Tréminis

commune française du département de l'Isère

Tréminis
Tréminis
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes du Trièves
Maire
Mandat
Anne-Marie Fitoussi
2020-2026
Code postal 38710
Code commune 38514
Démographie
Population
municipale
193 hab. (2021 en augmentation de 7,22 % par rapport à 2015)
Densité 3,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 54″ nord, 5° 46′ 11″ est
Altitude Min. 792 m
Max. 2 755 m
Superficie 49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matheysine-Trièves
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Tréminis

Tréminis est une commune française de montagne, située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Son territoire, à l'aspect essentiellement rural de la haute vallée de l'Ébron, historiquement rattachée au pays du Trièves, dans l'ancienne province du Dauphiné. La commune est adhérente à la communauté de communes du Trièves et ses habitants sont dénommés les Tréminisous[1].

Géographie modifier

Situation et description modifier

Située dans le Trièves au pied du Grand Ferrand, Tréminis est une commune entourée par les montagnes (Grand Ferrand, Ménil, Aup) et composée de quatre hameaux : l'Église, le Serre, Château-Bas et Château-Méa.

Son accès se fait par la route de Lalley, en contournant le Ménil à l'est, ou par le nord en passant par le col de Mens. Cette route sinueuse est une étape systématique du Rallye du Trièves.

Tréminis serait à l'origine un monastère datant du IXe siècle. Ses grandes maisons couvertes de tuiles en écailles reposant sur des génoises attestent d'un passé de traditions.

Point de départ de nombreuses excursions, la commune attire aujourd'hui de plus en plus de touristes[2]. C'est la commune la plus méridonale du département de l'Isère.

Géologie modifier

Présentation modifier

Le territoire de Tréminis est situé au pied de la pente occidentale de l'Obiou, en bordure nord d'une dépression à fond presque plat qui constitue le cirque des sources de l'Ébron[3].

 
La région de Mens, Saint-Baudille-et-Pipet, l'entrée de la vallée de Tréminis au fond et l'Obiou

Sites géologiques remarquables modifier

La « discordance anté-Sénonienne de Dévoluy » est un site géologique remarquable de 276,91 hectares, qui se trouve sur les communes de Lus-la-Croix-Haute (aux lieux-dits de La Jarjatte et Crête des Aiguilles) et de Treminis. En 2014, elle est classée « trois étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[4].

Communes limitrophes modifier

Le territoire de la commune de Tréminis est limitrophe de six autres communes, de deux autres départements (Drôme et Hautes-Alpes) et d'une autre région (Provence-Alpes-Côte d'Azur).

  Prébois (Isère) Saint-Baudille-et-Pipet (Isère) Pellafol (Isère)  
Lalley (Isère) N Dévoluy (Hautes-Alpes)
O    Monestier-de-Clermont    E
S
Lus-la-Croix-Haute (Drôme)

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 049 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Baudille », sur la commune de Saint-Baudille-et-Pipet à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 082,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Hydrographie modifier

Le territoire communal est sillonné par plusieurs petits cours d'eau, la plupart rejoignant l'Ébron, un affluent du Drac, d'une longueur de 32,1 km[11] et qui s'écoule à proximité du bourg central après avoir pris sa source au pied du Grand Ferrand, dans le bassin de Tréminis.

Voies de communication modifier

La commune, son bourg central et ses hameaux, sont situés à l'écart des grands axes de circulation. La route départementale 216 (RD216) la relie cependant à la commune voisine de Saint-Baudille-et-Pipet par le col de Mens.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Tréminis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), prairies (3,3 %), terres arables (0,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et écarts modifier

  • Les hameaux :
    Le Serre, l'Église, Château-Bas, Château Méa.
  • Les autres lieux-dits :
    La Chenal, Sauvanière, la Faurie, les Granges, Pré-Girard, la Plaine …

Risques naturels et technologiques modifier

Risques sismiques modifier

La totalité du territoire de la commune de Tréminis est situé en zone de sismicité no 3, « risque modéré », comme la plupart des communes de son secteur géographique. Elle se situe cependant au sud de la limite d'une zone sismique classifiée de « moyenne » et qui partage le département de l'Isère[18].

Terminologie des zones sismiques[19]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques modifier

Les risques répertoriés pour la commune par la préfecture de l'Isère sont : le risque de crue torrentiel, de glissement de terrain, de chute de pierres et blocs et d'avalanche[20].

Toponymie modifier

Plusieurs hypothèses ont été avancées dont entre trois monts ou trois châteaux et même terminus (« la borne »), car la commune se situe bien au bout de la vallée, mais la plus vraisemblable semble Transmenium signifiant « au delà de Ménil », montagne ou se situe le col de Mens[21].

Histoire modifier

La seigneurie est la propriété de la famille de Bérenger. Elle est située à l'écart de deux axes de communication (celui de Corps, et celui du col de Luz). Par conséquent, on n'y trouve pas les commerçants traditionnellement attachés aux axes routiers (hôteliers, etc).

Elle confie la fonction judiciaire de capitaine-châtelain à la famille Jouguet issue de la paroisse, depuis la fin du XVIe siècle. Cette famille tisse des liens avec la petite noblesse (d'Eschaffin, de Cornu) et les notables (Mousnier, Achard) du Trièves et du Vercors. Peu avant la Révolution, elle finit par posséder un fief. Elle va ensuite s'établir dans la haute bourgeoisie de Grenoble.

Les protestants sont principalement établis dans un des hameaux de la commune, le Château-Bas.

