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Guillem Ramon Ier de Montcada modifier

Guillaume Raymond Ier de Montcada (en catalan, Guillem Ramon I de Montcada dit le Grand Sénéchal (? - 1173) a été sénéchal de Barcelone (1130-1173) et seigneur de Tortosa, Sentmenat, Arraona, Peníscola et Carles, et châtelain de Lleida. Il faut dire que que les dates sont très incertaines pour ce personnage.

Famille modifier

Actuellement sont très corroborades les théories de Schideler séparant les sénéchaux Guillem et i Guillem Ramon I du tronc de la famille Montcada. Il semble clair son appartenance à la seigneurie d'Hostoles, une viguerie comtale, et d'une branche de chevaliers.

Armand de Fluvià établit la suite chronologique suivante:[1]

Agnès, la mère de Guillem Ramon n'a pas de lignage esbrinat. Ainsi donc, la théorie la plus acceptée le fait fils du Sénéchal de Barcelone Guillem I et de la dame Agnès.

Guillem Ramon s'est marié avec Beatriu de Montcada, pupille des Berenguer, une famille provenant du vicomtes de Gérone, aprisiadors de terres dans le Comté d'Osona. C'est de cette manière que le Grand Sénéchal est devenu Montcada. De cette union sont nés:

Le mariage a été annulé à la suite d'un procès en nullité en invoquant les liens de parenté entre les époux. És versemblant la interferència de Ramon Berenguer IV qui en 1135 a donné Beatriu à Guillem de Sant Martí juntament amb l'honor de Montcada, lors d'une des premières querelles du comte et du sénéchal.

Guillem Ramon s'est marié en secondes noces avec Tota de Cardona, et en suite en troisièmes noces avec Sança.

Sénéchal de Barcelone modifier

La charge de Sénéchal de Barcelone, créée par Ermessende de Carcassone lors de sa seconde régence entre 1035 et 1043 est allée entre les mains des vassaux fidèles les plus directs. Le changement politique et de génération de Ramon Berenguer I, a porté la maison d'Hostoles à la sénéchaussée en la personne de Guillem d'Hostoles, père de Guillem Ramon I.

Les querelles semblent être une constante dans la vie de Ramon Berenguer IV et de celle de Guillem Ramon. Deux personnages semblables par l'âge et deux chefs de lignage rusés. Le comte, peut-être plus calculateur et le sénéchal plus énergique. En 1136 Guillem Ramon possédait à nouveau le château de Montcada. La témérité du sénéchal quand il va couper l'eau de Barcelone, à la suite d'un différent avec le comte, ne sera pas suffisante pour une rupture définitive. Guillem Ramon est allé passer une saison en Aragon.

I si és cert que el comte intervé desfent el primer matrimoni del senescal, il est également certain que le sénéchal est intervenu pour le mariage du comte avec Peronella, fille de Ramir II d'Aragó, le moine, organisant l'engagement quand celle-ci avait seulement deux ans et contrecarrant le testament d'Alphonse le Batailleur et les prétentions d'Alphonse VII de Castille. Durant aquest temps, loin de ses châteaux et du comte, il a également organisé le mariage de son fils Guillem avec Marie de Bearn, utilisant Ramon Berenguer comme un protecteur de la faible Marie. De cette manière il a obtenu une vicomté pour les Montcada.

Ensemble à nouveau, le comte et le sénéchal voyagent en Provence. Le sénéchal a participé à l'organisation d'au moins la croisade contre Almariyya, la croisade contre la Taifa de Tortosa i la croisade contre l'emirat de Larida. On més mesuraren les seves forces és a Turtusha. La trama de preparació per part de Ramon Berenguer IV és meticulosa, parsimoniosa i enrevessada. El comte pacta amb el senescal la infeudació del castell de la Suda i la senyoria damunt de la ciutat i pobles, i la tercera part dels guanys, i Mallorca. Deu anys abans havia promès quasi el mateix a Guillem VI de Montpeller. I després encara va pactar repartiments amb els genovesos, amb els templers i hospitalers i amb Ermengarda de Narbona. Quan es fa el repartiment, els conflictes entre Ramon Berenguer i Guillem Ramon, arriben als tribunals.

Mentrestant (1150), el senescal porta per primera vegada l'Ordre del Cister a Catalunya. La primera fundació a Valldaura per monjos procedents de l'abadia de La Gran Selva (prop de Tolosa), no resulta adequada, però ja són els monjos que després arriben a Santes Creus, lloc on arrelen. Ramon Berenguer IV, com si no volgués ser menys, un any més tard també porta des de l'abadia de Fontfreda, també occitana, els monjos per fundar Poblet.

Le patrimoine accumulé par Guillem Ramon de Montcada, (aquest serà el nom definitiu) va devenir énorme et capable d'éveiller la jalousie du comte lui-même. Altrament, per la seva gran ambició, era una peça del tot necessària en la política feudal de noves conquestes.

Le sénéchal a eu une vie intense et également longue. Ramon Berenguer IV mort en 1162 et son fils Guillem I de Montcada i de Bearn en 1172. Avant était mort le fils Berenguer. Quan ell mor, l'an 1173 queda el seu fill Ramon I de Montcada aposentat a Tortosa et agissant comme sénéchal mais avec beaucoup moins d'ambition. Les grandes propriétés de Montcada, situées principalment à Osona et le Vallès, sont passées au petit-fils Guillem Ramon I de Bearn, un des fils de Guillem et de Maria de Bearn, et un des personnages les plus singuliers de la lignée. Son portrait fait partie de la Galeria de Catalans Il·lustres de l'Ajuntament de Barcelona[2].

José Blas de Molina modifier

José Blas Molina est un espagnol, fernandista, maestro cerrajero de profesión, qui vivait à la fin du siglo XVIII et au début du XIX. Il a dirigé une des parties qui ont participé au motín de Aranjuez. Il a accouru comme beaucoup d'autres aux abords du Palais Royal, quand les madrilènes soupçonnèrent que les français pensaient enlever les derniers membres de la famille royale, et par ses cris il a réussi à soulever les présents, et à provoquer le Levantamiento del 2 de mayo de 1808.

Véase también modifier

Liens externes modifier


Injalbert modifier

Jean Antoine Injalbert

Jean Antoine Injalbert was born in Béziers in 1845 and died in 1933. He was one of France's greatest sculptors. He worked in many of the great towns and cities of France and examples of his work can be seen in Paris, Pézenas, Rheims, Montpellier, Sète etc. The son of a stonemason, Injalbert first served an apprenticeship with an ornamental sculptor, then entered the École des Beaux-Arts in Paris in 1866 with a municipal scholarship. His teacher was Augustin-Alexandre Dumont. In 1874 he won the Prix de Rome with a figure of Orpheus, and at the Éxposition of 1889 he won the Grand Prix. His first commission was to create the tympanum pour La Chapelle du Bon Pasteur in Béziers[3].

Liste des œuvres. "Marianne" and some Injalbert public works in Paris modifier

Nom Lieu Notes
Bustes de "Marianne" Various-see notes
There must be dozens of Injalbert's busts of "Marianne", whether in plaster, marble or bronze, scattered throughout France. A "Marianne" bust is almost obligatory pour French hôtel de villes/mairies and many of these would be by Injalbert, particularly based on his 1889 model which he had executed to celebrate the centenary of the French Revolution and this has been replicated many times and cast in bronze by many foundries including Soit-Decauville. They are always given pride of place and are often decked with the tricolour. Whilst in most instances the work is called "Marianne", it can also be known as "La République". A bust of "Marianne" was also favoured as a centre-piece pour public fountains and Injalbert's model is often used, mostly in bronze, which is more suitable in a water environment. However many of the public fountain busts were requisitioned by the Germans during their occupation, or by the Vichy regime The busts were melted down so that the metal could be reused in the manufacture of armaments. Given the volume involved it would not therefore seem appropriate to itemize all the locations of Injalbert's "Marianne", whether in town halls and mairies or used on public fountains. As stated many public water fountains had Injalbert "Marianne" busts incorporated into their design. pour example in Villemagne in the Aude there is an Injalbert bronze bust of "Marianne" decorating the fountain which was a gift from Monsieur Dujardin Beaumetz. "Marianne" wears a Phrygian bonnet and a stole with a broach depicting a lion's head. This is a version of the 1889 "Marianne" this time cast in bronze by J.Malesset in 1908.[4] Then in Trassanel in the Aude, there is another fountain which featured Injalbert's "Marianne". It was erected in 1927 but the bronze content was requisitioned during the occupation and melted down.[5] The same applies to the public fountain in Paulhan in Hérault.
Jean Antoine Injalbert's 1889 bust of "Marianne" often called "La République"
Le Pont de Bir-Hakeim Paris
Le Pont de Bir-Hakeim est un pont au dessus de la Seine à Paris. Il relie the city's 15th and 16th arrondissements, Originally named the Viaduc de Passy, Passy being the suburb to which the bridge runs. The bridge was renamed in 1948 to commemorate the Battle of Bir Hakeim, fought by Free French forces against the German Afrika Korps in 1942. This Paris bridge has two sculptures by Injalbert one representing "Commerce" and the other "Electricity".
Pont Mirabeau Paris
Injalbert est responsable de quatre statues allegoriques qui décorent le Pont Mirabeau à Paris. These are entitled "The City of Paris", "Navigation", "Abundance" and "Commerce". The statues "The City of Paris" and "Abundance" face the Seine, while the two allegories "Navigation" and "Commerce" face the bridge. The four statues are surmounted, at the level of the parapet, by the coat of arms of the City of Paris. The work dates to 1896.
The sculpture "Abundance" by Injalbert on the Pont Mirabeau in Paris
Statue de Mirabeau au Panthéon Paris
Le Panthéon had started out as a church. King Louis XV had vowed in 1744 that if he recovered from his illness he would replace the ruined church of the Abbey of St Genevieve with an edifice worthy of the patron saint of Paris. He did recover, and instructed Abel-François Poisson, marquis de Marigny to see that his promise was fulfilled. In 1755, Marigny commissioned Jacques-Germain Soufflot to design the church, and construction started two years later. The remodelled Abbey of St. Genevieve was finally completed in 1790, coinciding with the early stages of the French Revolution. Upon the death of the popular French orator and statesman Honoré Gabriel Riqueti, comte de Mirabeau on 2 April 1791, the National Constituent Assembly, whose president had been Mirabeau, ordered that the building be changed from a church to a mausoleum pour the interment of great Frenchmen, retaining Quatremère de Quincy to oversee the project. Mirabeau was the first person interred there on 4 April 1791. However in 1792 his secret dealings with the king were uncovered, and in 1794 his remains were removed from the Panthéon and were replaced with those of Marat. Mirabeau's remains were then buried anonymously. Injalbert was commissioned to create a statue in honour of Mirabeau and this is still in the Panthéon. Mirabeau is shown making a speech.[6]
Mirabeau's statue in the Panthéon
Hippomène Paris
Injalbert a créé cette composition en 1886 et c'est une œuvre qui est souvent reproduite et dans divers materiaux. A copy of the work can be found in the Jardin du Luxembourg in Paris. Hippomène was the husband of Atalanta in Greek mythology. He is usually depicted running, reminding one of Hippomane's running race to secure Atalanta's hand in marriage, which he won, albeit by cheating.

[7]

Le monument de Louis Gabriel Charles Vicaire Paris
Louis Gabriel Charles Vicaire (January 25, 1848 – September 23, 1900) est un poète français. He was born at Belfort and served in the campaign of 1870. He then settled in Paris to practice at the bar, which, however, he soon abandoned pour literature. This work by Injalbert is in the Jardin du Luxembourg in Paris.[8]
Gabriel Vicaire by Injalbert
Le tympan du Petit Palais Paris
Le Petit Palais à Paris a été édifié pour l'Exposition Universelle de 1900 and now houses the City of Paris Museum of Fine Arts (musée des beaux-arts de la ville de Paris). Injalbert a exécuté le relief qui occupe le tympan et qui représente la cité de Paris entourée et inspirée par plusieurs muses.
Monument à Auguste Comte Paris
This statue, honouring the French philosopher Auguste Comte, is located in the Place de la Sorbonne in Paris and was inaugurated in 1902. In the centre of Injalbert's composition is a bust of Auguste Comte and to the left is Clotilde de Vaux depicted as a "Madonna with Child" whilst on the right the "proletariat" give de Vaux instructions.
Auguste Comte by Injalbert. Place de la Sorbonne
Gobelins Factory in 42 av des Gobelins Paris Paris
It was in 1912 that this building was erected, designed by Jean-Camille Formigé. The Gobelins tapestry manufacture was one of France's oldest and most prestigious enterprises. Some of the earlier buildings had been destroyed by fire in 1871 or fallen into general disrepair, so Formigé was asked to design a new building . He decorated the front of the building with four columns each surmounted by a caryatid and commissioned Injalbert to sculpt them and Paul Landowski was commissioned to carve a bas-relief.[9]

Today the Gobelins premises consist of four irregular buildings dating to the seventeenth century, plus the building on the avenue des Gobelins built by Formigé. These buildings contain Charles Le Brun's residence and workshops that served as foundries pour most of the bronze statues in the park of Versailles, as well as looms on which tapestries are still woven following seventeenth century techniques. The Gobelins factory still produces a limited amount of tapestries pour the decoration of French governmental institutions these with contemporary subjects.[10]

Formigé's Gobelins building in Paris. Injalbert's 4 caryatides can be seen as well as Landowski's bas-relief
Cercle national des armées, a.k.a. Cercle militaire interarmes Paris
This important Army headquarters is situated in Paris. It was built in 1927 on the site of former barracks and designed by architect Charles Lemaresquier.

It is decorated with sculptures by Jean-Antoine Injalbert, François-Léon Sicard, Jean Boucher and Paul Landowski. [11]

Works by Injalbert in the Musée d'Orsay modifier

This museum/art gallery has many works by Injalbert [12] These include-

  • "Ariane couchée"
  • "Bacchante au Biniou"
  • "Baigneuse"
  • "Baiser"
  • "Confidence"
  • "Enfant"
  • "Fondeur"
  • "L'Hérault"
  • "Satyre assis et Nymphe".
  • "Satyre et Nymphe".
  • "Satyre poursuivant une Nymphe".
  • "Sibylle de Panzoult".
  • "Supplication d'aprés Aubanel".
  • "Triomphe de la République".
  • "Vase orné de mascarons, de nymphes et de satyres".
  • "Maitre Vigeant".
  • "Poemes Idylliques Paiens".

Works by Injalbert in the Louvre modifier

Name Location Notes
Works by Injalbert in the Louvre Paris
* "Statue d'une femme nue, assise, sur un socle" in held in the musée du Louvre département des Arts graphiques.
  • "Jules Eugene Lenepveu" is held in Angers ; musée des beaux-arts.
  • "Victor Hugo". Blois ; musée du château de Blois
  • "L'Amour dompte la Force" Nantes ; musée des beaux-arts
  • "La République" Bourbon-Lancy ; musée Saint-Nazaire
  • "Ermengaud" in Lyon ; musée des beaux-arts.
  • "Jeune Femme assise au Tambourin" in Toulouse ; musée des Augustins.
  • "La Republique" in Rennes ; musée des beaux-arts.
  • "La Republique" in Pau ; musée national du château de Pau

Injalbert public works in Béziers' Plateau des Poètes modifier

Name Location Notes
The “Plateau des Poètes” Béziers
The “Plateau des Poètes" involves fifty thousand square meters of parkland that join the lower end of the “Allées Paul Riquet” with the railway station. This garden, designed by the Swiss born architects the Bühler brothers, contains many examples of Injalbert's work, all of which can be seen and admired in an idyllic setting of exotic trees and shrubs. In the park are several busts of Languedoc poets by Injalbert, hence the name Plateau des Poètes. There is also the massive war memorial located at the lower end of the gardens and opposite the Béziers railway station. Details of this are given in the section covering "War memorials". Also in the park is the Titan fountain with its statue of Atlas and a lake containing Injalbert's "Enfant au poisson"
Bust of Matfre Ermengaud Béziers
One of the busts in the plateau des poètes' garden is of Matfre Ermengaud who died in 1322 and was a Franciscan friar and troubadour. The bust is in marble and rests on a stone pedestal. The inscription reads

« "LE MOINE MATFRE ERMENGAUD AUTEUR DU BREVARI D'AMOR 1288" »

.

Injalbert executed the plaster model in February/March 1902 and completed the marble version in July of that year. He offered the work as a gift to the town and the inauguration took place on the 18 August 1902 at the same time as the busts of Hugo, Rosier and Viennet were unveiled. [13]

Bust of Benjamin Fabre Béziers
Another bust in the plateau des poètes' garden is that of the poet Benjamin Fabre. The inscription reads

« "BENJAMIN FABRE POETE LANGUEDOCIEN BITERROIS 1832-1911" »

Injalbert executed this bust in 1921, based on a plaster model which he sculpted in 1876. This plaster model is held by the musée de Béziers . Inauguration took place on 7 October 1923. Fabre had been a childhood friend of Injalbert.[14]

Bust of Jean Bernard Rosier Béziers
Another bust in the plateau des poètes' garden is that of the writer Jean Bernard Rosier. The pedestal is inscribed

« "Rosier auteur dramatique 1798 -1888". »

[15]

Bust of Jean-Pons-Guillaume Viennet Béziers
Another of those remembered is Jean-Pons-Guillaume Viennet. The inscription reads

« "J P G VIENNET PAIR DE FRANCE MEMBRE DE L'ACADEMIE FRANÇAISE 1777-1868" »

The bust was based on a model made in 1884. Viennet was a politician and academic.[16]

Bust of Victor Hugo Béziers
Another bust is of that of Victor Hugo. Unfortunately Injalbert's 1902 work was destroyed and Jean Magrou executed a replacement.
Bust of Gabriel Azais Béziers
In the plateau des poètes' garden there is also an Injalbert marble bust of Gabriel Azais dating to 1904. The pedestal is inscribed

« "GABRIEL AZAIS POETE LANGUEDOCIEN AUTEUR DU DICTIONNAIRE DES IDIOMES ROMANS DU MIDI DE LA FRANCE 1805-1888" »

.

[17]

The Titan Fountain in the garden of the Plateau des Poètes in Béziers Béziers
Injalbert executed an elaborate marble grouping pour this fountain with a bronze depiction of Titan at the top. There are also caryatides in marble in the fountain's lower basin. In the marble grouping Atlas carries a globe and a large mask of a faune is surrounded by sea horses and small children. The statue of Titan was executed in 1877, exhibited in Rome and Paris in 1879, then reworked pour the 1883 Salon. It was then purchased by the State and cast in bronze, the bronze version being shown at the 1884 exhibition. A maquette of the entire fountain was presented in 1885 and finally the fountain was inaugurated on 14 July 1893.[18]
Jean Antoine Injalbert's Titan Fountain. Photograph courtesy Annie in Béziers
L'enfant au poisson Béziers
Also in the plateau des poètes is a smaller fountain dating to 1898 with Injalbert's composition featuring a child holding a fish. This composition had been shown at the Salon in 1891 and was installed on the fountain in 1893. There are a number of copies in circulation featuring just the child's head including one in marble in the musée d'Orsay.

[19]

Works in Béziers' Cimetière Vieux/The "Old" Cemetery modifier

Tomb in Béziers Old Cemetery. Photograph courtesy Brigitte Hamey

Many families in Béziers made good fortunes from the region's wine trade and were able to afford commissioning some of the day's top sculptors to work on their family tombs.

Name Location Notes
Tomb of the Injalbert family Béziers' Cimetière Vieux
The Injalbert family grave is located in Béziers old cemetery. The basic tomb was created in 1896 the year after his father's death. Injalbert added a bas- relief in 1897 and the statue of a grieving woman was added in 1902. In that year a plaster model of this statue was shown at the Paris Salon. Medallions were added in 1915. See Brigitte Hamey's photograph here and that in the "Gallery" being a close-up of the grieving woman, also shown courtesy Brigitte Hamey.

[20]

The tomb of Jean Antoine Injalbert. Photograph shown courtesy Brigitte Hamey
Tomb of Clauzel Mihau family Béziers' Cimetière Vieux
Another tomb in the cimetière vieux in Béziers is that pour the Clauzel Mihau family. It has a marble statue by Injalbert. This work dates to 1889 and was shown in 1891 to the Salon de la société nationale des beaux-arts. In Injalbert's composition he shows a grieving woman standing bare foot by the trunk of a tree.[21]
Tomb of Azais Hot family Béziers' Cimetière Vieux
For this tomb Injalbert executed a bas-relief pour the door to the small funeral chapel which was then cast in bronze by the Andro foundry. The work was executed in 1921.

[22]

Tomb of Chappaz family Béziers' Cimetière Vieux
Here Injalbert executed a bas-relief featuring a "pleureuse" or grieving woman. The work dates to 1897.

[23]

Tomb of Fabre Gourguet family Béziers' Cimetière Vieux
Injalbert carried out work pour this tomb which comprised a marble statue of a woman holding a crown of flowers.[24]
Tomb of the Auguste Fabregat family Béziers' Cimetière Vieux
For Auguste Fabregat's family grave, Injalbert executed a bronze bust of Fabregat with the inscription

« "À LA MEMOIRE DE MR FABREGAT AUGUSTE AVOCAT ANCIEN MAIRE DE BEZIERS 1804-1879" »

This replicated a marble bust which Injalbert had created in Rome in 1879 and which is now held by the musée de Béziers. [25]

Tomb of the Gleizes Péril family Béziers' Cimetière Vieux
Here Injalbert executed a statue of a woman carrying flowers. This work was called "La Grande Égalitaire" when first conceived in 1912 and was used in 1919 pour the Cabrières war memorial.

[26]

Tomb of Léonie et Héloïse Négrie Béziers' Cimetière Vieux
Injalbert's 1922 composition pour the Négrie tomb involves a "pleureuse" who leans against a rock.

[27]

Tomb of Ribo Meron family Béziers' Cimetière Vieux
The tomb of the Ribo Meron family comprises a mausoleum with ornate columns and Injalbert's high-relief in marble dating to 1897.

[28]

Tomb of Tisseyre Guyonnet Béziers' Cimetière Vieux
For this tomb, Injalbert executed a figure of Christ on the cross which was cast in bronze by Valsuani. The work dates to 1915. The plaster version of the figure was shown at the Paris Salon in 1878 and won the "médaille d'or". A bronze version was shown at the Salon in 1881 and the "Éxposition universelle" in 1889. There is another copy of the work in the église Saint-Aphrodise in Béziers. There is also a depiction of Christ on the mausoleum's brass door knob and this dates to 1913.

[29]

Other works in Béziers modifier

Name Location Notes
Bust of Camille Saint-Saëns Béziers
Injalbert executed a bust of this composer in 1910.

[30]

Hotel Chappaz Béziers
This building in Béziers is now much neglected but Injalbert's sculptures are still intact and are arguably some of his best work.

[31] It was Joseph Chappaz, a wine merchant who specialized in vermouths such as Noilly-Prat who had the building built in 1868 pour his wife Augustine and he commissioned Injalbert to execute the caryatides on the front of the building. The building is no longer occupied and has fallen into disrepair but hopefully the Béziers authorities will make sure that Injalbert's work survives. [32]

Works in Villa Antonine Béziers
The Villa Antonine was Injalbert's summer residence and many of his sculptures can be seen in the Villa's gardens. After his death Injalbert's widow left the house and many of its sculptures to the city of Béziers.

[33] [34]

Injalbert work in Villa Antonine. Photograph courtesy Annie in Béziers
Works in Hôtel Gustav Fayet Béziers
The Hôtel Gustav Fayet in Béziers also holds several works by Injalbert which are on public display.

