Utilisateur:Bruinek/Archives 2015-20

Archivage Brouillon 2015-20

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Yvon Brès modifier

La démarche d'Yvon Brès, dans sa thèse publiée en 1969, est accueillie de manière critique par un philosophe comme Joseph Moreau. « La psychologie de Platon » lui paraît « assez insolite dans le domaine de la philologie ». L'objet du livre, dit-il, n'est pas l'étude de « la psychologie platonicienne, c'est à dire [des] doctrines psychologiques de Platon » ni celle de « la “psychologie”, c'est à dire [des] traits caractéristiques de la mentalité de Platon ». Il s'agit plutôt, d'une interprétation de l'œuvre platonicienne permettant de « rendre compte de sa genèse et de son évolution à la lumière de la psychologie contemporaine, ou plus précisément de la psychanalyse ».Ainsi Joseph Moreau est-il d'avis que « l'interprétation psychanalytique de la métaphysique des grands dialogues [...] ne peut être convaincante que pour un psychanalyste »[1].

Masochisme (psychanalyse) modifier

Le masochisme correspond au plaisir pris dans la souffrance ou l'humiliation subie. Le terme, forgé par le psychiatre Krafft-Ebing qui le fait dériver du nom de Sacher-Masoch, désigne une perversion sexuelle. Sigmund Freud élargit la notion couplée avec le sadisme jusqu'à en faire une composante de la sexualité perverse polymorphe infantile dans la réalité psychique de tout individu. Dans la théorie freudienne, le masochisme provient d'abord du sadisme, puis le rapport s'inverse à partir de la seconde topique quand est introduite la pulsion de mort.

  1. Formation et évolution du concept chez Freud

Freud reprend le terme « masochisme » dû au psychiatre germano-autrichien Richard von Krafft-Ebing qui l'a formé à partir du nom deLeopold von Sacher-Masoch, auteur de La Vénus à la fourrure[2]. Selon Laplanche et Pontalis, le masochisme est pour Krafft-Ebing une perversion sexuelle où, toutefois, les fantasmes masochistes}} jouent un rôle notable[3].

la première fois, puis [4] .

  1. Bibliog.
  1. Articles connexes

Scène primitive (masochisme) modifier

(pour ajouts ultérieurs au 8.2.19 :)

  • Note [rétablir balise pour goup notes] en 1e section sur la position de Freud au moment de l'homme aux loups: plus nuancé quant à l'orientation de l'article dans le débat:

Dans le cas d'observation du coït parental par l'enfant appelé "scène originaire" (chez l'homme aux loups, il s'agit d'un coït a tergo) Laplanche et Pontalis écrivent plus exactement: « le coït est compris par l'enfant comme une agression du père dans une relation du père dans une relation sado-masochique; il provoque une excitation sexuelle » chez l'enfant en même temps qu'il fournit un support à "l'angoisse de castration; il est interprété dans le cadre d'une théorie sexuelle infantile comme coït anal}} (Vocabulaire de la psychanalyse, entrée: "scène originaire")

  • Travail provisoire sur " Scène primitive et masochisme (passerelle vers conciliation des 2 orientations?) d'après une version du 8.02.2019 % évolution de mon avis pendant la médiation et modifications de rédaction par % à des sources secondaires lues plus précisément

(pas wikifié les guillemets pour l'instant!) RI proposé : La scène primitive est une scène vécue durant l'enfance qui serait liée aux préférences sexuelles masochistes à l'âge adulte dans certains cas. L'expression est empruntée à la psychanalyse dans le domaine de la sexualité infantile pour la « scène primitive » où la désignation apparaît notamment dans l'analyse par Freud de l'homme aux loups. Elle est reprise par nombre d'auteurs, psychanalystes ou non, de manière parfois critique chez certains essayistes, quand elle fait l'objet de son interprétation dans le champ culturel où elle se trouve appliquée à des œuvres célèbres comme celles de Jean-Jacques Rousseau et de Leopold von Sacher-Masoch.

