Saint-Marcel-d'Ardèche

commune française du département de l'Ardèche
(Redirigé depuis Trignan)

Saint-Marcel-d'Ardèche
Saint-Marcel-d'Ardèche
L'église de Saint-Marcel-d'Ardèche.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Privas
Intercommunalité Communauté de communes Du Rhône aux Gorges de l'Ardèche
Maire
Mandat
Jérôme Laurent
2020-2026
Code postal 07700
Code commune 07264
Démographie
Gentilé Saint-Marcellois, Saint-Marcelloises
Population
municipale
2 368 hab. (2021 en diminution de 1,54 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 19′ 42″ nord, 4° 37′ 04″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 345 m
Superficie 36,12 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Pierrelatte
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-Saint-Andéol
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Marcel-d'Ardèche
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Saint-Marcel-d'Ardèche

Saint-Marcel-d'Ardèche est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Les habitants sont appelés les Saint-Marcellois et les Saint-Marcelloises[1].

Géographie modifier

Situation et description modifier

Localisée dans le Bas-Vivarais, la commune de Saint-Marcel-d'Ardèche est située dans le département de l'Ardèche. Elle s'étend sur 3 612 hectares. Sa limite sud est proche de la rivière Ardèche, qu'elle longe sur environ 200 mètres, tandis que le Rhône la sépare à l'est des départements de la Drôme et de Vaucluse. Le climat y est de type méditerranéen avec une végétation de chênes verts, genévriers et de garrigues sur quelque 1 600 hectares ; mais les collines et les plaines qui dominent les terrasses du Rhône comportent des zones très fertiles sur 1 700 hectares environ. Son paysage est alors composé d'une mosaïque de cultures (melons, asperges, arbres fruitiers, maïs, blé, tournesol, amandiers), mais la vigne domine, avec plus de 800 hectares au début des années 2000[2], une large part des surfaces étant en appellation d'origine contrôlée Côtes du Rhône et Côtes-du-rhône-villages.

Géologie et relief modifier

Communes limitrophes modifier

Saint-Marcel-d'Ardèche est entourée de sept communes[3], réparties géographiquement de la manière suivante :

Géologie et relief modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 5,7 jours de précipitations en janvier et 3,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pierrelatte à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 14,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 795,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Hydrographie modifier

La partie orientale territoire est bordé par le Rhône.

Voies de communication et transport modifier

La commune est traversée dans l'axe nord-sud par la route départementale 86 (RD86), anciennement route nationale 86, qui permet de relier Lyon à Nîmes par Beaucaire, en longeant la rive droite du Rhône.

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Marcel-d'Ardèche est une commune rurale[Note 2],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pierrelatte, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (41,9 %), forêts (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,1 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales[Note 4] (1,1 %), terres arables (0,1 %)[17].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Transports en commun modifier

 
Gare de Saint-Just - Saint-Marcel.

Située sur la rive droite du Rhône (ligne Givors - Nîmes), la gare de Saint-Marcel-d'Ardèche, dite de Saint-Just - Saint-Marcel, n'est plus desservie par le trafic voyageurs, comme d'ailleurs toutes les gares ardéchoises. Le bâtiment est aujourd'hui une habitation particulière.

Saint-Marcel-d'Ardèche est desservie par les bus du conseil général de l'Ardèche.

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

Le peuplement du territoire constituant la commune de Saint-Marcel remonte aux temps les plus anciens, avec de nombreux signes d'implantation humaine dès la préhistoire. L'oppidum de Saint-Étienne de Dions a été habité durant la protohistoire et les premiers siècles de l'ère chrétienne.

 
Cardinal de Bernis.