[35]

Bust of Casimir Peret Béziers
The bust of Casimir Peret sits on a tall column in the Place de la Revolution. It was unveiled on 24 March 1907. There is an inscription at the base of the column which reads

« "In this square on the third of December 1851 the army fired upon the Republican Demonstrators, who, encouraged by the Mayor, Casimir Peret, were against the coup d'État by Napoleon III" »

The suppression of this protest movement resulted in certain persons being condemned to death and others deported to French Guiana. Casimir Peret, who had been sent to Cayenne perished at sea during an escape attempt from that isle. [36] [37]

"Bacchante au biniou" Béziers
This 1897 work is located in Béziers' place des Bons Amis. It depicts a woman playing the bagpipes. The work was shown at the Paris Salon in 1897 and then installed in the Injalbert garden in Béziers. In 1978 it was placed in the place des Bons Amis.

[38]

The Musée des beaux-arts. Béziers
Injalbert's widow donated several of his works to the museum. The museum is housed in the Hôtel Fabrégat which had been the private residence of lawyer, historian and ex-mayor, Auguste Fabrégat, who left it to the town to house the collections of the Béziers Archeological Society. Some of the works held by the Musée are-
  • Malaria. 1878.
  • Enfant au masque.1880.
  • Enfant martyr. 1880.
  • Chanteur napolitain. 1880
  • La Charité. 1890.
  • Abondance. 1992.
  • Fauve ivre. 1904.
  • Satyre assis jouant de la flûte. Statuette. 1905.
  • Fauve ivre. Mairie de Béziers. 1909.
  • Femme à la puce.1909.
  • Sybille de Panzout.1910.
  • Femme nue debout. 1910.
  • Victor Hugo aux Feuillantines.1912.
  • Nymphe lutinant un satyre assis.1913.
  • De Profondis.1915.
  • Enfant au chapeau.1915.
  • Femme assise sur un rocher.1917.
  • Isabelle. 1927.
  • Femme assise mettant son bas.

[39]

Injalbert works in Montpellier modifier

Name Location Notes
Prefecture of Hérault in Montpellier Montpellier
There is a sculpture by Injalbert on the front of the prefecture and some sculptures in the vestibule.. Hérault is one of the original 83 departments created during the French Revolution on 4 March 1790. It was created from part of the former province of Languedoc.

[40] [41][42]

Triptych in the Montpellier Bibliothèque Montpellier
This was the old collège des Jésuites. The triptych caused something of a scandal when first shown in 1895 and was judged to be indecent. It was installed at the Bibliothèque in 1965. Prior to this it was installed at the Comédie theatre in Montpellier and had been shown at the Salon in 1894. It was entitled "La Poésie de l'Amour dans la passion et la mélancolie".[43]
Works held in the Injalbert Gallery in the Musée Farbe in Montpellie Montpellier
The Musée Farbe in Montpellier has a bust by Injalbert of Cardinal de Cabrières.

[44] [45]

Bust of Monseigneur de Cabrières Montpellier
This marble bust, dating to 1914, is located in 22 rue Lallemand in Montpellier. The inscription reads

« " A.Injalbert sculpsit Anno MCMXIIII ; Au / Cardinal de Cabrières / hommage de l'Ecole / de la Trinité. / Béziers" »

François Marie Anatole de Rovierié de Cabrières was the Bishop of Montpellier from 1874 to 1921.[46]

Statues of lions and cherubs in Montpellier Montpellier
injalbert created sculptures of lions and cherubs pour statues in Montpellier's promenade du Peyrou. These were carved from Echaillon stone. Injalbert's theme was " La force domptée par l'amour". The statues were inaugurated in April 1884.

[47] [48]

Façade of the Opéra Comédie in Montpellier Montpellier
Injalbert completed four statues pour this theatre depicting "Le Chant", "La Poésie", "La Tragédie" and "La Comédie"[49]
"Douleur d'Orphée". Injalbert's Prix de Rome winning entry of 1874
This was the 1874 composition with which Injalbert won the Prix de Rome of that year. It is held in the collection of the musée d'Orsay. Bronze castings were made in 1907 and in 1925 by the foundry Frédéric Carvillani.

[50]

Other works outside of Béziers, Montpellier and Paris modifier

Name Location Notes
Théâtre Molière Sète
Injalbert executed some sculpture pour the front of Sète's Théâtre Molière.[51]
Statue of a nymph Épinay-sur-Seine
In the Mairie of Épinay-sur-Seine there is a statuette in white marble by Injalbert.

[52]

The town hall in Riom in the Puy-de-Dôme Riom
In Riom in the Puy-de-Dôme the hôtel de ville has some sculptural work by Injalbert.

[53]

Vase decorated with nymphs and satyrs Ivry-sur-Seine
This vase is located in the Hôtel de ville of Ivry-sur-Seine. It is elaborately decorated with nymphs and satyrs. Dated 1897, it is a shared work, Injalbert working with Emile Muller. The musée d'Orsay has an identical work which they list as "vase orné de mascarons, de nymphes et de satyres". This is in marble and was shown at the Paris Salon in 1905.

[54]

Statue of Louis Gallet Valence
It was in 1901 that this Injalbert statue was unveiled in the presence of the composer Camille Saint-Saëns. Having suffered from various acts of vandalism, the statue was moved to its current location in the Jouvet public park.

[55]

Statue of Louis Gallet
The "Félibres célèbres" Sceaux
In the Square des Félibres, 49 avenue du Président Franklin Roosevelt in Sceaux are 9 busts of the Félibres. The first bust is of Florian by the sculptor Jacques Auguste Fauginet, the second is of Théodore Aubanel by sculptor Frédéric Etienne Leroux. The third bust is of Clovis Hugues by his wife Jeanne Royannez and the fourth is of Paul Arène sculpted by Benoît Lucien Hercule. The fifth bust depicts Sextius Michel and is by Jean-Pierre Gras whilst the sixth is of Delmuns Montaud and is by Injalbert. The seventh bust is of Frédéric Mistral and thought to be by Félix Charpentier, the eighth is of Paul Marieton sculpted by Henri Léon Greber and the ninth is of Maurice Faure and sculpted by Jean-Pierre Gras.
Bust of Gustave Larroumet Cahors
This terracotta work of 1889 is part of the collection of the musée de Cahors Henri-Martin in Cahors. Louis Barthélemy Gustave Paul Larroumet was a French art historian and writer with strong links to Cahors.[56][57][58]
Monument Pierre Puget Toulon Injalbert executed the sculptural work pour this commemorative monument dedicated to the sculptor Pierre Puget.

The monument's inauguration took place in 1900 although the bust involved dates to 1891. It is located in Toulon's garden Alexandre Ier in the boulevard Général Leclerc. Puget was born in Marseille and Mont Puget, one of the mountain ranges bordering Marseille, is named after him. [59]

Bust of Jules Eugène Lenepveu Angers
This artist is buried in Angers's cemetery and Injalbert executed a marble bust pour his grave. Lenepveu became famous pour his vast historical canvases, including the ceilings of the Opéra de Paris and of the theatre at Angers (1871). He was director of the French Academy in Rome from 1873 to 1878.

[60]

High-relief on the exterior of 26 rue Camille Groult Vitry-sur-Seine
This composition by Injalbert depicts a small child who hands are placed on the face of a faune.

In this work, Injalbert worked with Emile Muller a ceramicist. 26 rue Camille Groult is known as the "maison aux lions". [61]

Monument celebrating Comedy Orange
This monument with sculpture by Injalbert is located in the place de la République in Orange.

The theme of Injalbert's composition is "L'âme antique remettant le flambeau de l'art au génie moderne" (the spirit of antiquity re-igniting the flame of modern art.)[62]

Monument to Professor Joseph Marie Eugène Grasset Lamalou-les-Bains
This monument is located in the Square Grasset of Lamalou-les-Bains in Hérault and consists of an Injalbert bust of Professor Grasset. The monument is inscribed

« "AU PROFESSEUR GRASSET DE L'UNIVERSITE DE MONTPELLIER BIENFAITEUR DE LA STATION THERMALE DE LAMALOU" »

The monument was erected in 1924. Grasset was a doctor and philosopher.[63]

Statues in Tours
Injalbert created allegorical statues representing Bordeaux and Toulouse pour Tours' railway station and of the rivers Loire and Cher pour the Tours' hôtel de ville. The railway station was built from 1896 to 1898, the architect being Victor Laloux. Laloux was to build the Orsay railway station two years later. The station's façade has Injalbert's statues of Bordeaux and Toulouse and the sculptor Jean Hugues added allegorical statues depicting Limoges and Nantes.

[64][65] [66] In the hôtel de ville there are two busts executed pour the fireplace of the "Salle des Fêtes". One of these is a "Marianne" by Laurent Daragon this based on Injalbert's model. [67]

Monument to Molière in Pézenas
This statue by Injalbert is located in Pézenas in the Hérault. In Injalbert's composition a female figure represents "Comedy" whilst a satyr represents "Satire", the group being completed by a bust of Molière himself and masks representing Coquelin Cadet and Jeanne Ludwig, both members of the comédie française. The monument is inscribed

« "À MOLIERE SES ADMIRATEURS" »

The monument was inaugurated on 8 August 1897. Molière was born Jean-Baptiste Poquelin, (1622 - 1673), and rated by many critics as the greatest comic dramatist of all times and considered worthy to stand with Sophocles and Shakespeare. It was here in Pézenas that he took the name Molière when he was elected leader of his troop of actors after the original manager debunked with the troop's funds. [68][69] [70]

Works held in Copenhagen's Ny Carlsberg Glyptotek modifier

Name Location Notes
Drunken Faun Copenhagen
A version of this work by Injalbert is located in the Ny Carlsberg Glyptotek in Copenhagen.

[71]

Satyr and Nymph Copenhagen
A terracotta version of this work is located in the Ny Carlsberg Glyptotek in Copenhagen.Denmark.

[72]

War Memorial modifier

Name Location Notes
War memorial of Cabrières in the Gard
For this war memorial Injalbert sculpted the figure of a woman in mourning. She holds a Phylactery a symbol of grief. The inauguration took place in October 1921. A plaster maquette of this work can be seen in the Bezièrs museum. 8 men from Cabrières lost their lives in the 1914-1918 war.

[73]

War memorial of Cournonterral in Hérault
This war memorial depicts an allegory of France who holds a crown of laurels in one hand whilst in the other she holds a sword whose point has pierced a German helmet. The memorial was inaugurated 29 July 1923.

[74] 73 men of Cournonterral lost their lives in the two World Wars the bulk of them in The Great War.[75]

The war memorial of Lamalou-les-Bains in Hérault
Located in the square Cauvy in Lamalou-les-Bains this war memorial features a sculpture by Injalbert. It comprises a bronze high-relief depiction of "Victory" who holds a crown of laurels and a palm. The memorial was inaugurated on 12 June 1921. The relief was cast by Andro and the relief is the same as that used pour the "Collège de la Trinité" memorial in Béziers.

[76] 32 men of Lamalou-les-Bains died in the two wars.[77]

The war memorial of Paulhan
This memorial is located in Paulhan's Place du 8 mai 1945 and has a bronze depicting a woman who represents Paulhan and offers a crown to the victors. The inscription reads

« "A SES HEROS LA CITE RECONNAISSANTE 1914-1918" »

. The casting was done by Valsuani. 66 victims of the war are honoured and their names listed.

[78]

The war memorial of Boujan-sur-Libron
The Boujan-sur-Libron war memorial in the place de l'Église has a bas-relief in bronze by Injalbert. A winged "Angel of Victory" offers a cup to a soldier and above them and on a pedestal is a Gallic rooster. The bas-relief was executed in 1921 a year before its use at Boujan-sur-Libron. The model pour the soldier was used again as part of the Béziers war memorial on the plateau des Poètes.

[79] [80]

War memorial at Laurens in Hérault
This war memorial has a marble work by Injalbert which comprises a crowing rooster, symbolizing France, with a German "pickelhauber" helmet at its feet. The monument was erected in 1920 and bears the inscription

« " RF ENFANTS N'OUBLIEZ PAS C'EST POUR VOUS QU'ILS SONT MORTS 1914 1918 RF" »

This is followed by the names of those remembered. The plaster model had been created by Injalbert in 1919 and was held in Béziers' museum and Injalbert donated a marble version to Laurens as he often purchased his marble from the local quarries.[81]

The war memorial of Béziers
At the end of 1918 the then mayor of Béziers, Jules Manquié, proposed that a war memorial be erected and a committee was organized, chaired by a Colonel Mirepoix, to organize it. A subscription to cover the costs was organized and Injalbert was chosen to carry out the sculptural work involved and the garden of the Plateau des Poètes was chosen as the site pour the memorial. The memorial is an elaborate one and is inscribed

« "A NOS MORTS GLORIEUX / A TOUS LES ARTISANS DE LA / VICTOIRE / LA VILLE DE BEZIERS RECONNAISSANTE" »

.

The memorial is carved from the white stone of Estaillades. Injalbert's composition pour the memorial comprises a bronze "Angel of Victory" at the summit with groups placed around it. A soldier lies by one group, one suspects mortally wounded, whilst two women stand together overcome with grief and are embraced by a figure representing France. Elsewhere another soldier stands defiantly with his foot on a German Imperial eagle. [82] [83]

Monument to the République Belvèze-du-Razès
This monument in the avenue de l'Hôtel-de-Ville has a bronze bust of Marianne as its centre-piece

[84]

Gallery modifier

References modifier

  1. (ca) Josep M. Salrach i Marés et Josep Termes, Diccionari d'Història de Catalunya, Ed. 62, (ISBN 8429735216), p. 550
  2. Agustí Duran i Sanpere: La galeria de catalans il.lustres, dins Barcelona i la seva història. L'art i la cultura. Barcelona: Curial, 1975 p. 458-461
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Johann Samuel Schroeter modifier

Johann Samuel Schroeter était le fils d'un hautboïste royal polonais jouant dans le régiment du comte de Brühl, Johann Friedrich Schroeter et de son épouse Marie. Selon différentes sources, sa date de naissance est indiquée en 1750 , 1752 ou 1753. Les Schroeter étaient une famille de musiciens. Johann Samuel et ses frères et sœurs Corona (1751-1802), Heinrich (1760-après 1782) et Marie Henriette (1766-après 1804) ont reçu des leçons de musique de leur père et plus tard ont également entrepris une carrière dans le domaine de la musique.

Schroeter est allé à Leipzig et a étudié la musique avec Johann Adam Hiller. En 1765, il s'est produit comme soprano soliste. La mue de sa voix a mis fin à sa carrière de chanteur, et il s'est consacré au piano et à la composition. En 1767, Schroeter a rejoint en tant que pianiste le Grand Concert à Leipzig. Il a entrepris des tournées de concerts à travers les Pays-Bas et l'Angleterre. Le 2 mai 1772, il fait ses débuts à Londres avec un concerto pour piano qu'il avait composé. Schroeter s'est installé à Londres, où il a été aidé au début par Johann Christian Bach, est devenu organiste et a également donné des cours de piano pour pouvoir vivre. Il est rapidement devenu l'un des enseignants de piano et l'un des pianistes les plus populaires à Londres. Après la mort de Bach en 1782, il est devenu maître de musique de la Princesse Charlotte. Ses apparitions en tant que pianiste ont contribué à créer un enthousiasme précoce pour le piano dans les îles britanniques.

Après 1782, il a épousé secrètement une de ses élèves de piano âgée de 20 ans, dont seul le prénom Rebecca nous est connu. Ses parents, apparemment appartenant à la classe supérieure, s'étaient engagés à payer à Schroeter la somme alors considérable de 500 € par an, à condition qu'il abandonne son travail de professeur de piano. Quoi qu'il en soit Schroeter n'a joué après son mariage que pour des clients des cercles nobles et aristocratiques ou qui appartenaient à la famille royale, comme le Prince George, alors prince de Galles.

Le couple Schroeter a vécu à Pimlico, à Londres, où il est mort en 1788, âgé à peine de 40 ans.

Liste des monuments du Baix Maestrat modifier

Monument Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Château de Xivert Alcalà de Xivert
Serra d'Irta
40° 18′ 29″ nord, 0° 15′ 18″ est RI-51-0010691 BIC 2001
Château de Xivert
Castell Templari Alcalà de Xivert
Serra d'Irta
40° 18′ 28″ nord, 0° 15′ 18″ est RI-51-0010691 S.X; S.XI; S.XIII
Castell Templari
Església parroquial de Sant Joan Baptista i Torre Campanar Alcalà de Xivert 40° 18′ 15″ nord, 0° 13′ 32″ est RI-51-0012137 S.XVIII
Església parroquial de Sant Joan Baptista i Torre Campanar
Torre de Capicorb Alcalà de Xivert
Proper a Capicorb
40° 12′ 37″ nord, 0° 15′ 23″ est RI-51-0010694

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Torre Ebrí Alcalà de Xivert
Serra d'Irta
40° 16′ 48″ nord, 0° 16′ 58″ est RI-51-0010692 S.XVI
Torre Ebrí
Ermita de Santa Llúcia i Sant Benet Alcalà de Xivert
adresse de Sant Benet
40° 15′ 40″ nord, 0° 15′ 59″ est 12.03.004-006 S.XVII
Ermita de Santa Llúcia i Sant Benet
Ermita de la Verge dels Desemparats Alcalà de Xivert
C. Desemparats
40° 18′ 16″ nord, 0° 13′ 29″ est 12.03.004-004 S.XVIII (1709); S.XIX (1863) ampliació
Ermita de la Verge dels Desemparats
Ermita de Sant Antoni de Pàdua, o Ermita de Cap i Corp Alcalà de Xivert
Partida de Capicorb, Alcossebre
40° 12′ 28″ nord, 0° 15′ 32″ est 12.03.004-009
Ermita de Sant Antoni de Pàdua, o Ermita de Cap i Corp
Ermita del Calvari Alcalà de Xivert
Partida de la Coma, vora la ctra. N-340
40° 17′ 52″ nord, 0° 13′ 51″ est 12.03.004-002
Ermita del Calvari
Església parroquial de Sant Cristòfol Alcalà de Xivert
C. Sant Josep, Alcossebre
à géolocaliser 12.03.004-008

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Casa del Marqués de Benicarló Benicarló
C. Sant Joaquim
40° 25′ 07″ nord, 0° 25′ 29″ est RI-51-0012141
Casa del Marqués de Benicarló
Antic Convent de Sant Francesc Benicarló
C. Sant Francesc
40° 25′ 12″ nord, 0° 25′ 13″ est RI-51-0012140 S.XVI-XVIII
Antic Convent de Sant Francesc
Muralles de Benicarló Benicarló à géolocaliser 12.03.027-010

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Torre dels Màrtirs Benicarló
Prop de l'ermita dels Màrtirs
à géolocaliser 12.03.027-011

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Ermita de Sant Gregori Benicarló
Partida de Sota
40° 24′ 56″ nord, 0° 23′ 40″ est 12.03.027-002 S.XVII (ca 1677)
Ermita de Sant Gregori
Església parroquial de Sant Bartomeu Benicarló
Pl. de Sant Bartomeu
40° 25′ 07″ nord, 0° 25′ 25″ est 12.03.027-003 S.XVIII (1724-1743)
Església parroquial de Sant Bartomeu
Església parroquial de Sant Pere, antiga Ermita del Sant Crist del Mar Benicarló
C. Sant Crist del Mar
40° 24′ 56″ nord, 0° 25′ 50″ est 12.03.027-004 S.XX (1921-1924)
Església parroquial de Sant Pere, antiga Ermita del Sant Crist del Mar
Torre de Càlig Càlig
C. Major, 2
40° 27′ 42″ nord, 0° 21′ 18″ est RI-51-0010765

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Convent de la Santíssima Trinitat Càlig
C. Ermita, 4
40° 27′ 43″ nord, 0° 21′ 06″ est 12.03.034-004 S. XX (1905)

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Ermita de la Mare de Déu dels Desemparats Càlig
C. Raval
40° 27′ 45″ nord, 0° 21′ 12″ est 12.03.034-005
Ermita de la Mare de Déu dels Desemparats
Església parroquial de Sant Llorenç Càlig
C. Sant Vicent
40° 27′ 43″ nord, 0° 21′ 14″ est 12.03.034-003 S.XVII; S.XVIII façana
Església parroquial de Sant Llorenç
Santuari del Socors, Ermita de la Mare de Déu dels Socors Càlig
Coll de les Forques
40° 27′ 53″ nord, 0° 20′ 30″ est 12.03.034-001 S.XVIII
Santuari del Socors, Ermita de la Mare de Déu dels Socors
Muralles de Canet lo Roig Canet lo Roig
Al centre del poble
à géolocaliser 12.03.036-003
Muralles de Canet lo Roig
Capella dels Montserrat Canet lo Roig à géolocaliser 12.03.036-006

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Ermita de Santa Isabel Canet lo Roig
Paratge de Canals
40° 32′ 23″ nord, 0° 14′ 14″ est 12.03.036-004 S.XVIII-XIX
Ermita de Santa Isabel
Ermita del Calvari Canet lo Roig
Paratge del Calvari
40° 32′ 56″ nord, 0° 14′ 48″ est 12.03.036-001
Ermita del Calvari
Església parroquial de Sant Miquel Arcàngel Canet lo Roig
C. de l'Església
40° 33′ 04″ nord, 0° 14′ 33″ est 12.03.036-002 S.XVI; S.XVIII
Església parroquial de Sant Miquel Arcàngel
Ruïnes del castell Castell de Cabres
Al centre del poble
40° 39′ 43″ nord, 0° 02′ 32″ est 12.03.037-002

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Església parroquial de Sant Llorenç Castell de Cabres
Pl. de l'Església
40° 39′ 40″ nord, 0° 02′ 34″ est 12.03.037-001

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Castell de Cervera Cervera del Maestrat
Dalt del turó de la vila
40° 27′ 14″ nord, 0° 16′ 26″ est RI-51-0011042
Castell de Cervera
Torre i Molí de l'Oli Cervera del Maestrat
Ctra. de Càlig
40° 27′ 33″ nord, 0° 17′ 12″ est RI-51-0012166

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Escut del c. Santa Bàrbara Cervera del Maestrat à géolocaliser 12.03.044-007

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Ermita santuari de la Verge del Carme Cervera del Maestrat à géolocaliser 12.03.044-005

Image manquante

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Església de Sant Sebastià, o Ermita de Sant Sebastià Cervera del Maestrat
C. Doctor Ballester, 23
40° 27′ 17″ nord, 0° 16′ 30″ est 12.03.044-004 S.XIV; S.XIX (1805) data inscrita a la porta
Església de Sant Sebastià, o Ermita de Sant Sebastià
Església parroquial de l'Assumpció i torre campanar Cervera del Maestrat
C. de l'Església
40° 27′ 14″ nord, 0° 16′ 32″ est 12.03.044-003
Església parroquial de l'Assumpció i torre campanar
Ermita de la Puríssima, o Capella de la Immaculada La Jana
C. de la Puríssima
à géolocaliser 12.03.070-005 S.XV; S.XVIII-XIX

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Ermita de Sant Josep La Jana
Paratge del Carrascal
à géolocaliser 12.03.070-006

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Ermita de Santa Anna La Jana
C. Frares
à géolocaliser 12.03.070-004 S.XVII (1627)

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Ermita de la Mare de Déu dels Àngels La Jana
Paratge de les Cometes
40° 30′ 30″ nord, 0° 14′ 55″ est 12.03.070-001 S.XVIII (1767-1791)
Ermita de la Mare de Déu dels Àngels
Església parroquial de Sant Bartomeu La Jana
Pl. Major, 17
40° 30′ 46″ nord, 0° 15′ 11″ est 12.03.070-003
Església parroquial de Sant Bartomeu
Torre Nova Peníscola
Cala Argilaga
à géolocaliser RI-51-0010682

