Trosly-Breuil

commune française du département de l'Oise

Trosly-Breuil
Trosly-Breuil
La gare de Lamotte-Breuil au début du XXe siècle.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes des Lisières de l'Oise
Maire
Mandat
Sylvain Goupil
2020-2026
Code postal 60350
Code commune 60647
Démographie
Gentilé Troslysiens Breuillois
Population
municipale
2 035 hab. (2021 en diminution de 2,91 % par rapport à 2015)
Densité 185 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 57″ nord, 2° 58′ 04″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 126 m
Superficie 10,98 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Trosly-Breuil
(ville-centre)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-1
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Trosly-Breuil
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Trosly-Breuil
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Trosly-Breuil
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Trosly-Breuil
Liens
Site web trosly-breuil.fr

Trosly-Breuil est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Trosly-Breuil est située dans l'Oise, dans le canton de Compiègne-1. Elle se trouve à l'orée de la forêt de Compiègne (forêt domaniale). La superficie de la commune est de 1098 hectares dont 580 hectares boisés[1].

Les cinq communes limitrophes sont :

Communes limitrophes de Trosly-Breuil
Rethondes Berneuil-sur-Aisne
Compiègne  
Vieux-Moulin Cuise-la-Motte

Relief et hydrographie modifier

L'altitude de la commune est d'environ 40 m, le point le plus bas (34 m) est à l'ouest sur l'Aisne et le point le plus haut (134 m) est au sud-ouest le mont Saint-Mard[2].

La commune est bordée par la rivière Aisne, son module y est de 65,4 m3/s, son bassin versant de 7 940 km2. Elle est traversée par les rus de Breuil, de Géromé, de la Grande Voirie d'Héran, du Marais de la Motte et de Vandy[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Trosly-Breuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Trosly-Breuil, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[12] et 5 818 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,1 %), terres arables (18,5 %), zones urbanisées (12,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %), eaux continentales[Note 3] (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %), prairies (0,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Accès routier modifier

la RN 31 traverse Trosly-Breuil, la reliant à Soissons et Compiègne. En 2008, le trafic est de 13 600 véhicules par jour, dont 3500 poids lourds et 30 convois exceptionnels. La route départementale 547 dont le trafic en 2008 est de 757 véhicules par jour, dont 15 poids lourds.

La commune dispose de huit arrêts de bus. Les six arrêts de la RN 31, dont deux avec abris, sont dédiés à la ligne Compiègne - Soissons. Le service de bus effectue ce trajet aller-retour plusieurs fois par jour, 6 jours sur 7[18].

Accès ferroviaire modifier

La ligne de Rochy-Condé à Soissons est en service jusqu'à la gare appartenant à la société Weylchem à Trosly-Breuil.

Les gares les plus proches sont celles de Soissons (28 km), Villers-Cotterêts (25 km), Compiègne (11 km), et La Ferté-Milon (34 km) :

Transports en commun modifier

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 650, 651, 6302, 6319 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[19].

Infrastructures navigables modifier

L'Aisne est une rivière navigable. Le trafic annuel en 2006 est de 2 400 bateaux de commerce et 600 bateaux de plaisance.

Risques naturels et technologiques modifier

Selon le dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Oise, Trosly-Breuil est concernée par trois risques : inondation, risque industriel et séisme[20].

Toponymie modifier

 
Français : Un extrait de la carte de Cassini.

Le nom de la localité est attesté sous les formes in loco Trosleio (909) ; in loco trosleio (909) ; apud Troslegium (921) ; in villa Troslegio (924) ; apud Trosliacum (956) ; Trosleium (965) ; Germundus de Trosli (1190) ; de trolliaco (vers 1200) ; Trolliacum (1218) ; Troli (vers 1269) ; Bertran de Troli (1306) ; de maioria de troiliaco (1332) ; troly (1376) ; Trosli (1540) ; Trolly (1540) ; Troili (1560) ; Trosly (1564) ; Trosly le chanvre (1595) ; Trosly-Breuil (1840)[21].

Breuil, ancien hameau de la commune, est attesté sous les formes Bruolium (858) ; Broïlum compendii (883) ; Broïlo (vers 919) ; altare vero de villa bruelii (1057) ; Bruellium (1148) ; de brolio (vers 1200) ; Brogilium (1210) ; Bruelii villa (1230) ; Brolium (1250) ; Brucelium (1250) ; in villa de Bruelg (1310) ; de maioria Brolio (1332) ; brueil (1376) ; Breuil (1564)[22].
Breuil, dérivé du gaulois brogilos[23], désignait un « petit bois » [24] ou un « petit bois entouré d’une haie »[réf. nécessaire].

