui contient un morceau de la férule de l'apôtre Pierre.»
      • «L'évêque-électeur de Trèves, Egbert, partage la relique entre le diocèse de Cologne et celui de Trèves vers 980 et fait confectionner pour ce dernier le reliquaire d'or que l'on peut admirer plus de mille ans après. Egbert de Trèves est un mécène majeur de la Renaissance ottonienne; il est le dédicataire du fameux Codex Egberti et du Psautier d'Egbert produits par l'abbaye de Reichenau.»

Sarcophages d'Euchaire et Valère du IVe siècle, Témoignage du Ie siècle modifier

  • Sarcophages d'Euchaire et Valère
    • «Saint Cyrille de Trèves fit construire deux sarcophages pour Euchaire et Valère que l'on peut admirer à la crypte de l'abbaye Saint-Matthias de Trèves»,
    • «Les moines ... conservent les reliques des deux premiers évêques de Trèves, saint Eucharius et saint Valère dans des sarcophages du IVe siècle»

Les Reliques du corps de Sainte Hélène, Témoignage du IVe siècle, Récit du VIIIe siècle modifier

 
Mapa Mundi de Beatus de Liébana (v. 780) conservé dans le manuscrit de Saint Severn
  • Reliques du corps de sainte Hélène, reliques de Sainte Hélène (mère de Constantin), «#Ses reliques» :
    • «En 868, l'archevêque de Reims charge le moine Hincmar de Reims (806-882) de composer une vie d'Hélène (Vitae Helenae).» «Hincmar, né en 806 et mort le 21 décembre 882 à Épernay» [13]
    • Almanne de Hautvillers (~830-~889), «Altmann (Altmannus) écrit également à son sujet un récit de translation et un recueil de miracles, manipulant les textes biographiques précédents pour élaborer une hagiographie. C'est lui qui compose un récit inventant l'authenticité des reliques de Trèves et l'origine aristocratique d'Hélène[14]
      • Abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers: «Le monastère possédait la relique du corps de sainte Hélène volée à Rome en 841 par un prêtre de Reims, ce qui développa un important pèlerinage et des revenus qui lui permirent d'acquérir des terres et des vignobles de champagne (40 hectares).»
    • «#Ses reliques» : «Vers 840, un moine nommé Theutgise dérobe à Torpignattara les restes d'Hélène qu’il rapporte à l’abbaye bénédictine d’Hautviller dans le diocèse de Reims. Les reliques sont placées dans une châsse derrière le maître-autel de l'église et favorisent opportunément les pèlerinages, permettant probablement à l'abbaye de « sortir de difficultés financières, de réaffirmer le pouvoir d'un évêque ou de défendre le bien-fondé d'une réforme».»


Une ville au bord du Fleuve Moselle (Flumen Musalla) modifier

 
Orbis Typus Universalis ~1505
  • La Moselle «était connue des Romains sous l'appellation Flumen Musalla (Table de Peutinger), la rivière sera chantée par le poète Ausone vers 371. Depuis 1815, la Moselle sert de frontière entre le grand-duché de Luxembourg et la Prusse (Empire allemand en 1871).»
    • par exemple, «Pour les Romains, à partir de 37, le Danube forme la frontière entre leur Imperium et le Barbaricum du Nord, entre le monde policé et urbanisé régi par la loi, et un monde plus libre régi par la coutume. Pratiquement de sa source à son embouchure, une flotte permanente, la classis, y était entretenue.»
      • à propos du Danube fleuve voisin, «Au VIIe siècle av. J.-C., les Grecs remontaient le fleuve en venant de la mer Noire en passant par la ville de Tomis, l’actuelle Constanţa. Leur voyage de découverte vers l'amont prit fin près de Drobeta, point à partir duquel les tourbillons des « Portes de Fer », étroit et encaissé défilé, rendaient impossible aux navires de l'époque la progression vers les Carpates du Sud et les monts Métallifères serbes.»
    • selon la récit de Jacques de Guise, Trebeta aurait emprunté la vallée du Rhône ...
      • si Trebeta suivit le cours du fleuve par la Saône il établit ainsi la première liaison Rhin-Rhône.
      • «The cheapest journey from Nisibis to Augusta Treverorum in March takes 161.2 days, covering 6252 kilometers.» [15]

Histoire de Trèves modifier

Éditions du XIVe siècle

  • Histoire de Trèves [16] Histoire de Trèves, par Frédéric, prévôt de Saint-Paulin. Selon F.-J. Heyen et F. Ronig, il s’agit du manuscrit autographe de l’œuvre de Friedrich Shavard, prévôt de Saint-Paulin de Trèves de 1399 à 1406 (F.-J. Heyen, Das Stift St Paulin von Trier, im Auftrage des Max-Planck-Instituts für Geschichte bearbeitet, Berlin, 1972, 10-11; F. Ronig, «Die älteste Abbildung des Trierer Stadtsiegels», Kurtrierisches Jahrbuch Trier, 1981, p. 94-103, 95)