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Torre Badum Peníscola
Cap d'Irta
40° 19′ 19″ nord, 0° 21′ 47″ est RI-51-0010683
Torre Badum
Castell de Peníscola Peníscola
Dalt del turó que domina la ciutat
40° 21′ 32″ nord, 0° 24′ 29″ est RI-51-0000510 S.XVI
Castell de Peníscola
El Castellet Peníscola
Serra d'Irta
40° 23′ 18″ nord, 0° 21′ 16″ est 12.03.089-011 S.XV; S.XVI

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Conjunt de la Ciutat Peníscola
Penyal de Peníscola
à géolocaliser RI-53-0000142
Conjunt de la Ciutat
Antic forn, o Casa a la plaça de l'Ajuntament, 2 Peníscola
Pl. de l'Ajuntament, 2
à géolocaliser 12.03.089-050
Antic forn, o Casa a la plaça de l'Ajuntament, 2
Capella de Santa Anna, antiga ermita Peníscola
C. Muralla de la Font
à géolocaliser 12.03.089-010 S.XIX (1827)
Capella de Santa Anna, antiga ermita
Casa del faroner i far, o Casa al carrer Castell, 12 Peníscola
C. Castell, 12
à géolocaliser 12.03.089-016 S.XX (1892)
Casa del faroner i far, o Casa al carrer Castell, 12
Casa al carrer Baixada de la Font, 5 Peníscola
C. Baixada de la Font, 5
à géolocaliser 12.03.089-012 S.XX (1920)

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Casa al carrer Baixada de la Font, 6 Peníscola
C. Baixada de la Font, 6
à géolocaliser 12.03.089-013 S.XX (1900)

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Casa al carrer Bufador, 11 Peníscola
C. Bufador, 11
à géolocaliser 12.03.089-014
Casa al carrer Bufador, 11
Casa al carrer Bufador, 13 Peníscola
C. Bufador, 13
à géolocaliser 12.03.089-015 S.XX (1949)
Casa al carrer Bufador, 13
Casa al carrer Castell, 35 Peníscola
C. Castell, 35
à géolocaliser 12.03.089-017 S.XX (1900)

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Casa al carrer de l'Escola, 5 Peníscola
C. Escola, 5
à géolocaliser 12.03.089-018 S.XX (1900)

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Casa al carrer General Aranda, 14 Peníscola
C. General Aranda, 14
à géolocaliser 12.03.089-019 S.XX (1900)

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Casa al carrer General Aranda, 27 Peníscola
C. General Aranda, 27
à géolocaliser 12.03.089-020 S.XX (1920)

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Casa al carrer General Aranda, 53 Peníscola
C. General Aranda, 53
à géolocaliser 12.03.089-021 S.XX (1924)

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Casa al carrer González Granada, 1 Peníscola
C. González Granada, 1
à géolocaliser 12.03.089-022 S.XX (1920)

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Casa al carrer González Granada, 3 Peníscola
C. González Granada, 3
à géolocaliser 12.03.089-023 S.XX (1920)

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Casa al carrer González Granada, 8 Peníscola
C. González Granada, 8
à géolocaliser 12.03.089-024 S.XX (1925)

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Casa al carrer Jaime Sanz Roca, 12 Peníscola
C. Jaime Sanz Roca, 12
à géolocaliser 12.03.089-025 S.XIX (1885)

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Casa al carrer Jaime Sanz Roca, 20 Peníscola
C. Jaime Sanz Roca, 20
à géolocaliser 12.03.089-026 S.XX (1900)

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Casa al carrer Jaime Sanz Roca, 32 Peníscola
C. Jaime Sanz Roca, 32
à géolocaliser 12.03.089-027

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Casa al carrer Juan José Fulladosa, 30 Peníscola
C. Juan José Fulladosa, 30
à géolocaliser 12.03.089-028 S.XX (1900)

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Casa al carrer Matilde Thinot, 6 Peníscola
C. Matilde Thinot, 6
à géolocaliser 12.03.089-029 S.XX (1900)

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Casa al carrer Nou, 8 Peníscola
C. Nou, 8
à géolocaliser 12.03.089-030 S.XX (1900)
Casa al carrer Nou, 8
Casa a l'avinguda de la Mar, 21, o la Torreta Peníscola
Av. de la Mar, 21
à géolocaliser 12.03.089-048

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Casa al carrer Sáiz de Carlos, 1 Peníscola
C. Sáiz de Carlos, 1
à géolocaliser 12.03.089-049 S.XX (1900)

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Casa al carrer Sant Josep, 05 Peníscola
C. Sant Josep, 05
à géolocaliser 12.03.089-032 S.XX (1900)

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Casa al carrer Sant Roc, 17 Peníscola
C. Sant Roc, 17
à géolocaliser 12.03.089-033 S.XX (1900)

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Casa al carrer Sant Roc, 22 Peníscola
C. Sant Roc, 22
à géolocaliser 12.03.089-034 S.XX (1900)
Casa al carrer Sant Roc, 22
Casa al carrer Sant Roc, 23 Peníscola
C. Sant Roc, 23
à géolocaliser 12.03.089-035 S.XX (1920)

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Casa al carrer Sant Vicent, 13 Peníscola
C. Sant Vicent, 13
à géolocaliser 12.03.089-036 S.XIX (1885)

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Casa al carrer Sant Vicent, 28 Peníscola
C. Sant Vicent, 28
à géolocaliser 12.03.089-037 S.XX (1930)

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Casa al carrer Sant Vicent, 28 bis Peníscola
C. Sant Vicent, 28 bis - tr. St. Vicent, 4
à géolocaliser 12.03.089-038

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Casa al carrer Sant Vicent, 30 Peníscola
C. Sant Vicent, 30
à géolocaliser 12.03.089-039

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Casa al carrer Sant Vicent, 6 Peníscola
C. Sant Vicent, 6
à géolocaliser 12.03.089-040 S.XX (1900)

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Casa al carrer Santa Bàrbara, 10 Peníscola
C. Santa Bàrbara, 10
à géolocaliser 12.03.089-041 S.XX (1900)

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Casa al carrer Santa Bàrbara, 11 Peníscola
C. Santa Bàrbara, 11
à géolocaliser 12.03.089-042 S.XIX (1885)

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Casa al carrer Santa Bàrbara, 12 Peníscola
C. Santa Bàrbara, 12
à géolocaliser 12.03.089-043 S. XX (1900)

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Casa al carrer Santa Bàrbara, 17 Peníscola
C. Santa Bàrbara, 17
à géolocaliser 12.03.089-044 S. XX (1900)

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Casa al carrer Santa Bàrbara, 18 Peníscola
C. Santa Bàrbara, 18
à géolocaliser 12.03.089-045 S. XIX (1885)
Casa al carrer Santa Bàrbara, 18
Casa al carrer Santa Bàrbara, 25 Peníscola
C. Santa Bàrbara, 25
à géolocaliser 12.03.089-046 S. XX (1900)
Casa al carrer Santa Bàrbara, 25
Casa al carrer Sants Màrtirs, 8 Peníscola
C. Sants Màrtirs, 8
à géolocaliser 12.03.089-047 S. XX (1920)

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Edifici Les Costures, Museu de la Mar Peníscola
C. Príncep
à géolocaliser 12.03.089-031 S. XVII
Edifici Les Costures, Museu de la Mar
Ermita de Sant Antoni Peníscola
Barranc de Sant Antoni
40° 20′ 49″ nord, 0° 21′ 19″ est 12.03.089-006 S.XV; S.XVII (1675) ampliada; S.XVIII (1706) data inscrita
Ermita de Sant Antoni
Església o Ermita de la Mare de Déu de l'Ermitana Peníscola
Pl. d'Armes
40° 21′ 33″ nord, 0° 24′ 28″ est 12.03.089-001 S. XVIII (1708-1714)
Església o Ermita de la Mare de Déu de l'Ermitana
Església del castell de Peníscola, o Basílica de Benet XIII Peníscola
Pl. d'Armes
40° 21′ 32″ nord, 0° 24′ 29″ est 12.03.089-007 S. XIII
Església del castell de Peníscola, o Basílica de Benet XIII
Església parroquial de Santa Maria Peníscola
C. Juan José Fulladosa, 3
40° 21′ 30″ nord, 0° 24′ 25″ est 12.03.089-002
Església parroquial de Santa Maria
Plaça de les Caseres 1-5 Peníscola
Pl. de les Caseres 1-5
à géolocaliser 12.03.089-051 S.XX (1900-1920)

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Monestir de Santa Maria La Pobla de Benifassà
Al nord-est del turó de Santa Escolàstica
40° 40′ 35″ nord, 0° 11′ 54″ est RI-51-0000512
Monestir de Santa Maria
Castell del Boixar La Pobla de Benifassà
Al nord-est del turó de Santa Escolàstica
à géolocaliser 12.03.093-007 S.XIII; S.XIV; S.XV; S.XVI

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Ermita de la Trinitat La Pobla de Benifassà
Paratge de les Vinyes, el Bellestar
à géolocaliser 12.03.093-009 S.XIX (1853)

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Església parroquial del Salvador del Bellestar La Pobla de Benifassà
El Bellestar
40° 39′ 49″ nord, 0° 10′ 32″ est 12.03.093-005

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Església parroquial de l'Assumpció, o de Sant Pere La Pobla de Benifassà 40° 39′ 24″ nord, 0° 09′ 25″ est 12.03.093-006

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Església parroquial de l'Assumpció del Boixar La Pobla de Benifassà
A la part alta del Boixar
40° 40′ 47″ nord, 0° 07′ 09″ est 12.03.093-003 S.XVIII (1725); S.XIX (1862) campanar

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Església parroquial dels Sants Màrtirs de Fredes La Pobla de Benifassà
Fredes
40° 42′ 20″ nord, 0° 10′ 15″ est 12.03.093-008

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Església parroquial de Sant Jaume de Coratxà La Pobla de Benifassà
Sobre un turó a uns 200 m del nucli de Coratxà
40° 41′ 26″ nord, 0° 05′ 01″ est 12.03.093-004 S. XIII

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Muralles de Rossell Rossell
Al nucli urbà
à géolocaliser 12.03.096-001

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Església parroquial dels Sants Joans Rossell
Pl. de l'Església
40° 37′ 08″ nord, 0° 13′ 27″ est 12.03.096-002
Església parroquial dels Sants Joans
Església parroquial de Sant Jaume Rossell
Bel
40° 37′ 25″ nord, 0° 09′ 46″ est 12.03.096-003
Església parroquial de Sant Jaume
Muralles de la Salzadella La Salzadella à géolocaliser 12.03.098-002 S.XIII; S.XIV
Muralles de la Salzadella
Ermita de Sant Josep La Salzadella
Paratge del Bovalar
à géolocaliser 12.03.098-003 S.XIV

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Ermita de Santa Bàrbara La Salzadella
Paratge de Pons
40° 25′ 24″ nord, 0° 10′ 02″ est 12.03.098-004 S.XVII-XVIII
Ermita de Santa Bàrbara
Ermita del Calvari, o Calvari La Salzadella
C. Santa Bàrbara
40° 25′ 10″ nord, 0° 10′ 28″ est 12.03.098-006 S.XVIII (1797) capella
Ermita del Calvari, o Calvari
Església parroquial de la Purificació de Maria, o Església parroquial de l'Assumpció La Salzadella
C. Sant Antoni de Pàdua, 15
40° 25′ 03″ nord, 0° 10′ 29″ est 12.03.098-001 S.XIV-XV; S.XVIII
Església parroquial de la Purificació de Maria, o Església parroquial de l'Assumpció
Església parroquial de Sant Jaume Sant Jordi
C. Germana Teresa Mira, 3
40° 30′ 33″ nord, 0° 19′ 48″ est 12.03.099-001 S.XVIII
Església parroquial de Sant Jaume
Escut de la Torre de l'antic Convent de Sant Domènec Sant Mateu
Pl. Sant Domènec
à géolocaliser RI-51-0011047 S.XII; S.XIII

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Escut de la casa al carrer de la Mare de Déu del Pilar, 5 Sant Mateu
C. Mare de Déu del Pilar, 5
40° 27′ 56″ nord, 0° 10′ 43″ est RI-51-0011045 S.XIV (1357)

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Escut de la casa al carrer de l'Historiador Betí, 20 Sant Mateu
C. Historiador Betí, 20
40° 27′ 58″ nord, 0° 10′ 47″ est RI-51-0011048 S.XVI; S.XVII

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Escut del Pont sobre el riu Palau Sant Mateu à géolocaliser RI-51-0011050

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Escut dels Rentadors Sant Mateu à géolocaliser RI-51-0011046 S.XIX (1862-1865)

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Escut de la Casa Abadia Sant Mateu
C. Sant Bernat
à géolocaliser RI-51-0011049 S.XIII - S.XV - S.XVII - S.XVIII

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Masia fortificada Torre El Palomar Sant Mateu
Camí de la Torre el Palomar
40° 27′ 54″ nord, 0° 10′ 44″ est RI-51-0010534

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Església Arxiprestal de Sant Mateu Sant Mateu
Pl. Església
40° 27′ 55″ nord, 0° 10′ 50″ est RI-51-0000513 S.XVI (1582-1594)
Església Arxiprestal de Sant Mateu
Muralles de Sant Mateu Sant Mateu
Riu de Palau
40° 27′ 57″ nord, 0° 10′ 48″ est RI-51-0010556 S.XI al S.XVI
Muralles de Sant Mateu
Escut del Palau del Marqués de Villores Sant Mateu 40° 27′ 54″ nord, 0° 10′ 44″ est RI-51-0011053 S.XIV (1384) primer edifici; S.XV (1439) nou temple; S.XVI
Escut del Palau del Marqués de Villores
Creu de terme Sant Mateu
Pl. Llauradors
à géolocaliser RI-51-0011044 S.XV; S.XVI
Creu de terme
Nucli històric de Sant Mateu Sant Mateu
Pl. de l'Àngel, c. Sant Doménec, c. Betí, c. Morella, c. Cerdá, c. València
à géolocaliser RI-53-0000564
Nucli històric de Sant Mateu
Ajuntament Sant Mateu
C. Historiador Betí, 4
40° 27′ 55″ nord, 0° 10′ 47″ est 12.03.100-009 S.XV
Ajuntament
Casa Abadia Sant Mateu
C. Sant Bernat, 1-3
à géolocaliser 12.03.100-015 S.XIV; S. XVII

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Convent de Sant Domènec, o Torre dels Dominics Sant Mateu
Pl. de Sant Domènec
40° 27′ 57″ nord, 0° 10′ 54″ est 12.03.100-008 S.XIV convent; S.XVIII torre
Convent de Sant Domènec, o Torre dels Dominics
Ermita de Sant Cristòfol Sant Mateu 40° 27′ 06″ nord, 0° 12′ 12″ est 12.03.100-016 S.XIV
Ermita de Sant Cristòfol
Església de Sant Pere Sant Mateu
Pla de Sant Pere
40° 27′ 54″ nord, 0° 10′ 41″ est 12.03.100-007 S.XIII; S.XVIII façana
Església de Sant Pere
Monestir de Santa Anna, o Convent de les Agustines Sant Mateu
Pl. Monges Agustines, 28 i 30
40° 27′ 51″ nord, 0° 10′ 43″ est 12.03.100-001 S.XVI (1590) convent; S.XVIII (1704) església
Monestir de Santa Anna, o Convent de les Agustines
Palau Borrull, o Casa dels Borrull Sant Mateu
C. Historiador Betí, 10
40° 27′ 58″ nord, 0° 10′ 47″ est 12.03.100-010 S.XV
Palau Borrull, o Casa dels Borrull
Palau dels Mestres de Montesa Sant Mateu
C. Palau dels Mestres de Montesa
à géolocaliser 12.03.100-018 S. XIV al S. XVI

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Palau del Marqués de Villores, o Palau Villores Sant Mateu
C. València, 17
40° 27′ 54″ nord, 0° 10′ 47″ est 12.03.100-012 S.XVI
Palau del Marqués de Villores, o Palau Villores
Plaça Major o de l'Àngel Sant Mateu
Pl. Major
à géolocaliser 12.03.100-017 S.XIII
Plaça Major o de l'Àngel
Santuari de la Mare de Déu dels Àngels Sant Mateu
Paratge de l'Ermita dels Àngels, partida del Boverot
40° 27′ 24″ nord, 0° 12′ 07″ est 12.03.100-003 S.XVI-XVII (1580-1623); S.XVIII (1727) campanar
Santuari de la Mare de Déu dels Àngels
Església parroquial de Sant Rafel Sant Rafel del Riu
Pl. de l'Església, 4
à géolocaliser 12.03.101-001

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Torre de San Millán Santa Magdalena de Polpís
Talaies d'Alcalà
40° 22′ 09″ nord, 0° 18′ 27″ est RI-51-0010719

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Castell de Polpís Santa Magdalena de Polpís
Serra d'Irta
40° 21′ 09″ nord, 0° 19′ 21″ est RI-51-0010720
Castell de Polpís
Església parroquial de Santa Magdalena Santa Magdalena de Polpís
Pl. de l'Església, 5
40° 21′ 21″ nord, 0° 18′ 10″ est 12.03.102-002
Església parroquial de Santa Magdalena
Reial Santuari de la Mare de Déu de la Font de la Salut de Traiguera Traiguera
Serra d'en Menor
40° 30′ 13″ nord, 0° 18′ 04″ est RI-51-0011580
Reial Santuari de la Mare de Déu de la Font de la Salut de Traiguera
Recinte amurallat medieval de Traiguera Traiguera
Al nucli urbà
40° 31′ 35″ nord, 0° 17′ 26″ est RI-51-0011155

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Església parroquial de l'Assumpció Traiguera
Pl. de l'Església
40° 31′ 33″ nord, 0° 17′ 27″ est 12.03.121-001
Església parroquial de l'Assumpció
Església parroquial de l'Assumpció Vinaròs
Pl. de l'Església
40° 28′ 15″ nord, 0° 28′ 30″ est RI-51-0004296
Església parroquial de l'Assumpció
Torre dels Moros Vinaròs
Puig de la Misericòrdia
40° 30′ 17″ nord, 0° 25′ 53″ est RI-51-0010763
Torre dels Moros
Torre de Sòl de Riu Vinaròs
Vora el riu de la Sénia
40° 31′ 23″ nord, 0° 30′ 37″ est RI-51-0010755

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Muralles de Vinaròs Vinaròs à géolocaliser 12.03.138-036
Muralles de Vinaròs
Antic convent de Sant Francesc Vinaròs
C. Sant Francesc, 40
à géolocaliser 12.03.138-026
Antic convent de Sant Francesc
Casa dels Membrillera, o Casa dels Coronels Vinaròs
C. Socors, 64
40° 28′ 09″ nord, 0° 28′ 31″ est 12.03.138-014 S.XVIII (1780-1790)
Casa dels Membrillera, o Casa dels Coronels
Casa Mas de Mon Vinaròs
Camí Fondo del Carreró - caminàs de Sant Gregori
à géolocaliser 12.03.138-027

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Xemeneies fabrils Vinaròs à géolocaliser 12.03.138-019

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Desembocadura del riu de la Sénia Vinaròs à géolocaliser 12.03.138-030

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Ermita de Sant Gregori Vinaròs
Camí del Cementiri
40° 28′ 53″ nord, 0° 27′ 48″ est 12.03.138-006 S.XVIII (1780)
Ermita de Sant Gregori
Mercat Municipal Vinaròs
Pl. de Sant Agustí
40° 28′ 13″ nord, 0° 28′ 37″ est 12.03.138-016 S.XX
Mercat Municipal
Monestir de les Clarisses de la Divina Providència Vinaròs
C. Convent, 10
à géolocaliser 12.03.138-034 S.XIX (1878)

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Palau d'Ayguals Vinaròs
C. Àngel, 43
à géolocaliser 12.03.138-012 S.XVII
Palau d'Ayguals
Plaça de Bous Vinaròs
Av. Pablo Béjar
40° 27′ 51″ nord, 0° 28′ 16″ est 12.03.138-017
Plaça de Bous
Port de Vinaròs Vinaròs à géolocaliser 12.03.138-031
Port de Vinaròs
Santuari o Ermita de la Mare de Déu de la Misericòrdia i de Sant Sebastià Vinaròs
Cim del Puig de la Misericòrdia
40° 30′ 24″ nord, 0° 25′ 53″ est 12.03.138-003 S.XV; S.XVII reedificació; S.XVIII (1715-1721) ampliació
Santuari o Ermita de la Mare de Déu de la Misericòrdia i de Sant Sebastià
Torres Ballester Vinaròs à géolocaliser 12.03.138-015 S.XX
Torres Ballester
Torre Comaro o dels Pepos Xert
Rambla de Cervera
à géolocaliser RI-51-0012342

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Torre el Molinar Xert
Prop de la ctra. CN-232
à géolocaliser 12.03.052-003

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Torre de Sant Marc Xert
La Barcella
40° 33′ 09″ nord, 0° 09′ 06″ est 12.03.052-004

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Torre d'en Roig Xert à géolocaliser 12.03.052-006

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Recinte murat de Xert Xert 40° 31′ 17″ nord, 0° 09′ 28″ est 12.03.052-008

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Mola Murada Xert à géolocaliser 12.03.052-009

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Castell de Xert Xert à géolocaliser 12.03.052-019

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Ermita de Sant Pere i Sant Marc de la Barcella Xert
Paratge de la Barcella
40° 33′ 09″ nord, 0° 09′ 05″ est 12.03.052-001 S.XVI; S.XVIII (1770-1779) reforma
Ermita de Sant Pere i Sant Marc de la Barcella
Antiga església parroquial de l'Assumpció Xert 40° 31′ 17″ nord, 0° 09′ 22″ est 12.03.052-007
Antiga església parroquial de l'Assumpció

Art Roman modifier

Monastère de San Pedro de Roda.

L' art roman de Catalogne a joué un rôle d'une grande importance au sein de l'art roman, par ses caractéristiques propres et son extension. Durant les XIe et XIIe siècles, il s'est concentré dans le territoire correspondant à ce qui allait devenir la Catalogne, avec un grand nombre d'édifices romans, surtout dans les zones occupées par les actuelles provinces de Barcelone, Gérone et le nord de Lérida.

La rapide diffusion du style roman est due aux comtes catalans[1], ainsi qu'aux évêques qui ont pu récupérer et occuper leurs différents sièges, et aux communautés bénédictines, lors d'un large processus de repeuplement qui a débuté au moment de la disparition de l'hégémonie musulmane en Catalogne. On considère comme un cas d'école la fondation du monastère bénédictin de Sant Pere de Rodes à Gérone[2]et sa grande richesse décorative peut être vue comme une anticipation de ce que serait l'art roman des siècles à venir.

Dans ce monastère, et surtout dans son église, on trouve le style traditionnel carolingien côtoyant le style roman des premières années du XIe siècle, récemment importé. L'édifice bien qu'en ruines actuellement, apparaît encore grandiose et reste un exemple essentiel pour l'étude de l'ensemble des monuments romans conservés dans la comarque historique du Roussillon. Les structures et des éléments voisins de ceux de ce monastère se retrouvent dans les édifices de Saint-André, en Vallespir dans les Pyrénées-Orientales, dans la cathédrale d'Elne (Elne), et à l'abbaye de Saint-Génis-des-Fontaines également dans le Vallespir. Ces exemples sont des témoins des débuts de l'architecture romane en Catalogne, avant la généralisation des édifices lombards, édifices qui caractérisent tout spécialement l'art roman catalan.