Une verrerie fut fondée à Château-Bas en 1818 par les sieurs Daniel-Pierrel Pelissier, Fréderic Garnier et Jacques-François Toupense. L'abondance de bois de la commune, l'interruption des importations de verre depuis la Savoie, et vraisemblablement l'endettement de la commune qui a pu vendre des bois aux promoteurs de l'usine, ont motivé cette installation. L'usine s'approvisionnait en sable très blanc pris à Lus-la-Croix-Haute, dans la Drôme, et en bois dans la forêt de Tréminis. Elle occupait trente ouvriers pour la fabrication, et plus de quarante pour l'exploitation du bois. La production annuelle de 1 500 caisses de verre de 150 kg chacune était significative pour l'époque. L'usine, mal acceptée par la population, cessa son activité une première fois en 1825 à la suite d'un incendie, puis de façon définitive, vraisemblablement en 1833[22].

Une carrière de pierres lithographiques fut exploitée brièvement à 500 m à l'ouest du Col de la Croix au début du XXe siècle. Elle fut rapidement arrêtée du fait de la qualité insuffisante de la pierre[22].

En 1943, deux maquis se sont formés à Tréminis, le « camp no 1 » qui comptait quelques dizaines de maquisards (entre 34 et 44), et un maquis plus modeste, le « camp des théologiens », formé de six étudiants de la faculté de théologie protestante de Montpellier. Ces deux maquis ont été attaqués par les Allemands le . Neuf maquisards ont été condamnés à mort par le Tribunal allemand de Lyon, dont cinq ont été fusillés à La Doua le 23 décembre 1943. Parmi ceux qui ont réussi à s'échapper, quelques-uns sont morts au combat ou en déportation[23]. Un monument à la mémoire des dix-neuf maquisards morts pour la France a été inauguré en 1946 à Château-Bas[23].

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

En 2022, le conseil municipal de Tréminis est composé de onze membres (six hommes et cinq femmes) dont un maire, trois adjoints aux maire et sept conseillers municipaux[24].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Marcel Barthalais   Exploitant forestier/scieur
1945 1947 Charles Morin   Retraité Gendarmerie
1947 1953 Gustave Parat   Agriculteur
1953 1956 Charles Morin (démission pour raison de santé)   Retraité Gendarmerie
1956 1959 Fernand Convert   Exploitant forestier/scieur
1959 1967 Léon Barthalay (mort en exercice)   Exploitant forestier/scieur
1967 1989 Marcel Convert   Exploitant forestier/scieur
1989 1995 Maurice Besançon   Retraité enseignement
1995 2008 Jean-Claude Marin   Artisan
2008 2020 Frédéric Aubert   Masseur kinésithérapeute
2020 En cours Anne-Marie Fitoussi   Retraitée enseignement
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 193 habitants[Note 2], en augmentation de 7,22 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
536511582563626615596613608
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
569562577568538507503448448
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
431392401311314328321315332
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
294260207191173172164178180
2021 - - - - - - - -
193--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipements sportifs modifier

Le domaine nordique de Tréminis (ouvert depuis les années 1930) dont les pistes sont tracées au pied d’un immense cirque rocheux[29],[30].

Médias modifier

Historiquement, le quotidien régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Romanche et Oisans, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune, de son canton, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales.

Cultes modifier

L'église (propriété de la commune) et la communauté catholique de Tréminis dépend de la paroisse Notre-Dame d'Esparron, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[31].

Économie modifier

Culture et patrimoine modifier

Patrimoine religieux modifier

  • Église Saint-Pierre de Tréminis au hameau de l'Église.
  • Temple au hameau de Château-Bas.
  • Chapelle au hameau du Serre.

Patrimoine civil modifier

Un monument est élevé en mémoire des résistants du Maquis de Tréminis, attaqué par l'armée allemande le .
Une exposition permanente a été installée au départ du principal sentier de randonnée de Tréminis (« cabane du pique-nique ») et permet aux promeneurs de découvrir les grandes pages du mouvement de résistance locale et de l'attaque tragique subie par ce maquis[32].

Personnalités liées à la commune modifier

 
Jean Giono
  • Jean Bérenger (1767-1850), homme politique est né à Tréminis ; fils du Pasteur Colombe, il a aidé à la réussite du coup d'État du 18 brumaire et a été conseiller d'État sous Napoléon puis sous la Restauration.
  • Jean Giono (1895-1970) y a possédé une maison de villégiature dans les années 1930.

Héraldique modifier

Tréminis possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère.
  2. « Découvrir Tréminis », sur Tréminis, (consulté le )
  3. Site geol-alp.com, page sur Tréminis.
  4. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Tréminis et Saint-Baudille-et-Pipet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Baudille », sur la commune de Saint-Baudille-et-Pipet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Saint-Baudille », sur la commune de Saint-Baudille-et-Pipet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'ébron (W25-0400) » (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  19. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  20. Site isere.gouv.fr, fiche synthétique sur l’état des risques naturels, miniers et technologiques majeurs pour la commune de Tréminis.
  21. Site treminis.fr, page "Découvrir Tréminis.
  22. a et b Sylvie Vincent, Raymond Moyroud et al. (Collectif sous la direction de Chantal Mazard), Patrimoine en Isère : Trièves, Grenoble, Département de l'Isère, coll. « Inventaire du patrimoine », , 239 p. (ISBN 2-905375-19-1), pp. 217-222.
  23. a et b François Boulet, Les maquis de Tréminis. Une autre « Saint-Barthélemy des patriotes », Ampelos, , 128 p. (ISBN 978-2-35618-202-9)
  24. Site treminis.fr, page sur le conseil municipal.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Site trieves-vercors.fr, page sur le domaine nordique de Treminis.
  30. Site isere-tourisme.com, page sur le domaine nordique de Tréminis.
  31. Site messes.info, page sur l'église de Tréminis.
  32. Plaquette "Tréminis, un village en résistance".

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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