Histoire modifier

Le Moyen Âge modifier

Breuil était une terre du fisc, domaine foncier mérovingien constitué d'ancienne terre du fiscus, que le maire Ebroïn fit donner à l’abbaye Saint-Médard de Soissons en 656. Dotation confirmée en 858 par Charles-le-Chauve. Trosly, qu’on surnomme Trosly-aux-Bois et Trosly-le-Chanvre, était une maison royale sous les Carlovingiens. On connaît des ordonnances de Carloman rendues dans ce lieu au mois de [25].

En 909, sous la présidence d'Hervé, l'archevêque de Reims, le concile de Trosly propose d'octroyer un territoire aux Vikings. Le territoire prit le nom de Normandie. Ce concile aboutit à la première tentative internationale de créer des "lois de la Guerre" c'est la paix de Dieu. Ce mouvement eut une très grande importance car il aboutit à la définition des droits et devoirs des trois ordres et fonda les bases morales de la société médiévale occidentale. Trois autres conciles se tiennent à Trosly. Lors du concile de 921 présidé par Hervé, le concile lève l'excommunication de Erlebald, comte de Castrice, préalablement décidée par ce même Hervé. En 924, l'évêque de Cambrai Étienne donne l'absolution au comte Isaac qui avait incendié l'un de ses châteaux. Enfin, en 927, le comte Herluin obtint son absolution[26].

Le roi Lothaire tint en un placitum ou réunion des états du royaume. En , Louis VII affranchit les hommes du roi à Trosly.

En 1258, la terre de Trosly dépendait des seigneurs d’Attichy. Le château royal de Trosly, ou se tint plusieurs conciles et assemblées de la nation, fut détruit par les Normands. Le château était situé près du village entre la route de Soissons et la rivière d’Aisne.[réf. nécessaire]

Breuil fut brûlée dans la Grande Jacquerie en 1359. La terre appartenait aux seigneurs de Cuise. L’église fut incendiée et le château assiégé. L’église a été reconstruite au XVIe siècle.

Le XVIIe siècle modifier

Les habitants de Trosly obtinrent très vite le droit de pacage et le droit d’usage de la forêt. Ce droit fut concédé par lettres royales en . Il fut confirmé par Henri IV en février 1609 puis par Louis XIII et par Louis XIV en 1648[25].

Au XVIIe siècle, les chanvriers filassiers de Béthisy produisent et distribuent un chanvre prêt-à-filer de grande qualité. Pour compléter leur offre, ils achètent à Trosly et dans la vallée de l'Aisne un chanvre gris plus commun auquel ils donnent le nom de chanvre Picard[27].

Héraldique modifier

  Blason
De sinople à quatre crosses d'or rangées en fasce, celle de dextre avec son vélum, les trois de senestre contournées, les deux du milieu abaissées et surmontées d'une couronne à l'antique du même[28].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1839 1845 Louis-Antoine Labie    
? mars 2001 Guy Sautret    
mars 2001 mai 2002[29]
(démission)
Claude Mendez SE  
juin 2002[30] mars 2008 Jean-Yves Lardeux    
mars 2008 mai 2020 Claude Mendez SE Retraité
Réélu en 2014[31]
mai 2020 En cours
(au 27 mai 2020)
Sylvain Goupil SE Comptable, ancien premier adjoint
Vice-président de la CC des Lisières de l'Oise

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 2 035 habitants[Note 4], en diminution de 2,91 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
790838854836884869883888885
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
840824779741721741668700698
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8729861 0499981 2271 2381 1801 1431 414
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 5241 9632 0981 9722 0342 1642 0552 0212 081
2014 2019 2021 - - - - - -
2 0962 0632 035------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 030 hommes pour 1 042 femmes, soit un taux de 50,29 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,0 
6,6 
75-89 ans
9,9 
19,2 
60-74 ans
17,2 
20,9 
45-59 ans
22,7 
19,1 
30-44 ans
19,1 
15,8 
15-29 ans
13,0 
17,8 
0-14 ans
17,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Lieux de cultes modifier

Trosly-Breuil dispose de deux lieux de culte catholique et fait partie de la paroisse de la Vallée de l'Aisne appartenant au diocèse de Beauvais, lui-même membre de la province ecclésiastique de Reims. La commune utilise deux lieux de culte : l'église Saint Hilaire et la chapelle Notre-Dame-de-l'Arche qui dessert la communauté de l'Arche.