Architecture modifier

Les premiers temps de l'architecture en Catalogne ont été fortement influencés par l'art carolingien et par l'art arabe de la péninsule Ibérique. Sont témoins de cette culture musulmane de nombreux chapiteaux et éléments décoratifs[3] clairement inspirés par ceux existant dans le Califat de Cordoue. Mais c'est l' influence lombarde qui est la caractéristique la plus remarquable (surtout dans le premier quart du XIe siècle) face aux différentes écoles qui se sont exprimées dans le reste de la Péninsule.

Architecture lombarde modifier

Durant le premier quart du XIe siècle, on constate une grande activité architecturale de la part de groupes composés de maîtres et carriers lombards qui travaillent dans tout le territoire catalan, érigeant des édifices religieux relativement uniformes[4]. Le grand personnage qui a impulsé et diffusé (et également financé) cet art, a été Oliba, moine et abbé du monastère de Ripoll, qui en 1032, a commandé d'agrandir cet édifice par un corps de façade où s'élèvent des tours, plus un transept qui comprend sept absides, le tout décoré extérieurement avec une ornementation lombarde d'arcatures aveugles et de bandes verticales[5].

Les constructions ont généralement une ou plusieurs nefs voûtées, séparées par des piliers; parfois elles possèdent un porche. L'extérieur est décoré d'arcatures aveugles, frises de dents d'engrenage et lésènes (bandes verticales). Les tours sont particulièrement soignées; elles sont parfois unies à l'édifice et d'autres fois isolées, avec un plan carré ou exceptionnellement cylindrique comme celle de Santa Coloma d'Andorre (ca).

Au XIIe siècle persistent les constructions de type lombard. Leur influence peut être décelé dans la cathédrale d'Urgel. Les archives que nous possédons, relatives à sa construction, indiquent qu'en 1175

« «…s'engage à la construire Raimundus Lombardus, avec quatre lombards» »

Le style de la cathédrale peut être rapproché de celui de la basilique Santa Maria Maggiore de Bergame et de celui de San Michele de Pavie.

Constructions lombardes modifier

La zone pastorale de l'abbé Oliba a été la plus riche en monuments de typologie lombarde, mais bientôt cet art s'est répandu dans d'autres diocèses. Dans celui de Gérone, on peut le voir dans les églises de Palau-saverdera, du monastère de Santa María de Roses (es), du monastère San Quirce de Colera (es), du monastère de Sant Miquel de Cruïlles (es), du monastère de San Daniel de Gérone (es) et de quelques autres. Dans l'évêché de Barcelone, on trouve les églises lombardes de Barberà del Vallès, de l'ensemble monumental des églises de San Pedro de Terrassa et celui de Sant Ponç de Corbera. Ensuite cet art s'étend aux Pyrénées en commençant par l'Andorre, les églises Santa María de Mur (es), Collégiale de Sant Pere de Ponts (es), Sant Climent de Coll de Nargó (es), monastère de Sant Pere de Burgal (es), Sant Pere de Sorpel (es), Santa María de Cap d'Arán de Tredós (es) et monastère de San Saturnino de Tabérnolas (es).

Architecture au XIIe siècle modifier

À cette période, les constructions religieuses ont un caractère monumental et se sont embellies de formes décoratives par la sculpture et la peinture, qui manifestent une grande vitalité dans les portails et les cloîtres. L'art roman catalan reçoit un grand souffle innovateur surtout dans les comtés orientaux et également à l'intérieur des vallées pyrénéennes. En effet dans tous ces territoires, la rénovation ou les constructions des premiers temps ne s'étaient pas encore manifestées. Pour mener à bien cette grande vague de constructions nouvelles sont accourues de différents points des équipes de professionnels. Du nord de l'Italie, ils sont amenés leurs idées et les décorations lombardes; ils étaient accompagnés de plus par des artistes peintres qui ont couvert les églises de fresques qui sont souvent des chefs d'œuvres. De Provence et du Languedoc sont arrivées des équipes accoutumées à travailler la pierre. Grâce à elles, le sens ornemental retrouve son importance et prend une vigueur inconnue sous l'influence des ateliers toulousains qui se mettent en contact avec les ateliers du Roussillon.

Tout ce développement artistique n'aurait pu naître sans de profonds changements dans la politique et l'histoire de la Catalogne. Le développement des comtés au temps de Raimond-Bérenger III (1096-1131)[6] entraîne un changement important dans la politique et l'économie avec comme conséquence également des changements dans l'organisation de l'Église qui à partir de ce moment engage la réforme. Le siège métropolitain de Tarragone a été rétabli, les ordres religieux de l'Hôpital (1110), du Temple (1130), du Saint-Sépulcre (1150) ont été créés, et les grandes fondations cisterciennes de Poblet (1149) et Santes Creus (1160) apparaissent.

Les premiers effets rénovateurs se font sentir dans les comtés de Besalú, Empúries et Gérone. Cette zone était restée impénétrable à l'influence lombarde des premiers temps. Les constructions ont un plan basilical, parfois avec un transept et d'autres non, la majorité avec une nef unique couverte par une voûte à plein cintre, d'autres fois avec trois nefs et dans ce cas, les nefs latérales sont couvertes par des voûtes en quart de cercle qui reposent sur des piliers à base rectangulaire.

À la même époque a lieu la rénovation des églises des vallées pyrénéennes appartenant à l'évêché d'Urgel. Il s'agit d'une zone où n'était pas arrivée encore la rénovation lombarde de la période antérieure. Le plan d'une nef unique de type basilical avec un chevet simple est majoritaire. Tout à fait exceptionnelle est la rénovation des églises de la vallée de Boí où travaillaient des constructeurs lombards qui couvrent les nefs par des toits à deux pentes avec une structure de bois, respectant totalement les vieilles traditions de cette région.

Dans les régions intérieures de la Catalogne et dans la zone occidentale, on retrouve dans ce XIIe siècle, même quand sont ajoutés des éléments nouveaux, les caractéristiques du courant lombard antérieur à savoir : une nef unique couverte de voûte à plein cintre (qui commence par être en ogive), trois absides qui à l'extérieur conservent les arcatures aveugles d'ornementation lombarde. Une nouveauté importante consiste dans l'appareil des murs qui passe d'une taille grossière, à des pierre taillées soigneusement par des artisans professionnels qui disposent de leur propre atelier au lieu de travailler sur le lieu du chantier comme dans les temps antérieurs. Ces tailleurs se révèlent être de véritables artistes et maîtres dans le travail de la pierre et dans la sculpture. Au début ils manifestent leur savoir faire seulement sur les consoles des corniches mais au bout de peu de temps, on les voit tailler des fenêtres, rosaces, portails, chapiteaux et tympans. La décoration des nombreux cloîtres qui sont créés, se fait foisonnante. Les chapiteaux des colonnes se voient enrichis de thèmes historiés, produit de la grande imagination de ces maîtres.

Les cloîtres romans catalans du XIIe siècle modifier

Cloître de la cathédrale de Gérone.

La Catalogne est la région espagnole où est conservée la majeure partie des cloîtres, quelques uns de dimensions énormes[7]. Le plus ancien est celui de la cathédrale de Gérone. Les cloîtres catalans se distinguent à peine les uns des autres par leur architecture et ont des caractéristiques identiques ou très voisines.

Parmi les cloîtres romans, on peut observer de légères différences quand il s'agit de cloîtres appartenant à des monastères bénédictins ou des monastères de chanoines augustins ou les cisterciens. Les espaces sont occupés en accord avec leurs normes et nécessités, toujours sans s'écarter d'un modèle commun implanté depuis le début par Cluny.

Est très important dans l'ornementation de ces cloîtres le travail des sculpteurs locaux qui expriment leur art (et parfois laissent leur signature) dans les chapiteaux. Ce sera dans les chapiteaux et leurs thèmes que l'on peut réellement faire que des différences d'un cloître à l'autre. Voir : Cloître roman en Catalogne (es)

Architecture civile et militaire romane modifier

Les éléments de l'architecture civile et militaire romane qui ont pu arriver jusqu'à nos jours, sont très inférieurs à ceux de l'architecture religieuse. À peine si subsistent des traces de ces constructions habitées dans les XIe et XIIe siècles; certaines descriptions ont pu être faites grâce à des témoignages écrits.

Seules quelques rares ruines d'ouvrages de défense militaire subsistent, témoignages de ce qui a été construit à cette époque. Des édifices civils ne subsistent que des restes partiels. De tous les nouveaux noyaux de peuplement qui deviendront parfois d'authentiques cités ne reste pas une seule trace des ruelles et demeures et on est obligé de recourir à des hypothèses à partir des exemples plus tardifs des XIIIe et XIVe siècles. Ils devaient sûrement être faits de ruelles étroite et tortueuses, avec de nombreuses constructions en bois et un château ou tour de défense sur le point le plus élevé.

Quelques exemples modifier

Les restes romans les plus importants que l'on conserve, sont ceux intégrés dans la construction gothique du Grand Palais Royal de Barcelone (es). Là on peut voir des restes importants de ce qu'a été la demeure romane qui avait trois étages, l'inférieur avec deux nefs couvertes de voûte en berceau. Les autres deux avaient des embrasures de deux ou trois arcs appuyés sur des colonnes, présentant le même aspect que celui des clochers lombards.

Résistent au temps quelques châteaux des XIe et XIIe siècles, en mauvais état de conservation:

  • Château de Vich
  • Château de Llordá (es)
  • Château de Cencelles
  • Château de Montsolís
  • Château de Mur (es)
  • Château de Saldheures
  • Des constructions qui ont été des demeures seigneuriales, comme le Castell Vell de Solsona, qui était la demeure des vicomtes chargés de défendre la cité. Ce château contrôlait l'entrée la plus importante appelée Portal Mayor (sur l'actuelle Plaza del Ángel). Ou comme celui de Zuda de Lérida.

Il y a eu dans le comté de Barcelone des maisons seigneuriales qui ne peuvent prétendre à la dénomination de palais, quasi toutes avec des rez-de-chaussée couvert de voûtes:

  • Besalú
  • Santpedor
  • Vic
  • Vilafranca de Conflent

Sculpture des XIe et XIIe siècles modifier

Les études et travaux réalisés par les historiens Félix Hernández et Georges Gaillard[8] sur l'influence des maîtres sculpteurs mozarabes en la Marche d'Espagne vers l'an 1000 ont été décisifs pour la compréhension d'une série de sculptures réalisées dans différentes églises des Pyrénées du Roussillon. Toutes ces sculptures sont sorties des ateliers de sculpture du Roussillon qui extrayaient leur marbre rosé caractéristique, d'une qualité exceptionnelle, sans fissures ni défauts, des carrières d'Arles-sur-Tech, dans le département français des Pyrénées-Orientales. À la vue des recherches et études des dites œuvres, les historiens sont arrivés à la conclusion que leurs premiers auteurs ont été des maîtres arrivés du sud de la péninsule qui apportèrent leur tradition mozarabe. Les artisans ont pu au cours de deux siècles faire évoluer les techniques et les modes et envoyer de part et d'autre des Pyrénées les chapiteaux et autres éléments décoratifs.

Œuvres des ateliers du Roussillon dans les premiers temps du roman modifier

Chapiteaux du cloître de Saint-Michel de Cuxa.

Une des œuvres les plus connues est le linteau en marbre rose de la porte du monastère de Saint-Génis dans la localité française de Saint-Génis-des-Fontaines, qui porte une inscription avec la date de 1020 de l'ère chrétienne.

Appartiennent au même atelier les chapiteaux de Ripoll, San Pedro de Roda, San Miguel de Fluviá et San Julián de Corts en Cornellá de Terri, tous romans mais avec une influence mozarabe. Très près de Saint-Génis, se trouve le village de Sorède avec son église de Saint-André appartenant à l'ancien monastère, dont le linteau et les frises relèvent de la même école. Les thèmes sont également communs, avec le Pantocrator au sein d'une mandorle et accompagné d'anges et de séraphins, apôtres et prophètes. Dans l'église d'Arles existent également des témoignages de ces ateliers, sur une table d'autel, une cuve de baptême, une fenêtre et le tympan lui-même (1040) dont les ornements sont apparentés avec ceux des autres églises déjà décrites.

La cathédrale d'Elne (1042-1057) a également des sculptures provenant des ateliers d'Arles. Les chapiteaux, tant de l'église que du cloître sont des œuvres d'influence orientale où l'artiste taille toute une série d'animaux exotiques qui pouvaient provenir de Mésopotamie[9].

Maîtres sculpteurs du XIe siècle modifier

Dans les premiers temps du roman est apparu un groupe de sculpteurs qui ont laissé derrière eux une importante et précieuse œuvre.

  • Maître de Saint-Génis, considéré comme un des meilleurs sculpteurs du XIe siècle, auteur du linteau de marbre décrit ci-dessus. Il est daté de 1021. Il a travaillé également au parapet en marbre de la grande fenêtre de la façade de Sant Andreu de Sureda. La sculpture montre des anges musiciens, séraphins et symboles avec des ornements de feuillage entrelacé d'une grande beauté et originalité, d'un style très personnel. Il a sculpté également les chapiteaux corinthiens et les cimaises de San Pedro de Roda. L'ensemble de son œuvre démontre une grande formation professionnelle mais avec un grand apport personnel et original. Il est possible que ce maître ait créé ou dirigé un atelier où ont travaillé différents maîtres. Sa résidence pouvait être dans quelque lieu du Roussillon et proche de l'une des nombreuses carrières de marbre voisine des Pyrénées.
  • Le second maître démontre un style avec un autre type d'influence dont l'origine peut se deviner à San Ambrosio de Milan. Il a sculpté une série de chapiteaux avec une décoration de tresses intercalant des têtes et des monstres.
  • À ce que l'on croit, le troisième maître a été un disciple direct de celui de Saint-Génis. On observe dans son œuvre un désintérêt à utiliser les ciselures. On lui attribue la sculpture insérée dans le portail principal de Santa María d'Arles-sur-Tech.
  • Le quatrième maître est considéré comme l'auteur de la table d'autel de l'église de Sorède, travaillée avec des ciselures très fines.

Les ateliers au XIIe siècle modifier

Les sculpteurs qui travaillèrent dans ces ateliers sont restés en pleine activité au début du XIIe siècle jusqu'à l'époque ascétique de la mode cistercienne qui a éliminé toute iconographie sculptée.

Les sculptures de la porte de l'église de l'abbaye Saint-Michel de Cuxa et du porche-tribune du Prieuré de Serrabone à Boule-d'Amont,[10]représentent une seconde étape de ces ateliers de marbriers. La porte de Cuxa appartenait au cloître et a été ensuite déplacée dans la maison de l'abbé. Sur les jambages sont représentés Pierre et Paul, dans le plus pur style mozarabe.

Maîtres sculpteurs du XIIe siècle modifier

Détail d'un des chapiteaux de la tribune du Prieuré de Serrabone.
  • Maître de Cabestany,[11]auteur du tympan de l'église de cette localité (Cabestany). Il figure parmi les grandes maîtres européens du XIIe siècle. On sait que son activité s'est étendue à de larges zones de France et d'Espagne. Ses caractéristiques les plus spéciales sont le concept de l'espace et l'intensité expressive de ses personnages. Il est l'auteur de les sculptures du portail principal de San Pedro de Roda[12]dont la magnifique sculpture de Jésus avec Pierre dans la barque qui est exposé au Museo Federico Marés de Barcelone. La représentation des eaux et des poissons est considérée comme une œuvre archaïsante géniale. Il a travaillé dans des lieux très différents comme le village français de Saint-Hilaire dans le département de l'Aude, où est conservé un sarcophage en marbre du premier évêque de Carcassonne, Saint Hilaire, et à Errondo (Navarre) d'où provient un portail; également dans l'église de Sainte Marie de Rieux-Minervois, il y a une trace de son travail sur un chapiteau de la Madeleine.
  • Maître de Serrabone, considéré comme un des grands sculpteurs européens de la première moitié du XIIe siècle. Ses sculptures manifestent une grande vigueur expressive. Il est l'auteur de la décoration de la tribune du Prieuré de Serrabone.
  • D'autres sculpteurs issus de ces ateliers ont travaillé sur des monuments comme l'Église Sainte-Marie de Corneilla-de-Conflent dont le tympan du portail approche de la perfection.

Peinture modifier

Pantocrator de Sant Climent de Tahull.

L'étude de la peinture romane en Catalogne qui a été poursuivie dans les dernières années du XXe siècle, a amené la modification du schéma de données historiques, pour prendre en compte les nouveaux apports des chercheurs[13]. L'étude a abordé les divers domaines concernant la peinture: manuscrits enluminés, peinture murale, peinture sur bois et iconographie polychrome.

On ne conserve que peu de manuscrits enluminés mais le nombre de ceux qui nous sont parvenus intacts, fait présumer l'existence de nombreux ateliers de copistes ou scriptoria qui ont produit des œuvres très remarquables et importantes, depuis le début jusqu'à la période gothique. Les peintures murales sont les plus représentatives de cet art en Catalogne. Ce sont des œuvres qui s'adaptent strictement à l'espace où elles se développent, que se soient des parois, des absides, des colonnes, etc. Bien qu'une partie de cette œuvre soit perdue pour diverses causes, un grand nombre d'entre elles nous est parvenu; quelques unes sont conservées in situ dans les églises et les autres ont été transportées dans les musées pour mieux les préserver.

L'iconographie a fleuri à l' époque romane et avec elle, les ateliers de peinture qui la développaient. C'est peut-être l'œuvre artistique la moins bien conservée à cause des retouches et restaurations dont elle a été l'objet au cours des siècles. Dans la majorité des cas, c'est la principale cause de la perte de la polychromie originale et brillante. Le Pantocrator, la Crucifixion, la Vierge à l'enfant, les Apôtres et leurs symboles sont les thèmes préférés que l'on retrouve dans toutes les zones.

Orfèvrerie et broderies modifier

Comme complément à l'architecture et sculpture romanes, on doit citer les arts somptuaires de l'orfèvrerie et de la broderie. Les orfèvres travaillaient dans leurs ateliers élaborant à la forge les objets du culte. Ils fabriquaient des croix, des vases sacrés, des coffres, etc. Orfèvrerie romane en Catalogne (es) De leur côté, les ateliers de broderie se consacrent aux habits liturgiques, rivalisant dans de nombreux cas avec les fabricants de riches tissus. On connait ces œuvres comme des peintures à l'aiguille pour leur qualité technique et artistique. On conserve trois exemplaires d'une certaine importance:

  • L'Étendard de Sant Oth (es), signé Elis Ava.
  • Le devant d'autel de la cathédrale d'Urgel[14].
  • Le tapis de la Création de Gérone, un joyau artistique en assez bon état de conservation.

Tapisserie romane de la Création (es)

Quant aux vêtements, les exemplaires existants aujourd'hui sont rares; on peut citer les exemplaires suivants:

  • Deux capes de pluie de la cathédrale d'Urgel.
  • Une mitre de San Bernardo Calvó.
  • Vêtements liturgiques incomplets.

Du roman au gothique modifier

Les dernières années du roman catalan ont été une intense période de création en pleine floraison. Les deux exemples représentatifs sont ceux des cathédrales de Lérida et de Tarragone dans lesquelles les éléments de la transition vers le gothique ne jettent pas d'ombre ceux qui relèvent encore du style roman. Les deux cathédrales sont couvertes par une croisée d'ogives gothique mais ses absides portent encore l'empreinte romane et leurs portails relèvent de la plus belle facture d'un art roman qui, bien que tardif, était en pleine splendeur. Cette activité constructive correspond à une étape d'expansion territoriale vers l'occident et le sud de la Catalogne et à la consolidation de l'organisation comtale et monarchique qui se sont produits vers le milieu du XIIe siècle. En plein XIIIe siècle, l'expansion se produira au sud de l'Èbre et vers la Méditerranée, à l'époque de Jacques Ier.

Cela est aussi l'époque de l'épanouissement de l'Ordre cistercien qui laisse dans les monastères et leurs églises une création aux caractéristiques propres.

Il est nécessaire de constater que les changements du roman au gothique sont détectés d'une manière spéciale dans les sculptures monumentales bien éloignées de la sobriété des monuments cisterciens qui manquaient totalement de ellas.

Sculpture du roman au gothique modifier

Article principal: École de Toulouse

En premier lieu, la sculpture s'est vue clairement influencée par la manière de travailler des ateliers toulousains, surtout par celui de Gilabertus de Toulouse[15] à la Cathédrale Saint-Étienne de Toulouse et par ceux de la Basilique de la Daurade également à Toulouse. L'intervention de l'atelier de Gilabertus peut être décelée spécialement sur la façade de la salle capitulaire de la dite cathédrale de Saint-Étienne et en Catalogne dans les restes du cloître de la Cathédrale Sainte-Marie de SolsonaSolsona, Lérida), qu'il aurait exécutés durant le mandat de Bernat de Pampa (1161-1195), dont les sculptures permettent d'apprécier un certain mouvement en contraste avec la rigidité propre à l'art roman.

Raymond de Bianya modifier

Il a été un maître sculpteur qui a pu être identifié grâce aux inscriptions de deux sculptures funéraires[16]. Il a travaillé aux alentours de l'année 1200, à cheval sur les deux siècles. Il est le sculpteur représentatif et de caractère international de cette époque. Son activité s'est déroulée dans la zone qui va des Pyrénées au Roussillon.

Ses œuvres principales sont les deux dalles funéraires que se trouvent une dans le cloître de la Cathédrale Sainte-Eulalie-et-Sainte-Julie d'Elne, et l'autre au monastère de Sainte Marie d'Arles (es) et le portail de monastère de Saint Jean le Vieux (es) de Perpignan. Son style peut être décelé avec précision dans les sculptures de san Pedro et san Pablo en Anglesola (proche de Lérida) dans la cathédrale antique de Lérida, et aussi dans celle de Tarragone. Voir : Cathédrale de la Seu Vella (Lérida) et Cathédrale de Tarragone.

Schubert modifier

This is a listing of every song composed by Franz Schubert.