Moyen Âge modifier

Extension du village modifier

Durant l'époque médiévale, le village se développe sur son emplacement actuel, s'entoure de remparts, et s'affirme comme un patrimoine épiscopal d'importance. Une sentence arbitrale de l'évêque de Viviers rendue le a porté création d'un consulat à Saint-Marcel. Un très fructueux péage sur le sel a engendré une coseigneurie de 19 seigneurs pariers qui, au début du XIIIe siècle, se faisaient donc appeler consuls. Puis, et durant tout l'Ancien Régime, administration et justice ont pu relever de l'église et des nombreux seigneurs (jusqu'à 48 selon plusieurs sources) implantés dans la cité fortifiée.

Les Templiers et les Hospitaliers modifier

La chapelle Saint-Sulpice, proche du hameau de Trignan, à 5 kilomètres environ du village, a été construite à l'époque où s'établissaient, non loin de là[Note 5], les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, sans doute vers le XIIIe siècle.

Le bâtiment, de petites dimensions, très représentatif de l'art roman, comporte des éléments de remploi, avec pierres sculptées à motifs d'entrelacs, d'une construction plus ancienne pouvant remonter au IXe siècle. À l'intérieur, une courte nef comprend deux travées avec de rares ouvertures de taille modeste.

La chapelle a connu des périodes d'abandon mais a été restaurée à plusieurs reprises[18].

Époques moderne et contemporaine modifier

Exode rural modifier

Au XVIIIe siècle, la famille de Pierre, dont est issu le cardinal de Bernis, a joué un rôle important dans l'administration de la cité. Dans la deuxième moitié du XIXe siècle et la première moitié du XXe siècle, l'exode rural, dû aux crises agricoles, puis la guerre de 1914-1918, ont fortement affecté la démographie municipale : 1 046 habitants en 1954 contre 2 358 en 1856.

Mais, après la Seconde Guerre mondiale, les barrages construits dans la vallée du Rhône puis, surtout, l'implantation, à proximité, des sites nucléaires du Tricastin ont, avec l'attrait de l'Ardèche méridionale pour les retraités et les citadins à la recherche de résidences secondaires, permis de retrouver au début du XXIe siècle un total de population supérieur à 2 000 habitants[19].

Catastrophe du Banc-Rouge modifier

Le , dix tonnes de munitions entreposées dans la poudrerie Rey explosent. D'origine accidentelle, le drame tue 18 personnes et en blesse plusieurs dizaines. La déflagration est entendue à 30 kilomètres à la ronde et le site est ravagé dans un périmètre de 12 hectares[20],[21],[22],[23]. Cet accident de nature industrielle sera évoquée par la presse locale et nationale sous le nom de catastrophe du Banc-Rouge[24].

Politique et administration modifier

Budget et fiscalité 2015 modifier

En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 682 000 , soit 654  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 481 000 , soit 593  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 342 000 , soit 137  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 368 000 , soit 147  par habitant.
  • endettement : 2 142 000 , soit 858  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 8,24 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,17 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 51,51 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1900 1907 Pierre Robert    
1907 1919 Paul Saladin    
1919 1929 Hippolyte Dubois    
1929 1944 Albert Briand
(1880-1944)[26]
tendance Radical Assassiné par les Miliciens le 23 août 1944
1945 1955 Jean Quelin    
1955 1971 Marcel Despeysse    
mars 1971 juin 1995 Pierre Sabatier   Inspecteur général de la Banque de France
juin 1995 mars 2014 André Pesenti PS Retraité
mars 2014 mai 2020 Michel Bouschon DVG Agent technique
mai 2020 mai 2020 Michel Bouchon[27]   Agent technique, technicien
mai 2020 en cours Jérôme Laurent[28]   Employé civil ou agent de service de la fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 2 368 habitants[Note 6], en diminution de 1,54 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7801 7001 8571 9772 0882 2172 1982 2372 344
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3582 2162 1482 1531 9501 8611 8241 6571 640
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4681 4521 4051 2801 1951 1201 0661 0391 046
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 0591 0891 1401 4651 7812 1502 3422 3762 407
2017 2021 - - - - - - -
2 3752 368-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine religieux modifier

 
Chapelle Saint-Sulpice.
 