  • 1e section débattue (travail en cours):
    • La "scène primitive" comme "topos littéraire" après coup de la psychanalyse ==

(à retravailler avec la note ci-dessus plus précise sur la position de Freud à l'étape théorique du sadomasochisme avant le tournant de 1920: rapide pour cet article qui n'est pas sur le "masochisme" comme concept psychanalytique) L'expression « scène primitive », reprise à titre de topos littéraire par maints commentateurs, peut également venir sous la plume de psychanalystes comme Paul-Laurent Assoun dans le domaine de la psychanalyse appliquée à la littérature et en relation avec les propres travaux interprétatifs des textes freudiens de cet auteur. Il faut noter toutefois que le concept psychanalytique de « scène originaire » ou « scène primitive », n'implique pas chez le Freud de l'homme aux loups le concept proprement dit de masochisme d'après 1920, tel qu'après Freud, un psychanalyste contemporain d'orientation plutôt lacanienne comme P.-L. Assoun, peut l'interpréter et l'associer à des exemples, pris dans l'histoire littéraire, au cours de ses travaux sur le masochisme [5]. Le concept psychanalytique de « scène originaire » exige en effet une définition d'ordre métapsychologique précise[6], distincte de l'usage littérarisé qui peut être fait après coup de l'expression « scène primitive » utilisée dans divers espaces socio-culturels, avec un recours éventuel au vocabulaire aujourd'hui largement médiatisé de la psychanalyse pour l'autoriser.

Nouvelle nomenclature des SHS, 2010 (France) modifier

Au niveau de la recherche scientifique en France, le classement des disciplines est le suivant dans la nouvelle nomenclature des Sciences de l'Homme et de la Société (SHS) pour la Stratégie nationale pour la recherche et l'innovation (SNRI), 2010 [7]:

  • SHS1: Marchés et organisations (économie, finances, management)
  • SHS2: Normes, institutions et comportements sociaux (Droit, science politique, sociologie, anthropologie, ethnologie, démographie, information et communication)
  • SHS3: Espace, environnement et sociétés (Études environnementales, géographie physique, géographie sociale, géographie urbaine et régionale, aménagement du territoire)
  • SHS4: SHS4 Esprit humain, langage, éducation (Sciences cognitives, sciences du langage, psychologie, sciences de l'éducation, STAPS)
  • SHS5: Langues, textes, arts et cultures (Langues, littérature, arts, philosophie, religion, histoire des idées)
  • SHS6: Mondes anciens et contemporains (Préhistoire, archéologie, histoire, histoire de l'art)

Notes modifier

  1. Moreau Joseph. « Yvon Brès, La psychologie de Platon », (Publications de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de Paris-Sorbonne : Série « Recherches », t. XLI), 1968. In: Revue des Études Anciennes. Tome 71, 1969, n°1-2. p. 146-150, [lire en ligne]
  2. Denys Ribas, « masochisme  », dans Dictionnaire international de la psychanalyse (dir.: Alain de Mijolla), Paris, Hachette Littératures, 2005, p. 1024-1026.
  3. J. Laplanche et J.-B. Pontalis, Vocabulaire de la psychanalyse (1967), entrée: « Masochisme », Paris, P.U.F.,1984, p. 231-232.
  4. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Nom de la note
  5. Paul-Laurent Assoun, « La passion du joug ou la servitude contractualisée », La clinique lacanienne, 2016/2 (n° 28), p. 99-118, [lire en ligne].
  6. Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis, Vocabulaire de la psychanalyse, entrée : « Scène originaire » / « Scène primitive », Paris, P.U.F., 1984.
  7. SNRI : Nouvelle nomenclature des SHS, 2010 [lire en ligne], p. 10-11, site consulté le 25 avril 2019.

États maniaco-dépressifs (?) modifier

  • Intro:

En psychanalyse, les états maniaco-dépressifs sont théorisés surtout par Karl Abraham et Melanie Klein: ils font suite aux travaux de Sigmund Freud sur le narcissisme (Pour introduire le narcissisme, 1914; Deuil et mélancolie, 1915).

La folie maniaco-dépressive et la psychanalyse modifier

Au temps de Freud, les maladies mentales, encore en voie de classification, étaient soignées dans des « asiles », qui deviendront les futurs hôpitaux psychiatriques: les crises de mélancolie ou de manie présentées par certains patients seront rassemblées à partir du milieu du XIXe siècle dans « une seule entité, la folie maniaco-dépressive ou "circulaire" »[1]. Selon Vassilis Kapsambelis, « la situation de la psychose maniaco-dépressive, encore plus que celle des autres psychoses, reste remarquablement attachée, dans la pensée de S. Freud, aux pathologies liées au narcissisme », et après l’introduction du narcissisme en 1914, « la psychose maniaco-dépressive fait partie, avec les autres états psychotiques, des « psychonévroses narcissiques » »[1]. Aux yeux de ce psychiatre et psychanalyste, les travaux de Karl Abraham, Sigmund Freud et de Melanie Klein représentent « une introduction indispensable à une compréhension métapsychologique des troubles de l’humeur. Ceux-ci ne sont pas que « thymiques », mais correspondent à une véritable « façon d’être » globale de la personnalité »[1].