Fondation de la ville modifier

 
Première page des chroniques du Hainaut, résumé de l'histoire du Hainaut réalisée par Jean Wauquelin à partir du travail de Jacques de Guyse
 
Détail de la miniature présentant Jean Wauquelin remettant son livre à Philippe le Bon en présence de Charles le Téméraire, Nicolas Rolin et Jean Chevrot

Éditions du XVIe siècle

Capitale modifier

Ancienne capitale de la Gaule et de l'Empire Romain modifier

 
Pont romain de Trèves, La Porta Inclyta (« porte illustre ») qui se dressait sur le pont jusqu’à sa démolition au Moyen Âge, demeure une énigme.
  • Treveris chef-lieu d'un peuple gaulois, les Trévires (cf.cartographie du Comté de Hainaut)
    • cités dans les Commentaires sur la Guerre des Gaules (en latin Commentarii de Bello Gallico), «un ouvrage d'histoire en sept livres de Jules César, constitué de notes rédigées au fur et à mesure de la guerre et rassemblées vers 52-51 av. J.-C»
  • Pont gallo-romain de Trèves, sur la Moselle, du pont de bois de 17BC au pont de pierre du IIe siècle
  • Augusta Treverorum (16BC-475AC) [20][21][22] «dans le pays du peuple des Trévires», peuple celte de la Belgica
    • Colonia Augusta Treverorum, Claude «lança un recensement en 48 qui dénombra 5 984 072 citoyens romains, soit une augmentation de près d'un million depuis celui mené à la mort d'Auguste. Il avait lui-même aidé à l'accroissement de la population à travers la fondation de colonies romaines dans lesquelles on accordait la pleine citoyenneté romaine. Ces colonies étaient parfois issues de communautés préexistantes, en particulier de celles qui comprenaient des élites parvenant à rallier la population à la cause romaine. Plusieurs de ces colonies furent placées dans de nouvelles provinces ou à la frontière de l'Empire pour consolider le plus rapidement possible les conquêtes romaines.» ((de)Trier) [23]
    • Amphithéâtre de Trèves (100AC-), top-ten des amphis, «Aux IVe et Ve siècles .. servit de porte à la cité»
    • Thermes de Barbara «construits au IIe siècle»
    • «Grande métropole marchande à partir du IIe siècle»,
    • Atelier monétaire romain impérial de Trèves «siège d'un atelier monétaire romain impérial à partir de 294»,
      • Le Solidus (monnaie) «est frappée pour la première fois à l'atelier de Trèves vers 309 ou 310»,
      • L'atelier monétaire romain de Trèves en Germanie inférieure, de 291 à 430 : TRE, TROB, TR, ATR, STR, BTR, IITR, PTR, PTRE, SMTR, SMTRP, SMTRS, TRB, TRS, TRP, TROB, TRPS (cf. Liste des ateliers monétaires romains)
    • Diocèse de Trèves
      • « (du latin : diœcesis ou diocesis, qui vient lui-même du grec ancien διοίκησις / dioíkêsis, « administration, gouvernement ») »
      • « Le diocèse est une circonscription territoriale de l'Empire romain créée sous Dioclétien, à la fin du IIIe siècle. » cf. Diocèse
      • « De 271 à 274 Augusta Treverorum devient la résidence du Gallo-Romain Tetricus, qui s'était proclamé empereur des Gaules, et dès 273 ce fut aussi le siège d'un évêché. » cf. Augusta Treverorum
    • « En 275, le limes du Haut Rhin s'étant fort affaibli, la ville fut détruite par les Francs et les Alamans, puis fut rebâtie par Constance Chlore qui y résida de 293 à 306. Elle deviendra la capitale des Gaules en 297. » cf. Augusta Treverorum
    • «devenue l'une des capitales de la Tétrarchie à la fin du IIIe siècle»
    • «Trèves est alors qualifiée de « seconde Rome » ou Roma Secunda»[24].
    • Thermes impériaux de Trèves (300-350), convertis en caserne en 360, bain chaud, basilique transformée en tribunal...
    • Palais impérial de Trèves, «transfert du palais de Constantin de Trèves à Constantinople» :
      • «À partir de 324, Constantin transforme la cité grecque de Byzance en une « Nouvelle Rome », à laquelle il donne son nom, Constantinople. Il l'inaugure après douze ans de travaux, en 330», «un site naturel défensif», «aux frontières du Danube et de l'Euphrate» «pour contenir les Goths et les Perses»
    • «Au début du Ve siècle, au cours des invasions germaniques, Trèves est attaquée et pillée plusieurs fois par les Francs».
    • «Peu auparavant, la préfecture des Gaules est transférée de Trèves à Arles»[25]. (voir aussi Préfecture des Gaules)