Monument aux morts.
 
Les bassins de la grotte de Saint-Marcel.
  • L'église de Saint-Marcel-d'Ardèche[33],[34].
  • La chapelle Saint-Sulpice, classée Monument historique[35].
  • La chapelle Saint-Julien-de-la-Renne est située à un peu moins de deux kilomètres au nord du village. Elle est ainsi nommée à cause des enfants pleureurs et grognons (li renaires en occitan) que l'on y portait jadis. Son architecture romane et la tradition s'accorderaient à en fixer la fondation au Xe siècle. Elle a été restaurée en 2006-2007 par un groupe de bénévoles, avec le soutien de particuliers et de la Société de Sauvegarde des Monuments Anciens de l'Ardèche[36].
  • Chapelle des Pénitents de Saint-Marcel-d'Ardèche.
  • Chapelle Saint-Joseph de Saint-Marcel-d'Ardèche.

Lieux et monuments modifier

  • Les monuments commémoratifs[37],[38].
  • La grotte de Saint-Marcel, bien que située sur le territoire de la commune de Bidon, appartient à celle de Saint-Marcel, à la suite de la donation de terrains qui a été faite en 1228 par Dame Vierne de Baladun, aux seigneurs de cette cité, à leurs chevaliers et à leurs hommes. Découverte en 1838, son entrée naturelle, en forme d'abri sous roche, à quelques dizaines de mètres de la rivière Ardèche, comprend des gisements préhistoriques très anciens. Cette cavité est classée depuis le et se trouve dans la zone protégée au titre de "site inscrit" depuis le .
Dès 1870, la commune a organisé, après un équipement sommaire, des visites pour les touristes amateurs du monde souterrain mais, eu égard aux difficultés d'approche et au cheminement malaisé, le nombre de visiteurs est toujours resté limité.
En revanche, les spéléologues de Saint-Marcel, de la région, de France et de l'étranger ont progressivement révélé, par leurs explorations du site dans ses divers réseaux, l'étendue et la complexité de cette grotte; elle compte en ce début du XXIe siècle plus de 50 kilomètres de galeries répertoriées et est en cela une des plus vastes de France.
De très importants aménagements ont été réalisés en 1988, sur une partie du parcours, par la municipalité, avec un accès artificiel très proche de la Route touristique des Gorges de l'Ardèche (RTGA), à proximité immédiate du "Grand Belvédère". Le la visite de la grotte a été rouverte au public ; elle compte depuis, chaque année, plusieurs dizaines de milliers de visiteurs, son succès tenant à l'immensité des salles, à l'importance et à la beauté des concrétions, à la vaste étendue de ses "gours" (bassins) festonnés de calcite, uniques en Europe, l'ensemble souligné par un son et lumière de qualité.
La grotte la plus profonde d’Ardèche. Les 23/ le réseau de Saint-Marcel-d’Ardèche devient la cavité la plus profonde d’Ardèche avec -257 m de profondeur et deux nouvelles entrées (écluse/bateau)
 
Cour d'honneur du château du Bosquet.

Économie modifier

L'économie locale est très développée grâce à la diversité des activités[43] et de la présence d'une maison des services publics[44].

Les domaines vinicoles :

  • Le château de Saint-Marcel-d'Ardèche[45] produisant un Côtes-du-Rhône.
  • le Mas de Libian appartenant à la famille Thibon depuis 1670[46].

Personnalités liées à la commune modifier

  • François-Joachim de Pierre de Bernis, cardinal de Bernis (né au château de Saint-Marcel-d'Ardèche en (1715) d'où est originaire sa famille, mort en 1794 à Rome). Après ses succès dans les salons littéraires et politiques parisiens et à la Cour, il fut nommé en 1751 ambassadeur à Venise, puis secrétaire d'État aux Affaires étrangères, cardinal, enfin ambassadeur de France à Rome (1768) où il demeura jusqu'à sa mort. Il a laissé des mémoires et inspiré divers ouvrages .
  • Léopold Chiron, (1845-1916), instituteur et préhistorien.
  • Gustave Thibon, philosophe natif de Saint-Marcel (1903-2001), Grand Prix de l'Académie française a écrit de nombreux ouvrages.