Autres sources: articles dans Roudinesco et Plon, et dans Chemama

Freud modifier

Karl Abraham modifier

Melanie Klein modifier

Notes modifier

  1. a b et c Vassilis Kapsambelis, « Les troubles de l'humeur et la psychanalyse. Une revue des textes fondateurs », Le Journal des psychologues, vol. 273, no. 10, 2009, p. 32-35.[lire en ligne].

Voir aussi modifier

Bibliog. modifier

  • Textes de réf. (source: Laplanche et Pontalis)
    • Freud,
    • Névrose et psychose (1924)
    • Karl Abraham,
      • Esquisse d'une histoire du développement de la libido fondée sur la psychanalyse des troubles psychiques (1924), partie I: Les états maniaco-dépressifs et les stades d'organisation prégénitaux de la libido
    • Melanie Klein,
      • La psychanalyse des enfants (1932)
      • Contribution à la psychogenèse des états maniaco-dépressifs in Contributions (1934)
      • Conclusions théoriques concernant la vie émotionnelle dans la toute première enfance in Developments (1952)
  • Études
    • Robert D. Hinshelwood, « position dépressive, position paranoïde, position schizo-paranoïde », dans Alain de Mijolla (dir.), Dictionnaire international de la psychanalyse, Paris, Hachette, (ISBN 201279145X), p. 1310-1312, 1312, 1312-1314
    • Alban Jeanneau, « mélancolie », « manie » in DIP, p. 1040-1041, 1011
    • Vassilis Kapsambelis, « Les troubles de l'humeur et la psychanalyse. Une revue des textes fondateurs », Le Journal des psychologues, vol. 273, no. 10, 2009, p. 32-35.[lire en ligne].  
    • Laplanche et Pontalis, entrées: Freud: « Névrose narcissique », Klein: « Position dépressive », « Position paranoïde »
    • Sophie de Mijolla-Mellor, « Deuil et mélancolie », DIP, p. 467-468
    • Francisco Palacio Espasa, « dépression », « dépression mélancolique », p. 448-449, 451-452
    • Elisabeth Roudinesco et Michel Plon, « Psychose maniaco-dépressive », Dictionnaire de la psychanalyse, p. 1258-1259
    • Bernard Toboul, « Psychose maniaco-dépressive et psychanalyse », dans Figures de la psychanalyse 2013/2 (n° 26), p. 73-91 [lire en ligne]
    • Bernard Vandermersch, « Psychose maniaco-dépressive », dans Chemama,1993, p. 227-229
    • Michel Vincent, « névrose narcissique », dans Alain de Mijolla (dir.), Dictionnaire international de la psychanalyse, Paris, Hachette, (ISBN 201279145X), p. 1163-1164

Articles connexes modifier

Psychose maniaco-dépressive modifier

(ébauche si page sur la PMD ou 1e section de "trouble bipolaire" pour éviter la page blanchie) Intro: une des trois grandes psychoses avec la schizophrénie et la paranoïa, dont le mot apparaît en France au début du XXe siècle en psychiatrie. Le terme est repris par Freud en psychanalyse qui va par la suite ranger cette affection parmi les névroses narcissiques. En tant que trouble de l'humeur, la psychose maniaco-dépressive présente une alternance entre des états maniaques et mélancoliques.

La folie maniaco-dépressive et la psychanalyse (article actuel: copie) modifier

(Copie d'une section de l'article TBP pour travaux ultérieurs:)

Troubles bipolaires et psychanalyse modifier

Le seul changement de terme qui remplaçait « psychose maniaco-dépressive » par « trouble bipolaire » a pu faire l'objet d'une controverse[1]. En effet, contrairement à certains autres psychiatres et psychologues de la filière psychodynamique[2], le DSM-III psychiatrique ne prend pas en compte les termes psychanalytiques comme « psychose » qui a une acception variable selon l'école de pensée. Élisabeth Roudinesco et Michel Plon écrivent: « Comme la notion de schizophrénie, celle de psychose maniaco-dépressive a été évacuée de la nouvelle classification comportementaliste du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM, III et IV) adoptée par l'American Psychiatric Association (APA), à partir de 1968, pour être remplacée par celle de trouble bipolaire »[3].