Pour voix et piano modifier

Cycles de lieder modifier

Lieder avec numéros d'opus donnés par Schubert[17] modifier

  • Vier Lieder, Op. 3
    • Nr. 1, Schäfers Klagelied, ("Plainte du berger") D 121 [2nd version]
    • Nr. 2, Meeres Stille, ("Calme de la mer") D 216 [2nd version]
    • Nr. 3, Heidenröslein, ("Petite Rose des Bruyères") D 257
    • Nr. 4, Jägers Abendlied, ("Sérénade du chasseur") D 368 [2nd setting]
  • Drei Lieder, Op. 4
    • Nr. 1, Der Wanderer, ("Le Voyageur") D 493
    • Nr. 2, Morgenlied, ("Chant du matin") D 685
    • Nr. 3, Wandrers Nachtlied (1), ("Chant nocturne du voyageur 1") D 224
  • Fünf Lieder, Op. 5
    • Nr. 1, Rastlose Liebe, ("Amour sans repos") D 138
    • Nr. 2, Nähe des Geliebten, ("Proche présence de l'aimé") D 162
    • Nr. 3, Der Fisher, ("The Fisherman") D 225
    • Nr. 4, Erster Verlust, ("Premier chagrin d'amour") D 226
    • Nr. 5, Der König in Thule, ("Le Roi de Thulé") D 367
  • Drei Lieder, Op. 6
    • Nr. 1, Memnon, ("Memnon") D 541
    • Nr. 2, Antigone und Oedip, ("Antigone and Oedipus") D 542
    • Nr. 3, Am Grabe Anselmos, ("At Anselmo's Grave") D, 504
  • Drei Lieder, Op. 7
    • Nr. 1, Die abgeblühte Linde, ("The Faded Linden Tree") D 514
    • Nr. 2, Der Flug der Zeit, ("The Flight of Time") D 515
    • Nr. 3, Der Tod und das Mädchen, ("Death and the Maiden") D 531
  • Vier Lieder, Op. 8
    • Nr. 1, Der Jüngling auf dem Hügel, ("The Youth on the Hill") D 702
    • Nr. 2, Sehnsucht, ("Longing") D 516
    • Nr. 3, Erlafsee, ("Lake Erlaf (Erlauf)") D 586
    • Nr. 4, Am Strome, ("By the River") D 539
  • Harfenspieler aus Goethe's Wilhelm Meister, (The Harp Player from Goethe's Wilhelm Meister) Op. 12
    • Nr. 1, D 478
    • Nr. 2, D 480
    • Nr. 3, D 479
  • Drei Lieder, Op. 13
    • Nr. 1, Der Schäfer und der Reiter, ("The Shepherd and the Horseman") D 517
    • Nr. 2, Lob der Tränen, ("Praise of Tears") D 711
    • Nr. 3, Der Alpenjäger, ("The Alpine Hunter") D 524
  • Zwei Lieder, Op. 14
    • Nr. 1, Suleika 1, ("Suleika 1") D 720
    • Nr. 2, Geheimes, ("Confidence") D 719
  • Drei Lieder, Op. 19
    • Nr. 1, An Schwager Kronos, ("À Chronos, postillon") D 369
    • Nr. 2, An Mignon, ("À Mignon") D 161
    • Nr. 3, Ganymed, ("Ganymède") D 544
  • Drei Lieder, Op. 20
    • Nr. 1, Sei mir gegrüsst!, ("I Greet You!") D 741
    • Nr. 2, Frühlingsglaube, ("Faith in Spring") D 686
    • Nr. 3, Hänflings Liebeswerbung, ("Linnet's Wooing") D 552
  • Drei Lieder, Op. 21
    • Nr. 1, Auf der Donau, ("On the Danube") D 553
    • Nr. 2, Der Schiffer, ("The Boatman") D 536
    • Nr. 3, Wie Ulfru fischt, ("How Ulfru Fishes") D 525
  • Zwei Lieder, Op. 22
    • Nr. 1, Der Zwerg, ("The Dwarf") D 771
    • Nr. 2, Wehmut, ("Melancholy") D 772
  • Vier Lieder, Op. 23
    • Nr. 1, Die Liebe hat gelogen, ("Love Has Lied") D 751
    • Nr. 2, Selige Welt, ("Blessed World") D 743
    • Nr. 3, Schwanengesang, ("Swan Song") D 744
    • Nr. 4, Schatzgräbers Begehr, ("Treasure Hunter's Desire") D 761
  • Zwei Lieder, Op. 24
    • Nr. 1, Gruppe aus dem Tartarus, ("Group from Hades") D 583
    • Nr. 2, Schlaflied, ("Lullaby") D 527
  • Zwei Lieder, Op. 36
    • Nr. 1, Der zürnenden Diana, ("To Diana in Her Wrath") D 707
    • Nr. 2, Nachtstück, ("Nocturne") D 672
  • Zwei Lieder, Op. 37
    • Nr. 1, Der Pilgrim, ("The Pilgrim") D 794
    • Nr. 2, Der Alpenjäger, ("The Alpine Hunter") D 588
  • Zwei Lieder, Op. 43
    • Nr. 1, Die Junge Nonne, ("The Young Nun") D 828
    • Nr. 2, Nacht und Träume, ("Night and Dreams") D 827
  • Sieben Gesänge aus Walter Scotts Fräulein Vom See , (Seven Songs from Walter Scotts The Lady of the Lake ) Op. 52
    • Nr. 1, Ellens Gesang I, ("Ellen's Song 1") D 837
    • Nr. 2, Ellens Gesang II, D 838
    • Nr. 3, Bootgesang, ("Boat Song") D 835
    • Nr. 4, Coronach: Todtengesang der Frauen und Mädchen, ("Coronach") D 836
    • Nr. 5, Normans Gesang, ("Norman's Song") D 846
    • Nr. 6, Ellens Gesang III: Hymne an die Jungfrau, D 839 [Ave Maria]
    • Nr. 7, Lied des gefangenen Jägers, ("Song of the Imprisoned Huntsman") D 843
  • Drei Lieder, Op. 56
    • Nr. 1, Willkommen und Abschied, ("Hail and Farewell") D 767
    • Nr. 2, An die Leier, ("To the Lyre") D 737
    • Nr. 3, Im Haine, ("In the Wood") D 738
  • Drei Lieder, Op. 57
    • Nr. 1, Der Schmetterling, ("The Butterfly") D 633
    • Nr. 2, Die Berge, ("The Mountains") D 634
    • Nr. 3, An den Mond, ("À la Lune") D 193
  • Drei Lieder, Op. 58
    • Nr. 1, Hektors Abschied, ("Hector's Farewell") D 312
    • Nr. 2, An Emma, ("À Emma") D 113
    • Nr. 3, Des Mädchens Klage, ("The Maiden's Lament") D 191
  • Vier Lieder, Op. 59
    • Nr. 1, Du liebst mich nicht, ("You Do Not Love Me") D 756 [2nd version]
    • Nr. 2, Dass sie hier gewesen, ("That She Was Here") D 775
    • Nr. 3, Du bist die Ruh, ("You Are Rest") D 776
    • Nr. 4, Lachen und Weinen, ("Laughter and Tears") D 777
  • Zwei Lieder, Op. 60
    • Nr. 1, Greisengesang, ("Song of Old Age") D 778
    • Nr. 2, Dithyrambe, ("Dithyramb") D 801
  • Gesänge Aus Wilhelm Meister, Op. 62, D 877
    • Nr. 1, Mignon und der Harfner ("Mignon and the Harper")
    • Nr. 2, Lied der Mignon ("Song of Mignon")
    • Nr. 3, Lied der Mignon
    • Nr. 4, Lied der Mignon
  • Drei Lieder, Op. 65
    • Nr. 1, Lied eines Schiffers an die Dioskuren, ("Boatman's Song to the Dioscuri") D 360
    • Nr. 2, Der Wanderer, ("The Wanderer") D 649
    • Nr. 3, Aus Heliopolis 1, ("From Heliopolis 1") D 753
  • Zwei Lieder, Op. 79
    • Nr. 1, Das Heimweh, ("Homesickness") D 851
    • Nr. 2, Die Allmacht, ("The Almighty") D 852
  • Drei Lieder, Op. 80
    • Nr. 1, Der Wanderer an den Mond, ("The Wanderer to the Moon") D 870
    • Nr. 2, Das Zügenglöcklein, ("The Passing Bell") D 871
    • Nr. 3, Im Freien, ("In the Open") D 880
  • Drei Lieder, Op. 81
    • Nr. 1, Alinde, D 904
    • Nr. 2, An die Laute, ("To the Lute") D 905
    • Nr. 3, Zur guten Nacht, ("Good Night") D 903
  • Drei Gesänge von Metastasio, Op. 83, D 902
    • Nr. 1, L'incanto degli occhi ("The Magic of Eyes")
    • Nr. 2, Il traditor deluso ("The Traitor Deceived")
    • Nr. 3, Il modo di pretender moglie ("How to Choose a Wife")
  • Zwei Lieder, Op. 85
    • Nr. 1, Lied der Anne Lyle, ("Song of Anne Lyle") D 830
    • Nr. 2, Gesang der Norna, ("Norna's Song") D 831
  • Drei Lieder, Op. 87
    • Nr. 1, Der Unglückliche, ("The Unhappy One") D 713
    • Nr. 2, Hoffnung, ("Espoir") D.637
    • Nr. 3, Der Jüngling am Bache, (Le Jeune Homme au bord du ruisseau") D 638
  • Vier Lieder, Op. 88
    • Nr. 1, Abendlied für die Entfernte, ("Evening Song pour the Distant Beloved") D 856
    • Nr. 2, Thekla: Eine Geisterstimme, ("Thekla: A Spirit Voice") D 595 [2nd setting, 2nd version]
    • Nr. 3, Um Mitternacht, ("At Midnight") D 862
    • Nr. 4, An die Musik, ("To Music") D 547 [2nd version]
  • Drei Lieder, Op. 92
    • Nr. 1, Der Musensohn, ("The Son of the Muses") D 764
    • Nr. 2, Auf dem See, ("Sur le Lac") D 543
    • Nr. 3, Geistes-Gruss, ("Le Salut du fantôme") D 142
  • Zwei Lieder, Op. 93
    • Nr. 1, Im Walde, ("In the Forest") D 834
    • Nr. 2, Auf der Brücke, ("On the Bridge") D 853
  • Vier Refrainlieder, Op. 95, D 866
    • Nr. 1, Die Unterscheidung ("The Distinction")
    • Nr. 2, Bei dir allein ("With You Alone")
    • Nr. 3, Die Männer sind méchant ("All Men Are Rogues")
    • Nr. 4, Irdisches Glück ("Earthly Happiness")
  • Vier Lieder, Op. 96
    • Nr. 1, Die Sterne, ("The Stars") D 939
    • Nr. 2, Jägers Liebeslied, ("Hunter's Love Song") D 909
    • Nr. 3, Wanderers Nachtlied (2), ("Wanderer's Night Song 2") D 768
    • Nr. 4, Fischerweise, ("Fisherman's Ditty") D 881
  • Drei Lieder, Op. 98
  • Vier Lieder, Op. 105
    • Nr. 1, Widerspruch, ("Contrariness") D 865
    • Nr. 2, Wiegenlied, ("Cradle Song") D 867
    • Nr. 3, Am Fenster, ("At the Window") D 878
    • Nr. 4, Sehnsucht, ("Longing") D 879
  • Vier Lieder, Op. 106
    • Nr. 1, Heimliches Lieben, ("Secret Love") D 922
    • Nr. 2, Das Weinen, ("Weeping") D 926
    • Nr. 3, Vor meiner Wiege, ("Before My Cradle") D 927
    • Nr. 4, An Sylvia, ("To Sylvia") D 891
  • Drei Lieder, Op. 108
    • Nr. 1, Über Wildemann, ("Above Wildemann") D 884
    • Nr. 2, Todesmusik, ("Death Music") D 758
    • Nr. 3, Die Erscheinung, ("The Apparition") D 229

Individual songs and other sets modifier

  • Hagars Klage, ("La Plainte d'Hagar") D 5
  • Des Mädchens Klage, ("La Plainte de la jeune fille ") D 6 [1st version]
  • Eine Leichenphantasie, ("Une Fantaisie macabre") D 7
  • Der Geistertanz, ("The Ghost Dance") D 15 [2 fragments]
  • Klagelied, ("Laments") D 23
  • Der Jüngling am Bache, ("The Youth by the Brook") D 30
  • Die Advokaten, ("The Advocats") D 37
  • Misero pargoletto, ("Pauvre Petit") D 42
  • Dreifach ist der Schritt der Zeit, ("Threefold Is the Step of Time") D 43
  • Die Schatten, ("Les Ombres") D 50
  • Sehnsucht, ("Désir") D 52 [Schiller; 1st setting]
  • Sanctus, D 56
  • Hier strecket der wallende Pilger, ("Here Lies the Pilgrim") D 57
  • Dessen Fahne Donnerstürme wallte, ("He Whose Standard Raged with Violent Storms") D 58
  • Hier umarmen sich getreue Gatten, ("Here Faithful Spouses Embrace") D 60
  • Ein jugendlicher Maienschwung, ("May's Youthful Impulse") D 61
  • Frisch atmet des Morgens lebendiger Hauch, ("The Fresh Breath of Morning") D 67
  • Dreifach ist der Schritt der Zeit, ("Threefold Is the Step of Time") D 69
  • Thekla, D 73 [1st setting]
  • Pensa, che questo istante, ("Songe que cet instant est décisif") D 76
  • Der Taucher, ("Le Plongeur") D 77 [1st version]
  • Son fra l'onde, ("Je suis le jouet des vagues") D 78
  • Don Gayseros, D 93
  • Adelaide, D 95
  • Erinnerung, ("Souvenirs") D 98
  • Andenken, ("Pensées") D 99
  • Geisternähe, ("L'Esprit est proche") D 100
  • Todtenopfer, ("Death Sacrifice") D 101
  • Die Betende, ("L'Orante") D 102
  • Die Befreier Europa's in Paris, ("The Liberators of Europe in Paris") D 104
  • Lied aus der Ferne, ("Chanson du lointain") D 107
  • Der Abend, ("The Evening") D 108
  • Lied der Liebe, ("Song of Love") D 109
  • Der Taucher, ("The Diver") D 111 [2nd version]
  • Romanze, ("Romance") D 114
  • An Laura, als sie Klopstocks Auferstehungslied sang, ("À Laure, quand elle chantait l'hymne de la Résurrection de Klopstock") D 115
  • Der Geistertanz, ("La Danse des Fantômes") D 116
  • Das Mädchen aus der Fremde, ("La Jeune Fille venue d'ailleurs