Archidiocèse modifier

 
Les sept princes-électeurs élisent Henri VII Roi des Romains. On peut identifier aux blasons, de gauche à droite : l’archevêque de Cologne, l’archevêque de Mayence et l’archevêque de Trèves, le Comte palatin du Rhin, le duc de Saxe, le margrave de Brandebourg et le roi de Bohême.

Arrondissement modifier

Arrondissement du Département français de la Sarre sous Napoléon modifier

 
Département de la Sarre en 1812, ses chef-lieux d'arrondissement et territoires limitrophes

Diocèse modifier

  • «Devenu Français en 1796, il redevient diocèse par le Concordat de 1801» (est diocèse suffragant de l'Archidiocèse de Malines)
  • «Le Congrès de Vienne donne Trêves à la Prusse» à partir de 1814
  • «Par la bulle De salute animarum du 6 juillet 1821, le diocèse devient suffragant de l'archidiocèse de Cologne»
  • «Par la bulle Provida solersque du 16 août 1821, son territoire est réduit pour l'érection du diocèse de Limburg»

District modifier

 
Carte politique de la Confédération germanique (1815-1866) et ses trente-neuf États fondateurs.

à la suite de la chute du Premier Empire le département de la Sarre devient le District de Trèves' (en allemand : Regierungsbezirk Trier, du mot District (Bezirk)), dont le chef-lieu était Trèves.

District de Trèves du Grand-Duché du Bas-Rhin de 1816 à 1822 modifier

District de Trèves de la province de Rhénanie de 1822 à 1945 modifier

District de Trèves de Rhénanie-Palatinat de 1946 à 1999 modifier


Dissolution du district modifier

Le district de Trèves est dissous le 31 décembre 1999 modifier

Le Länder de Rhénanie-Palatinat a dissous ses districts le 31 décembre 1999 :

«Les Länder de Rhénanie-Palatinat (31 décembre 1999), de Saxe-Anhalt (31 décembre 2003), de Basse-Saxe (31 décembre 2004) et de Saxe (1er mars 2012) ont dissous leurs districts.»

Cathédrale et basiliques mineures (Diocèse de Trèves), église et abbaye modifier

Personnalités désignées par ce nom de lieu modifier

Fagmt/Trèves est un nom de lieu notamment porté en Allemagne par :

Nom de famille modifier

Trèves «esonimo francese della città tedesca di Treviri»

XIVe siècle

XVe siècle

XVIe siècle

XVIIIe siècle

XIXe siècle

XXe siècle

Autres toponymes modifier

Fagmt/Trèves est un nom de lieu notamment porté en France par : quatre localités

  • Trèves, commune française du Rhône, Rhône-Alpes
  • Trèves, commune française du Gard, Languedoc-Roussillon ; gentilé : Trevezais
  • Trèves, ancienne commune française de Maine-et-Loire, aujourd'hui intégrée à Chênehutte-Trèves-Cunault
  • Chênehutte-Trèves-Cunault, commune française, située dans le département de Maine-et-Loire
  • Saint-Laurent-de-Trèves, commune française, située dans le département de la Lozère

Entreprises modifier

  • Trèves, société spécialisée dans l'équipement automobile.