Le narcissisme et les états maniaco-dépressifs modifier

Au temps de Freud, les maladies mentales, encore en voie de classification, étaient soignées dans des « asiles », qui deviendront les futurs hôpitaux psychiatriques : les crises de mélancolie ou de manie présentées par certains patients seront rassemblées à partir du milieu du XIXe siècle dans « une seule entité, la folie maniaco-dépressive ou "circulaire" »[4]. D'après un ouvrage collectif récent (2014) d'un neuropsychiatre et de psychiatres sur Les troubles bipolaires, il est écrit que Freud a relativement peu traité la maladie maniaco-dépressive dans son œuvre, et les premiers travaux psychanalytiques notables sur le sujet étant dus à Karl Abraham[5]. Ce dernier avait une formation de psychiatrie, à la différence de Freud[4]. Le psychiatrie et psychanalyste Vassilis Kapsambelis relève que « la situation de la psychose maniaco-dépressive, encore plus que celle des autres psychoses, reste remarquablement attachée, dans la pensée de S. Freud, aux pathologies liées au narcissisme », et après l’introduction du narcissisme en 1914, « la psychose maniaco-dépressive fait partie, avec les autres états psychotiques, des « psychonévroses narcissiques » »[4]. Aux yeux de Kapsambelis, les travaux de Karl Abraham, Sigmund Freud et de Melanie Klein signifient « une introduction indispensable à une compréhension métapsychologique des troubles de l’humeur. Ceux-ci ne sont pas que « thymiques », mais correspondent à une véritable « façon d’être » globale de la personnalité »[4].

après travaux modifier

copie de section [1] pour autres travaux ultérieurs éventuels:

Au temps de Freud, les maladies mentales, encore en voie de classification, étaient soignées dans des « asiles », qui deviendront les futurs hôpitaux psychiatriques : les crises de mélancolie ou de manie présentées par certains patients seront rassemblées à partir du milieu du XIXe siècle dans « une seule entité, la folie maniaco-dépressive ou "circulaire" »[4].

D'après un ouvrage collectif récent (2014) d'un neuropsychiatre et de psychiatres sur Les troubles bipolaires, il est écrit que Freud a relativement peu traité la maladie maniaco-dépressive dans son œuvre, les premiers travaux psychanalytiques notables sur le sujet étant dus à Karl Abraham[5]. Ce dernier avait certes une formation de psychiatrie, à la différence de Freud[4]. Vassilis Kapsambelis relève toutefois que « la situation de la psychose maniaco-dépressive, encore plus que celle des autres psychoses, reste remarquablement attachée, dans la pensée de S. Freud, aux pathologies liées au narcissisme », et après l’introduction du narcissisme en 1914, « la psychose maniaco-dépressive fait partie, avec les autres états psychotiques, des « psychonévroses narcissiques » »[4]. Aux yeux de Kapsambelis, les travaux de Karl Abraham, de Sigmund Freud et de Melanie Klein signifient « une introduction indispensable à une compréhension métapsychologique des troubles de l’humeur. Ceux-ci ne sont pas que « thymiques », mais correspondent à une véritable « façon d’être » globale de la personnalité »[4].

Le seul changement de terme qui remplaçait « psychose maniaco-dépressive » par « trouble bipolaire » a pu faire l'objet d'une controverse[1]. En effet, contrairement à certains autres psychiatres et psychologues de la filière psychodynamique[6], le DSM-III psychiatrique ne prend pas en compte les termes psychanalytiques comme « psychose » qui a une acception variable selon l'école de pensée. Élisabeth Roudinesco et Michel Plon écrivent: « Comme la notion de schizophrénie, celle de psychose maniaco-dépressive a été évacuée de la nouvelle classification comportementaliste du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM, III et IV) adoptée par l'American Psychiatric Association (APA), à partir de 1968, pour être remplacée par celle de trouble bipolaire »[7].

Les états maniaco-dépressifs (psychanalyse) modifier

En psychanalyse, les « états maniaco-dépressifs » théorisés par Karl Abraham et Melanie Klein représentent un complément indispensable aux travaux de Sigmund Freud sur le narcissisme (Pour introduire le narcissisme, 1914; Deuil et mélancolie, 1915).