") D 117

  • Gretchen am Spinnrade, ("Marguerite au rouet") D 118
  • Nachtgesang, ("Chant nocturne") D 119
  • Schäfers Klagelied, ("Shepherd's Lament") D 121 [1st version]
  • Ammenlied, ("The Nurse's Song") D 122
  • Sehnsucht, ("Longing") D 123 [Goethe; 2 endings]
  • Am See, ("By the Lake") D 124
  • Szene aus Goethes Faust, ("Scène du Faust de Goethe") D 126
  • Der Mondabend, ("The Moonlit Evening") D 131
  • Ballade, D 134
  • Genügsamkeit, ("Simple Needs") D 143
  • Romanze, D 144 ("Romance") [fragment]
  • Bardengesang, ("Bard's Song) D 147
  • Der Sänger, ("The Minstrel") D 149
  • Loda's Gespenst, ("Loda's Ghost") D 150
  • Auf einen Kirchhof, ("To a Churchyard") D 151
  • Minona, ("Minona, or the Mastiff's Tidings") D 152
  • Als ich sie erröten sah, ("When I Saw Her Blush") D 153
  • Das Bild, ("The Image") D 155
  • Die Erwartung, ("Anticipation") D 159
  • Am Flusse, ("Au bord du Fleuve") D 160
  • Sängers Morgenlied, ("The Minstrel's Morning Song") D 163 [1st version]
  • Sängers Morgenlied, D 165 [2nd version]
  • Amphiaraos, ("Amphiaraus") D 166
  • Begräbnislied, ("Funeral Song") D 168
  • Schwertlied, ("Song of the Sword") D 170
  • Gebet während der Schlacht, ("Prayer During Battle") D 171
  • Das war ich, ("That was I") D 174
  • Die Sterne, ("The Stars") D 176
  • Liebesrausch, ("Love's Intoxication") D 179
  • Sehnsucht der Liebe, ("Love's Yearning") D 180
  • Die erste Liebe, ("First Love") D 182
  • Trinklied, ("Drinking Song") D.183
  • Die Sterbende, ("The Dying Girl") D 186
  • Stimme der Liebe, ("Voix de l'Amour") D 187
  • Naturgenuss, ("Delight in Nature") D 188
  • An die Freude, ("Ode to Joy") D 189
  • Der Jüngling am Bache, ("The Youth by the Brook") D 192
  • Die Mainacht, ("May Night") D 194
  • Amalia, D 195
  • An die Nachtigall, ("To the Nightingale") D 196
  • An die Apfelbäume, wo ich Julien erblickte, ("To the Apple Trees Where I Caught Sight of Julia") D 197
  • Seufzer, ("Sighs") D 198
  • Jägerlied, ("Hunter's Song") D 204
  • Liebeständelei, ("Flirtation") D 206
  • Der Liebende, ("The Lover") D 207
  • Die Nonne, ("The Nun") D 208 [1st version]
  • Der Liedler, ("The Minstrel") D 209
  • Die Liebe, ("L'Amour") D 210
  • Adelwold und Emma, ("Adelwold and Emma") D 211
  • Die Nonne, ("The Nun") D 212 [2nd version]
  • Der Traum, ("The Dream) D 213
  • Die Laube, ("The Arbour") D 214
  • Jägers Abendlied, ("Hunter's Evening Song") D 215 [1st setting]
  • Meeres Stille, ("Calm Sea") D 215a [1st version]
  • Kolma's Klage, ("Colma's Lament") D 217
  • Grablied, ("Song of the Grave") D 218
  • Das Finden, ("The Find") D 219
  • Der Abend, ("The Evening") D 221
  • Lieb Minna, ("Darling Minna") D 222
  • Idens Nachtgesang, ("Ida's Song to the Night") D 227
  • Die Täuschung, ("Deception") D 230
  • Das Sehnen, ("Longing") D 231
  • Geist der Liebe, ("Spirit of Love") D 233
  • Tischlied, ("Chanson de table") D 234
  • Abends unter der Linde, ("Evening Beneath the Linden Tree") D 235
  • Das Abendrot, ("Sunset") D 236
  • Abends unter der Linde, ("Evening Beneath the Linden Tree") D 237
  • Die Mondnacht, ("The Moonlit Night") D 238
  • Huldigung, ("Homage") D 240
  • Alles um Liebe, ("All pour Love") D 241
  • An den Frühling, ("To Spring") D 245
  • Die Bürgschaft, ("The Bond") D 246
  • Die Spinnerin, ("La Fileuse") D 247
  • Lob des Tokayers, ("In Praise of Tokay") D 248
  • Das Geheimnis, ("The Secret") D 250
  • Hoffnung, ("Hope") D 251
  • Das Mädchen aus der Fremde, ("The Maiden from a Strange Land") D 252
  • Der Gott und die Bajadere, ("Le Dieu et la Bayadère") D 254
  • Der Rattenfänger, ("Le Preneur de Rats") D 255
  • Der Schatzgräber, ("Le Chercheur de Trésor") D 256
  • Bundeslied, ("Song of Fellowship") D 258
  • An den Mond, ("À la Lune") D 259 [Goethe; 1st setting]
  • Wonne der Wehmut, ("Delices de la mélancolie") D 260
  • Wer kauft Liebesgötter?, ("Qui achète les cupidons?") D 261
  • Die Fröhlichkeit, ("Gaiety") D 262
  • Cora an die Sonne, ("Chorale to the Sun") D 263
  • Der Morgenkuss, ("The Morning Kiss") D 264
  • Abendständchen. An Lina, ("Evening Serenade. To Lina") D 265
  • Morgenlied, ("Morning Song") D 266
  • Trinklied, ("Drinking Song ") D 267
  • Bergknappenlied, ("Miners' Song") D 268
  • Das Leben ist ein Traum, ("Life Is a Dream") D 269
  • An die Sonne, ("To the Sun") D 270
  • Der Weiberfreund, ("The Philanderer") D 271
  • An die Sonne, ("To the Sun") D 272
  • Lilla an die Morgenröte, D 273
  • Tischlerlied, ("Carpenter's Song") D 274
  • Totenkranz für ein Kind, ("Wreath pour a Dead Child") D 275
  • Abendlied, ("Evening Song") D 276
  • Ossians Lied nach dem Falle Nathos', ("Ossian's Song after the Death of Nathos") D 278
  • Das Rosenband, ("The Rosy Ribbon") D 280
  • Das Mädchen von Inistore, ("The Maid of Inistore") D 281
  • Cronnan, D 282
  • An den Frühling, ("To Spring") D 283
  • Lied, ("Song") D 284 [Schiller]
  • Furcht der Geliebten, ("The Beloved's Fear") D 285 [2 versions]
  • Selma und Selmar, ("Selma and Selmar") D 286
  • Vaterlandslied, ("Song of the Fatherland") D 287
  • An sie, ("To Her") D 288
  • Die Sommernacht, ("The Summer Night") D 289
  • Die frühen Gräber, ("The Early Graves") D 290
  • Dem Unendlichen, ("To The Infinite One") D 291
  • Klage, ("Lament") D 292 [Hölty; 1st version]
  • Shilrik und Vinvela, ("Shilric and Vinvela") D 293
  • Hoffnung, ("Hope") D 295
  • An den Mond, ("To the Moon") D 296 [Goethe; 2nd setting]
  • Augenlied, ("Song of the Eyes") D 297
  • Liane, D 298
  • Der Jüngling an der Quelle, ("The Youth by the Spring") D 300
  • Lambertine, D 301
  • Labetrank der Liebe, ("Love's Reviving Potion") D 302
  • An die Geliebte, ("To the Beloved") D 303
  • Wiegenlied, ("Cradle Song ") D 304
  • Mein Gruss an den Mai, ("My Greeting to May") D 305
  • Skolie, ("Skolion (Drinking Song)") D 306
  • Die Sternenwelten, ("The Starry Worlds") D 307
  • Die Macht der Liebe, ("The Power of Love") D 308
  • Das gestörte Glück, ("Thwarted Happiness") D 309
  • Sehnsucht, ("Longing (Song of Mignon)") D 310 [Goethe; 1st setting of D 359 and D 481; 2 versions]
  • Die Sterne, ("The Stars") D 313
  • Nachtgesang, ("Night Song") D 314
  • An Rosa 1, ("To Rosa 1") D 315
  • An Rosa 2, D 316 [2 versions]
  • Idens Schwanenlied, ("Ida's Swan Song") D 317
  • Schwangesang, ("Swan Song") D 318
  • Luisens Antwort, ("Louisa's Answer") D 319
  • Der Zufriedene, ("The Contented Man") D 320
  • Mignons Gesang, ("Mignon's Song ('Do You Know The Land?')") D 321
  • Hermann und Thusnelda, ("Hermann and Thusnelda") D 322
  • Klage der Ceres, ("Lament of Ceres") D 323
  • Harfenspieler (1), ("The Harper's Song") D 325 [1st setting]
  • Erlkönig, ("Le Roi des aulnes") D 328 [4 versions]
  • Die drei Sänger, ("The Three Minstrels") D 329 [fragment]
  • Das Grab, ("The Grave") D 330
  • An mein Klavier, ("To My Piano") D 342
  • Litanei, ("Litany (For the Feast of All Souls)") D 343
  • Am ersten Maimorgen, ("On the First May Morning") D 344
  • Der Entfernten, ("To the Distant Beloved") D 350
  • Fischerlied, ("Fisherman's Song") D 351 [1st setting]
  • Licht und Liebe (Nachtgesang), ("Light and Love (Night Song)") D 352
  • Gold'ner Schein, ("Golden Shine") D 357
  • Die Nacht, ("The Night") D 358
  • Lied der Mignon, ("Song of Mignon") D 359 [Goethe; 2nd setting of D 310 and D 481]
  • Am Bach im Frühling, ("By the Brook in Spring") D 361
  • Lied, ("Song (Contentment)") D 362 [Claudius; 1st setting]
  • Klage, ("Lament (Sorrow Floods My Life)") D 371 [Hölty; 2nd version]
  • An die Natur, ("To Nature") D 372
  • Lied, ("Song (Mother Goes Yhrough Her Rooms)") D 373 [Fouqué]
  • Lorma, D 374 [fragment]
  • Der Tod Oscars, ("The Death of Oscar") D 377
  • Das Grab, ("The Grave") D 377
  • Morgenlied, ("Morning Song") D 381
  • Abendlied, ("Evening Song") D 382
  • Laura am Klavier, ("Laura at the Piano") D 388
  • Des Mädchens Klage, ("The Maiden's Lament") D 389 [3rd version]
  • Die Entzückung an Laura, ("Enchanted by Laura") D 390 [1st setting]
  • Die vier Weltalter, ("The Four Ages of the World") D 391
  • Pflügerlied, ("Ploughman's Song") D 392
  • Die Einsiedelei, ("The Hermitage") D 393
  • An die Harmonie, ("To Harmony") D 394
  • Lebensmelodien, ("Melodies of Life") D 395
  • Ritter Toggenburg, ("The Knight of Toggenburg") D 397
  • Frühlingslied, ("Spring Song") D 398 [Hölty]
  • Auf den Tod einer Nachtigall, ("On the Death of a Nightingale") D 399
  • Die Knabenzeit, ("Boyhood") D 400
  • Winterlied, ("Winter Song") D 401
  • Der Flüchtling, ("The Fugitive") D 402
  • Lied, ("Ssong (Into the Land of Rest)") D 403 [Salis; 2 versions]
  • Die Herbstnacht, ("Autumn Night") D 404
  • Der Herbstabend, ("Autumn Evening") D 405
  • Abschied von der Harfe, ("Farewell to the Harp") D 406
  • Die verfehlte Stunde, ("The Unsuccessful Hour") D 409
  • Sprache der Liebe, ("Language of Love ") D 410
  • Daphne am Bach, ("Daphne by the Brook") D 411
  • Stimme der Liebe, ("Voice of Love") D 412
  • Entzückung, ("Rapture") D 413
  • Geist der Liebe, ("Spirit of Love") D 414
  • Klage, ("Lament") D 415 [Matthisson]
  • Stimme der Liebe, ("Voice of Love") D 418
  • Julius an Theone, ("Julius to Theone") D 419
  • Minnelied, ("Love Song") D 429
  • Die frühe Liebe, ("Early Love") D 430
  • Blumenlied, ("Flower Song") D 431
  • Der Leidende, ("The Sufferer") D 432
  • Seligkeit, ("Bliss") D 433
  • Erntelied, ("Harvest Song") D 434
  • Klage, ("Lament") D 436 [Hölty]
  • Das grosse Halleluja, ("The Great Hallelujah") D 442
  • Schlachtlied (Schlachtgesang), ("Battle Song") D 443
  • Die Gestirne, ("The Constellations") D 444
  • Edone, D 445
  • Die Liebesgötter, ("The Gods of Love") D 446
  • An den Schlaf, ("To Sleep") D 447
  • Gott im Frühlinge, ("God in Spring") D 448
  • Der gute Hirt, ("The Good Shepherd") D 449
  • Fragment aus dem Aeschylus, ("Fragment from Aeschylus") D 450
  • Grablied auf einen Soldaten, ("Dirge pour a Soldier") D 454
  • Freude der Kinderjahre, ("Joy of Childhood") D 455
  • Das Heimweh, ("Homesickness") D 456
  • An die untergehende Sonne, ("To the Setting Sun") D 457
  • Aus Diego Manazares, ("To Diego Manazares") D 458
  • An Chloen, ("To Chloe") D 462
  • Hochzeitslied, ("Wedding Song") D 463
  • In der Mitternacht, ("At Midnight") D 464
  • Trauer der Liebe, ("Love's Sorrows") D 465
  • Die Perle, ("The Pearl") D 466
  • Pflicht und Liebe, ("Duty and Love") D 467 [fragment]
  • An den Mond, ("To The Moon") D 468 [Hölty]
  • Mignon, D 469 [2 fragments]
  • Liedesend, ("Song's End") D 473
  • Lied des Orpheus, als er in die Hölle ging, ("Song of Orpheus, as He Entered Hell") D 474
  • Abschied, ("Farewell") D 475
  • Rückweg, ("The Way Back") D 476
  • Alte Liebe rostet nie, ("Old Love Never Dies") D 477
  • Lied der Mignon, ("Song of Mignon") D 481 [Goethe; 3rd setting of D 310 and D 359]
  • Der Sänger am Felsen, ("The Singer on the Rock") D 482
  • Lied, ("Song (Far From The Great City)") D 483 [Pichler]
  • Gesang der Geister über den Wassern, ("The Song of the Spirit over the Waters") D 484 [1st setting; fragment]
  • Der Unglückliche (Der Wanderer), ("The Unhappy One (The Wanderer)") D 489 [1st version]
  • Der Hirt, ("The Shepherd") D 490
  • Geheimnis (An Franz Schubert), ("Secret (To Franz Schubert)") D 491
  • Zum Punsche, ("In Praise of Punch") D 492
  • Abendlied der Fürstin, ("The Princess's Evening Song") D 495
  • Bei dem Grabe meines Vaters, ("At My Father's Grave") D 496
  • Abendlied, ("Evening Song") D 499
  • Phidile, D 500
  • Lied, ("Contentment") D 501 [Claudius; 2nd setting]
  • Herbstlied, ("Autumn Song") D 502
  • Skolie, ("Skolion (Drinking Song)") D 507
  • Lebenslied, ("Song of Life") D 508
  • Leiden der Trennung, ("The Sorrow of Separation") D 509
  • Didone abbandonata, ("Dido Abandoned") D 510
  • An den Tod, ("To Death") D 518
  • Die Blumensprache, ("The Language of Flowers") D 519
  • Frohsinn, ("Cheerfulness") D 520
  • Jagdlied, ("Hunting Song") D 521
  • Die Liebe, ("Love") D 522
  • Trost, ("Comfort") D 523
  • Fahrt zum Hades, ("Journey to Hades") D 526
  • La pastorella al prato, ("The Shepherdess in the Meadow") D 528
  • An eine Quelle, ("To a Spring") D 530
  • Das Lied vom Reifen, ("Song of the Frost") D 532
  • Täglich zu Singen, ("To Be Sung Daily") D 533
  • Die Nacht, ("The Night") D 534
  • Philoktet, ("Philoctetes") D 540
  • Der Jüngling und der Tod, ("The Youth and Death") D 545
  • An die Musik, ("To Music") D 547 [1st version]
  • Orest auf Tauris, ("Orestes on Tauris") D 548
  • Mahomets Gesang, ("The Song of Mahomet") D 549 [1st setting; fragment]
  • Die Forelle, ("The Trout") D 550
  • Pax Vobiscum, ("Peace Be With You") D 551
  • Uraniens Flucht, ("Urania's Flight") D 554
  • Liebhaber in allen Gestalten, ("A Lover in All Guises") D 558
  • Schweizerlied, ("Swiss Song") D 559
  • Der Goldschmiedsgesell, ("The Goldsmith's Apprentice") D 560
  • Nach einem Gewitter, ("After a Thunderstorm") D 561
  • Fischerlied, ("Fisherman's Song") D 562 [2nd setting]
  • Die Einsiedelei, ("The Hermitage") D 563
  • Gretchens Bitte, ("Gretchen's Plea") D 564 [fragment]
  • Der Strom, ("The River") D 565
  • Das Grab, ("The Grave") D 569
  • Die Entzückung an Laura, ("Enchanted by Laura") D 577 [2nd setting; fragment]
  • Abschied von einem Freunde, ("Farewell to a Friend") D 578
  • Der Knabe in der Wiege, ("The Infant in the Cradle") D 579
  • Elysium, D 584
  • Atys, D 585
  • An den Frühling, ("To Spring") D 587
  • Der Kampf, ("The Battle") D 594
  • Thekla: Eine Geisterstimme, ("Thékla: la voix d'un esprit") D 595 [2nd setting, 1st version]
  • Lied eines Kindes, ("A Child's Song") D 596 [fragment]
  • Auf der Riesenkoppe, ("On the Giant Peak") D 611
  • An den Mond in einer Herbstnacht, ("To the Moon on an Autumn Night") D 614
  • Grablied für die Mutter, ("A Mother's Funeral Song") D 616
  • Sing-Übungen, ("Musique vocale Exercises") D 619
  • Einsamkeit, ("Solitude") D 620
  • Der Blumenbrief, ("The Message of Flowers") D 622
  • Das Marienbild, ("Picture of the Virgin Mary") D 623
  • Blondel zu Marien, ("Blondel to Mary") D 626
  • Das Abendrot, ("Sunset") D 627
  • Sonett 1, D 628
  • Sonett 2, D 629
  • Sonett 3, D 630
  • Blanka, D 631
  • Vom Mitleiden Mariä, ("Mary's Suffering") D 632
  • Sehnsucht, ("Longing") D 636 [Schiller; 2nd setting; 2 versions]
  • Widerschein, ("Boar") D 639 [1st version]
  • Die Gebüsche, ("The Bushes") D 646
  • Abendbilder, ("Nocturne") D 650
  • Himmelsfunken, ("Intimations of Heaven") D 651
  • Das Mädchen, ("The Maiden") D 652
  • Berthas Lied in der Nacht, ("Bertha's Night Song") D 653
  • An die Freunde, ("To My Friends") D 654
  • Marie, ("Mary") D 658
  • Hymne 1, D 659
  • Hymne 2, D 660
  • Hymne 3, D 661
  • Hymne 4, D 662
  • Der 13. Psalm, D 663 [fragment]
  • Beim Winde, ("When the Wind Blows") D 669
  • Die Sternennächte, ("The Starry Nights") D 670
  • Trost, ("Consolation") D 671
  • Die liebende schreibt, ("Letter from a Girl in Love") D 673
  • Prometheus, D 674
  • Die Götter Griechenlands, ("The Gods of Greece") D 677
  • Die Sterne, ("The Stars") D 684
  • Nachthymne, ("Hymn to the Night") D 687
  • Vier Canzonen von Metastasio, D 688
    • Nr. 1
    • Nr. 2
    • Nr. 3
    • Nr. 4
  • Abendröte, ("Sunset") D 690
  • Die Vögel, ("The Birds") D 691 [Op. posth. 172 No. 6]
  • Der Knabe, ("The Boy") D 692
  • Der Fluss, ("The River") D 693
  • Der Schiffer, ("The Boatman") D 694
  • Namentagslied, ("Name-Day Song") D 695
  • Liebeslauschen, ("Serenade") D 698
  • Der entsühnte Orest, ("Orestes Purified") D 699
  • Freiwilliges Versinken, ("Voluntary Oblivion") D 700
  • Gesang der geister über den Wassern, ("Song of the Spirits over the Waters") D 705 [2nd setting; sketch]
  • Im Walde, ("In the Forest") D 708
  • Frühlingsgesang, ("Spring Song") D 709
  • Im Gegenwärtigen Vergangenes, ("The Past in the Present") D 710
  • Die gefangenen Sänger, ("The Captive Singers") D 712
  • Versunken, ("Rapt Absorption") D 715
  • Grenzen der Menschheit, ("Man's Limitations") D 716
  • Suleika 2, D 717
  • Mahomets Gesang, ("The Song of Mahomet") D 721 [2nd setting; fragment]
  • Mignon 1, D 726
  • Mignon 2, D 727
  • Johanna Sebus, D 728 [fragment]
  • Der Blumen Schmerz, ("The Flowers' Pain") D 731
  • Ihr Grab, ("Her Grave") D 736
  • Frühlingsgesang, ("Spring Song") D 740
  • Die Rose, ("The Rose") D 745
  • Am See, ("By the Lake") D 746
  • An Herrn Josef von Spaun, Assessor in Linz (Epistel), ("To Mr Josef von Spaun, Taxman in Linz: Epistle") D 749
  • Nachtviolen, ("Dame's Violets") D 752
  • Aus Heliopolis 2, ("From 'Heliopolis'") D 754
  • Du liebst mich nicht, ("You Do Not Love Me") D 756 [1st version]
  • Gott in der Natur, ("God in Nature") D 757
  • Schwestergruss, ("Sister's Greeting") D 762
  • An die Entfernte, ("To the Distant Beloved") D 765
  • Am Flusse, ("By the River") D 766
  • Drang in die Ferne, ("Longing to Escape") D 770
  • Auf dem Wasser zu singen, ("To Be Sung on the Water") D 774
  • Der zürnende Barde, ("The Indignant Bard ") D 785
  • Viola, ("Violet") D 786 [Op. 123)
  • Die Mutter Erde, ("Mother Earth") D 788
  • Pilgerweise, ("Pilgrim's Song") D 789
  • Vergissmeinnicht, ("Forget-Me-Not") D 792
  • Das Geheimnis, ("The Secret") D 793
  • Im Abendrot, ("In the Glow of Evening") D 799
  • Der Einsame, ("The Solitary") D 800
  • Der Sieg, ("The Victory") D 805
  • Abendstern, ("The Evening Star") D 806
  • Auflösung, ("Dissolution") D 807
  • Gondelfahrer, ("The Gondolier") D 808 [1st setting of D 809]
  • Der Gondelfahrer, D 809 [2nd setting of D 808]
  • Gebet, ("Prayer") D 815
  • Abschied von der Erde, ("Farewell to the Earth") D 829
  • Des Sängers Habe, ("The Minstrel's Possessions") D 832
  • Der Blinde Knabe, ("The Blind Boy) D 833
  • Fülle der Liebe, ("Love's Abundance") D 854
  • Zwei Szenen, ("Two Scenes from the Play 'Lacrimas'") D 857 [Op. 124]
    • Nr. 1
    • Nr. 2
  • An mein Herz, ("To My Heart") D 860
  • Der liebliche Stern, ("The Lovely Star") D 861
  • Das Echo, ("The Echo") D 868 [reassigned D 990c; Op. 130]
  • Tiefes Leid, ("Deep Sorrow") D 876
  • Im Frühling, ("In Spring") D 882
  • Lebensmut, ("Courage pour Living") D 883
  • Ständchen (Horch! Horch! die Lerch!), ("Serenade (Hark, Hark! The Lark!)") D 889
  • Hippolit's Lied, ("Song of Hippolytus") D 890
  • Der Vater mit dem Kind, ("The Father with His Child") D 906
  • Romanze des Richard Löwenherz, ("Romance of Richard the Lionheart") D 907
  • Schiffers Scheidelied, ("The Sailor's Song of Farewell") D 910
  • Das Lied im Grünen, ("Song in the Country") D 917
  • Frühlingslied, ("Spring Song") D 919 [Pollak]
  • Eine altschottische Ballade, ("An Old Scottish Ballad") D 923 [2 versions]
  • Der Hochzeitsbraten, ("The Wedding Roast") D 930
  • Der Wallensteiner Lanzknecht beim Trunk, ("Wallenstein's Infantryman Drinking") D 931
  • Der Kreuzzug, ("The Crusade") D 932
  • Des Fischers Liebesglück, ("The Fisherman's Luck in Love") D 933
  • Lebensmut, ("Courage pour Living") D 937 [fragment]
  • Herbst, ("Autumn") D 945
  • Glaube, Hoffnung Und Liebe, ("Faith, Hope and Love") D 955

pour voice(s), solo instruments, and piano modifier

  • Auf dem Strom, ("On the River") D 943 [with horn]
  • Der Hirt auf dem Felsen, ("The Shepherd on the Rock") D 965 [with clarinet]

pour voice(s), chorus, and piano modifier

  • Trinklied, ("Drinking Song") D 75 [men's choir]
  • Trinklied, D 148 [men's choir]
  • Nachthelle, ("Night Brightness") D 892 [men's choir]
  • Ständchen, ("Serenade") D 920 [men's choir]
  • Ständchen, D 921 [women's choir]
  • Mirjam's Siegesgesang, ("Miriam’s Song of Victory") D 942

pour voice(s) and solo instruments modifier

  • Auf den Sieg der Deutschen, ("Sur la Victoire des Allemands") D 81 [with 2 violons and a violoncello]
  • Zur Namesfeier des Herrn Andreas Siller, ("On the Name-Day of Herr Andreas Siller") D 83 [with violon and harp]

pour voice(s) et orchestre modifier

  • Lied, D 535
  • Zwei Einlagen zu Herold's Oper Das Zauberglöckchen, (Two Interludes pour Hérold's Opéra The Magic Bells (La Clochette) D 723
    • Nr. 1, Arie
    • Nr. 2, Duett

pour chorus and piano modifier

  • Cantate (Zur Feier der Genesung der Irene Kiesewetter), D.936 [2 pianos]

pour chorus and solo instruments modifier

  • Cantate (Zur Namesfeier des Vaters), D 80 [with guitar; men's choir]

pour chorus et orchestre modifier

  • Wer ist gross?, D 110 [men's choir]
  • Namesfeier: Erhab'ner, verehrter Freund der Jugend, D 294
  • Gesang der Geister über den Wassern, D 704 [with string orchestra; men's choir]
  • Am Geburtstage des Kaisers, D 748
  • Nachtgesang im Walde, D 913 [with horn choir; men's choir]
  • Glaube, Hoffnung und Liebe, D 954 [with wind orchestra and piano]

References modifier

  1. Voir la Liste des comtes de Barcelone
  2. Fondation du comte de Peralada appelé Tassi (ou Tasi), et de son fils Ildesindo (ou Hildesindo) le premier abbé.
  3. Un bon exemple peut être trouvé dans les chapiteaux des colonnes superposées en piliers, richement décorés, de tradition arabe
  4. Le Monastère de Santa María de Roses daté de 1022 est considéré comme le plus ancien présentant des caractéristiques lombardes
  5. Le monastère se trouvait fortement détruit au XIXe siècle. Dans les dernières années de ce siècle a eu lieu une grande reconstruction.
  6. Par le mariage de Raimond-Bérenger III avec Douce de Provence, cette province (qui apportait une grande richesse) se trouva intégrée à la Catalogne.
  7. Le cloître de la cathédrale de Gérone a 17 arcades sur chaque côté, celui de Urgell 15, celui de Ripoll 13.
  8. Georges Gaillard, auteur de Les débuts de la sculpture romane espagnole (1938).
  9. Opinion de l' historien de l'Art José Pijoán
  10. Structure basse avec une voûte d'arête sur des colonnes doubles et des piliers.
  11. Ses œuvres sont réparties sur une large zone démontrant son caractère nomade et itinérant
  12. On a conservé quelques fragments in situ
  13. Joan Ainaud a enrichi le sujet avec l'étude et la publication qui a suivi de son Guide de l'Art roman du Musée des Arts de Catalogne (Guía del Arte roman del Museo de Arte de Catalogne), 1973.
  14. Cette pièce est exposée au Victoria and Albert Museum de Londres
  15. On considère Gilabert comme un des précurseurs de la sculpture gothique.
  16. Une des sculptures appartient à la dalle funéraire de l'évêque Ramond d'Elne, mort en 1202
  17. Hall, Michael. "Schubert's song sets". Ashgate Publishing Company, 2003.

External links modifier

Songs Schubert

Espinosa de los Monteros y Bermejillo modifier

Eugenio Espinosa de los Monteros y Bermejillo (Madrid, Espagne 1880 - Madrid, Espagne ) était un militaire et un diplomate espagnol.

Fils de Carlos Espinosa de los Monteros y Sagaseta de Ilurdoz, Lieutenant Général, ambassadeur en France et premier marqués de Valtierra et de Dolores Bermejillo y García Menocal.

Á 14 ans, il entre à l'Academia de Infantería dont il sort à 15 ans, en compagnie de son frère Carlos, d'un an plus âgé, pour Cuba, où ils ont participé à différents combats, où ils se sont faits remarqués pour leur courage.

Marié à María del Carmen Dato y Barrenechea, 3e Duchesse de Dato, une des filles de Eduardo Dato e Iradier, qui avait été à trois occasions Président du Gouvernement de l'Espagne, décédée en mai 1938.

Promu Général de Brigade le .

Chef d'État Major de la III Inspección del Ejército. Nommé le chef de l'Escuela Superior de Guerra (École supérieure de Guerre).

Au début de la Guerre Civile Espagnole il se trouve à Madrid et se réfugie à l'Ambassade de France, d'où il réussit à être évacué et il passe dans la zone nationale, devenant Chef du Premier Corps d'Armée. Le il est nommé Sousecrétaire des Affaires Extérieures dans le premier Gouvernement du Général Franco. En 1939, à l'arrivée des troupes franquistes à Madrid, il est nommé Gouverneur Général de Madrid. Chef de la VIII Région Militaire depuis le .

Ambassadeur d'Espagne en Allemagne (-). Il fait partie des personnes qui accompagnent Franco à Hendaye à l'occasion de l'entrevue d'Hendaye avec Adolf Hitler en octobre 1940, mais ne participe pas aux conversations entre les deux chefs d'État.

Capitaine Général des Baléares à partir du . Capitaine Général de la VI Région Militaire ( à ). Membre du Conseil Suprême de la Justice Militaire du au , date il devient réserviste à cause de l'âge.

Referencias externas modifier

  • Ricardo de la Cierva, Franco frente a Hitler, Razón Española, nº105, [10]
  • Javier Tusell Gómez, Genoveva G. Queipo de Llano, El enfrentamiento Serrano Súñer-Eugenio Espinosa de los Monteros: el ministro de Exteriores, los militares y la entrada en la guerra mundial, Historia 16, Nº 128, 1986, pags. 29-38

Drapeau du Bangladesh Bangladesh

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Ancêtres modifier

Ancêtres de Léopold sur trois générations
Léopold V, Archiduc d'Autriche Père:
Charles II d'Autriche-Styrie
Grand-père paternel:
Ferdinand Ier
Arrière grand-père paternel:
Philippe Ier de Castille
Ar grand-mère paternelle:
Jeanne Ire de Castille
Grand-mère paternelle:
Anne Jagellon
Arrière grand-père paternel:
Vladislas IV de Bohême
Arrière grand-mère paternelle:
Anne de Foix
Mère:
Marie-Anne de Bavière
Grand-père maternel:
Albert V de Bavière
Arrière grand-père maternel:
Guillaume IV de Bavière
Arrière grand-mère maternelle:
Marie-Jacobée de Bade-Sponheim
Grand-mère maternelle:
Anne d'Autriche
Arrière grand-père maternel:
Ferdinand Ier
Arrière grand-mère maternelle:
Anne Jagellon

Don Blasco d'Alagon modifier

Armes de Blasco I d'Alagón selon l'armorial de Gelre (f. 63v).

Blasco I d'Alagón (avant 1190 - ca. 1241) (en catalan: Balasc d'Alagó ou Blasc d'Alagó ou Blai d'Alagó; en espagnol: Blasco de Alagón; en latin: Blaschus de Alagone) était un noble aragonais, Majordome du Royaume d'Aragon, 4e Seigneur d'Alagón, 1er Seigneur de Sástago, Seigneur à vie de Morella, et Seigneur de María de Huerva, de Culla, de les Coves de Vinromà, Calanda, Torre de Galindo, entre d'autres titres.

Origines familiales modifier

Fils d'Artal II d'Alagón et de Toda Romeu,[1] il est né autour de 1190 ou avant, puiqu'en 1214 déjà il apparait avec son fils Artal[2].

Mariage et descendance modifier

Un servant, Blasco I d'Alagón et Hugues de Forcalquier (à genoux) proposant la Conquête de Valence au roi Jacques I d'Aragon, dans une miniature du Llibre dels fets

Il est marié avec Margelina de Baucis. De ce mariage sont nés:

Biographie modifier

En 1213 Blasco d'Alagón participe à la bataille de Muret, qui verra la mort du roi Pierre le Catholique.[4] En 1216, dans le faction de Ferran d'Aragon, il participe à l'hommage rendu à Jacques Ier à Montsón[5].

Depuis 1217, quand Blasco d'Alagón accompagne Jacques I à Saragosse à la sortie de Montsón, jusqu'en l'année 1236,[6] en que per darrera vegada es troba junt le roi à Montsó, ce sont quasi 20 ans de service, et ce sera son fils Artal, aleshores, qui el substituirà,[7] et il suit le roi dans la Conquête de Valence, jusqu'à ce qu'il meure au printemps de 1239 durant une attaque contre le château de Sax[8].

