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sources

https://books.openedition.org/purh/8299?lang=fr

https://www.pnreview.co.uk/cgi-bin/scribe?item_id=5074

communards en exile https://maitron.fr/spip.php?rubrique119

communard né à Rouen https://maitron.fr/spip.php?article236699

https://www.commune1871.org/la-commune-de-paris/histoire-de-la-commune/dossier-thematique/les-communes-en-province/995-rouen-et-la-commune

Durant la guerre de 1870, Rouen a été occupée par les Prussiens, qui se composaient, au 9 janvier 1871, de 16 bataillons et 16 escadrons sous le commandement du général Ferdinand von Bentheim.


=====INTRO=======================

La Commune de Lyon est un mouvement révolutionnaire mené en 1870 par des républicains et des militants de plusieurs composantes de l'extrême-gauche de l'époque (radicaux, socialistes, anarchistes) qui a pris le pouvoir à Lyon et mis en place un pouvoir autonome. La commune organise des élections et se dissout après avoir rétabli une normalité républicaine, ce qui frustre les éléments les plus avancés, qui espéraient une révolution différente. Ces derniers tentent deux fois de reprendre le pouvoir sans succès.

Prolongements des événements de la commune de 1871 en France modifier

 
Plaque commémorative de la commune de Narbonne, mur de Notre-Dame de Lamourguier.

La première Commune est celle de Lyon, où la nouvelle République est proclamée en avance sur Paris, le au matin. Elle dure jusqu'en janvier de l'année suivante[L 1], avant de reprendre de mars à avril[L 2]. Elle est suivie par celle de Marseille, mise en place le et présidée par Adolphe Joseph Carcassonne[1], avant que le pouvoir ne soit repris par le préfet Alphonse Gent[L 3].

Après la proclamation de la Commune de Paris le , les Communes de provinces se développent plus rapidement, mais sont de courte durée : à Marseille, une seconde a lieu du au sous le commandement de Gaston Crémieux[L 1],[1], à Saint-Étienne, l'insurrection ne dure que quelques jours du 24 au [L 1], à Narbonne[2] du 24 au 31, proclamée par Émile Digeon, à Toulouse du 24 au 27, à Perpignan le 25, au Creusot le 26 par Jean-Baptiste Dumay[L 1], puis à Grenoble le , à Bordeaux les 16 et 17 et à Nîmes le 18[3]. D'autres soulèvements ont lieu à Limoges[4], Périgueux, Cuers, Foix, Rouen ou au Havre[3].

Références modifier

  1. a et b Ben Cahoon, « France », sur World Statesmen.org (consulté le ).
  2. Marc César, La Commune de Narbonne (mars 1871), Presses universitaires de Perpignan, coll. « Études », , 305 p. (ISBN 978-2-35412-316-1, lire en ligne).
  3. a et b René Bianco, « 1871, la Commune... en province », Le Monde libertaire, no 1314,‎ 3-9 avril 2003 (lire en ligne).
  4. Jules Guesde, La Commune de 1871, , 53 p. (lire sur Wikisource), p. 33.

notes modifier

  1. a b c et d p. 38.
  2. p. 18.
  3. p. 17.