Lien externe modifier

Références modifier

  1. Diocese of Trier
  2. Ville de Trêves en Allemagne :
  3. Vici.org: Colonia Augusta Treverorum
  4. Irene Kohlbergers SALVETE : Trier
  5. Eucharius Bischof von Trier Eucharius Trier, Bischof ID VIAF213630265 (Personne) permalien http://viaf.org/viaf/213630265
  6. Nominis : Euchaire, Saint Euchaire, Evêque de Trèves (✝ 250), Evêque de Trèves, il fut le premier évangélisateur de cette importante capitale régionale de l'Empire romain. À Trèves en Gaule Belgique (Allemagne), au IIIe siècle, saint Euchaire, considéré comme le premier évêque de la cité. Martyrologe romain.
  7. Fichier d'autorité international virtuel: Cyril
  8. Nominis: Sainte Modeste de Trèves, abbesse du monastère de Trèves (✝ v. 660)
  9. Nominis: Sainte Modeste de Trèves, abbesse du monastère de Trèves (✝ v. 660)), Première abbesse du monastère de Trèves, son culte est attesté au Xe siècle par les litanies des saints dans lesquelles son nom est inséré. Modeste appartenait à une famille de l’aristocratie austrasienne...
  10. [1] Cloître St. Simeon (1035) près de la Porta Nigra
  11. [2] Les saintes reliques : la sainte robe de Trèves
  12. l’engagement de la Sainte Couronne d’épines par Anseau de Cayeux :
  13. Hincmar, Archbishop of Reims, ca. 806-882 ID VIAF41865587 (Personne) permalien http://viaf.org/viaf/41865587 ISNI : 0000 0001 2278 7244
  14. Almann, von Hautvillers ID VIAF76708720 (Personne) permalien http://viaf.org/viaf/76708720 ISNI : 0000 0000 5961 952X
  15. [3] ORBIS is the result of collaboration between historians and information technology specialists at Stanford University.
  16. Titre : Histoire de Trèves, par Frédéric, prévôt de Saint-Paulin. Date d'édition : 1301-1400
  17. Fondation de la ville de Trèves
  18. Trebote
  19. Hero
    • Titre: «[Le bastiment des antiques érections des principales villes et citez...] / [par G. Corrozet et Cl. Champier]. Un petit traicté des fleuves et fontaines admirables estant és Gaules / par messire Symphorien Champier ; trad. en langue françoise par Claude Champier. Des saints lieux de Gaule... / auteur Claude Champier»
    • «Le bastiment des antiques érections des principales villes et citez...» éd.1556
    • Corrozet, Gilles (1510-1568) Champier, Claude (1520?-15..?), idem (bnf), Lyon, Lyon : Benoist Rigaud : Jan Saugrain, 1556, , 160 p. (BNF 37284373)
    • Corrozet, Gilles (1510-1568) Champier, Claude (1520?-15..?), idem (oclc), Lyon, Lyon : Benoist Rigaud : Jan Saugrain, 1556, , 160 p. (OCLC 467317029, BNF 37284373)
  20. Vici.org: Colonia Augusta Treverorum
  21. http://jewishencyclopedia.com/articles/14502-treves
  22. http://micmap.org/dicfro/next/gaffiot/1597//tre
  23. Vici.org: Colonia Augusta Treverorum
  24. http://www.markaurel.de/augustatrever.htm
  25. Les historiens hésitent à propos de l'année de ce transfert : 395 ou plus probablement 407.
  26. [4] Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle / Province ecclésiastique de Trèves (Belgica prima)
  27. Wikipédia, Lumière sur, La révolution de mars entre 1848 et 1849
  28. Constitution de Francfort adoptée le 27 mars 1849 par le parlement de Francfort élu après la révolution de Mars en vue de réaliser l’unité allemande
  29. (en) [5] (consulté le 7 décembre 2013)
  30. (en) [6] (consulté le 13 avril 2015)
  31. (en) [7] (consulté le 7 décembre 2013)
  32. (en) [8] (consulté le 7 décembre 2013)
  33. (en) [9] (consulté le 7 décembre 2013)
  34. [10] Diocèse de Trèves : Liste des archevêques
  35. http://en.wikipedia.org/wiki/Roman_Catholic_Diocese_of_Trier#Ordinaries
  36. Agritius Bischof von Trier Agritius Trier, Bischof ID VIAF308710968 (Personne) permalienhttp://viaf.org/viaf/308710968
  37. [11] Les saintes reliques : la sainte robe de Trèves
  38. Nominis: Saint Agrice (-330)
  39. Egbert de Trèves: | ISN = 0000000088338639 | WORLDCATID = ? ex: lccn-n-2001-63774
  40. http://jewishencyclopedia.com/articles/14503-treves#anchor20
  41. http://jewishencyclopedia.com/articles/14503-treves#anchor25
  42. http://jewishencyclopedia.com/articles/14503-treves#anchor18
  43. http://jewishencyclopedia.com/articles/14503-treves#anchor5
  44. microsoft translator de la page :de:Elieser Ben Naphtali Herz Treves
  45. Elieser Trèves: | BNF = ? ex: 135436777 | WORLDCATID = ? ex: lccn-n-2001-63774
  46. http://jewishencyclopedia.com/articles/14503-treves#anchor2
  47. Baron Giuseppe Trèves :
  48. Giacomo Treves de' Bonfili (1788-1885) :
  49. Giacomo Treves de Bonfili :
  50. Guiseppe Treves dei Bonfili :
  51. [14] Recopiage Stéphane Peltier - Arbre Treves de bonfili - Mario de Bonfili - Photocopie
  52. [15] Archives Mairie de Paris 16e Image 24/31
  53. [16] Family Search : Acte de mariage
  54. Jean Trèves: | BNF = ? | WORLDCATID = ?
  55. Trèves Gérard