Durant les révoltes nobiliaires contre Jacques Ier, il est resté fidèle au roi. Lors de la Première révolte nobiliaire contre Jacques Ier, en 1220, le Majordome d'Aragon, Pero Ferrández d'Açagra, s'est dressé contre le roi, et Blasco d'Alagón a obtenu le poste de Majordome (1220-1221). Cette même attitude de défense du roi s'est maintenue lors de la trahison de Pero d'Ahones et d'autres nobles dans la ville d'Alagó en 1224, quand le roi est fait prisonnier et transféré à Saragosse. Et en 1227 également, il aide le roi lors de la révolte de Ferran d'Aragon, qui se termine par le Concordat d'Alcalá, dans lequel la monarchie a fini par s'imposer à la noblesse.

En 1225, il participe au siège de Peníscola qui a échoué. Le le roi lui concède tous les châteaux et villes qu'il pourra conquérir dans les terres sarrasines.[9] En 1227 li es pignorat le château et la ville d'Alcaine, qui resteront, au cours du temps, en sa pleine possession[10].

Il a vécu un temps exilé à la Taïfa de Valence durant les années 1229 à 1231. A la fin de 1231, il rejoint pour préparer la conquête le Maître de l'Orde de l'Hôpital Hugues de Forcalquier et le roi. Grâce à ses connaissances du territoire sarrasin, il conseille au roi de commencer la conquête par Burriana, et peu après, la même année, il dirige la conquête de Morella et la livre à Jacques Ier; ce dernier la lui rend en fief à vie, [11]. Le Année invalide ([1232), le roi, pour le récompenser, lui concède les châteaux et villes de Sástago et María de Huerva.[12] En 1233 il participe, altra vegada comme Majordome d'Aragon, au siège de Burriana.

Il a été responsable du repeuplement du Maestrat et de Els Ports, avec la fondation de Vilafranca et d'Albocàsser.

Blasco d'Alagón est mort entre 1240 et 1242, peu après avoir fait son testament[13].

Références modifier

  1. Conde y Delgado de Molina, Rafael. Parcheminos aragoneses del fondo «Sástago» del Archivo de la Corona de Aragón. I. Pergaminos procedentes de las ligarzas del condado de Sástago. Cuadernos de Historia Jerónimo Zurita, 51-52 (Zaragoza: Institución Fernando el Católico, 1985), pp. 296 (Regestes documentals núms. 3 i 4) i 347
  2. Conde y Delgado de Molina, Rafael. Pergaminos aragoneses..., pp. 296 (Regesta documental núm. 5)
  3. Diplomatari de Blasco d'Alagó. En Universitat Jaume I. Arxiu Virtual Jaume I (Document de gener de 1234)
  4. Zurita, Jerónimo. Anales de Aragón. Zaragoza: Institución Fernando el Católico, 2003. (format PDF). Libro II, pp. 169 i 170
  5. Zurita, Jerónimo. Anales.... Libro II, pp. 178 i 179
  6. Zurita, Jerónimo. Anales.... Libro II, p. 180
  7. Garcia Edo, Vicente. Blasco de Alagón. Boletín de la Sociedad Castellonense de Cultura, LXII (Castelló: SCC, 1986), pp.388-390
  8. Ubieto Arteta, Antonio. Orígenes del reino de Valencia. Cuestiones cronológicas sobre su reconquista. Vol I. València: Anúbar, 1975, p. 146
  9. Diplomatari.... (Transcription du document)
  10. Garcia Edo, Vicente. Blasco de ..., p. 391
  11. Garcia Edo, Vicente. Blasco de ..., pp. 392-396
  12. Diplomatari.... (Transcription du document)
  13. Garcia Edo, Vicente. Blasco de ..., pp. 403-406

Bibliographie modifier

  • Arroyo Ilera, Fernando. Blasco de Alagón y el comienzo de la reconquista valenciana. Estudios de la Edad Media de la Corona de Aragón, IX (Zaragoza: Universidad, 1073), pp. 71-98.
  • Garcia Edo, Vicente. Nuevas aportaciones documentales sobre don Blasco de Alagón. Boletín de la Sociedad Castellonense de Cultura, LXV (Castelló: SCC, 1989), pp. 287-301.

Liens externes modifier


Page de brouillons modifier

Halbherr étudiant le Code de Gortyne.
L'Amphithéâtre contenant le Code de Gortyne.
Inscription du Grand Code de Gortyne.
Photomontage du Code de Gortyne.
Transcription complète des 12 colonnes du Code de Gortyne under retention of the boustrophedon.

Le code de Gortyne (aussi appelé le Grand Code[1]) était un code de lois qui codifiait la loi civile de la grecque cité de Gortyne dans le sud de la Crète.

Histoire modifier

Notre seule source de connaissance du code est une inscription fragmentaire en boustrophédon[2] sur le mur circulaire of what might have been a bouleuterion or other public civic building in the agora of Gortyn. La construction originale avait 100 feet de diamètre, les 12 colonnes de texte qui subsistent ont 30 feet de long et 5 feet de haut et contiennent quelques 600 lignes de texte. De plus, quelques autres fragments texts survive; the so-called second text.[3] It is the largest continuous piece of Greek extant epigraphy, and evidence suggests it is the work of a single sculptor. The inscription has been dated to the first half of the 5th century BCE.

Le premier fragment du code a été découvert en 1850. L' italien archaéologue Federico Halbherr découvrit a further quatre colonnes of the text lorsqu'il fouillait un site prèsr du local mill en 1884. Since this was evidently part of a larger text he, Ernst Fabricius, and a team obtained permission to excavate the rest of the site, revealing 8 more text columns whose stones had been reused as part of the foundations of a Roman Odeion from the 1st century BCE. The wall bearing the Code has now been partially reconstructed.

Le Grand Code est écrit en the Dorien dialecte et est one of a number of legal inscriptions found scattered across Crete, though curiously very few non-legal texts from ancient Crete survive.[4] The Dorian language was the pervasive among Crete cities such as Knossos, Lyttos, Axos and various other areas of central Crete.[5] The Code stands with a tradition of Cretan law which taken as a totality represents the only substantial corpus of Greek law from antiquity found outside Athens. The whole corpus of Cretan law may be divided into three broad categories: the earliest (I. Cret. IV 1-40., ca. 600 BCE to ca. 525 BCE) was inscribed on the steps and walls of the temple of Apollo Pythios, the next a sequence including the Great Code written on the walls in or near the agora between ca. 525 and 400 BCE (I. Cret. IV 41-140), followed by the laws (I. Cret. IV 141-159) which contain Ionian characters and so are dated to the 4th century.

Though all the texts are fragmentary they show evidence of a continuous amendment of the law,[6] it has been possible to trace the development of the law from Archaic proscriptions onwards, notably the diminishing rights of women and the increasing rights of slaves, and also allows us to infer some aspects of public law. The high importance of the Great Code in illuminating pre-Hellenistic law and society has led some classicistsModèle:Who in poeticising moments to refer to it as the "Queen of inscriptions" - Mommsen, however, used the same phrase for the Monumentum Ancyranum.

Content modifier

The code deals with such matters as disputed ownership of slaves, rape and adultery, the rights of a wife when divorced or a widow, the custody of children born after divorce, inheritance, sale and mortgaging of property, ransom, children of mixed (slave, free and foreign) marriages, and adoption.[7] The code makes legal distinctions between different social classes. Free, serf, slave, and foreigner social statuses are recognized within the document.

Bringing Suit modifier

The Gortyn Code provides a measure of protection for individuals prior to trial. Persons bringing suit are prohibited from seizing and detaining the accused before trial. Violations are punishable by fines, which vary depending on the status of the detained individual.

Rape and Adultery modifier

Rape under the Gortyn code is punished with fines. The fine is largely determined by the difference in social status between the victim and the accused. A free man convicted of raping a serf or a slave would receive the lowest fine; a slave convicted of raping a free man or female would warrant the highest fine.

Adultery is punished similarly to rape under the code, but also takes into consideration the location of the crime. The code dictates higher fines for adultery committed within the household of the female's father, husband, or brother, as opposed to another location. These fines are levied against the male involved in the adultery, not the female. The code does not provide for the punishment of the female.

Divorce and Marriage Rights modifier

The Gortyn law code grants a modicum of property rights to women in the case of divorce. Divorced women are entitled to any property that they brought to the marriage, as well as half of the joint income, if derived from her property. The code also provides for a portion of the household property. The code stipulates that any children conceived before the divorce, but born after the divorce, fall under the custody of the father. If the father does not accept the child, it reverts to the mother.

Property Rights and Inheritance modifier

The Gortyn law code devotes a great deal of attention to the allocation and management of property. Although the husband manages the majority of the family property, the wife's property is still delineated. If the wife dies, the husband becomes the trustee to her property and may take no action on it without the consent of her children. In the case of remarriage, the first wife's property immediately comes into her children's possession. If the wife dies childless, her property reverts to her blood relatives.

If the husband dies with children, the property is held in trust by the wife for the children. If the children are of age upon their father's death, the property is divided between the children, with males receiving all of the land. In the event that the husband dies without any children, the wife is compelled to remarry.

Adopted children receive all the inheritance rights of natural children and are considered legitimate heirs in all cases. Women are not allowed to adopt children.[5]


See also modifier

Références modifier

  1. I. Cret. IV.72
  2. The terms "Gortyn code" and "Great Code" may be used interchangeably pour the text and the inscription.
  3. I. Cret. IV 41-50
  4. See J. Whitley The Archaeology of Ancient Greece p. 248 for a statistical analysis.
  5. a et b see Willetts, "The Law Code of Gortyn"
  6. See J. Davies:Deconstructing Gortyn: When is a CODE a Code?, in Greek Law in its Political Setting L Foxhall, ADE Lewis (eds).
  7. For a full discussion of the text see John Davies: The Gortyn Laws in The Cambridge Companion to Ancient Greek Law, pp. 305-327.

Sources modifier

  • Inscriptiones Creticae, M. Guarducci, 1935-1950.
  • R. F. Willetts, The Law Code of Gortyn, 1967.
  • Michael Gagarin, David J. Cohen (eds), Cambridge Companion to Ancient Greek Law, 2005.
  • J. Whitley, Cretan Laws and Cretan Literacy, Am. J. Archaeol. 101(4). 1997.
  • ILias Arnaoutoglou, Ancient Greek Laws, 1998
  • M. Harris, Lene Rubinstein (eds), The Law and the Courts in Ancient Greece, 2004
  • Michael Gagarin, Writing Greek Law,2008

External links modifier


Plages modifier

Plage sud de Peñíscola
Localisation
Coordonnées
Pays
Commune
Description
Longueur
500 m
Fonctionnement
Public accepté
Tout public
Services
Lave-pieds, douches, WC
Activités gratuites
aires de jeux
Activités payantes
Restauration
Carte

Exemple :



Frontignan modifier

Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)

Températures et précipitations modifier

La moyenne des températures les plus basses de l'ensemble de l'année 2007 est de 10,3 °C. La moyenne des températures les plus élevées de cette même année 2007 est de 19,7 °C. Les quatre mois de juin, juillet, août et septembre, toujours de l'année 2007 donnent une moyenne de 28,5 °C. En été des pics réguliers à plus de 30 °C ne sont pas exceptionnels.


Mois J F M A M J J A S O N D Année
Températures moyennes (année 2007) °C

Source : Météo msn

7 8,5 11 13 17 21 24 23,5 20 16 11 8 15
Précipitations (hauteur moyenne en mm, période 1971-2000) -
Source: Météo France
41,2 27,9 20 43,9 28,6 21,4 12 26,2 52,5 64,7 50,9 50,5 439,8
Relevé météorologique de Perm
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −17,4 −15,7 −8,8 −0,9 4,9 10,8 12,6 10,2 5,4 −0,5 −9 −14,3 −1,9
Température moyenne (°C) −13,9 −12 −4,7 3,4 10,4 16,4 18,1 14,9 9,2 2 −6,2 −10,8 2,2
Température maximale moyenne (°C) −10,1 −7,9 0 8,7 16,1 22,4 23,4 20,2 13,9 5,2 −3,3 −7,5 6,8
Précipitations (mm) 41 30 25 35 55 75 75 75 73 61 51 43 639
Source : Le climat à Perm (en °C et mm, moyennes mensuelles)Pogoda.ru.net


Mois J F M A M J J A S O N D Année
Températures moyennes °C

Source : Site de Peñíscola

14 15 17 19 20 22 24 25 22 21 18 17 15

Modèle:Esbozo Bernat Desclot, historiador catalan, probablement originaire du vicomté de Castellnou, Roussillon (actuellement dans la Catalogne française). Il vivait dans la seconde moitié du siècle XIII. Il a écrit la plus ancienne des quatre grandes chroniques de la Couronne d'Aragon, le Livre du roi Pierre et des ses prédécesseurs (Libre del rei en Pere e dels seus antecessors passats), également connue comme la Chronique de Bernat Desclot. On a conservé peu de faits documentés sur lui, bien qu'on aie essayé de l'identifier avec Bernat Escrivà, personnage qui à cette époque a occupé diverses charges importantes en la cour royale de Pierre le Grand (1276-1285), la escribanía de la curia de Gandía en 1282 y el cargo de tesorero real en 1283. Llegó a ser camarero del rey Alfonso II el liberal, y murió en 1287

La fecha de redacción coincidiría posiblemente con la conquista de Sicilia (1283), pero trata de hechos ocurridos entre 1137 y 1285. El historiador Coll i Alentorn divide la obra en tres secciones atendiendo a la diversa naturaleza de las fuentes documentales; una integrada por los capítulos anteriores al reinado de Jaime I de Aragón, la otra formada por los dedicados al reinado de este rey, y la tercera constituida por los del de Pedro el Grande, que describe con tintes claramente favorables. La primera participa de la tradición juglaresca, con fuentes legendarias, la segunda está basada en fuentes contemporáneas, historiográficas; y en el tercero parecen consistir principalmente en recuerdos personales del autor o testigos presenciales. El estilo de Desclot como escritor es realista y a la vez épico y apasionado, llegando a la parcilidad, aunque se preocupa de depurar y contrastar sus fuentes.[1].

Referencias modifier

Desclot, Bernat

Gouvernement et politique modifier

Espagne est une monarchie constitutionnelle, avec un monarque héréditaire qui est le Chef de l'État –le Roi d'Espagne–, et un parlement bicaméral, les Cortes Generales.

Division des pouvoirs modifier

Fichier:Zapatero.jpg
José Luis Rodríguez Zapatero est l'actuel Président du Gouvernement de l'Espagne.

Le pouvoir exécutif est exercé par le Conseil des Ministres présidé por le Président du Gouvernement, qui occupe le poste de Chef du Gouvernement. C'est le monarque qui propose le Président du Gouvernement après les électiones générales et qui le maintient dans sa charge tant qu'il conserve la confiance du Congrés des Députés.

Le pouvoir législatif appartient aux Cortes Generales, qui sont l'organe suprême de représentation du peuple espagnol. Les Cortes Generales se composent d'une chambre basse, le Congrés des Députés, et d'une chambre haute, le Sénat. Le Congrés des Députés est composé de 350 membres élus au suffrage universel, sur des listes cerradas et par le moyen d'une représentation proportionnelle, pour une durée de législature de quatre ans. Le Sénat compte actuellement 259 membres, dont 208 sont élus directement au suffrage universel et les autres 51 sont désignés par les organismes régionaux para servir, también, por periodos de cuatro años.

Le pouvoir judiciaire repose sur l'ensemble des Tribunaux et des Cours, composés de Juges et de Magistrats, qui ont le pouvoir de rendre la justice au nom du Roi (véase Poder Judicial de España).

État, groupement d'Autonomies modifier

L'Espagne est actuellement ce que l'on peut appeler un “État, groupement d'Autonomies”, un État formellement unitaire mais qui fonctionne comme une fédération très descentralisée de communautés autonomes, chacune d'entre elles ayant différents niveaux d'autonomie. Les différences internes à ce système sont dues au fait que le processus de transfert des compétences du centre à la périphérie fut pensé au début comme un processus asymétrique et qui puisse garantir un plus grand niveau d'autonomie seulement à celles des communautés qui recherchaient un type de relation plus fédéraliste avec le reste de l'Espagne –communautés autonomes de régime spécial– (Andalusie, Communauté Basque, Catalogne, Galice et Navarre). D'autre part, le reste des communautés autonomes –communautés autonomes de régime commun– disposait d'un moindre degré d'autonomie. Cependant, a medida que fueron pasando los años, estas comunidades fueron adquiriendo gradualmente más competencias.

Hoy en día, España está considerada probablemente como uno de los Estados europeos más descentralizado (tras Alemania, Austria, Bélgica y Suiza y a la par de Reino Unido e Italia), ya que todos sus diferentes territorios administran de forma local sus sistemas sanitarios y educativos, así como algunos aspectos del presupuesto público; otros territorios, como el País Vasco y Navarra, administran su financiación pública sin casi contar (a excepción del cupo) con la supervisión del gobierno central español; o, como en el caso de Cataluña, Navarra y el País Vasco, están equipados con sus propios cuerpos policiales, totalmente Opérativos y completamente autónomos que remplazan las funciones de la Policía Nacional en estos territorios, salvo en Navarra todavía en proceso de traspaso (véase Mossos d'Esquadra, Ertzaintza, y Policía Foral de Navarra).

Ville modifier

Modèle:Infobox Commune espagnole Titre du lien Texte en gras



Route des Ibères modifier

La Route des Ibères est un parcours à travers différents lieux de peuplement ibères en Catalogne, organisé par le Museu d'Arqueologia de Catalunya. Actuellement les différentes étapes de la route sont:

Route des Ibères modifier

Ausetans modifier

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Nom Période Communes Comarques Description Trouvailles
Gisement archéologique de l'Esquerda Âge du Bronze - Moyen Âge tardif (VIIIe siècle av. J.-C. - XIVe siècle) Les Masies de Roda Osona Lieu où on a trouvé des restes datant d'une période de temps qui a duré plus de vingt-trois siècles. Il a été occupé durant l'Âge du Bronze, par les ibères, romains, Wisigoths, musulmans, carolingiens et durant le Moyen Âge. Un oppidum ibère, murailles, atelier de ceràmic, atelier de metal·lúrgic, camp de Sièges Wisigothiques, nécropoles, église romane.[1]
Lieu habité ibérique del Casol de Puig Castellet (IIIe siècle av. J.-C. Folgueroles Osona Poblat ibèric de la tribu dels ausetans establert als turons que marquen el límit entre la Plana de Vic et les Guilleries. Muraille de 64 m de longueur et 3 d'épaisseur construite en pierre sèche, une tour quadrangulaire en talus adossée a la part massissa, une série de pierres avec des reliefs mythologiques ibères, qui font penser en l'existència d'un ou plus monuments funéraires correspondants à la zone peuplée.
Poblat ibèric del Turó de Montgròs Ibèric: ? – -205
Moyen Âge: Xe siècleXIVe siècle
El Brull Osona Poblat ibèric de la tribu dels ausetans establert al Turó de Montgròs, al Parc Natural del Montseny. Muralla ibèrica del 300 aC, habitacions rectangulars.[2]

Cossetans modifier

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Nom Période Communes Comarques Description Trouvailles
Fondo d'en Roig Segle IV - III aC Cunit Baix Penedès Granja ibèrica de la tribu dels cossetans on hi van desenvolupar: producció agrícola, emmagatzematge de cereals, oli, vi, etc.[3] Petita granja ibèrica amb 16 habitacions annexes i la possibilitat d'haver-hi hagut un pis superior i sitja.[4]
Olèrdola Alt Penedès
Ciutadella ibèrica de Calafell Calafell Baix Penedès Poblat ibèric de la tribu dels cossetans. També és anomenada "Ciutadella de les Toixoneres".

Iacetans modifier

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Nom Période Communes Comarques Description Trouvailles
El Cogulló segle VII - segle I aC Sallent Bages Jaciment d'uns 2000 m² d'extensió situat a 200 m per sobre el riu Llobregat, al Turó del Cogulló. Devia ser un dels principals nuclis de població de la Lacetània. Les restes documentades determinen tres fases diferents diferents en l'assentament del Cogulló: una primera etapa d'iberització (segle VI aC-IV aC); una segona fase d'ibèric ple (segle III aC-I aC) i una tercera fase ibero-romana.

Ilercavons modifier

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Nom Période Communes Comarques Description Trouvailles
Castellet de Banyoles Final del segle III aC - 218 aC a 201 aC (Segona Guerra Púnica) Tivissa Ribera d'Ebre Poblat ibèric de la tribu dels ilercavons. Amb una superfície màxima propera als 42.000 m² és el poblat iber més extens de les Terres de l'Ebre.[5] El conjunt del jaciment ibèric del Castellet de Banyoles fou declarat Monument Histórico-Artístic i Arqueològic nacional el 1978 (Real Decreto 2.947 de 27 d'octubre i BOE del 15 de desembre).[6] Sembla que hi hagué ocupació perifèrica i un gran espai central públic. L'any 1912, es descobriren un conjunt d'arracades, braçalets, anells i monedes, el 1925 un parell de bous de bronze i el 1927 es descobrí el Tresor de Tivissa, que està format per quatre pàteres de plata daurada, diversos vasos de plata i dos collarets.[7]
Poblat ibèric de la Moleta del Remei[8] Segle VII aC - segle II aC Alcanar Montsià Poblat iber de la tribu dels ilercavons. Es troba situat a la Moleta del Remei, un contrafort del vessant sud del massís del Montsià. Recinte fortificat, poblat de planta oval estructurat concèntricament en dos carrers, torres i panys de murada, i unes construccions identificades com a graners.
Poblat ibèric del Coll del Moro 800 aC - segle I dC Gandesa Terra Alta Poblat ibèric de la tribu dels ilercavons situat al Coll del Moro. Es tracta d'una necròpolis amb tres àrees d'enterrament datada entre el 800 i el 500 aC i un recinte fortificat del segle V aC a l'I dC. El recinte fortificat està presidit per una gran torre situada al punt més alt de l'assentament. A l'interior del poblat s'ha descobert un taller destinat a la transformació del lli i a la manufactura de teixits.[9] Necròpolis, muralles, torre, taller tèxtil.
Sant Miquel Vinebre Ribera d'Ebre

Ilergets modifier

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Nom Période Communes Comarques Description Trouvailles
Els Vilars[10] 750 aC - 325 aC Arbeca Les Garrigues Fortalesa ibèrica de la tribu dels ilergets[11][12] declarada Bé Cultural d'Interès Nacional per la Generalitat l'any 1998. Fortalesa, vasos ceràmics per a la incineració i enterrament dels morts.[13]
Molí d'Espígol Edat del Ferro (segle VI aC, ibèric antic) - mitjan segle I aC Tornabous Urgell Poblat ibèric de la tribu dels ilergets abandonat cap el 200 aC com a conseqüència de la Segona Guerra Púnica.[14] Està catalogat com a Bé Cultural d'Interès Nacional. Traçat urbanístic, muralla quadricular, barris suburbans, habitatges adossats, espai obert comunitari, diferents àmbits que es relacionen fonamentalment amb estances on es practicaven activitats de caràcter domèstic (rebost, llars de foc, filatura, mòlta, etc., material ceràmic, vaixella fina de taula, contenidors amfòrics, tant d'importació com de fabricació indígena i ceràmiques fines d'importació.