Histoire et définition modifier

Bibliog. modifier

retiré de l'article TBP comme hors sujet:

Textes de référence modifier

  • Sigmund Freud,
  • Karl Abraham,
    • Giovanni Segantini, Essai psychanalytique (1911), dans Œuvres complètes, tome I / 1907-1914, Paris, Payot & Rivages, 2000.
    • Préliminaires à l'investigation et au traitement psychanalytique de la folie maniaco-dépressive et des états voisins (1912), dans Œuvres complètes, Tome 1 : 1907–1914, Paris, Payot, coll. «Sciences de l'homme», 1989, (ISBN 2228881376)
    • Esquisse d'une histoire du développement de la libido basée sur la psychanalyse des troubles mentaux (1924) (Comprenant dans « Les états maniaco-dépressifs et les étapes prégénitales d'organisation de la libido »: Mélancolie et névrose obsessionnelle. Deux étapes de la phase sadique-anale. Perte objectale et introjection au cours du deuil normal et des états psychiques anormaux. L'introjection mélancolique. Les deux étapes de la phase orale. Contribution à la psychogenèse de la mélancolie. Le modèle infantile de la dépression mélancolique. La manie. La thérapeutique psychanalytique des états maniaco-dépressifs), dans Œuvres complètes, Tome 2 : 1915–1925, Payot, 1989, (ISBN 2228881384)
    • Manie et mélancolie. Sur les troubles bipolaires, traduit de l'allemand par Ilse Barande et Elisabeth Grin, Paris, Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2010 (ISBN 978-2-228-90592-3).
  • Melanie Klein,
    • Contribution à l'étude de la psychogenèse des états maniaco-dépressifs (1934) in Essais de psychanalyse, Paris, Payot, 1968.
    • Le deuil et ses rapports avec les états maniaco-dépressifs (1940) in Essais de psychanalyse, Paris, Payot, 1968.

Bibliog. modifier

 
Les mauvaises mères de Giovanni Segantini. « Le trait le plus accusé de la constitution de l'artiste était sans doute une capacité tout à fait exceptionnelle de sublimation »[8], écrit Karl Abraham.


Beaux-arts modifier

L'œuvre du peintre italien Giovanni Segantini (1858-1899) est « à l’origine du premier texte psychanalytique d’envergure publié sur la mélancolie et les troubles de l’humeur » par Karl Abraham[4].

Bibliographie psychan. % psychologie collective modifier

Psychanalyse modifier

Textes de référence modifier

Études modifier

  • Jeanne Favret-Saada, M. De Certeau, La Possession de Loudun, in: L'Homme, 1971, tome 11 n°2. p. 121, [lire en ligne].
  • Sophie Houdard, « La possession de Loudun (1632-1637). Un drame social à l'épreuve de la performance », Communications, 2013/1 (n° 92), p. 37-49. DOI : 10.3917/commu.092.0037, [lire en ligne]
  • Dans : Alain de Mijolla (dir.), Dictionnaire international de la psychanalyse, Paris, Calmann-Lévy, (ISBN 2-7021-2530-1); rééditions : Hachette-Littérature, 2005 (ISBN 9782012791459).
    • Roger Perron, « Névrose diabolique au XVIIe siècle (Une-) », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, p. 1160-1161.
    • Michèle Porte, « psychologie collective », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, p. 1388-1389.
    • Michèle Porte, « psychologie des masses et Analyse du Moi », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, p. 1392-1393.
  1. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées borch2012
  2. Collectif : Le « bipolaire » et la psychanalyse, 2013,  éd.Eres, coll. « figures de la psychanalyse », (ISBN 2-7492-3963-X).
  3. Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, « Psychose maniaco-dépressive », dans Dictionnaire de la psychanalyse, (1997), Paris, Fayard, 2011, p. 1259.
  4. a b c d e f g h et i Vassilis Kapsambelis, « Les troubles de l'humeur et la psychanalyse. Une revue des textes fondateurs », Le Journal des psychologues, vol. 273, no. 10, 2009, p. 32-35.[lire en ligne].
  5. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Aube
  6. Collectif : Le « bipolaire » et la psychanalyse, 2013,  éd.Eres, coll. « figures de la psychanalyse », (ISBN 2-7492-3963-X).
  7. Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, « Psychose maniaco-dépressive », dans Dictionnaire de la psychanalyse, (1997), Paris, Fayard, 2011, p. 1259.
  8. Karl Abraham, Giovanni Segantini, dans K. Abraham, Œuvres complètes, tome I / 1907-1914, Paris, Payot & Rivages, 2000, p. 195.