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 750 , ce qui plaçait Trosly-Breuil au 8 765e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[38].

Emploi modifier

En 2011, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 1 426 personnes, parmi lesquelles on comptait 74,1 % d'actifs dont 68,5 % ayant un emploi et 5,6 % de chômeurs[a 1].

On comptait 1 244 emplois dans la zone d'emploi, contre 1241 en 2006. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 978, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] est de 127,2 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu plus d'un emploi par habitant actif[a 2].

Entreprises et commerces modifier

Au , Trosly-Breuil comptait 103 établissements : 3 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 10 dans l'industrie, 19 dans la construction, 63 dans le commerce-transports-services divers et 8 étaient relatifs au secteur administratif[a 3].

En 2013, dix entreprises ont été créées à Trosly-Breuil[a 4], dont six par des autoentrepreneurs[a 5].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monument modifier

  • L'église Saint-Hilaire de Trosly-Breuil.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Adolphe Clément, né en 1855 à Pierrefonds, devient Adolphe Clément-Bayard en 1909. Il est l'un des plus grands industriels français du début du XXe siècle. Il construira notamment six dirigeables dans ses hangars de la Motte-Breuil.
  • Jean Vanier, en 1964, c'est à Trosly-Breuil que Jean Vanier fait venir deux handicapés mentaux Philippe Seux et Raphaël Simi, dans une maison qu'il appelle l'Arche. Trosly-Breuil devient ainsi le noyau de la communauté de l'Arche.
  • Élodie Gossuin, (Miss France et Miss Europe 2001) a grandi et réside à Trosly-Breuil.
  • Thomas Philippe, prêtre dominicain mort à Trosly-Breuil en 1993, accompagnateur de la communauté de l’Arche pendant environ vingt-cinq ans, mais dont la réputation a été ternie à la suite de scandales d’abus sexuels au sein de l’Église, révélés environ vingt ans après sa mort.

Décoration modifier

 
Une Croix de guerre 1914-1918.

La commune a reçu la Croix de guerre 1914-1918.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Trosly-Breuil: Sur les traces des premiers agriculteurs, Bruno Bréart, Didier Lamotte ; APPAH, 1990.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Insee modifier

  1. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  2. EMP T5 - Emploi et activité.
  3. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2011.
  4. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  5. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2013.

Autres références modifier

  1. a et b « GT Enjeux du 7 juin 2011 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  2. « géoportail », sur le portail des territoires et des citoyens (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Trosly-Breuil et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Trosly-Breuil », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Offre cogérée par les services de transport axonais (lignes CAP363 et STEPA) et isariens (lignes OiseMobilité 25 et 26) - tarif normal : 2  - horaires 2013/2014 : http://www.cita.asso.fr/ficheshoraires/Ligne_363_cap_verso.pdf + http://www.cita.asso.fr/ficheshoraires/Ligne_compiegne_soissons_stepa_verso.pdf + http://www.oise-mobilite.fr/ftp/FR_documents/Ligne%2025%202013-2014.pdf + http://www.oise-mobilite.fr/ftp/FR_documents/Ligne%2026%202013-2014.pdf
  19. « Transports en commun à Trosly-Breuil », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  20. [1]
  21. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 570.
  22. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 94.
  23. X. Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Errance, (ISBN 2-87772-237-6 et 978-2-87772-237-7, OCLC 51898501, lire en ligne)
  24. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 257
  25. a et b [2]
  26. [3]
  27. Histoire du duché de Valois, Vol.3
  28. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
  29. « Le maire démissionne », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne)
    « Claude Mendez, le maire de Trosly-Breuil, a envoyé sa lettre de démission au préfet de l'Oise. Un courrier daté de mardi et en attente de traitement par les services préfectoraux. ».
  30. « Jean-Yves Lardeux est le nouveau maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne)
    « Les 19 conseillers municipaux de Trosly-Breuil ont donc choisi leur nouveau maire, vendredi soir, au premier tour de scrutin, par 15 voix en faveur de Jean-Yves Lardeux, qui était jusqu'alors premier adjoint, et 4 voix au profit de l'ancien maire, Claude Mendez ».
  31. « Trosly-Breuil », Cartes de France (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trosly-Breuil (60647) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  38. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur site de l'Insee (consulté le ).