Héraldique modifier

Saint-Marcel-d'Ardèche possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Saint-Jean le Trignan sur la carte de Cassini, 44° 18′ 46″ N, 4° 34′ 51″ E.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. La commanderie de Saint-Jean d'Artignan / de Trignan: 44° 19′ 19″ N, 4° 35′ 32″ E.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Services publics à Saint-Marcel d'Ardèche
  2. Source : Direction générale des impôts
  3. Direction départementale de l'équipement (DDE), « Carte en relief de l'Ardèche avec limites communales »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ardeche.equipement.gouv.fr, (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Marcel-d'Ardèche et Pierrelatte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pierrelatte », sur la commune de Pierrelatte - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Pierrelatte », sur la commune de Pierrelatte - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. Daniel le Blevec, « L'enquête de 1373 dans le diocèse d'Uzès », Provence historique, no 179,‎ , p. 99 (lire en ligne)
  11. Emmanuel-Ferdinand de Grasset, Essai sur le grand prieuré de Saint-Gilles de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, suivi du catalogue des chevaliers, chapelains, diacots, donats et servants d'armes de la vénérable langue de Provence, dressé sur les titres originaux, Paris, (lire en ligne), p. 25
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Sources : P. Pontal, La chapelle de Saint-Sulpice dans la Revue du Vivarais, 1955, p. 119-128
  19. Source : monographie Saint-Marcel-d'Ardèche, Éditions P. Sabatier - 07700 Saint-Marcel-d'Ardèche, 2002, 286 p.
  20. « Saint-Marcel-d'Ardèche : Il y a 50 ans, l'usine du Banc Rouge explosait », sur midilibre.fr (consulté le ).
  21. « Une série d'explosions font une quarantaine de victimes Les sauveteurs ne pouvaient approcher de l'usine de Saint-Just en raison de la chaleur dégagée par l'incendie », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. « Au cours des contrôles effectués avant l'explosion aucune mesure nouvelle de sécurité n'avait été réclamée, déclare un des avocats de la défense », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. « Le tribunal va dire si l'explosion qui fit dix-huit morts peut être imputée à une imprudence des directeurs. », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « ARDECHE: Il y a 50 ans, la catastrophe de Saint-Marcel-d’Ardèche. "Cette explosion au Banc-Rouge, j’ai cru que c’était la fin du monde" », sur ledauphine.com (consulté le ).
  25. « Les comptes de la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  26. https://maitron.fr/spip.php?article209001, notice BRIAND Albert, Marcel par Jean-Louis Issartel, version mise en ligne le 19 novembre 2018, dernière modification le 11 mai 2019.
  27. Répertoire national des élus (RNE) - version de juillet 2020, consulté le 3 juillet 2020
  28. « Répertoire national des élus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. L'église de Saint-Martin d'Ardèche
  34. Le soutien de la Fondation du patrimoine à la restauration de l'église
  35. « Chapelle Saint-Sulpice », notice no PA00116793, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. Aiguère (Gard) et trois chapelles romanes du canton de Bourg-Saint-Andéol : La chapelle Saint-Julien-la-Renne
  37. Monument aux Morts, Stèle 1939-1945
  38. Monument aux morts
  39. « Château du Bosquet », notice no PA00116794, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. Trilithe, photo André Chauvel (architecte en chef des monuments historiques)
  41. La maladrerie des templiers n'a pas encore livré tous ses secrets, France 3 Rhône-Alpes
  42. Saint-Martin d'Ardèche : Le mythe de la maladrerie des Templiers s’effondre
  43. L'économie locale
  44. Maison des services publics
  45. Le château de Saint-Marcel d'Ardèche
  46. Le Mas de Libian