Indigets modifier

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Nom Période Communes Comarques Description Trouvailles
Ciutat ibèrica d'Ullastret Paleolític - Neolític
550 aC - primer quart del segle II aC
Ullastret Baix Empordà Ciutat ibèrica de la tribu dels indigets establerta sobre el puig de Sant Andreu. Es tracta d'un jaciment arqueològic molt important ja que és el major nucli ibèric descobert fins ara a Catalunya.[15][16][17] Oppidum fortificat amb muralles i torres quadrades i circulars, traçat de carrers, habitatges, cisternes, temples, un camp de sitges, un palau de 500 m² que pertanyia a una família dominant, la inscripció funerària més antiga de Catalunya (datada al segle IV aC), el primer edifici militar ibèric descobert a Catalunya, una gran llar de foc quadrada d'1,30 m de costat dins d'una casa senyorial fundada el 325 aC, nombroses restes humanes, un forn metal·lúrgic per a bronze i ferro, un enllosat i oliveres de més de 2.000 anys. A 500 m de la ciutat hi ha les restes d'un poblat ibèric situat a l'Illa d'en Reixac, una antiga illa de l'estany d'Ullastret.[18] També s'hi han trobat restes anteriors com eines de sílex del Paleolític Superior i ceràmiques del Calcolític.
Puig de Castellet Segle III aC Lloret de Mar La Selva Jaciment iber de la tribu dels laietans que era utilitzat com a torre de sentinella. La superfície total és de 550 m². Torre de sentinella, muralles.
Poblat ibèric de Castell[19] Segle VI aCsegle I dC La Fosca, Palamós Baix Empordà Poblat ibèric de la tribu dels indigets situat a una petita península.

Laietans modifier

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Nom Période Communes Comarques Description Trouvailles
Poblat ibèric de Ca n'Oliver Segle VI - 50 aC Cerdanyola del Vallès Vallès Occidental Poblat ibèric de la tribu dels laietans que comercialitzava amb altres pobles mediterranis. Es troba a la serra de Collserola, des d'on s'observa tota la plana del Vallès. Camp de sitges, fossat, entrada monumental, carrer principal, habitatges superposats, habitació de l'ibèric antic, casa de l'ibèric ple, casa de l'ibèric final.
Poblat ibèric del Puig Castellar segle VI - segle II aC Santa Coloma de Gramenet Barcelonès Poblat ibèric de la tribu dels laietans d'estructura el·líptica, amb tres carrers longitudinals que estava rodejat per una muralla de pedra. Tenia una superfície d'uns 4000 m² i s'estima que podria haver-hi hagut una trentena d'edificis i una població d'uns 200 habitants. Es dedicaven bàsicament a l'agricultura i la ramaderia, tot i que vestigis trobats confirmen activitat comercial amb civilitzacions estrangeres com la grega o la cartaginesa Tres carrers longitudinals, muralla de pedra.




Liste des guerres classées par pertes humaines modifier

This is a list of wars and anthropogenic disasters by death toll. It covers the lowest estimate of death as well as the highest estimate, the name of the event, the location, and the start and end of each event. Some events overlap categories.


Guerres et conflits armés modifier

These figures of en million or more de morts include the deaths of civilians tiré de diseases, famine, etc., as well as deaths of soldiers in battle and possible massacres and génocide.

Where only one estimate is available, it appears in both the low and high estimates. This is a sortable table. Click on the column sort buttons to sort results numerically or alphabetically.

Rang Estimation Basse Estimation Haute Événement Localisation De À Voir aussi Pourcentage de la population mondiale[20]
1 40 000 000[21] 72 000 000[22] Seconde Guerre mondiale Planète 1937 1945 Bilan de la Seconde Guerre mondiale et Guerre sino-japonaise (1937-1945)[23] 1.7%-3.1%
2 33 000 000[24] 36 000 000[25] Révolte d'An Lushan Chine 755 763 Armement médiéval 14.0%-15.3%
3 30 000 000[26] 60 000 000[27] Conquêtes Mongoles Asie, Europe de l'Est, Moyen Orient 1207 1472 Gengis Khan et Empire Mongol 7.5%-17.1%
4 25 000 000[28] 25 000 000 Conquêtes de la Dynastie Qin sur la Dynastie Ming Chine 1616 1662 Dynastie Qing 4.8%
5 20 000 000[29] 30 000 000+[30] Révolte des Taiping Chine 1851 1864 Révolte des Dounganes 1.6%-2.1%
6 15 000 000[31] 65 000 000 Première Guerre mondiale (L'estimation haute inclut grippe espagnole deaths)[32] Planète 1914 1918 Pertes humaines de la Première Guerre mondiale 0.8%-3.6%
7 15 000 000[33] 20 000 000[33] Conquête du Timour Moyen Orient, Inde, Asie Centrale, Russie 1369 1405 [34] 3.4%-4.5%
8 8 000 000[35][36] 12 000 000 Révolte des Dounganes Chine 1862 1877 Révolte des Panthay 0.6%-0.9%
9 5 000 000[réf. nécessaire] 9 000 000[37] Guerre civile russe Russie 1917 1921 Révolution russe, Liste des guerres civiles 0.28%-0.5%
10 3 800 000[38] 5 400 000[39] Seconde guerre du Congo République démocratique du Congo 1998 2003 Première guerre du Congo 0.06%-0.09%
11 3 500 000[réf. nécessaire] 6 500 000[réf. nécessaire] Guerres napoléoniennes Europe, Atlantique, Pacifique et Océan Indien 1804 1815 Bilan des guerres napoléoniennes 0,4%-0,7%
12 3 000 000 11 500 000[40] Guerre de Trente Ans Saint-Empire romain germanique 1618 1648 guerres de religions 0.5%-2.1%
13 3 000 000[41] 7 000 000[41] Turbans jaunes Chine 184 205 Faisant partie de la Guerre des Trois Royaumes 1.3%-3.1%
14 3 000 000[42] 4 000 000[42] Déluge République des Deux Nations 1655 1660 Première guerre du Nord 0.6%-0.7%
15 2 500 000[réf. nécessaire] 3 500 000[43] Guerre de Corée Péninsule Coréenne 1950 1953 Guerre froide 0.1%
16 2 495 000[réf. nécessaire] 6 020 000[44] Guerre du Vietnam Asie du Sud-Est 1955 1975 Guerre d'Indochine 0.08%-0.19%
17 2 000 000 4 000 000[45] Guerres de religion en France France 1562 1598 Guerres de religion 0.4%-0.8%
18 2 000 000[46] 2 000 000 Conquête du Shaka Afrique 1816 1828 Ndwandwe–Zulu War 0.2%
19 1 000 000[47] 2 000 000 Seconde guerre civile soudanaise Soudan 1983 2005 Guerres de religion 0.02%
20 1 000 000[48] 9 000 000[49] Croisades Terre Sainte, Europe 1095 1291 Guerres de religion 0.3%-2.3%
21 500 000[50][51] 2 000 000[52] Guerre Iran-Irak Iran, Irak 1980 1988 Génocide kurde et Guerre du Golfe (1990-1991) 0.01%-0.04%
22 500 000[53] 2 000 000[54] Révolution Mexicaine Mexique, États-Unis 1911 1920 Pancho Villa et Raid de Columbus 0.03%-0.1%

Génocides et massacres assimilés modifier

La Convention on the Prevention and Punishment of the Crime of Genocide (CPPCG) des Nations unies définit le génocide comme des "actes commis avec l'intention de détruire, entièrement ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux".

Déterminer quels événements historiques constituent des génocides et quand un comportement est véritablement criminel ou inhumain, n'est pas évident. In nearly every case où des accusations de génocide ont circulé, les partisans de various sides ont discuté fiercely disputed l'interprétation et les détails de l'événement, often to the point of promoting wildly different versions of the facts. Une accusation de génocide, therefore, will presque toujours sujet à controverse. Déterminé le nombre de personnes tuées dans chaque génocide can be just est difficult, with political, religious and ethnic biases or prejudices often leading to downplayed or exaggerated figures.

La liste suivante de génocides et de génocides présumés doivent être comprise dans ce sens and not necessarily regarded as the final word on the events in question.

Rand Estimation Basse Estimate Haute Événement Localisation De À Notes
1 4 194 200[55] 11 000 000[56] Holocauste Europe 1941 1945 Avec environ 6 millions de Juifs assassinés, de nombreux scholars définissent l'Holocauste comme le génocide des Juifs Européens seuls [réf. nécessaire]. Des définitions plus larges incluent le génocide des Tziganes: la plupart des estimations de morts de Tziganes tournent autour de 200 000-500 000 morts mais quelques estimations arrivent à plus de un million[57]. Une définition plus large inclut les dissidents politiques et religieux, 200 000 handicapés, 2 à 3 millions prisonniers de guerre soviétiques, 5 000 Témoins de Jéhovah, 15 000 homosexuels et un petit nombre d'enfants mixed-race children (known as the Rhineland bastards), amenant le bilan des morts autour de 10,5 millions. Voir Holocauste, Porajmos, Consequences of German Nazism
2 2 582 000[58][59][60] 10 000 000[61] Holodomor (et famine soviétique de 1932-1933) République socialiste soviétique d'Ukraine 1932 1933 Holodomor a été une famine en Ukraine causée par le gouvernement de Joseph Staline, a part of Soviet famine of 1932–1933. Holodomor est déclarée par le gouvernement Ukrainien contemporain comme un génocide des Ukrainiens.

Modèle:As of, Ukraine and nineteen other governments[62] have recognized the actions of the Soviet government as an act of genocide. The joint statement at the United Nations in 2003 has defined the famine as the result of cruel actions and policies of the totalitarian regime that caused the deaths of millions of Ukrainians, Russians, Kazakhs and other nationalities in the USSR. On 23 October 2008 the European Parliament adopted a resolution[63] that recognized the Holodomor as a crime against humanity[64].

On January 12, 2010, the court of appeals in Kiev opened hearings into the "fact of genocide-famine Holodomor in Ukraine in 1932-33", in May 2009 the Security Service of Ukraine had started a criminal case "in relation to the genocide in Ukraine in 1932-33".[65] In a ruling on January 13, 2010 the court found Stalin and other Bolshevik leaders guilty of genocide against the Ukrainians.[66]

3 2 000 000[67] 100 000 000[68] European colonization of the Americas The Americas 1492 1900 Although disputed, many historians consider the deaths caused by disease, displacement, and conquest of Native American populations during European settlement of North and South America as constituting an act of genocide (or series of genocides). The genocidal aspects of this event are entwined with loss of life caused by the lack of immunity of Native Americans to diseases carried by European settlers and their livestock (see Population history of American indigenous peoples).[69][70]
4 1 671 000[71] 3 000 000[72] Génocide Cambodgien Cambodge 1975 1979 Modèle:As of, no one has been found guilty of participating in this genocide, but on 16 September 2010 Nuon Chea, second in command of the Khmers rouges and its most senior surviving member, was indicted on charges of war crimes and crimes against humanity. He will face Cambodian and United Nations appointed foreign judges at the special genocide tribunal.[73].[74]
5 500 000[75] 3 000 000[76] Exode des Allemands d'Europe de l'Est Europe 1945 1950

With at least 12 million[77][78][79] Germans directly involved, possibly 14 million or more, it was the largest movement or transfer of any single ethnic population in modern history[78] and largest among the post-war expulsions in Central and Europe de l'Est (which displaced more than twenty million people in total).[77] The events have been usually classified as population transfer,[80] or as ethnic cleansing.[81] Martin Shaw (2007) and W.D. Rubinstein (2004) describe the expulsions as genocide.[82] Felix Ermacora writing in 1991, (in line with a minority of legal scholars) considered ethnic cleansing to be genocide[83][84] and stated that the expulsion of the Sudeten Germans was genocide.[85]

6 500 000[86] 1 000 000[86] génocide rwandais Rwanda 1994 1994 Hutu killed unarmed men, women and children. Some perpetrators of the genocide have been found guilty by the International Criminal Tribunal for Rwanda, but most have not been charged due to no witness accounts.
7 480 000[87] 600 000[87] Massacres in Zunghar Khanate Western China, Kazakhstan, northern Kyrgyzstan, southern Siberia 1755 1758 Qianlong emperor moved the remaining Zunghar people to the mainland and ordered the generals to kill all the men in Barkol or Suzhou, and divided their wives and children to Qing soldiers.[88][89] Qing officials wrote about 30-50% of the Dzungar people were massacred, 30-40% killed by smallpox, and 20-30% ran to Russia or Kazakh.[90][91] and no people in the several thousands li area. Clarke wrote 80%, or between 480,000 and 600,000 people, were killed between 1755 and 1758 in what "amounted to the complete destruction of not only the Zunghar state but of the Zunghars as a people."[87][92] Historian Peter Perdue has shown that the decimation of the Dzungars was the result of an explicit policy of extermination launched by Qianlong.[93] Although this "deliberate use of massacre" has been largely ignored by modern scholars,[94]
8 400 000[95] 400 000[95] Conquête russe du Caucase Caucase 1817 1864 During the last decade or so, especially after the two First and Second Chechen Wars, pro-Chechen groups started to investigate the history of the Caucasian War and came to label the Caucasian exodus as a "Circassian ethnic cleansing", although the term had not been in use in the 19th century. They point out that the exodus was not really voluntary but rather was a matter of what is today called ethnic cleansing – the systematic emptying of villages by Russian soldiers[96] and was accompanied by Russian colonisation.[97] They estimate that some 90 percent of the Circassians estimated at more than three million[98] had relocated tiré de the territories conquered by Russia. During these events, and the preceding Caucasian War, at least tens of thousands of Circassians perished in a "programme of forced expulsion, deportation and massacre at the hands of the Russian government".[99] See also: Muhajir (Caucasus)
9 1 000 000[100] 1 500 000[101] Génocide arménien Anatolie 1915 1923 Usually called the first genocide of the 20th century. Despite recognition by some twenty one countries as a genocidal act, the accused agressor, Turkey, refuses to recognize the term Genocide.
10 300 000[102] 500 000[102] Décosaquisation Zone du Fleuve Don 1919 1920 In the Russian Civil War that followed the Révolution d'Octobre, the Cossacks found themselves on both sides of the conflict. Many officers and experienced Cossacks fought for the White Army, and some for the Red Army. Following the defeat of the White Army, a policy of Decossackization (Raskazachivaniye) took place on the surviving Cossacks and their homelands since they were viewed as potential threat to the new regime. This mostly involved dividing their territory amongst other divisions and giving it to new autonomous republics of minorities, and then actively encouraging settlement of these territories with those peoples. This was especially true for the Terek Cossacks land. According to Michael Kort, "During 1919 and 1920, out of a population of approximately 3 million, the Bolshevik regime killed or deported an estimated 300,000 to 500,000 Cossacks".[102]
11 275 000[103] 750 000[103] Génocide assyrien Anatolie 1915 1918 Controversé, mais considéré par certains comme un génocide.
12 270 000[104] 655 000[105] Massacres par les Oustachis de Serbes, Juifs, Tziganes et de Croates Croatie 1941 1945 Génocide durant la période de Independent State of Croatia, avec une police officielle d'extermination similaire à celle de l'Allemagne Nazi. Voir aussi The Holocaust in Croatia.
13 200 000[106] 1 000 000[106] Génocide Grec Anatolie 1915 1918 Disputed, but some consider it a genocide.
14 178 258[107] 400 000[108] Conflit du Darfour Soudan 2003 2010 See International response to the Darfur conflict
15 117 000[109] 500 000[109] Révolte des Vendéens France 1793 1796 Described as genocide by some historians. See also Révolution française
16 100 000 [110] 200 000[111] Massacres des Mayas Guatemala 1962 1996 Genocide according to the Historical Clarification Commission.[112][113]
17 100,000 340,000 Massacre de Nankin Nankin 1937 1938 Le Massacre de Nankin, a été un affreux crime de guerre commis par les soldats japonais à Nanjing, la capitale de la République de Chine, après sa prise par l'Armée Impériale Japonaise, le 13 décembre 1937.
18 50 000[114] 200 000[115] Al-Anfal Campaign Iraq 1986 1989 Ba'athist Iraq détruit plus de 2 000 villages et commits un génocide sur la population Kurde[116].
19 50 000[117] 100 000[117] Massacres of Hutus Burundi 1972 1972 Tutsi government massacres of Hutu, part of the Burundi genocide.
20 50 000[réf. nécessaire] 50 000[réf. nécessaire] Massacre des Tutsis Burundi 1993 1993 Hutu government massacres of Tutsi, part of the Burundi genocide.
21 26 000[118] 3 000 000[118] 1971 Bangladesh atrocities East Pakistan (now Bangladesh) 1971 1971 Atrocities in East Pakistan by the Pakistani Armed Forces, leading to the Bangladesh Liberation War and Indo-Pakistani War of 1971, are widely regarded as a genocide against Bengali people, but to date no one has yet been indicted for such a crime.
22 24 000[119] 75 000[120] Herero and Namaqua genocide Namibie 1904 1908 Generally accepted. See also Imperial Germany
23 20 000[121] 100 000[122] Massacres of Tamils during Sri Lankan Civil War Sri Lanka 1983 2009 tiré de 1983, the Sri Lankan army and Tamil separatists, demanding an independent state of Eelam in the north and east of the island, fought a long conflict. After more than 25 years of violence, the conflict appeared to be at an end in May 2009, when government forces seized the last area controlled by Tamil Tiger rebels. Some have accused the government of genocide against the Tamil people.[123] See also: Black July
24 20 000[124] 80 000[125] Dictature et répression politique en Guinée équatoriale Guinée équatoriale 1969 1979 Francisco Macías Nguema led a brutal dictatorship in his country, most notably against the minority of Bubi. It is estimated that his regime killed at least 20,000 people, while around 100,000 (one third of the population) fled the country.[124] On a trial, Nguemu was found guilty of genocide and crimes against humanity. He was executed in 1979.
25 18 600 [126] 183 000[127] Political repression of East Timorese East Timor 1975 1990s Referred to as genocide by some scholars.[128][129]
26 13 160[130] 70 000[131] Dersim Massacre Dersim 1937 1938 7000 of Kurdes were killed and thousands more forced into exile, depopulating the province.
27 9 000[132] 30 000[133] Dirty War Argentina 1976 1983 At least 9,000 people were tortured and killed in Argentina tiré de 1976 to 1983, carried out primarily by Jorge Rafael Videla's military dictatorship.
28 8 000[134] 17 000[135] Massacres during Révolution de Zanzibar Zanzibar 1964 1964 Thousands of Arabs and Indians were massacred during the revolution.
29 8 000 8 000[136] Srebrenica massacre Srebrenica 1995 1995 A genocidal massacre according to the ICTY. Currently, it is the last genocide committed in modern Europe after World War II. On 31 March 2010, the Serbian Parliament passed a resolution condemning the Srebrenica massacre and apologizing to the families of Srebrenica for the deaths of Bosniaks.[137] See also: War in Bosnia and Herzegovina, Bosnian genocide.
30 2 000[138] 70,000[139] Persecution of Falun Gong China 1999 ongoing A nationwide persecution led by the Chinese Communist Party against the spiritual group Falun Gong. The decision to "eradicate" the practice was made by then-paramount leader Jiang Zemin in 1999. Means of persecution include arbitrary arrests, torture, forced labor, and, it is alleged, organ harvesting. Some observers consider the suppression campaign to satisfy the criteria for genocide in accordance with the 1948 UN Genocide Convention.[140][141] In 2009, Courts in Spain and Argentina indicted and/or ordered the arrest of top Chinese leaders over allegations of genocide against Falun Gong.[142][143] Similar charges have been made in the United States, but American courts have refused to adjudicate on the issue on the grounds of sovereign immunity.[144]

Individual extermination camps modifier

Famine modifier

Cette section inclue les famines qui ont éré causées ou aggravées par la politique des dirigeants du régime.

Voir aussi Famine et Liste des famines

Estimation Basse Estimation Haute Événement Location De À Notes
20 000 000[160] 43 000 000[160] Grande famine de Chine République populaire de Chine 1959 1961 Famine du Grand Bond en avant sous le Parti communiste chinois dirigé par Mao Zedong. Entre le printemps 1959 et la fin de 1961 environ 30 millions de Chinois sont morts de faim et environ le même nombre de naissances ont été perdues ou retardées[161]. La violence de l'état durant cette période a aggravé le bilan des morts, et environ 2,5 million de personnes ont été battues ou torturées à mort dans le cadre de la politique du le Grand Bond[162].
9 000 000 13 000 000[163] Famine en Chine du Nord de 1876–79 Chine 1876 1879
6 000 000 10 000 000[164] Famines soviétiques de 1931-1933, y compris Holodomor Union soviétique 1932 1939 Modèle:As of, the Ukraine government was trying to get this mass starvation recognised by the United Nations as an act of genocide, with Russian government and many members of the Ukrainian parliament opposing such a move.[164]
5 250 000 10 300 000[35] Grande Famine de 1876–78 Empire indien 1876 1878 See also: Famine en Inde
4 000 000 4 000 000 famine du Bengale de 1943 Empire indien 1943 1943
1 250 000[35] 10 000 000[35] famine de l'Inde (1899–1900) Empire indien 1899 1900
750 000[165][166] 1 500 000[167] Grande famine en Irlande[168] Royaume-Uni et Irlande 1846 1849

Human sacrifice and ritual suicide modifier

This section lists deaths tiré de the systematic practice of human sacrifice or suicide. For notable individual episodes, see Human sacrifice and mass suicide.

Estimation Basse Estimation Haute Description Group Localisation De À Notes
300 000[réf. nécessaire] 1 500 000[réf. nécessaire] sacrifice humain Aztèques Mexique XIVe siècle 1521 Human sacrifice in Aztec culture
13 000[169] 13 000 Human sacrifice Shang dynasty Chine BC1300 BC1050 Last 250 years of rule
7 941[170] 7 941 suicides rituels Sati Bengale, Inde 1815 1828
3 912 3 912 pilotes suicide Kamikaze, voir note [171] forces aériennes de l' Empire du Japone Guerre du Pacifique 1944 1945
913 913 Jonestown murder-suicide Followers of The Peoples Temple cult Jonestown 18 novembre 1978 19 novembre 1978 The event was the largest loss of American civilian life in a non-natural disaster until the September 11, 2001 attacks.

African genocides modifier

including the African Holocaust

Estimatation Basse Estimatation Haute Description Localisation De À Notes
50 000 000[172] 60 000 000[172] Colonisation Européenne de l'Asie et de l'Affrique Asie et Affrique 1758 1970 Historian Bouda Etemad argues that a total of 50 to 60 million indigenous people were killed in the context of European colonial expansion in the regions of North and sub-Saharan Africa and South-East Asia. This estimate includes both deaths directly linked to the conquest and subsequent acts of violence, as deaths followed by the embrittlement of aboriginal cultural, social and economic structures that lead to widespread famine and disease. While his numbers is controversial, Etemad views the entire enterprise of European exploitative colonization in Africa and Asia constitutes an act of generalized genocide.[172] Other historians disagree.
8 000 000 [173] 10 000 000 [174] Maladie tropicales, y compris la maladie du sommeil et la variole,[175][176] and the exploitation of the Congo Free State under the rule of King Leopold II of Belgium Congo Free State 1885 1908 In 1885, King Leopold II of Belgium created his own privately owned state that included today's Democratic Republic of the Congo. His goal was to enrich himself by exploiting the country's natural resources like ivory and rubber. Adam Hochschild estimates that the population of the Congo region had been halved during Leopold’s rule, but determining precisely how many people died is next to impossible as no accurate records exist. Louis and Stengers state that population figures at the start of Leopold's control are only "wild guesses", while E.D. Morel's attempt and others at coming to a figure for population losses were "but figments of the imagination".
1 200 000[177] 2 400 000[177] Holocauste africain Océan Atlantique XVIe siècle XIXe siècle African slaves died in large numbers during transportation tiré de Africa. The number could more accurate if it included deaths during the acquisition of slaves in Africa and subsequent deaths in America. Before the 16th century the principal market for the warring African tribes that enslaved each other's populations was the Islamic world to the east.[178] Gustav Nachtigal, an eye-witness, believed that for every slave who arrived at a market three or four died on the way.[179]

See also modifier

Other lists organized by death toll modifier

Other lists with similar topics modifier

Topics dealing with similar themes modifier

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